Nom: Van Kisher
Prénom: Matthieu, Bob, Conrad
Nationalité: Américaine/Française
Age: 44 ans
Date de naissance: 27 mai 1966, à 14h05 (GTM+0) pendant le vol Paris/New York

Type: Militaire/Scientifique
Formation militaire: Entrainement des forces spéciales avec spécialisation Tireur de Précision ; Formation d'Opérateur du Tier 1 (connaissances acquises classées Secret Défense)
Formation scientifique: Doctorat en biochimie des éléments pathogènes et des armes chimiques ; connaissances basiques en botanique

Caractère:

Rapport militaire d'analyse psychologique N°48975-A2S:

Sujet: Matthieu Van Kisher Age: 36 ans Date du rapport: 07/10/2002 Grade: Opérateur L'armée m'a demandé de faire le rapport du profil psychologique du soldat Van Kisher, en vue de son retour à la vie civile. Ayant été son psychologue tout au long de sa carrière militaire, ceci est un rapport compilant l'ensemble des observations que j'ai effectué au cours de sa carrière. Je me suis tout d'abord attardé sur son passé. Son enfance seule, privé de mère et ignoré par son père, on conduit à un léger repli sur lui-même. Il est clairement peu bavard et ne s'embarrasse pas d'effusion sentimentale. Silencieux et impassible seraient deux termes caractérisant ce trait de personnalité. On en venu ensuite à parler de son cursus scientifique. Plutôt long, il à aiguisé sa curiosité et son esprit de réflexion. Il réfléchit vite et bien. Mais le fait que là communauté scientifique l'ai « mis à la porte », il en a développer un profond dégoût envers ses pairs (une mention dans son dossier militaire précise qu'il s'est évertué à distribuer des bourre-pifs à toutes les têtes pensantes qui ont croisé sa route) et à renforcé son isolationnisme. Son passage dans l'armée a clairement été déterminant dans l'évolution de personnalité. Là où tous l'avaient rejeté, l'armée l'a accueilli à bras ouverts. En résulte un profond respect pour la hiérarchie militaire et un patriotisme hors du commun (certains de mes confrères pourraient qualifier ça comme du fanatisme). Sa spécialisation de tireur de précision a aiguisé ses réflexes et en fait quelqu'un d'extrêmement instinctif (trop d'ailleurs). Déjà pas très expressif, il semble qu'il soit devenu froid et enclin à la violence. L'expression « machine » n'est peut-être pas très appropriée, mais c'est celle qui en est en la plus proche. Psychologiquement il n'est pas dérangé et stable. Aucun risque pour lui ou pour les autres. Je suis favorable à son retour à la vie civile. Dr Karl Heyril

Apparence physique:

Mes ancêtres était d'origine Néerlandaise avec une forte ascendance viking et malgré mon métissage, j'ai en gardé les principaux traits physiques. Je suis donc de taille moyenne (1m85), très large d'épaule, une pilosité brune très fournie, notamment aux niveaux des cheveux et de la barbe, avec un poids respectable (112kg). Mon passé a transformé ma carrure et même si 6 ans se sont écoulés, j'ai peu perdu de ma masse musculaire. De mon père je tiens des yeux gris acier et un visage anguleux (ma barbe en cache cependant la majeure partie). De ma mère, méditerranéenne, j'ai hérité d'une peau mate.

En uniforme, je porte le plus souvent ma chemise de treillis avec les manches roulées jusqu'au coude, des mitaines de combat, une casquette à l'envers et des lunettes de soleil. Je ne me sépare jamais de mon keffieh (noir et blanc traditionnel).

Histoire :

Mes mémoires:

Par où commencer ? Écrire sa propre histoire n'est visiblement pas simple. Mais avant de parler de moi, je vais présenter ma famille. Les Van Kisher tirent leurs origines d'une famille de la noblesse néerlandaise (d'où la particule onomastique), qui s'est enfuie vers le Nouveau Monde aux alentours du XVIIe, afin d'échapper à une « guerre » des familles pour le pouvoir politique. Mon père, Samuel Van Kisher, était un puissant industriel américain et ma mère, Amandine Fontaine, était une Française issue d'une bonne famille. Leur rencontre tient du pur hasard: Ils étaient tous les deux présent à un gala de charité dont mon père était le parrain et après un regrettable incident du type verre-de-bon-vin-rouge-qui-tache-renversé-sur-la-robe-de-soie-blanche, ils ont sympathisé. Est venu ensuite la séduction, l'amour et puis... moi. Moi je suis né dans l'avion qui ramenait mon père et ma mère de leur mariage en France. À ce qu'il parait, le travail et l'accouchement se sont passés à merveille et j'ai même pu être baptisé 2h après ma naissance. Mais la vie n'est pas rose et ma disparue dans un accident de voiture peut après ma deuxième année. Recueilli par un père dépassé par la disparition de sa femme, son travail et un unique fils à élever seul, il commença à s'éloigner de moi, me confiant à un bataillon de nourrices et de majordome. J'ai grandi seul, passant la plupart de mon temps libre dans l'imposante bibliothèque de notre luxueux appartement new-yorkais (1 étage rien que pour ma chambre). Passionné par la lecture et les sciences, j'étais un excellent élève, discipliné, peu turbulent, mais seul, terriblement seul. Afin de cacher cette solitude qui me pesait, je me « noyais » dans le travail, tant et si bien que je pus rentrer au MIT, département biologie. L'étude des formes de vie était une véritable fascination et j'aimais en particulier observer les micro-organismes. Alors qu'en 1988, l'Afrique centrale était frappée par la malaria, le VIH et Ebola, je décidais d'orienter la fin de mon cursus dans une étude bien plus approfondie sur les divers « maux » qui touchaient l'humanité, afin de les enrayer. J'étais jeune, innocent, con et bien présomptueux de vouloir partir en croisade contre un ennemi qui peut vous tuer rien qu'en vous touchant. Cet utopisme débordant m'a valu moqueries de la part de mes pairs et tous mes travaux postdoctorat, ont été systématiquement démontés par la communauté scientifique. S'ensuivit alors une lente chute vers la dépression dans l'alcool (qui a duré 2 ans). Même si je ne m'en souviens pas, il parait qu'un soir, alors que j'étais torché comme il fallait, j'ai joué aux cartes avec des militaires. J'ai gagné un peu, perdu beaucoup, mais comme on était tous ronds comme des queues de pelles ont à finit tous les six à terminer la soirée dans la caserne. Au matin je me suis réveillé, à même le sol (en béton, froid...) avec une gueule de bois à faire pleurer à sous-marinier russe et avec à côté de moi, un exemplaire d'un contrat d'engagement, signé de ma main (sa ressemblais plus à une croix qu'à autre chose). Comme tout le monde étaient encore dans les bras de Morphée, j'aurai très bien pu déchirer ledit contrat et sortir tranquillement, mais je décidais de ne pas le faire, après tout je n'avais plus aucun avenir en tant que scientifique, peut-être l'armée me donnerait une seconde chance. Aussi j'apportais moi même le contrat à l'officier de recrutement de la caserne. Tout d'abord, ce dernier faillit sortir de ses gonds en constant qu'un civil avait dormis dans sa caserne et après avoir convoqué mes camarades de l'autre soir, pour entendre leur version de l'histoire, il éclata de rire, me demandant si j'étais sérieux en voulant m'engager. Je l'étais... Me voilà donc engagé pour servir mon pays, j'avais 27 ans. Sans trop savoir comment je me suis retrouvé orienté vers une spécialisation de tireur de précision. Sans doute que ma capacité à réfléchir vite et à être patient a joué en ma faveur. Au fil des années mes supérieurs me considéraient comme un excellent élément. J'étais devenu un brave soldat, luttant avec patriotisme pour servir mon pays. Un véritable mouton... À 34 ans, je fus recruté par une branche méconnue des Special Forces, le Tier 1. Dans cette unité, composée de 7 équipes (Alpha 0 (équipe de commandement) à Alpha 6 (équipes d'intervention). En fait « recruté » n'est pas le terme exact puisqu'ils ont gazé ma chambre, m'ont ligoté, bâillonné et embarqué en hélico jusqu'à leurs camps de base. D'après ce que j'en sais le Tier 1 recrute les soldats qui ont un cursus scientifique poussé dans un domaine qui les intéresse, patriotiques jusqu'à la moelle et entièrement dévoué à leur hiérarchie. La cause ? Une fois sur le terrain une équipe d'Opérateur (c'est notre grade) est totalement libre: Aucun contrôle de la part de leur supérieur, aucun compte à rendre afin la fin de la mission. Notre devise était: « Réussir ou périr » Pendant 6 mois j'ai suivi le cursus de formation des bérets verts classique, ç’a été dur, mais je m'en suis sorti. Vint ensuite la formation d'Opérateur... Autant vous le dire tout de suite, l'entrainement précédent était une véritable promenade de santé. J'en est été transformé, devenus plus fort, plus résistant, plus violent aussi (pour preuve, notre arme blanche de dotation était une machette militaire). Les missions que j'ai effectuées dépassaient de très loin ce qu'on appelle la guerre non conventionnelle (guérilla) et comme notre unité est classée Secret défense nous sommes considérés comme « mort » aux yeux de tous (famille y comprise), pas de plaque d'identification, pas de médaille, pas de grade, pas de paye. Rien qui pourrait permettre à un tiers de nous identifier si nous tombons au combat ou si nous sommes capturés (évidemment, le gouvernement va nier notre existence dans un tel cas). Tout au long de ma carrière militaire j'ai acquis des connaissances extrêmement ciblée sur le bio-terrorisme mais ce que j'apprenais était fort loin de mon cursus initial et petit à petit mes connaissance en biologie générale se faisaient minces. Ce qui marqua la fin de ma carrière fut la seule et uniquement mission où j'ai failli y passer: Alors que notre équipe, Alpha 4, avait « nettoyé » un nid de terroristes soupçonnés de fabriquer des armes chimiques, l'équipe Alpha 2 arriva sur places pour extraire les informations qu'on devait récupérer. Sauf que le bâtiment était piégé par un complexe dispositif d'autodestruction consistant à gazer au Sarin le bâtiment puis de le faire sauter. Flashback: Une flash-bang coincé dans un mur, ma vue se trouble, mes oreilles sifflent, je suis sonné et au sol. Soudain mon nez me fait mal, je salive et j'ai du mal à respirer. Immédiatement après l'apparition des premiers symptômes, je connaissais la marche à suivre: Une injection intracardiaque d'atropine. Sauf qu'il fallait que je quitte le bâtiment pour m'en sortir. Déjà 4 de mes compagnons gisaient au sol, convulsant et incapables de respirer. Deuxième injection, plus qu'une seringue. L'un de mes équipiers s'est fait une injection juste à temps et me désigne la fenêtre, qu'il brise avec sa crosse, il saute. Je vais le suivre quand soudain, un flash dans mon esprit: La mission ! Troisième injection, plus de seringues, il me reste 90 secondes avant d'y rester. Sprint dans le couloir, j'arrive dans la pièce où se trouvait le chef terroriste, tout le monde est déjà mort. Mes yeux me brulent à cause d'un gaz lacrymogène, mais j'arrive à voir sur le bureau un sac noir qui semble remplit de dossiers, je le chope au vol ainsi qu'un objet qui semble être un ordinateur portable. La fenêtre vite, je m'élance coudes en avant et je traverse le verre. Je savais que j'allai mourir, soit par ma chute de trois étages, soit par le gaz qui avait déjà envahi mon système sanguin, mais j'avais les informations. Dans ma chute j'entends une violente explosion, mais mes yeux ne voient déjà plus rien, je n'arrive plus à respirer et je sens mes membres se paralyser lentement. J'arrive à pivoter dos vers sol et plaque le sac et l'ordinateur sur mon ventre. Impact, de la tôle je crois, craquement, il me semble que je rebondis, nouvelle chute, le sol. Plus d'air dans les poumons, plus de lumière, je sombre dans l'inconscience. Après cet incident je me retrouvé, je ne sais comment, en vie et sur un lit d'hôpital militaire. À la sortie de ma convalescence j'ai reçu dans la plus grande des discrétions les félicitations du président, la Legion of Merit, la Medal of Honnor ainsi qu'une généreuse retraite pour mon retour à la vie civile (avec 5 années d'avance). Je me suis alors installé dans une confortable maison de maître dans un petit village de Provence, me découvrant avec surprise une certaine passion pour la botanique. 6 ans après ce qui fut l'épisode le plus marquant de mon histoire, je reçus un étrange appel. J'ai bien l'impression que mon passé me rattrape bien plus vite que je ne l'avais prévu...

Antécédents médicaux :

— Cicatrice profonde (2cm) dans la paume de la main gauche, arme blanche à lame crantée pour être précis. Insensibilité de ladite paume, mais le fonctionnement nerveux est normal et les réactions motrices parfaitement fonctionnelles.
— Traces de multiple fracture (dos, bras et jambe).
— 4 traces de brûlure de 2e et 3e degré sur l'omoplate droite, probable métal chauffé à blanc. Aucune gêne l'or d'un mouvement quelconque.
— Nombreuse microcicatrice dans le dos (coup de fouet ?). Pas de séquelles.
— Lésions cutanées au niveau du torse résultant d'impacts d'au moins 3 projectiles.
— Traces dans l'organisme d'une intoxication légère à l'atropine.
— Séquelles nerveuses légères dans la région du comportement sous l'influence de l'adrénaline. De telles séquelles sont couramment causées par une exposition courte à un neurotoxique. Un gaz de combat corroborai avec les traces d'atropine.

En conclusion cet homme a subi des blessures de combat et a visiblement été torturé (comportement psychologique étonnamment stable).
Les conditions de la contamination sont inconnues, mais au vu du passé scientifique il se pourrait que ce soit accidentel.
En cas de forte réaction adrénergique, certains inhibiteurs comportementaux mineurs pourraient sauter temporairement, cependant rien de dangereux pour son entourage immédiat.
Apte au service actif.

Test de RP :

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[Provence, Maison de maître à la sortie d'un village] Il est midi, le soleil est au zénith, l'air est doux et les cigales se font entendre. Les rayons de l'astre éclairent à travers l'immense baie vitrée, un bureau de grande taille. La pièce, constituée d'un somptueux parquet lambrissé et de murs peints en blanc crème. Ces derniers couverts d'imposantes bibliothèques. Dos aux portes-fenêtre, un homme est assis derrière un luxueux bureau en chêne massif et compulse un imposant ouvrage, relié de cuir: Un herbier très précisément. L'homme, parfaitement silencieux, tourne lentement les pages, examinant de temps à autre une des plantes à l'aide d'une loupe et inscrivant au stylo-plume diverses informations sous le végétal concerné. À un certain moment, il se sait d'un crayon et commence à faire un croquis d'une sublime rose blanche quand le téléphone interrompit son travail. Une sonnerie, deux sonnerie, il décroche, s'exprimant dans un français parfait et sans accent: — Conrad Kisher à l'appareil. — Bonjour Opérateur. Sous le coup de la surprise, l'homme faillit lâcher le téléphone. — Je... Je vous demande pardon ? — Allons, allons, vous savez de quoi je parle... — Excusez moi monsieur, mais avez du faire un faux numéro... — Pas du tout. Opérateur Matthieu Van Kisher, titulaire en 2004 des deux médailles les plus prestigieuses de l'armée américaine, ça ne vous rappelle rien ? — Rien du tout. Vous faites erreur. — Non je ne crois pas. Écoutez bien, ce que j'ai à vous dire et à vous proposer devrait très certainement vous intéresser, mais nous ne pouvons pas en discuter au téléphone. Tout d'un coup sa curiosité sembla piquée au vif. — Puisque vous sembler me connaitre si bien et moi pas, déclineriez-vous au moins votre identité ? — Bien sûr, Général Grégoire Durand, armée de Terre. — Ah militaire. Depuis quand l'armée française à besoin d'ex-soldats américain ? — Depuis peu. Nous cherchons des personnes aux compétences spécifiques pour un projet... particulier... — Quoi donc ? — Secret défense. — Ben tien. Où voulez-vous qu'on se rencontre ? — Je crois savoir qu'il y a un charmant troquet dans le village où vous résidez. On s'y retrouve dans une heure ? — Humm... Oui c'est possible — Parfait La communication fut coupée presque instantanément, ne laissant pas le temps à Matthieu de répondre, qui d'ailleurs, regarda son téléphone avec suspicion. Il se mit à réfléchir à toute vitesse à ce qui venait de se passer, ne sachant pas trop quoi faire... [1 heure plus tard, terrasse du café] Matthieu était déjà attablé. Vêtu d'un jean, d'une chemise brune à manches courtes, d'une casquette à l'envers, de lunette de soleil et d'un keffieh, il attendait patiemment. Une serveuse, aussi blonde que jeune, s'approcha de sa table. — Un whisky comme d'habitude monsieur Kisher ? — Non merci Louise, deux cafés noirs, j'attends quelqu'un qui va bientôt arriver. — Oh ! C'est rare que vous ayez de la visite. De la famille ? — Pas vraiment, c'est un ami de longue date. — Très bien. Je vous apporte ça tout de suite. Peu après, un homme habillé en civil, âgé facilement de la soixantaine, les cheveux poivre et sel (avec une calvitie très avancée), des petites lunettes en demi-lune, vint s'assoir en face de lui. Une poignée de main ferme et courte eu lieu — Ravi de faire votre connaissance, monsieur Kisher, vous êtes un homme dur à trouver, vous savez. — Pas assez visiblement. — Je comprends votre scepticisme et au vu de votre passé je trouve normal que vous aimiez que ne vous retrouve pas. — ... — Hum... Et si j'abordais la raison de ma présence ? — Judicieuse idée... À cet instant, la jeune serveuse leur apporta leurs cafés et Matthieu lui glissa un billet de 10€, se voyant gratifier d'un sublime sourire. — Hum... Bien... Si je vous dis voyage spatio-temporel, vous me répondez ? — Théorie de la relativité et trous de ver. — Exactement ! Je n'en attendais pas moins d'un homme de science comme vous. — Ce n'est pas exactement mon domaine de compétence, mais j'ai quelques notions, bien que tout cela ne soit que pure théorie. — Et bien justement non ! — Comment ça "Non" ?! — Depuis 2 ans environ, l'armée à découvert le principe de fonctionnement d'un artefact extraterrestre qui met en pratique ces théories. — C'est une blague ? — Non, non pas du tout, je suis très sérieux. — Vous voulez dire que l'armée française a en sa possession un artefact extraterrestre qui permet de voyager dans l'espace et le temps ? — Exactement, dans notre galaxie tout du moins. — En admettant que je vous croie, quel rapport avec moi ? — Vous avez fait partie de l'élite militaire et vos connaissances scientifiques seraient un atout considérable. — Mes compétences ne concernent pas les calculs d'astrophysique. — Certes, mais vos compétences en biochimie et vos toutes récentes connaissances en botanique pourrait nous être utile en exploration. Vous pour[...] — Oh minute ! Exploration ? — Oui, en fait, à l'aide de l'artefact nous explorons d'autres planètes pour en tirer des nouvelles technologies et nous[...] — Je vous arrête tout de suite ! Il hors de question que je m'embarque dans je ne sais quel voyage douteux à l'aide d'un prétendu artefact extraterrestre. Monsieur, je suis honoré que vous vous soyez déplacé uniquement pour moi, mais cette conversation est terminée. Dit-il en buvant rapidement son café et en se levant. — Laissez-moi terminer alors. Un tel expert en forme de vie comme vous, nous serait extrêmement enrichissant et puis qui sait, peut-être arrivez vous à trouvez comment guérir certaine maladie comme le paludisme ou le VIH... — C'est à cause de paroles comme celle-ci que j'ai été honni par mes pairs. Je refuse de me ridiculiser une fois de plus ! — En publiant vos travaux sous couvert d'une fausse identité bien sûr. — En partant du principe que j'accepte. Vous savez que ça fait 6 ans que j'ai pas mis les pieds sur un champ de bataille et encore moins dans un labo. En 6 ans ont à le temps d'oublier plein de choses, mes connaissances et mon entrainement militaire se sont forcement étiolés. De plus vous dite que vous cherchez un expert en biologie, je ne suis pas sur d'être votre homme. — Pourtant je pense le contraire. Certes vos connaissances en biologie sont très ciblé mais nos équipes d'exploration sont susceptible de ramener des organismes microbiens ou des virus inconnus. Et puis à la base nous avons du matériel de pointe pour vous permettre d'analyser divers échantillons et quantité de données qui permettront de vous remettre à niveau à votre rythme. Au fait où en êtes vous en botanique ? — La base. Détecter l'espèce d'une plante à partir de ses feuilles, ses graines, ses fruits le cas échéant. A long terme j'avais prévu d'étudier les effets de certaines sur le corps humain. — Nous vous en donnerons l'opportunité. Alors, toujours pas tenté ? — ... — Je vous laisse ma carte au cas où vous changeriez d'avis... — Inutile, gardez votre carte. — Dois-je comprendre que vous refusez définitivement ? — Non, je marche. Ça me parait délirant, mais je marche. — Parfait. Ma limousine nous amènera sur un terrain d'aviation où nous attend un jet pour notre destination. Le général avala son café — Et mes affaires ? — Elles ont déjà été chargées par mes hommes dans la voiture, vos armes y comprises. — Vous saviez d'avance que j'accepterais, n'est-ce pas ? — Bien sûr. Je savais sur quel bouton appuyer. À une époque l'armée américaine à appuyé sur le bouton « Patriotisme » pour faire de vous un soldat d'élite. Aujourd'hui je me suis contenté d'appuyer sur le bouton « Désir le plus cher » pour recruter ce qui me semble être un excellent élément. — Vous n'êtes pas un officier pour rien... — Je vous remercie. Ah au fait, certaines partie de votre dossier sont encore assez floues à cause du secret-défense. J'appréciais que vous complétiez ces zones d'ombres quand vous serez affecté. — J'y penserais. — Parfait, mettons-nous en route si vous le voulez bien. Il se leva et désigna la limousine noire de l'autre côté de la rue puis ouvrit la marche. Matthieu le suivit, sans me se rendre compte qu'il allait s'embarquer dans ce qui allait probablement changer le cours de son existence...

Voulez-vous intégrer une équipe ou travailler à la base ? Une équipe si possible, mais ce n'est pas une nécessité.

Nom de la personne sur votre avatar: En vla une question qu'elle bonne. J'en sais foutrement rien.

Avez-vous déjà joué sur des forums de RP : Oui souvent
Comment avez-vous découvert le forum : Google est mon ami (il m'a suffi de taper « forum rpg stargate »)
Quelle est votre fréquence de connexion/temps de jeu estimé ? Connexion journalière ; Je réponds généralement sous deux jours.

Bienvenue parmi nous !

Alors, à première vue :

* Le prénom "Matt" est déjà utilisé par un membre actif, il serait plus simple que tu en choisisses un autre (Mathieu, après tout, c'est très bien). Ce n'est pas une obligation mais ça éviterait les confusions.

* Pour le test rp, l'"univers Stargate" peut aussi bien inclure un rp montrant ce que faisait ton personnage avant d'être recruté par le sgc, ou le recrutement en lui-même. Sinon, quatre saisons devraient amplement suffire pour trouver quelque chose de cohérent à raconter. (certains ici n'ont vu que quelques épisodes à peine de Stargate et s'en sortent très bien, nous ne sommes pas tous des fans acharnés, rassure toi. ^^)

* Une équipe, c'est toujours possible et c'est même préférable.

Je te laisse poursuivre. Poste à la suite pour prévenir quand tu auras édité.

Pas de problème pour le nom, je comprend très bien. J'ai changé mon pseudo et mon surnom comme demandé.

L'idée du recrutement est pas mauvaise du tout et elle ne m'avais même pas éfleurée. Merci

Va pour l'équipe alors, ça me convient parfaitement (En plus j'avais un peu peur que toute les équipes soit complètes).

Est-ce que je peut profiter de ce sujet pour poser quelques questions sur le fonctionnement du forum ?

Oui, tu peux, sinon, tu peux aussi passer sur la chatbox, je te répondrai en direct.

Bienvenue ^^

Huuum, ça fait longtemps que je ne suis pas venue ici...
Bienvenue!
Encore un scientifique à traumatiser, hihihi ^^

gros kif pour l'avatar et du peu que tu as fait je dois dire que je trouve ça très très bien.
Donc au plaisir de te lire.

Bienvenue !
Un personnage qui a plus de 35 ans ! C'est rare ! Tu seras le papi du SGC.
Joli début de fiche ^^ et j'aime bien le jeu de mot "mis à la porte".

Citation :

Nom: Van Kisher

Il a des racines Belges ?

Sheyffi Nokotay a écrit:

Encore un scientifique à traumatiser, hihihi ^^

Je suis dans son équipe et je survis, elle n'est pas si horrible que ça... sauf à la passe à 10.

Bonne chance pour écrire une suite aussi bonne que le début ! ^^

Rémus Hamilton a écrit:

Bienvenue !
Un personnage qui a plus de 35 ans ! C'est rare ! Tu seras le papi du SGC.

J'aime pas jouer les p'tits jeune, c'est pas crédible.

Rémus Hamilton a écrit:

Citation :

Nom: Van Kisher

Il a des racines Belges ?

Nop, néerlandais


Bon l'histoire est terminé, me manque plus que la description de l'apparence, le test de RP et de passer tout ça sous correcteur.

J'adore l'histoire, surtout la manière dont tu l'écris en fait ^^

Fiche terminée.

Et fiche très bien faites.

Bienvenue parmi nous,

bien je vais mettre quelques petites choses au point (et prendre le contrepied de certaines remarques).

- le cursus de ton perso me gène un peu. Si j'ai bien suivi, il s'engage à 27 ans après 4 ans beurré comme un petit Lu. Donc quand il commence à publier ses si controversés travaux "post-doctorat" il a 22-23 ans... (cf date de naissance) ; il serait donc entré au MIT vers 15 ans ? Mais c'est un vrai petit génie ! C'est ça où ta chronologie est très floue,
-durant ces années à l'armée et au Tier 1, ton perso a t-il eu l'opportunité de maintenir à jour ses connaissances en biologie ? Car j'ai tendance à penser que toute connaissance acquise et non utilisée s'efface au profit de nouvelles (un peu comme quand on "perd" son anglais après l'avoir pratiqué au collège et lycée)
- concernant tes activités secret- défense, je t'avertis que nous avons un capitaine au bras long. Tes secrets risquent de ne pas l'être longtemps surtout en étant citoyen américain, retraité de l'armée avant l'heure.

Donc me concernant, au vu de ta fiche, tu peux être militaire d'élite avec des notions en bio ou l'inverse, mais certainement pas bon en tout surtout vu son parcours (on est à la limite du GB sinon). Fais donc en sorte qu'il soit un peu plus réaliste.

Bon courage,

- Exact il y a un problème de date que j'ai corrigé (2 ans à bousillé mon foie au lieu de 4 (et ça colle avec mes 7 ans d'étude)).

- De bio générale non car après tout ce n'est pas spécialisation mais tout ce qui concerne les micro-organisme et les éléments chimiques susceptible d'affecter le corps humain oui car c'était l'expert dans ce domaine.
Par rapport au problème "GB" (que je ne connais que trop bien hélas), mon perso à passer 6 ans dans un coin reculé à observer les plantes (pas de combat, ni d'étude dans un labo) donc oui il a perdu.

- Si j'ai mis du secret-défense et une chronologie vague c'est avant tout pour pouvoir meubler mon journal. Et puis la preuve que votre capitaine à le bras long, puisque vous avez réussi à me retrouver (cf le test rp qui est dans la continuité de mon histoire)

Si necessaire je peut mentionner les point ci-dessus dans ma fiche.

MAJ: J'ai fait des modifications dans mon test-rp afin de faire le point sur l'état des connaissances de mon perso. Les parties modifiées sont encadrée en rouge

Bon bah on verra en pratique, tout ça me parait mieux ^^

Voilà ta fiche validée !

Tu peux dès maintenant te rendre au camp d'entrainement, passage obligatoire pour intégrer ensuite le SGC.
Quand tu auras terminé ton entrainement, pense à aller faire régulièrement un tout en partie "ordre d'affectation", tu y trouveras les missions proposées ainsi que la possibilité d'écrire le journal de bord de ton personnage.
Si tu as des questions ou besoin d'aide, c'est par ici. Tu peux également demander un parrain pour te guider.