Salle de briefing

Une Jepp attendait les agents et leur nouvelle instructrice devant l'entrée de la base. Jasmine avait récupéré un sac à dos qu'elle avait balancé à l'arrière du véhicule. Prenant la place du conducteur, elle indiqua aux autres de s'asseoir.

Le véhicule s'éloigna rapidement de la base pour se diriger vers une route de terre longée par les bois d'un côté et d'un petit vallon de l'autre. La jeune femme roulait à allure modérée tout en expliquant certaines choses aux agents.

"Il y a d'autres bâtiments dans le Massif Central, certains sont réservés aux scientifiques, en effet, l'énergie que dégage la Porte et sa structure même peuvent dérégler les instruments. On a pas encore le moyen d'annuler ça."

La route sinuait entre les arbres, et de temps en temps longeait un ravin pas forcément profond mais qio laisserait à coup sûr des dégâts.

"Alimocitch, il y a également un autre centre d'entrainement, le sergent Gallen m'a dit que vous aviez besoin d'entrainement puisque vous avez repris du service depuis peu de temps."

Une heure de route plus tard, on distinguait, accroché à flanc de colline un groupe petites maisons qui ne semblait pas payer de mine. les bois alentours étaient assez touffus pour dissimuler l'ensemble. On ne pouvait les voir que ce cette route.

Au moment où Jasmine allait prendre un virage, une explosion retentit, juste devant le véhicule, le projetant sur le côté. L a conductrice qui n'avait pas attaché sa ceinture fut projetée et avant que quiconque ne puisse réagir, elle dévala la colline en roulant et disparut à la vue des agents.

Ils n'eurent pas le temps de comprendre ce qui se passait qu'on leur tirait dessus. Et pas au FAMAS, mais avec une arme inconnue qui balançait des rayons d'énergie. S'ils tenaient à la vie, ils avaient intérêt à réagir et très vite.

[Donc
- Jaz n'est plus là
- Son sac à dos lui n'a pas été touché.
- Vous n'avez que ce que vous portez sur vous [Veuillez me l'indiquer par MP sachant qu'aucun de vous n'est passé par l'armurerie, l'infirmerie u les labos.]
- Le tirs viennent des bois.

Have fun !)

L'équipe quitta la base pour rejoindre une autre base consacré aux scientifiques. A bord de la jeep, Mickael regarda le paysage. Tout à coup, une explosion surgit et bouscula le véhicule, la conductrice tomba et glissa le long de la colline. Le groupe se fit attaqué, les tirs viennent des bois. Ce sont des tirs bizarres, on dirait de l'énergie.

Mickael était sous le choc, il ne savait pas comment réagir. Il saute du véhicule et se cacha derrière. Les tirs passaient très près de lui, le stress monta en lui, la peur de la mort. Il cherche une idée, il ne trouva rien d'intéressant, il demanda à ses coéquipiers.

"Qu'est ce qu'on fait? C'est qui eux?"

[HRP] Désolé j'avais mal compris.

Sergeï avait suivi le groupe pour se retrouver dans une jeep en direction d'autres structures appartenant au programme "porte des étoiles". Le sergent s'était appremment bien informé sur leurs cas.

"En effet, j'aurai bien besoin d'une remise à niveau pour ce programme."

Sergeï observait le paysage. Il n'avait jamais était dans cette partie de la France. Mais c'était ce qui ressemblait le plus à son pays natal. Ce paysage lui rappellait tous les bons moments qu'il avait vécu en Russie.

Mais il revint à la réalité lorsque l'explosion retentie. Il s'accrocha à la voiture pour ne pas être éjecté et il eut à peine le temps de voir le sergent se faire éjecter de la voiture et disparaitre de sa vision.

Ils essuyaient maintenant des tirs ennemis. Mais le russe fut surpris par ces projectiles. En effet, les armes enneis ne tiraient pas des balles mais des sortes de boules d'énergies.

"Quelqu'un sait avec quoi on nous tire dessus?" hurla t-il en allant se mettre à couvert dérrière le véhicule.

Il retrouva alors Mickael qui semblait ne pas savoir quoi faire. Après tout, c'était lui le seul réel militaire ici. En plus, les commandos avaient l'habitude de faire face à de telles situations. Il fallait d'abord se mettre à couvert pour pouvoir examiner la situation et savoir l'importance de la menace.

"Mickael essayez de voir d'où viennent les tirs et savoir qui sont nos ennemis. Je vais voir si je peux trouver le sergent instructeur. Benjamin trouvez nous un moyen de riposter."

Il avait l'habitude de donner des ordres et ça ne le dérangait pas de devenir leader du groupe. Il sortit de sa cachette en rampant et se dirigea vers la pente de la colline pour tenter d'apercevoir leur instructeur. Il sentait les tirs passer juste au dessus de lui. Ils devaient faire vite s'ils voulaient s'en sortir. Il prenait pour lui la réussite ou l'échec de cette mission et la responsabilité de la vie de ses deux coéquipiers.

Benjamin était intrigué et avait hâte de découvrir les installations dont parlait le sergent. Mais la visite ne se passa pas comme prévu et alors qu'une explosion retenti, il se baissa instinctivement pour se protéger. Il senti la voiture se déporter hors de la route et lorsqu'il se releva, l'instructeur avait disparu et il put entendre ses camarades criaient. Il sauta hors de la jeep pour se mettre à l'abri avec ses coéquipiers.

*Dans quoi je me suis encore fourré moi. Je pourrai être tranquillement dans mon bureau à continuer mes recherches plutôt que d'essuyer des tirs de projectiles inconnues, perdu au milieu d'un bois.*

D'un autre coté, c'était aussi pour vivre des choses nouvelles qu'il s'était engagé dans ce projet. Il était paniqué mais en entendant les ordres donnés par le militaire, il comprit qu'il devait se ressaisir. Comment trouver un moyen de riposter alors qu'ils n'avaient pas eu le temps de passer par l'armurerie du SGC?

Il vit ensuite le soldat Alinovitch partir en direction de la falaise et essuyer les tirs ennemies. Il devait faire vite s'il voulait s'en sortir. Il regarda alors autour de lui. Ils étaient entouré d'arbres et il n'y avait absolument rien qui puisse les aider dans cette situation. Il regarda alors à l'intérieur de la jeep en prenant soin de rester hors de portée des tirs ennemies.

Il trouva alors le sac qu'avait emmené le sergent instructeur. Mais il serait dur de l'atteindre. Heureusement les tirs se concentraient sur Sergeï et il parvint à se glisser dans la voiture et à extraire le sac. Il se remit à couvert et fouilla le sac à la recherche d'objets intéressants.

[HRP : ce que vous portez sur vous est validé. Pauli comme je n'ai rien reçu je considère que tu n'as rien dans les poches.]

Les réactions à l'attaque furent aussi diverses que logiques. Paulii se planque, Hun fouille et Alimovitch donne des ordres en bon militaire entrainé qu'il est. Mickael lui après moult hésitations de peur de se prendre un mauvais tir, réussit quand même à déterminer que les assaillants étaient à couvert, au dessus de leurs têtes sur la pente de la colline. Mais il était trop apeurée pour déterminer correctement la distance. De plus les arbres cachent les adversaires

Benjamin lui jouait les pillards de sac à dos. Dans celui de Jaz, il trouva une paire de jumelles que le choc avait un peu abimées, un couteau de combat, une couverture, une ration de survie... et c'est tout. Pas de quoi tenir un siège donc et encore moins riposter.

En face, les tirs se faisaient de plus en plus précis. Il fallait sérieusement songer à se mettre à couvert. Sergei doit donc renoncer à partir à la recherche de Vayl pour sauver ses miches. Les bois feraient sans doute une bonne cachette, même si cela signifiait aller au devant de l'ennemi.

Spoiler:

Les installations sont dans ces bois, on peut apercevoir le toit de l'une d'entre elle, assez discret.

[HRP : à partir de maintenant, vos êtes livre de poster et interagir entre vous. Tant que je ne poste pas pour faire avancer l'intrigue, vous pourrez agir.]

Ivan avait été convoqué pour commencer sa nouvelle vie au sein du SGC. Sauf que cela débuta par un entrainement. Un instructeur lui fila une boussole, une carte, un couteau, un FAMAS vide de toutes munitions, un couteau de combat, un sac à dos, avec un poids de 10 kgs représentant un artefact extraterrestre à ramener et ne pas perdre, une trousse de premier soin, deux rations de combats.

Sa mission, une simple simulation : Son groupe avait été décimé, il devait rejoindre une installation scientifique à quelques kilomètres et ce 15h, car une autre équipe SG serait dans les parages pour l’attendre… La porte de retour étant symbolisée par une installation scientifique.

Le soldat prit les affaires et partit, après 2h40 de marche, il arrive à proximité quand il voit un groupe d’agent prit à parti par des… Goa’Uld qui leur tire dessus avec des armes laser. En regardant la situation, ivan comprends vite le problème.

Les goa’uld se trouvaient pile entre eux et l’installation à atteindre pour réussir l’exercice. De plus, certains gars en armures Goa, commençaient à bouger, tandis que d’autres continuaient leur feu nourrit, essayant surement de prendre à revers le groupe. Il fallait aider le groupe SG, trouver un abri sur et sur sa gauche un bois qui pourraient faire l’affaire s’ils ne se faisaient pas tirer comme des lapins durant un sprint, et tenter de rejoindre tous ensemble la « porte ».

Plan Position

Encore un entrainement... Décidément, malgré tout ce baratin qu'il y avait eut "nous ne prenons que les meilleurs" ou encore "nous défendons l'univers de vilains méchants pas beaux dont il n'avait rien compris au nom" ne restait que des tests... Bon il fallait dire que ça occupait un peu les journées... C'était en tout cas déjà bien mieux que ces cours théoriques sur le fonctionnement de la porte qu'il avait assimilé à "La télécommande et la télévision, tu appuis sur les boutons et ca change de chaine". C'était quand même à croire qu'ils le prenaient pour un simple novice, recruté à la va vite...

Marche course de plusieurs kilomètres avec un pids de 10kg et une arme... Oui c'était même plus léger que l'équipement qu'il aurait tout les jours sur lui lors des départs en mission ! En gros un simple petit jogging en pleine montagne à écouter les oiseaux chanter...

Des cris et des tirs de projectiles... Ces bruits attirèrent son attention alors qu'il continuait à avancer le long d'une ligne de crête. En contrebas un groupe ami pris à partis et immobilisé par un tir de suppression d'armes à energie. L'ennemi situé à couvert d'un petit bois, faisant un feu nourri sur eux, tandis qu'un autre profitait de ce tir pour essayer de le contourner...

Il y avait deux possibilités : Intercepter le groupe qui contournait, donc se faire repérer et se faire mettre à terre. L'autre était de neutraliser le groupe de tir de suppression pour permettre à l'équipe SG d'évacuer vers la base.

Pas de liaison radio, donc impossible de signaler sa position discrêtement, il devrait donc agir et ensuite faire passer le signal pour qu'ils puissent le rejoindre pour évacuer. Il avançait discrêtement mais rapidement et baissé vers le groupe de "jaffa" qui effectuaient le tir de suppression, profitant des bruits provoqués par les lances serpent pour couvrir ceux de ses pas... Si eux ils avaient eu l'idée de contourner, lui il ferait pareil, la différence était qu'il était seul... Bon, dans le dos ca serait plus simple pour lui... Et si l'exercice le lui permettait, les forcer à se rendre... Ils auraient pu au moins fournir une arme d'air soft... Avec les moyens qu'ils avaient pour faire tourner cette base... Mais le faire serait du suicide pur et simple, vu la zone à découvert qu'il fallait traverser, de même que rejoindre le groupe pris à partis. Il devait faire cavalier seul.

Il s'allongea dans les herbes hautes, observant la situation. De la ou il était, il ne pouvait pour le moment rien faire. Il fallait voir comment les choses évoluaient.

[Edit : Merci pour la carte stratégique.]

Sergeï revint se mettre à l'abri derrière la jeep. Malheureusement, celle ci commençait à accuser le coup des nombreux tirs ennemis. Il fallait bouger. Rester à la même position permettrai aux ennemies de trouver une nouvelle stratégie pour les avoir.

Le russe observa les différentes possibilités. Il y avait un bois derrière eux qui aurait était idéale pour se cacher et semer leurs opposants, mais le commando avait trop de fierté pour fuir l'ennemi. En plus s'ils s'étaient attaqué à eux, ils devaient en avoir après le SGC. Ce n'était donc pas la bonne solution.

En regardant autour de lui, il vit le toit d'un bâtiment dépasser des bois situés devant eux sur la colline. C'était surement les installations scientifiques dont le sergent instructeur leur avait parlées. S'ils parvenaient à arriver jusqu'à ces bâtiments, ils seraient à l'abri des tirs et il y aurait surement un moyen de contacter le SGC ou de trouver des armes.

Il se tourna alors vers les autres pour leur expliquer son plan.

"Ecoutez moi. Je crois avoir une idée. Sur la colline à 11h, il y a un bâtiment. Je pense qu'il s'agit des locaux scientifiques dont on nous a parlé. Si on arrive à y aller, on devrait s'en sortir. Le seul problème est que pour l'atteindre, il faut traverser une partie à découvert. En plus on va droit sur l'ennemi. Mais ça reste pour moi la meilleur solution. Qu'est ce que vous en pensez? Est ce que vous avez une idée de comment s'y prendre?"

Sergeï attendit alors les réponses de Benjamin et Mickael avant de passer à l'action.

Benjamin était paniqué et perplexe. Il avait écouté le soldat Alinovitch et son plan. Mais aller au devant de l'ennemi était suicidaire.

Il regarda alors par dessus la voiture et vit que les goa'ulds s'étaient séparés en deux groupes. Un des groupes continuait de tirer pendant que les autres essayaient de contourner la position tenue par Benjamin et ses coéquipiers.

"Ils essayent de nous encercler!"

Ils devaient agir rapidement s'ils voulaient se tirer de ce piège. Finalement la solution du russe devait être la meilleure. Après tout, il savait ce qu'il faisait. Mais comment rejoindre les bois de la colline sans se faire tirer comme des lapins?

"La distance à couvrir à découvert n'est pas si grande. Je pense qu'en courant on devrait y arriver sans se faire toucher. Une fois dans les bois on devrais y être à l'abri des tirs."

Cette solution était un peu suicidaire. Mais c'était selon lui et Sergeï la seule possible. Il sortit alors du sac le couteau de combat et le montra au russe.

"Est ce que ça pourrait vous servir en cas de combat rapproché avec les goa'ulds?"

Après tout, ils devaient mettre toutes les chances de leur coté.

Tandis que le groupe Mickael, Sergeï et Benjamin, se triturait les méninges, Ivan lui observait, pensant ne pas être vu. Il remarqua différentes choses, d’une part il n’y avait que 2 bonshommes en armure Jaffa qui tiraient nettement à côté de la P4. Semblant faire exprès de ne pas toucher l’engin. Avec eux, des soldats en tenue commando neige, qui allait si bien avec le temps qu’il faisait. Portant des gilets fluorescents, marqué d’une cible. Sur la droite de la Maison, assis sur une chaise d’arbitre de tennis avec un drapeau de la croix rouge, quelqu’un qui observait tout à la jumelle, et semblait noter les agents et leurs réactions. Tandis qu'une jeune femme postée prêt de la chaise observe également à la jumelle.

Dans l’esprit du soldat, ce ne fit qu’un tour, ils étaient en plein exercice, le but pour l’équipe atteindre la maison, qui symbolisait surement la porte des étoiles et « rentrer », avec en plus pour Ivan, revenir avec l’artefact qu’il avait dans le sac. Lorsqu’il releva la tête, un tir de lance serpent explosa à quelques mètres, prouvant qu’il était « repéré ».

Alors que Benjamin tend un couteau à Sergeï, des plocs plocs métalliques se font entendre sur le capot de la jeep, alors que rebondissent joyeusement deux grenades bleues et atterrissent entre les deux. Plus le temps, les tirs des Jaffas ne se faisaient plus entendre, il était temps de partir… Ils se mirent à courir vers les bosquets... Derrière eux, deux explosions, recouvrant l’endroit où ils étaient et une partie de la P4, de plâtre blanc. Sergeï sourit à la vue de ceci prouvant au soldat qu’il était en entrainement. Personne n’utiliserait de grenades à plâtre en réel… Et surement pas des Jaffas ou autre entité extra terrestre.

Ivan sent son heure arrivée, alors qu’un tir explose à quelques centimètres devant lui… Tir mal cadré, envie de le déloger ? Voyant les autres courir vers sa droite, il se décide à les rejoindre… Pensant qu’à plusieurs ils auraient plus de chance, et peut-être que les autres avaient plus de renseignements. Courant lui aussi, il regarde furtivement vers le groupe de « Jaffas » chargé de les encercler… Entends et voyant des chiens avec eux, qui aboient…

*Ca va tourner à la chasse à l’homme ce truc !* Pense t’il..

Le groupe se rejoint à l'interieur des bois à quelques mètres seulement de l'orée, s'offrant une relative sécurité. Pas vraiment le temps de faire les présentations. Il fallait agir vite, sous peine d’être capturé, et si l’entrainement finissait par ce résultat, sûr qu’ils allaient déguster. Qui sait un interrogatoire mode Goa, suivit par une engueulade de première. Ivan se souvint avoir vu une large rivière au Sud est de leur position à environ 2 ou 3 km... Et au milieu, une petite ile arborée et touffue. Idéale pour se planquer et préparer un plan.. Et surtout les chiens ne renifleraient pas leur odeur et si les Jaffas jouaient leur rôle à fond, ils ne traverseraient pas. Du fait de leur armure trop lourde et empêchant la nage.

HJ : Vous êtes en groupe.

Et ça discute et ça discute... Jusqu'à évidemment se faire déloger à la grenade visibles par deux explosions blanches de grenades à platre d'exercice. Evidemment à rester trop longtemps au même endroit on finit par agacer son adversaire qui va utiliser des moyens plus lourds pour motiver ses cibles à déguerpir, ce qu'elle faisaient généralement.

Ivan avait observé les environs... Des obsevateurs aux jumelles hein, avec un poste de secour, en cas de blessé... Ils ne tiraient pas avec des jouets en face... Au moins une chose était sûre : Il n'avait pas intérêt à se faire toucher. Un tir s'écrase à quelques mètres de lui, soulevant la terre sous l'impact. Puis un second encore plus proche. Il était repéré à son tour, les deux espions aux jumelles ayant sûrement balancé sa position par radio. Il commença à reculer doucement en rampant, sous le feu hostile pour se mettre à couvert avant de se relever et de décamper vers les bois...

Des chiens... Il détestait ces bêtes là, que ce soit pour la traque, ou pire encore : pour l'attaque ! Ils avaient le don d'agacer le soldat qui en avait de très mauvaises expériences.
Pendant qu'il pestait intérieurement un tir le frôla. Sûrement un raté qui était passé tellement proche qu'il aurait pu lui faire un second trou du cul...

Il pénétra dans le bois, qui maintenant le protégeait des tirs devenus plus sporadiques qui s'écrasaient sur la protection végétale, rejoignant le petit groupe dirigé par le Russe, auquel il s'adressa sans autre forme de procès. Il s'accroupit derrière un arbre, arme sur les genoux pour commencer ses explications. Reprenant son souffle après son sprint.

"2 types vous arrosaient depuis des positions abritées, appuyés par des commandos en tenue de camouflage. Nous avons deux observateurs, un visiblement pour les secours et un autre qui semble leur balancer nos positions." Il reprit son souffle "D'autres clown en jupette essayaient de vous contourner, aidés par des clébards pour nous pister." Il n'attendit même pas son avis sur la question. "Il y a un cours d'eau à quelques pas d'ici. J'espère que vous savez tous nager et que vous n'êtes pas frileux. On va faire trempette."

Il avait instinctivement donné des consignes et pris la tête du petit groupe, étant bien plus informé qu'eux, il était naturel qu'il le fasse. Il commenca à se diriger vers le cours d'eau, avant de se retourner pour vérifier que les 3 larons le suivaient bien.

"Il ne faut pas traîner ! A moins que vous ne vouliez servir de steack à leurs clebs !" Il tilta enfin "Au fait, vous avez des munitions ?"

Alors qu'il parlait avec Benjamin, Sergeï entendit un bruit qu'il connaissait bien: le rebond d'une grenade sur du métal. Il hurla alors au deux autres de courir vers les bois. Sans attendre, il piqua un sprint jusqu'à être à couvert dans les bois. Heureusement ses deux coéquipiers l'avaient suivi.

Il se retourna alors vers la jeep, étonné de ne pas avoir entendu d'explosion. Il vit alors que les grenades n'étaient que des armes d'exercices. Un petit sourire en coin se dessina sur son visage.

*J'aurai dû m'en douter. Je suis vraiment trop con.*

Il vit ensuite un soldat arriver. Il comprit rapidement que c'était une nouvelle recrue en exercice comme eux. Il leur expliqua la situation et leur proposa un plan pour éviter de se faire avoir. Il était normal qu'il prenne les devants puisqu'il était le seul à connaitre la situation.

Le russe suivit alors le soldat qui était partie en courant vers le cour d'eau. Il fut soulagé de voir que le nouveau avait une arme. Mais lorsque Sergeï l'entendit demander des munitions, il comprit que cette arme serait inutilisable.

Ils arrivèrent rapidement à la rivière. On pouvait entendre les aboiements des chiens qui les poursuivaient. Le russe ne chercha pas à savoir la température de l'eau. Il plongea et nagea en direction de l'île située au milieu de ce cour d'eau. Ici ils seraient tranquilles.

Le groupe se mit à courir dans la direction indiquée. Au loin des voix se firent entendre au dessus des aboiements… En prêtant attention ils purent ou crurent entendre :

« Rendez… Artefact… Dormir au chaud… Soir… »

La course dans la forêt épuisa les agents. Après 2 kilomètres de course effrénée, de sensation d’être rattrapé, ils arrivèrent devant la rivière. Une fine couche de glace la recouvrait sur les abords. Preuve qu’elle ne devait pas être très chaude. Un à un ils entrèrent dans l’eau et furent saisie de suite par le froid… La traversée ne leur prit que 10 minutes, et l’eau ne leur arriva jamais au dessus du bassin. Entrant dans les fourrés de l’ile, ils se cachèrent et attendirent.

En face, sur les berges, deux agents, fumant une cigarette, passèrent, sans prêter attention à l’ile. Il était 16h22, le soleil n’allait pas tarder à se coucher. La température descendre encore, et leurs vêtements mouillés accentuer le phénomène d’hypothermie.

**** HJ ****
Je vous laisse jusqu'à dimanche soir pour établir un plan, ici ou ailleurs.
***********

Sergeï avait oublié la sensation très désagréable de l'eau gelée. Pourtant il y avait été habitué durant tous ses stages commandos dans les steppes gelés de Sibérie. Une fois arrivé de l'autre coté, il vérifia que tout le monde était présent. Il s'arrêta un moment pour reprendre son souffle avant de réfléchir à la situation.

Deux soldats passèrent sur la rive de l'autre coté de la rivière. Ils ne semblaient pas les avoir remarqués. Faisaient-ils aussi parti de cet entrainement? Si c'était le cas alors ils ne savaient pas où chercher. Ce qui était plutôt une bonne nouvelle.

Il devait agir vite avant que la nuit ne tombe et accentue la sensation de froid. Pendant leur fuite, il lui avait semblait avoir entendu un des soldats parler d'artefact et de dormir au chaud.

"Dis le nouveau, t'es au courant de ce dont parlait le soldat quand on est parti ?"

Le russe réfléchi à la situation. La donne avait changée. Ils étaient maintenant quatre dont deux militaires. Il serait donc plus facile d'atteindre les bâtiments. Mais pour ça, ils devaient trouver un plan.

"Est ce que l'un d'entre vous a une idée ou un plan pour ce tirer de cet exercice?"

Leur treillis était trempé, accentuant la sensation du froid mais aussi le risque d'hypothermie, surtout qu'il faudrait y retourner pour quitter l'ilot. Bon déjà c'était mieux que rien, il s'était préparer à nager directement, avec de 'leau jusqu'au coup avec ses poids qui l'entraineraient au fond.
Les soldats de l'exercice en avaient visiblement aussi après l'artefact factive qui lui avait été confié, bref... Que du bonheur...

L'autre militaire l'avait suivit sans poser de questions, ni rien... Il ne manquerait plus qu'il se retrouve obligé de prendre la tête de cette unité pour les sortir de là... Ce n'était pas sa mission à l'origine, mais bon, rien ne les empêchait de d'accomplir les leurs sans gêner l'autre tout en s'accompagnant.

Des soldats passèrent sur la rive, ne les voyant clairement pas... Puis quelques minutes passèrent ou l'autre soldat, venant visiblement des pays de l'Est de par son accent parla, il ne répondit pas à la première question, qui concernanit visiblement l'artefact factice... Oui il fallait réfléchir à une porte de secour... Ivan sortit la carte plastifiée qui lui avait été confiée et l'étala en centre du cercle que les hommes avaient formé. Consultant la carte en silence avant de parler.

"Nous sommes ici" Il désigna l'ile sur la carte "Et je dois aller là" il fit de même pour sa destination. "Je suppose que c'est aussi votre point de retour."

Il suivit le chemin de la rivière du regard pendant quelques instants.

"Ils ont sûrement des patrouilles sur les berges et si nous sortons par là ou nous sommes rentrés on se fera attraper comme des bleus. En suivant le cours de l'eau on s'éloignera un peu de l'objectif mais on pourra contourner plus facilement leurs positions, avec un peu de chance on passera hors de leur périmètre d'observation et de leurs patrouilles." Il fit une pause "Après je dois dire que je préfère nettement leur rentrer dans le lard, piquer leurs armes et faire joujou avec pour leur botter le cul et leur apprendre à nous faire faire que des exercices. Mais si on en tue un, ca fera tache... Et ce n'est sûrement pas ce qu'ils recherchent"

Il regarda la berge d'un air distrait.

"Ca peut marcher mais ca sera dur et froid. Vous êtes prêt à me suivre ? A moins que vous ayez mieux..."

Benjamin avait eu du mal à suivre le reste de l'équipe durant leur repli vers l'île. Il avait fermé la marche et avait pu entendre un soldat crié. Il n'avait pas tout comprit mais ce qu'il avait entendu suffisait.

Au moment de traverser la rivière, le scientifique fut impressionné par la volonté des deux militaires.

*Ces mecs là sont des malades!*

Lui il avait hésité beaucoup plus. Mais en pensant aux soldats qui les poursuivaient, le choix fut facile à faire. Une fois arrivé sur l'île, Benjamin était complétement gelé. Il n'avait pas pour habitude de se baigner habillé dans des rivières en plein milieu de l'hiver. Il essaya de se rechauffer en frictionnant ses jambes mais c'est vétements mouillés n'étaient vraiment pas l'idéal. Il devait donc réflechir à un plan rapidement, avant que la nuit ne tombe.

Soudain il se rappela des paroles du soldat ennemi. Visiblement le russe l'avait entendu aussi et si le nouveau savait de quoi il s'agissait, il ne voulais pas en parler.

Ivan sortit ensuite une carte des environs et expliqua son plan. Eux aussi avaient essayés de se diriger vers ce batiment sans succés. Le plan du militaire semblait raisonnable, si on oubliait son envie de foncer dans le tas et de tout massacrer.

"Contourner l'ennemi me semble être la meilleure option. Il faut absolument éviter le contact, on n'est pas équipé pour combattre, sauf votre respect messieurs."

Il regretta alors ces paroles. Il avait peut être vexcé les deux militaires et il ne voulait pas se les mettre à dos en pleine mission.

La nouvelle équipe avait donc décidée d’un plan. A la nuit tombée, ils reprirent le chemin inverse. Repassant par la rivière, ils ne sentaient plus leurs doigts, et avaient l’impression d’être gelés. Leurs vêtements n‘avaient pas eut le temps de sécher qu’ils étaient déjà remouillés.

Passant par l’Est, ils commencèrent à contourner leur objectif. Aucun bruit sauf les bruits de la forêt. Il semblait que les « Jaffas » avaient désertés les bois. Il faisait surement trop froid pour eux. Au bout d’une demi-heure de marche silencieuse, le soldat de tête s’arrêta. Devant lui à 25 mètres, il voyait le bout incandescent d’une cigarette. En tendant l’oreille, deux voix… Non trois…

S’approchant de quelques mètres, ils virent clairement les trois soldats arborant le gilet fluo sur leur veste camouflée qui devait être bien chaude, et aucunes armes apparentes. Ceux-ci parlaient sans véritablement faire attention aux alentours, et en écoutant avec plus d’attention, ils parlaient du dernier match du championnat de France de foot...

Faire un détour aller surement retarder les agents, et à 4 contre 3 cela semblait jouable, bien que leur état physique laissait à désirer face à des « Jaffas » qui eux n’avaient pas souffert du froid, du gel…

La deuxième traversé de la rivière fut encore plus pénible. La température avait bien baissée et maintenant ils étaient complètement gelés. Tout en marchant Sergeï bougeait les doigts et les orteils pour éviter l'engourdissement. La marche était pénible et ils n'avançaient pas aussi vite qu'il le faudrait.

Au bout d'une demi heure de marche, le groupe s'arrêta. Il y avait une présence ennemi à une trentaine de mètre. Dissimulés par les bois et la nuit tombante, les quatre membres du SGC purent se rapprocher suffisamment pour voir les trois soldats.

Sergeï observa la situation et comprit rapidement qu'ils ne pourraient éviter la confrontation. Ils avaient l'avantage du nombre mais deux d'entre eux n'avaient pas suivit de formation militaire. Pourraient-ils à deux se défendre face à un militaire entrainé? Le russe réfléchit rapidement à une façon d'agir et exposa le plan à ses coéquipiers.

"Bon, le soldat Naughart et moi même pouvont nous occuper de deux soldats, un chacun." dit-il à voix basse. "Hun et Pauli je pense qu'à deux vous devriez pouvoir neutraliser le troisième non?"

Sans attendre de réponse des deux scientifiques, il continua:

"Il faudra être synchro. Naughart, contourne les par la droite et occupe toi de celui qui a la clope. Moi et les deux scientifiques, on va passer par le bois à gauche. Avec l'obscurité, ils ne devraient pas nous voir arriver. En comptant avec l'effet de surprise, ça ne devrait pas être trop dur de les avoir. Ça vous va?"

Le russe attendit les réponse de ses camarades pour voir si l'un d'entre eux avait un problème ou une meilleure idée.

Le froid était l'une des choses les plus agressives existantes, souvent plus dangereux que les balles elles même puisqu'il pouvait tuer lentement mais sûrement en handicapant peu à peu l'organisme...

Contourner les positions ennemies n'avait pas été trop difficile, après tout même si c'était quelque chose de logique, passer par la rivière était un acte complètement suicidaire et inconscient à cause de la température extérieure. Autant se balader a poil dans un blizzard, c'était plus intelligent... Le chemin avait été longue, le froid avait bleuit ses lèvres et il avait du mal à conserver ses sensations aux extrêmités... Heureusement que ses rangers étaient assez imperméable pour que l'eau à l'intérieur ne se renouvelle pas, se frottant régulièrement les cuisses et les avant bras en silence pour se réchauffer. Il fallait qu'ils changent de fringues, et vite...

Ils touchaient maintenant au but : Trois hommes en face d'eux, en tenue commando grand froid et avec leurs gilets fluos, ceux qu'il avait vu plus tôt dans la journée aux côtés des tafiolles en jupettes en métal, qui prenaient leur pause, fumant leur clope en discutant du dernier match de football. Le russe voulait leur régler leur compte. Oui ca convenait parfaitement à Ivan qui prendrait sa revanche. En essayant de ne pas leur casser les dents...

"On leur pique leurs fringues et on se fait passer pour eux, l'un de nous restera sans tenue et sera un "prisonnier" si l'on se fait repérer" répondit-il au russe à voix basse "Et on les laisse à poil dans la neige ! Ca leur fera les pieds"

Il prit son arme en main

"Au pire on peut toujours tenter le bluff avec ça et la crosse les enverra au pays des songes. J'attends votre signal."

Il n'avait de toute manière pas d'autre plan pour les neutraliser que de leur tapper dessus jusqu'à ce qu'ils se rendent. Et ca le défoulerai... Il fit son petit tour, discrêtement, n'hésitant pas à ramper par endroits ou la couverture était trop faible. Une fois en position il fit un signe de la main au russe lui indiquant qu'il était prêt.

Spoiler:

Benjamin détestait le froid et repasser par cette rivière était vraiment un supplice pour lui. Tout le long du chemin, il essayait de frictionner ses membres pour se réchauffer mais cela n'était pas très efficace. Marcher en devenait pénible et il s'essoufflait plus rapidement. Lorsqu'il s'arrêtèrent au bout d'une demi heure, Benjamin comprit qu'ils étaient tombés sur des soldats.

Les deux militaires parlèrent d'un plan pour les neutraliser. En les écoutant le scientifique fut choqué. Ces gars étaient des malades et les imaginer avec des armes à feu fit peur à Benjamin. Mais il prit son rôle dans le plan au sérieux et se prépara à se battre. Après tout à deux contre un ils devraient s'en sortir. Surtout qu'une fois que les deux militaires en aurait finit, ils pourraient venir les aider.

*Bon qu'en faut y aller, faut y aller* pensa t-il en soupirant.

Il suivit alors le russe en imitant sa démarche pour essayer de ne pas se faire repérer. Ils arrivèrent en position. Benjamin était caché derrière un buisson à environ cinq mètres de sa cible. Pauli était avec lui tendit que Sergeï s'était positionné à coté de sa future victime et le scientifique put voir le nouveau en face de lui.

En attendant le signal, Benjamin réfléchit à la stratégie à adopter. Il avait décidé d'attaquer les jambes de son adversaire afin de le faire tomber et ensuite il se jetterait sur lui et avec l'aide de l'autre scientifique, ça devrai bien se passer. Son coeur s'emballa tendit qu'il se préparait à passer à l'action.

Le groupe se répartit les taches, et objectifs.

En s’approchant ils firent attention à ne pas éveiller les soupçons en faisant un quelconque bruit. Il faisait nuit noir, et seul perçait le bout de cigarette. Un des jaffas toussa, tandis qu’un autre dit : « …Vivement qu’on rentre on se les pèle !».

A quelques mètres, l’un des scientifiques fit malheureusement craquer une branche.

Les trois « Jaffas » se tournèrent vers le bruit, tandis que les agents fondirent dessus, ne laissant que peu de chance au soit disant jaffa…


HJ : Rp libre :
* Au final : les 3 Jaffas finissent au sol, sans opposer une réelle résistance.
* Sur les Jaffas, aucunes armes, un talkie walkie.
* Postez également ce que vous faîtes ensuite (par rapport à votre plan initial).

HJ : Sylvestre Holmes nous rejoint, nous allons donc faire "comme si" il était là depuis le début avec le groupe de Sergueï/Benjamin

Ils étaient tous en place, même les "tubes a essais" avaient essayé de s'y mettre correctement, l'un d'eux attira l'attention sans le vouloir, offrant une belle ouverture à Ivan et au russe qui en profitèrent pour prendre l'avantage.

Sa cible n'avait pas posé de véritable résistance, bon il n'avait pas vraiment eut l'air étonné de s'être pris un coup de crosse dans la tronche alors qu'Ivan le sifflait pour qui regarde un peu par la ou ca allait venir, manquant par la même de lui faire gober sa clope, le tout accompagné par un coup dans le genoux pour le faire flancher et le forcer à se mettre au sol pour qu'il se rende sans opposer plus de résistances... Certains entrainements étaient bien pires que ça lors des classes. Il se retrouva sur le dos, les deux mains en évidence avec un Ivan debout face à lui, se tenant sur ses appuis en cas de contre attaque et le tenant en joue avec son arme déchargée, malgré les tremblements impossibles à contrôlé causés par le froid.

Le russe avait lui aussi fait qu'une bouchée de son inoffensif à neutraliser, l'homme se laissant maintenant faire... Quant aux "tubes à essais" dont ils étaient les nounous, ils avaient réussis tant bien que mal a le mettre par terre, a les comparer on aurait dit de véritables gosses qui jouaient a la bagarre avec quelqu'un de plus fort qu'eux... Limite un par jambe et par bras pour le maintenir au sol...

"Aller, a poil."

Le soldat au sol le regarda avec de grands yeux.

"Tu es sourd ? Déshabille toi ! A poil ou je t'offre un aller simple pour le pays des rêves et tu finira a poil de toute manière."

Le soldat semblant refuser, ne bougeant pas d'un poil, il se reçut un joli coup de crosse sur le front, pour le décider à obéir. Il laissa le soldat se débarrasser de son pantalon et de sa veste grand froid avant de lui faire signe d'arrêter. Ivan récupéra le tout, sans vraiment se faire prier... Au moins aucun des deux ne crèverait de froid et avec ça il serait beaucoup plus discret. Au pire ils pourraient feinter et se faire passer pour l'un d'eux.
Il entreprit d'échanger les vêtements, lentement mais sûrement, gardant en respect sa "victime", le temps du changement, utilisant une main pour tenir l'arme et généralement un de ses genoux le temps que l'autre s'occupe de changer les vêtements sous le regard étonné de ses compagnons.

"Faites pareil si vous ne voulez pas finir en glaçon et passer le reste de l'hiver au frais. On choppera les prochains pour ceux qui n'en ont pas. Au pire on vous portera avec votre l'amis ruskov, mais évitez de vous endormir et restez en mouvement permanent pour vous réchauffer, même à poil vous aurez moins froid qu'avec des fringues mouillées"

Il était d'un calme a faire peur, comme si pour lui c'était normal de piquer les fringues d'un mec, comme ça sans se soucier de son avis...

Le russe était accroupi dans des hautes herbes, se rapprochant de sa cible en silence. Lorsque l'un de ses camarades scientifiques se fit repérer, il courut dans le dos de son adversaire et parvint à l'immobiliser avant q'il ait eu le temps de se retourner. Il étrangla son opposant et le jaffa s'endormit rapidemment, privé d'air.

Il regarda autour de lui et s'apperçut que le nouveau avait neutralisé sa cible facilemment et était entrain de lui ordonner de se déshabiller. Le russe sourit en regardant cette scène. Quant aux aux scientifiques et à l'archéologue, ils avaient réussi tant bien que mal à se débarasser de leur adversaire.

Il fallait maintenant se changer mais il n'y avait que trois gardes alors qu'eux étaient cinq. Sergeï était surement l'un de ceux qui supportaient le mieux le froid vu qu'il y était habitué depuis son enfance et les autres tiendraient surement moins longtemps que lui dans cette situation. Après avoir entendu que Holmes laissait Hun prendre les habits du garde et vu dans quel état il était, le russe se proposa de laisser les vétements du sien à l'archéologue.

"Prenez les vetements de ce garde Holmes. Moi je pourrais continuer ainsi. Mais il faudrait quand même se dépecher de finir cet exercice."

Il fallait maintenant qu'ils continuent leur route vers leur objectif.