DÉCADENCE ÉQUIPE 2 ( MATT / RAKEL / GWARIUS / SUZANNE )

Rakel faisait peur....oh oui elle pouvait jouer elle aussi et matt le savait fort bien. Elle tenta même de parler avec celui qui devait bien s'amuser derrière son écran. peut etre pas peine perdu mais ce que Matt attendait c'était son accrd et il l'obtint. aussi, prenant une profonde respiration car jouer sa vie n'était jamais tres amusant, puis il tira donc sur la corde numéro 2, déterminé à attendre quoi qu'il arrive ou n'arrive pas. mais james avait précisé qu'il fallait jouer. ils joauient donc...que c'était drole. Mais personne ne mourrait, Rakel ne le voudrait surement pas et devait déja élaborer un plan pour cela. Il avait une confiance aveugle enson ange et même si sa ain était crispée sur cette fichue corde et le baril qui allait avec eh bien c'était elle qu'il regardait, elle était son courage et sa raison de vivre.

Il sourit en la regardant. Toujours aussi belle même énervée...non mais a quoi il pensait dans des situations pareilles.Il devait vraiment avoir la trouille...oui surement plus qu'il ne voulait bien l'admettre. Enfin de toute manière ils étaient là et peut etre que treize personens mourraient aujourd'hui...comme peut etre aucune. Positif.il fallait l'etrepour tenir ici, dans un..jeu. Oui sauf que dans les jeux on a plusieurs vies et des sorts ou des potions, ici rien. Juste la vie.une seule et bien fragile.

[je vous laisse me gérer pour ce week end, enpnj]

Tremblant maintenant presque comme si tout son squelette était un vibromasseur, Gwarius écoutait les autres parler. Matt leur demandait d'être soudés et de ne pas rejeter la faute à quiconque. Gwarius aurait bien voulu lui dire que le simple fait d'être ici maintenant c'était bien là une faute de la part de ceux qui avaient voulu y aller, et qu'ils n'auraient sans doute pas une énigme aussi facile à la prochaine épreuve. Rakel semblait elle vouloir narguer le maniaque en s'adressant aux caméras. Comment pouvait-elle faire ça ? Énerver ce fou n'était pas pour Gwarius une bonne idée. Il eû envie de s'agenouiller devant une caméra et de supplier de ne pas l'écouter, de les laisser partir, mais à l'idée que ceci ferait sans doute plus rire le maniaque qu'autre chose, le jeune archéologue restât silencieux. Pourtant sa panique qui montait en pression ne demandait qu'à s'exprimer... d'autant plus qu'il devait tirer une des cordes à son tour, ils avaient beau pu résoudre les énigmes avec succès, si le détraqué n'était en plus pas réglo, ça reviendrait au même que tirer au hasard. Matt avait tiré la deuxième corde, et rien ne se produit, il n'y avait pas de raison que tout tourne mal, après tout. Gwarius s'avança donc et tira sur la troisième corde, il choisit celle-çi car étant enfant il avait toujours aimé ce compte, avec un peu de chance ça lui porterait bonheur.

Maître du jeu Nombre de messages : 375 Date d'inscription : 04/01/2009

Rakel ne se gêna pas pour dire ce qu'elle pensait au maniaque. Le provoquer ne sembla pas la déranger du tout. Elle était prête a tirer sur les barils. Matt tira sur la deuxième corde ce qui fit descendre le baril numéro 2. De son côté Gwarius tira sur la corde numéro 3. Il ne restait plus que Suzanne a choisir une corde. Elle devait réfléchir a celle qu'elle devait prendre, 1-4-5-6.

Il ne restait plus qu'a laisser RAkel tirer sur les barils dont ses collègues avaient fait descendre en souhaitant qu'ils n'est pas fait d'erreur suite aux énigmes. Si tout avait bien été décidé, une clé devrait tomber du baril une fois que Rakel l'aura tirer.

Rakel regarda Suzanne un instant pour voir quelle corde elle allait tirer. Elle avait peut-être besoin d'aide mais bon, il ne fallait pas se presser pour éviter de faire des erreurs.

( HRP : Rakel, quand tu es prêtes, tu peux tirer les barils que tes coéquipiers ont fait descendre en tenant la corde. Tu peux attendre aussi que Suzanne est fait son choix. )

Le docteur Rigel était d'accord avec le reste de l'équipe, à savoir que les deux cordes à ne pas tirer étaient la 1 et la 4. Ainsi après avoir regardé faire Matt et Gwarius qui tirèrent respectivement la 2 et 3ème corde, Suzanne s'avança à son tour, et attrapa la 5ème corde, afin de l'abaisser.
Maintenant, il ne manquait plus que la touche personnelle de Rakel. Suzanne l'avait observé de loin depuis un moment, et lui avait fait carrément un peu peur à certains instants. Elle semblait plus en colère qu'effrayée, et ne se faisait pas prier pour dire tout haut ce qu'elle pensait de ce malade. Suzanne l'admirait quelque part, parce qu'il était évident qu'elle était capable d'aller jusqu'au bout de ses pensées. Ce n'étaient pas des paroles en l'air, et c'est ça qui était étonnant au vue de la situation.
Puis la scientifique jeta un regard qui essayait d'être encourageant, vers Matt et Gwarius à côté. Dire qu'il y avait quelques heures encore, elle était tranquille dans ses quartiers … Maintenant elle avait une main sur une corde accrochée à un baril, qui ferait surprise surprise dans quelques secondes. D'un geste presque naturel, elle mit sa main libre dans son dos, et croisa les doigts.

Continuant à tourner dans la pièce comme un fauve en cage, j'attendais que chacun prenne place. Honnêtement, je n'étais pas tout à fait d'accord avec les scientifiques qui voulaient jouer au petit jeu que nous proposait ce malade, mais comme nous étions là pour ça, je m'y pliais. Une fois que Suzanne fut installée à son tour, je me retournais vers les barils, soupirant, et priant intérieurement pour qu'il ne nous ai pas jouer un mauvais tour. Malgré mon assurance extérieur, une pointe d'anxiété me tailladait l'estomac.

Mais je commençais à avoir l'habitude de ce genre de situation, et ce fut avec assurance que je pointais mon arme en direction du baril de Gwarius. Je savais que je ne le toucherais pas, j'étais une bonne tireuse, mais je comptais d'abord vérifier avec lui que tout les barils n'étaient pas truqués. Pourquoi lui? Choix arbitraire, je ne pouvais pas mettre Matt en danger volontairement et Suzanne était une femme, aussi solidarité féminine si on pouvait dire. Une fois le coup partit, j'attendis de voir se qu'il se passait, hors de question de tirer si c'était un attrape couillon, d'ailleurs si c'était le cas, fini de jouer!

Mais si au contraire tout se passait bien, je continuerais à tirer, et pour la dernière clé, et bien nous aviserons, ce n'était pas le moment d'y penser à moins de vouloir péter un cable.

Maître du jeu Nombre de messages : 375 Date d'inscription : 04/01/2009

Rakel décida de tirer sur le baril de Gwarius pour commencer. Le baril vola en éclat et des plumes s'en échappèrent ainsi qu'une clé tomba au pied de Gwarius. Il devait avoir eu chaud et Rakel se sentit sûrement rassurée légèrement, mais le tour de son Matt arriva bientôt. Elle tira tour a tour sur le baril de ses deux autres collègues. Même résultat, des plumes tombèrent du baril ainsi qu'une clé.

Il ne restait plus qu'une seule corde a tirer. Qui allait être volontaire pour cette dernière partie. Il ne restait que la corde numéro 1, 4 et 6. Une chance sur trois de s'en sortir indemme si le maniaque respectait les règles du jeu bien sûr. Manquait plus que la décision de l'équipe, et du volontaire de se diriger vers la bonne corde.

Matt, lorsque rakel tira sur Gwarius eu dabord juste chaud, et sa température retomba lorsque il vit des plumes ainsi qu'un doux tintement de clé tomber devant l'archéologue, il ne vit pas venir son tour et passa a 40°, devint tout rouge avant de se recevoir lui aussi des plumes et de ramasser la clé...cela se apssa de même pour Suzanne. Le coeur de Matt tembourinait à sa poitrine. Non pas qu'il n'était pas courageux mais savoir que l'on jouait sa vie n'était certes pas facile...Il émi un soupir de soulagement...Tous trois étaient en vie pour le moment du moins. Il regarda les deux autres civils etpuis décida que vu qu'il avait trainer rakel ici?..il devait au moins se montrer courageux. aussi il se dirigea vers la 6eme corde. Iln'avait pas enve de mourir mais ils étaient tous daccord pour les énigmes donc si l'autre suivait ses propres regles ce qui était mieux pour l'humeur de rakel, Matt devrait s'en sortir vivant...avec quelque plusmes en plus peut être. Il tira donc la 6eme corde bien décidé à ne laisser personne d'autre le faire et ce même s'il tremblait un peu. les sourcils froncés, il dirigea son regard vers rakel.

"C'est quand tu veux."

Bah oui autant en finir au plus vite, Matt n'était pas du genre a aimer le suspens surtout s'il était concenré plus vite il serait fixé mieux ça vaudrait pour tout le monde. Il était en tain de réaliser que l'esprit de cet homme ou cette femme, bref celui qui devait s'amuser à les regarder, était completmeent corrompu voir sadique. Oui ils n'allaient pas sortir vivant de ce carnage...c'était a prévoir sinon pourquoi les avoir fait venir?

Ouf, rien ne s'était passé, le baril était tombé simplement et rien de plus, Gwarius poussa un soupir de soulagement. Il vit trop tard Rakel levé son arme sur son baril, et tirer dessus.

-"Non att... " cria t'il

Trop tard, le baril avait explosé, le jeune archéologue avait voulu s'en écarter un peu avant, juste au cas ou, mais il eût juste le temps de se protéger le visage de son bras, ce qui fut inutile car il ne reçu aucun débris. En baissant les yeux il vit à ses pieds une clé qui était apparue dans une volée de plumes, comme si le baril avait était la résidence d'un poulet avant d'être détruit. Il la ramassa et prit soin de mètre plusieurs mètres entre lui et Suzanne avant que son tour n'arrive. Matt pris initiative de tirer la prochaine corde, Gwarius ne s'y objecta pas et le laissa faire, après-tout il avait été volontaire pour le suicide alors autant qu'il s'acquitte de cette tâche.

En position, j'allais tirer sur le baril au dessus de la tête de Gwarius quand il se mit à parler, sans doute me convaincre de ne pas tirer alors que c'étaient eux qui voulaient jouer à ce petit jeux, hors de question. Je ne lui laissais pas le temps de parler et tirais. Je détestais tirer en intérieur dans un espace aussi restreint. Le bruit me fit grimacer, mais voir des plumes tomber me poussait à aller plus loin et je tirais à nouveau sur les autres barils provoquant une pluie de plumes identiques. Nous avions à présent 3 clés...

Il fallait donc choisir une dernière personne et Matt se dirigeait vers la corde sans prendre le temps d'en parler. Après tout nous avions fait un choix en commun, donc il n'y avait pas à hésiter. Jetant un dernier regard à Matt, je relevais les yeux et tirais, prête à une vengeance bien saignante si ce sadique nous avait trompé.

Maître du jeu Nombre de messages : 375 Date d'inscription : 04/01/2009

Ne manquait plus qu'un baril et Matt se porta volontaire. Rakel tira sur le baril souhaitant que tout soit a la loyale. Le baril explosa et des plumes ainsi que la dernière clé tomba au sol. Tout le monde fut soulagé de la situation.

Ils se dirigèrent vers la porte et déverouillèrent celle-ci avec les clés. Dès que la porte s'ouvrit, tout devint sombre dans la pièce et l'équipe ne pouvait rien voir dans le fond de la salle suivante quand soudainement, un coup de feu semblant provenir du fond de la pièce retentit. La balle frôla Matt, juste pour dire qu'il sentit un pincement.

Puis un autre coup de feu provenant de l'autre coin de la pièce sombre fit mettre en alerte tout le monde de l'équipe. Il y avait quelqu'un dans cette pièce, au moins deux personnes puisque les tirs provenaient de coin opposé, a moins que se soit autre chose. Un autre coup de feu se déclencha.

Ne voyant rien, l'équipe devait faire rapidement pour ne pas se faire tuer.

Lorsque je pressais la détente, je sentis cette décharge d'adrénaline me parcourir le dos. Pendant quelques secondes, des centaines de questions et de doutes m'envahirent, mais une pluie de plumes me calma aussitôt. Pour le moment il la jouait loyal se qui était une bonne chose, même si il était difficile de savoir si ça allait durer. Attrapant la clé sur le sol, je me dirigeais vers la porte et en ouvrit chaque verrou, me demandant bien quelle horreur pouvait cacher cette pièce. La pièce était sombre, mais un bruit de détonation se mit à raisonner et une balle siffla non loin de nous.

"Mettez vous à couvert contre un mur."

Sans hésitez un seul instant, j'allumais la torche de mon P90 et éclaira la pièce plongée dans le noir afin d'obtenir quelques informations. Heureusement que nous avions l'abri des murs, du moins pour le moment.

yahouuuuuu la trouille...le coeur de matt battait encore à cent à l'heure alors que Il était pour ainsi dire rcouvert de plumes et tremblait. Il avait eu chaud et pas que un peu. bref il serra la clé précedemment ramassée dans sa main et alla dévérouiller un des cadenas à la suite de Rakel. celle ci n'avait pas perdu son sang froid ni rien d'autre d'ailleurs. c'était assez frustrant à voir et en même teps matt l'enviait. Il aurait aimer placer tout de coté le temps de ce suicide collectif.

Pas le temps de s'apesantir davantage que une détonation retentit et que Matt sentit come un pincement à la joue. Une balle! du fond de la salle! L'autre était marteau...il devait y avoir plusieurs tireurs dans la salle completmeent noire a moins que ce ne soit des machines non? sinon comment viser dans le noir? la remarque de Rakel me fit plonger vers le premier mur venu dés qu'elle alluma sa torche du moins. Mais je doutais d'être vraiment à couvert.
T'es sure que on est acouvert quelque part? j'ai l'impression qu'ils tirent tres bien!

Trop bien justement et cela m'inquiétait. pourquoi l'autre fou voudrait il sacrifier d'autres pions? ce n'était pas logique voyons...Non pour matt il n'y avait que eux en humains dans cette piece. Il observait partout afin de déceler quelque chose à la lueur de la torche de l'arme de Rakel et regretta sa propre arme qui possédait elle aussi une lampe. Comme quoi il réagissait toujorus trop vite.

La clé tournée le verrou cédât et peu après l'équipe entra dans la pièce suivante, au grand désespoir de Gwarius. Ils entrèrent dans une salle totalement sombre et silencieuse, du moins jusqu'au moment où un coup de feu retenti et frôla Matt de peu. Le jeune archéologue n'avait pas vu qui avait tiré, mais avait entendu Rakel leur demander de se mettre à couvert contre un mur. Il ne se fit pas prier et se jeta sur le mur le plus proche de la première pièce à toute vitesse, tellement vite qu'il s'y cogna même trop fort et tomba au sol à plat ventre. Gwarius envisagea de se relevé mais après qu'un autre coup de feu retenti il se dit qu'après tout il était très bien couché par terre de la sorte.

Il semblait y avoir deux tireurs de côtés différents de la pièce, Gwarius en voyait même un à travers l'encadrement de la porte. Ils avaient beau être dans le noir cela n'empêchait pas leur agresseur d'essayer de visé la tête. L'engagé Deschain se planqua la sienne sous ses mains, attendant que le déluge passe, puis finalement il sortit son Zat, le plaça devant lui les deux mains dessus et mitrailla l'un des coins de la pièce d'où provenait des tirs d'éclair bleus électriques. S'était mieux que de rester à découvert à attendre de se prendre une balle dans le cuir chevelu après tout. Il n'avait que faire de la règle des Zat qui disait bien de faire attention au second tir qui tuait, Gwarius n'en avait rien à faire de tuer ces tireurs ou non, après tout c'était eux ou lui.

(ok Rakel pas se soucis j'ai edit lol)

Juste moi je suis pas restée dans la pièce noir, un tir suffit je me suis mis à couvert dans l'autre pièce, gardant la porte comme ouverture pour tirer, désolé de ne pas avoir été assez précise

Suzanne n'avait pas pu s'empêcher de fermer automatiquement les yeux quand le coup tiré par Rakel partit vers son baril. Tout comme quand les autres barils explosèrent au dessus de la tête de ses camarades évidemment, mais quand vint son tour, son cœur s'emballa rapidement jusqu'à ouvrir un œil l'un après l'autre, pour constater que seules des plumes virevoltaient autour d'elle. Ouf.

Une fois que les 4 clefs furent en leur possession, il ne leur restait plus qu'à ouvrir cette fameuse porte. Bizarrement, Suzanne ne le sentait pas, mais se garda bien de le dire tout haut, et observa les faits et gestes de Rakel. Il ne se passa pas bien longtemps avant qu'ils aient un aperçu de ce qui les attendait. En effet, bien que la salle suivante soit plongée dans le noir, plusieurs détonations leur donna un rapide résumé de la situation.
Le docteur Rigel ne se fit pas priée deux fois, et suivit illico les ordres, se calant immédiatement contre le mur, à l'abri des coups de feu. Elle agrippa dans un même temps son arme qu'elle avait soigneusement rangé quand était venu le moment de tirer un des barils, et la maintenu en direction du sol, attendant sagement la suite des opérations, ce qui n'empêchait pas son coeur de battre à tout rompre.
Ils ne pouvaient pas attendre ici deux cent ans, il leur fallait agir. Mais ne pas non plus se précipiter dans la gueule du loup … Surtout qu'ils ne savaient pas encore la nature de ces coups de feu. Si c'étaient des choses automatiques ? De réels soldats ? De quel côté étaient-il, du leur ou plutôt de celui du cinglé ?

Maître du jeu Nombre de messages : 375 Date d'inscription : 04/01/2009

Rakel alluma sa lampe de son arme et avertit tout le monde de se planquer pour éviter d'être tué. Chacun fit a sa manière puis Gwarius décida de tirer plusieurs fois a l'aide de son zat dans un des coins de la pièce.

'' Arghhhhh''

Visiblement quelqu'un avait été touché dans le coin. Rakel observa un des coins de la pièce puis elle vit un homme avec un masque qui était armé. Dès que cette personne vit la lumière, il tira un coup en direction de Rakel qui ne put faire le tour de la pièce rapidement avec sa torche. Il semblait maintenant y avoir des tirs que de cette position.

'' VOUS AVEZ TUÉ MON COLLÈGUE... JE VAIS VOUS LE FAIRE PAYER !!! '' cria quelqu'un.

Puis il tira deux autres coup de feu dans le vide souhaitant probablement atteindre quelqu'un au hasard.

Matt se demandait ce qu'il se passait franchement ils n'allaient pas tuer des humains tout de même! misere la voix de quelqu'un leur parvint lorsque gwarius tira...non...eh ben si ce n'était pas des machines ils n'étaient pas les seuls pions de l'autre dingue. Qui tira d'ailleurs apres avoir hurler qu'on avait tuer son ami. Peut etre celui ci était il juste sonné avec des tirs de zat au hasard on ne savait trop rien. Quoi qu'il en soit Matt n'avait aucune envie de tuer des hommes pour parvenir a leur fins ça allait contre les principe de monsieur le chevalier. Aussi il entendit bien fuser deux coups et se planqua comme il le pouvait mais hurla à son tour.

"Mais on vous veut pas de mal! vous avez commencez je vous signale! pourquoi on est obligé de se tirer dessus? on pourrait pas s'entre aider plutôt?"

Bien sur il parlait a l'autre qui voulait venger son copain qui était surement a terre mais quand a savoir s'il était mort c'était autre chose. Sans arme matt n'osait pas approcher de peur de se faire vraiment tuer mais il proposa a l'homme de l'autre coté de la piece.

"Si ça se trouve votre ami n'est pas mort! vérifiez avant de tirer a l'aveuglette! "

Eh ben oui, parlementer avec un fou dans le noir...quoi de plus normal? Rakel devait se dire que vraiment il pétait un cable avec ses tentatives de sauver tout le monde comme d'habitude surtout qu'elle faisait moins de sentiments en général. Mais bon sang on aurait dit des animaux la pas des humains! se tirer dessus pour atteindre l'autre coté ou éviter d'etre tué...vive le jeu. Bref il devait bien se marrer l'autre dingue derriere une caméra a infrarouge planquée quelque part...

Faisant les gros yeux, je me tournais vers Gwarius qui avait tiré sans attendre les ordres. Il se croyait où là ? A la foire ? Franchement je détestais travailler avec des civils qui n'étaient pas capable de se tenir.

"Bordel mais qu'est se que tu fous, on ne tire pas à l'aveuglette comme ça. Continue comme ça et tu ne risque pas de retraverser une seule fois la porte. Négocier quand c'est possible tu connais?"

J'étais folle de rage, voilà qu'il nous forçait à ne pas faire de prisonnier, et d'ailleurs j'en eus confirmation en entendant l'autre beugler, lui jetant un autre coup d'oeil noir à l'archéologue, je lui fit remarquer.

"J'espère pour toi qu'ils n'étaient que deux."

Je poussais un soupire en voyant Matt négocier avec quelqu'un qui nous voyant probablement comme des tueurs. Enfin si il voulait jouer à ça, ok.

"Rendez vous, où nous ne ferons pas de sentiments, nous sommes ici pour remplir une mission et non pour vous tuer mais si vous vous dresser sur notre chemin nous n'hésiterons pas."

J'attendais sa réponse, toujours en sécurité relative derrière le mur. Si il refusait je tirerais en mode raffale avec le P90 dans la pièce, au niveau des genoux d'abord, si j'arrivais à le toucher, il aurait autre chose à foutre que de répondre à mes tirs.

Le docteur Rigel s'était contentée d'observer la scène, le dos collé au mur et son arme dans les mains. Gwarius avait tiré, Rakel l'avait remis à sa place et Matt négociait avec les nouveaux venus, toujours dans le noir d'ailleurs. Son cœur s'était emballé d'un coup quand elle entendit le beuglement de l'un d'eux. Ils n'avaient rien de sympathique en effet.
En entendant Rakel répliquait à nouveau, Suzanne ne put s'empêcher de réagir, sortant de ses gongs :

« Oh oh oh, stop ! Vous êtes qui d'abord vous autres ?
Bordel, tant on est tous dans le même bateau ! Et là on est comme des cons à s'entretuer un par un ! Ce maboule doit bien se marrer devant son écran pardi … On court droit dans son piège là !
On est du même côté les gars, …. on peut peut être même vous aider à soigner le blessé ! »

Ceci dit, elle fit en sorte de ne pas croiser le regard de Rakel après ça. Vu comment elle avait réagi aux actes de Gwarius, elle s'attendait à recevoir à son tour le même style de réponse. Bien qu'elle admirait son sang froid face à la situation, elle n'appréciait pas son côté « on-fonce-tête-baissée ». Si il s'agissait bien de civils de l'autre côté, et que ces derniers ainsi que les membres du SGC continuaient à se tirer dessus sans véritable raison, le tout finirait vite en boucherie totale. Et Suzanne tenait un minimum à la vie pour faire en sorte d'éviter de mourir aussi bêtement. Pour elle, ça ne faisait aucun doute, ils étaient de leur côté. N'avait-on pas dit que le cinglé avait plusieurs victimes à son actif ?
En attendant une quelconque réponse des intrus, ou un quelconque ordre de Rakel, Suzanne se replaça, dos au mur et le regard perdu droit devant elle.
*Faîtes qu'ils soient des nôtres … *

Après s'être relevé pour se mettre à l'abri avec les autres, Gwarius entendit l'un des tireur hurler qu'on avait tué son ami et qu'il allait leur faire payer les funérailles. Gwarius ne pût s'empêcher de sourire en entendant cela, il en avait eu un. Même si une partie de lui-même dans le fond de son esprit commençait à prendre conscience avec panique qu'il avait tué un homme. Mais il n'en avait que faire, pour lui le sentiment de survie passait avant le reste.

Ses yeux s'écarquillèrent quand il entendit Rakel le réprimander pour avoir tiré sans prendre le temps de négocier. Oui c'est vrai, il aurait pu attendre le feu vert, mais en même temps il était dans un tel état de panique qu'il n'y avait même pas pensé, il s'était laissé aller à ses réflexes, de toute façon il ne savait plus si tout était réel ou non, si ça se trouve il allait se réveiller en sueur dans son lit d'une seconde à l'autre...

Puis la rage le gagna, à peine étaient t'il entrés qu'une balle avait sifflé aux oreilles de Matt manquant de peu de lui éclater la cervelle, et maintenant celui-ci ainsi que le reste de l'équipe voulait négocier ? Il roula des yeux et soupira en entendant les autres membre de l'équipe parler. Ses fous les avaient tiré comme des lapins sans sommation, ils n'avaient donc d'autre but que de les tués, et ce avant-même qu'un des leurs tombe. Gwarius avait eu la trouille de sa vie et pour lui pas question de négocier, il fallait en finir avec ses mabouls. Quand Suzanne eu fini de parler il dit à haute voix d'un ton ironique :

-"Hep, pendant que vous y êtes, demandez-leurs s' ils veulent venir à mon barbec' que j'organise samedi soir chez moi, plus on est de fous, plus on rit... à non c'est vrai, ils peuvent pas nous entendres ils sont en train de hurler comme des damés et de nous tirer dessus ! "

Puis, toujours adossé au mur il se mit debout et dit en regardant Rakel :

-"Désolé, on ne négocie pas avec les terroristes, et quand en plus ils sont en train de nous shooter on les défonce ! "

Sur ces mots, il laissa la folie s'emparer de lui et contrôler son corps. Il aurait été dans son état normal il serait resté là, contre ce mur à claquer des dents et attendre que ça se passe, mais là rien à faire. Comme s'il n'était que simple spectateur de ses gestes, Gwarius sentit son dos se décoller du mur et vis ses jambes se déplacer en direction de la porte. Il vit deux bras avec au bout son arme apparaitre dans son champ de vision pour viser le coin de la pièce sombre, et senti ses doigts presser la détente à plusieurs reprises. Il s'entendit même, le visage éclairé par les lueurs électriques des tirs de son zat, hurler :

-"Aaaaaah ! Espèce de lousbeck de mes deux, crève en enfeeeer !!! "

Maître du jeu Nombre de messages : 375 Date d'inscription : 04/01/2009

La tension était a son comble et l'équipe tenta de négocier avec l'homme qui hurlait.

'' Comment croire des gens comme vous alors que vous venez de tuer mon frère. Je vais vous le faire payer, vous et cet imbécile de maniaque qui nous a amené ici. Je sais ton nom espèce d'imbécile et tu m'envoies tes collègues pour nous pulvériser pas vrai monsieur ... ''

Au moment de dire son nom, Gwarius qui perdit le contrôle de son corps tira vers le coin atteignant cette fois-ci l'homme qui hurlait de colère. Puis le silence revint dans la pièce. Rakel éclaira la piece en furie et il était temps de régler des comptes.

Au plafond, il y avait un message en rouge.

UNE CHANCE SUR DEUX DE TROUVER LA CLÉ, SOYEZ COORDONNÉ ET SURPRISE !!!!

Tout ce qu'il y avait dans la piece était les deux hommes au sol dans chacun des coins et la porte avec un verrou.

Matt ne comprit pas la suite..mais il y eut un autre mort, de qui voulait il parlé celui ci? et en plus ils venaient de tuer des compatriotes de galere, matt était sensible et s'attrista de cette nouvelle s'iln'avaient pas été dans une piece close il aurait demandé à les enterrer dignement... La phrase rouge...et matt n'osa meme pas se demander en quoi elle était écrite, lui glaça le sang....la clé? la seule paire de la salle était...les hommes morts, il fallait les fouiller? ah non!!! Il regarda rakel avec un oeil....affolé.

"Si il faut les trouver sur eux je vous laisse faire...je préfere encore les..recouvrir ensuite au moins d'une veste et qu'on se casse vite de la."

Maître du jeu Nombre de messages : 375 Date d'inscription : 04/01/2009

(HRP : Désolé, mais je dois faire au moins un post vu que je dois agir en temps réel et cette fois-ci vos posts sont plus long que les autres équipes, il est temps d'agir )

L'équipe sembla hésitante, l'énigme était-elle trop compliqué, mais quoiqu'il en soit, il n'y avait que 2 corps au sol et il devait trouver une clé. Personne ne bougea et le temps de réflexion était très long quand soudainement, de la fumée s'infiltra dans la pièce. Le temps devait être compté et il fallait agir vite.

Cette épaisse fumée commençca a recouvrir la pièce et il n'était plus possible de se déplacer dans la salle sans avoir a respirer de cette fumée épaisse. Pour pouvoir poursuivre, il fallait prendre une décision rapidement avant de subir les conséquence de l'inhalation de cette étrange fumée. Il fallait trouver la clé sans perdre une seconde.

La scientifique fit la grimace quand elle entendit l'homme dans le noir s'écriait qu'il en avait un peu rien à faire de leurs belles paroles, et qu'à priori surtout, Gwarius venait d'abattre son frère. Et ce n'était pas tout. Ce dernier, dans un même élan, ne laissa pas terminer la phrase du type dans la salle voisine, et … tira de nouveau. Suzanne qui était tout près, hésita à lui sauter dessus pour lui en empêcher, ne comprenant pas du tout son geste. Elle se résilia finalement, et se contenta de se mordre la langue pour ne pas éclater de colère. La mission tournait au n'importe quoi, vraiment. Ils venaient de perdre deux hommes, pour des broutilles …
Elle n'accorda même pas un regard à Gwarius, se précipitant à la suite de Rakel pour constater les dégâts. Il y avait deux corps allongés par terre, et Suzanne perdit vite espoir de sauver qui que se soit. Elle ne vit le message au plafond qu'une fois après avoir jeté un œil à ses coéquipiers, qui avaient tous les nez en l'air. Et ce qu'elle y lit, lui fit froid dans le dos. Elle n'aimait pas le mot « surprise ».
Elle enchaîna ensuite, aussitôt après Matt :

« J'y vais moi. Ça ne me dérange pas, ... »

Elle n'était pas vraiment enthousiaste, et n'espérait juste qu'une chose, se sortir de là et vite. Elle s'avança vers un des corps qui baignait dans son sang, et s'accroupit auprès de lui. A cran, elle sursauta violemment quand de la fumée vint troubler la fête. Ça n'annonçait vraiment rien de bon ! Elle gardait un œil affolé sur la fumée tout en fouillant le corps précautionneusement à la recherche de cette fichue clé. Si elle avait commencé les recherches à l'aide de ses deux mains, elle vint cependant rapidement caler l'intérieur de son coude sur sa bouche et son nez pour éviter l'inhalation, continuant de fouiller qu'à une main.

Matt n'était pas vraiment pour fouiller des gens qui en plus venaient d'etre tués...alors qu'ils n'étaient pas vraiment leurs ennemis, mais Suzanne courageuse y alla et matt pensa qu'il fallait mieux rester groupés. Il suivit alors vers les deux corps soupirant quand soudain une épaisse fumée vint troubler leur jolie fete. Au secours c'était horrible ce truc la. Matt décida qu'il n'y avait plus de temps à perdre. au risque de respirer plus de fumée, il fila vers le deuxieme corps et fouilla avec ses deux mains respirant le moins possible, il n'y voyait rien. Puis finalement il toruva quelque chose ressemblant à ce qu'ils cherchaient.

"Je crois que j'ai trouvé au moins une!"

Il plaqua ensuite sa main sur son nez et sa bouche conscient qu'il avait déja beaucoup trop inhaler cette chose et il commentça a avoir mal à la tête ne se repérant plus vraiment. Il recula de stupeur devant le corps. Qui était ce? un ami ou un ennemi? Les souvenirs lui revinrent mais plus lentement qu'a la normale. Lorsqu'il se rendt compte de son erreur il prévint tout le monde.

"Faut se bouger!!"

Il avait hurlé et s'était dirigé vers Suzanne pour voir ou elle en était pourtant une certaine méfiance naissait en lui...envers tout le monde, il se forçait a penser que ce n'était qu'un effet et ça allait mieux, pour le moment.