Ma vie libre allait donc enfin commencer. Ma toute première affection était a un poste d’observatrice en domaine militaire, le but de cette formation était principalement de m’habituer a la chaine de commandement française, leurs grades et les ordres, ainsi qu’au côtoiement de différence instances militaires et scientifiques. Les premiers mois furent les plus difficile de ma nouvelle vie, non que le respect des ordres me pose un léger problème, en fait c’était tout simplement le manque d’action qui me gênais dans cette histoire. J’avais l’impression de connaitre beaucoup de chose sans réellement savoir d’où. Plus le temps passer et plus je me sentais sous estimée par les personnes qui s’occupaient de mon enseignement stratégique, me voyant surement comme une simple petite gamine pourvu d’aptitude physique avancé mais qui ne connaissait rien a rien. Oui leur raisonnement était logique il fallait l’admettre, au final consciemment je ne connaissais rien de tout cela, mais mon instinct lui connaissait tout par cœur et me le dicté. Des vieux reflexe, comme si mon esprit avait tout oublié mais que mon corps l’avait toujours en lui. Chose dure a expliquer a des militaires de carrière mais compréhensible par les civils affecté dans la base. Le temps de ma première mission fut venue, une demande de renfort sur une prise d’otage, le GIGN avait été demandé, mais le temps qu’ils arrivent, les malfrats auraient tués les otages. La mission était plus que simple, sauver les otages et mettre hors d’états de nuire ces criminels. Notre escouade était divisée en deux groupes, le premier devait prendre l’accès via le toi de l’immeuble, faire une descente de trois étages et intervenir en arrière de la pièce. La seconde escouade, qui était la mienne avait un rôle d’infiltration via les égouts. En effet une sortie centrale menée aux sous sol du bâtiment. Nos ordres furent donnés et l’assaut commença, tout aller bien jusqu'à ce que le leader de l’équipe première dérape en entrant trop prématurément dans la salle principale ou était retenu les otages. L’équipe dont je faisais partie devait maintenant sprinter jusqu’au point d’intervention qui se situer a une quarantaine de mètre, prenant donc des risques juste dans le but d’essayer de réparer la grossière erreur du chef de l’équipe une. Mon chef ouvrit rapidement la porte se mettant en position de tir pour éliminer un preneur d’otage, tandis que le reste de l’équipe investisser la salle pour mettre les otages a couvert. En ce qui me concerne, ma première action était un feu de soutiens pour couvrir mon chef tandis que mes yeux rapide d’observatrice pouvait constater deux de nos hommes a terre. Rapidement sous feu adverse mon chef et moi étions obligés de venir a couvert à notre tour, laissant par la même occasion un otage entre les criminels et nous. Le choix fut vite fait, mon chef m’ordonna d’un simple regard d’aller chercher le pauvre otage pendant que ce dernier aller me couvrir. Je m’exécutai abandonnant mon mp5 pour un 9mm plus simple d’utilisation, passant par-dessus notre couvert et retombant à quelques centimètres de la jeune femme qui était terrorisé. A couvert pendant quelques secondes voyant les nombreuse balle perforant les bureaux et tout autre accessoire, je réagissais rapidement pour entrainer la jeune femme vers un endroit plus sur. Une course rapide s’effectua accompagné de ma nouvelle compagne de route tandis que mon officier supérieur continuait à nous couvrir… Le sprint avait duré seulement quelques secondes et nous étions de nouveaux à couvert, quelques autres secondes suffirent pour faire taire suffisamment les balles… Puis mon supérieur se mit à coter de moi et me regarda avec un drôle d’air. Commençant même à me parler mais les mots n’arrivait pas a être compris par ma petite tete… Un regard … un trou noir … Un réveil sur un brancard juste devant le lieu de l’intervention, puis enfin les voix revinrent. Une crise de panique ? Non pas du tout … seulement l’adrénaline qui avait masqué une blessure par balle au niveau de l’épaule. Pas mal de sang perdu mais rien de dramatique bien au contraire… Je me sentais un peu idiote d’avoir était touchée aussi facilement, mais comme mon supérieur me l’expliqua un peu plus tard, j’avais pris d’énorme risque juste pour sauver un otage, et je devais en être fière … je l’étais ? Peut être, je n’avais fait que mon travail …