C'est aujourd'hui le seul jour où j'ai pu avoir le temps de rédiger. Premièrement, une femme nommée Jill commença à m'entrainer. Au début j'ai refusé son autorité et ai commencé à faire mon chaud. Eh oui, Mais, elle a su me "dompter" et j'ai drôlement morflé: course, pompes... A la fin de celui-ci, elle m'a donné une "mission" qui consistait à voler des plans et à tout faire péter. Une réussite. Ainsi, je terminai mon entrainement, ayant prouvé au SGC ma vraie valeur. J'allai dans mes quartiers pour me changer.

Quelques temps après, il eut une chose assez époustouflante! En effet, alors que j'étais tranquillement dans mon lit, il y eut une explosion. Sortant précipitamment, je courus vers le labo où je rencontrai un panda. Après plusieurs aventures, tout rentra dans l'ordre. Cela m'a néanmoins marqué. Eh oui, c'est pas tous les jours qu'on voit des gosses se promenaient au SGC. Quelle vie je mène!

Après ceci, je fus intégré dans SG1. Je trouve que c'est une équipe un peu étrange. Peut-être cette impression me vient car je n'ai jamais fait parti d'une sorte d'équipe. Moi j'étais tout simplement en vadrouille avec mon capitaine et d'autres hommes à rechercher des terroristes... Bref, j'ai dû donc choisir un équipement. Bien sûr à peine arrivé, je choisis des explosifs et un lance-missiles. Pour ne pas être sans défense, je pris également un P90.

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Sorti de l'armurerie, j'attendis que ma première mission débute. Ce fut long. Elle arriva cependant. Passant la porte des étoiles, d'étranges choses m'arrivèrent. En effet de l'autre côté, je me sentis extrêmement mal, des nausées me prirent et tout ce qui peut en découler... Dès le début, nous nous firent capturer par des hommes. Je voulais me défendre mais mon chef me l'avait interdit. Étant militaire, j'obéis. Nous nous firent emmené vers leur QG. Hélas pour eux, ils ne purent pas nous interroger car les "gouvernementalistes" attaquèrent. Dépourvu d'armes, mon équipe et moi, on essaya de sortir de ce beau...enfin vous voyez ce que je veux dire? A la recherche d'armes, je déambulai furtivement dans les couloirs et je trouvai quelques choses amènes de nous aider.

Au dehors, la bataille faisait rage et je décimai les rangs de ces salos. Haha! Quel souvenir impérissable! Le sergent donna ses ordres (comme toujours). Je devais d'abord récupérer mon équipement se trouvant sur un soldat mort à quelques mètres de là. Néanmoins, je ne retrouvai que mon P90 et une grenade. Cela dit, ils me servirent tous les deux. Ainsi, ils avaient beaucoup de mal à avancer mais j'oubliai leurs blindés. Pour se tirer de ce faux pas, on eut l'idée de se déguiser pour franchir les rangs sans être repéré. Un véritable échec. L'archéo reçut une balle à la jambe, ce qui l'empêcha de revêtir le costume. Moi, je continuais à tirer mais j'allais bientôt manquer de munitions. Aussi, je n'eus pas le temps de m'habiller. Les ennemis progressaient et nous encerclèrent. Je dus sortir le couteau mais n'étais pas de face. Je m'inclinai après m'être débattu.

Ainsi, nous nous fîmes emprisonnés. Pendant des heures et des heures, ils essayèrent de nous interroger et, ne tirant aucune information, ils nous libérèrent devant la porte des étoiles. Ma première mission s'acheva.

Parmi les personnes que j'ai rencontré, il y a:

Le sergent Lewellyn Drogon: Je l'apprécie uniquement en qualité de chef. Ce n'est que professionnel.

Une doc' Zoé Leroy: Bah... elle doit être sûrement sympa, c'est à voir.

Un archéo Damien Lefebvre: Je ne sais rien de lui, mis à part qu'il doit être très protecteur et il m'est avis qu'il est courageux car recevoir une balle est terrible...

Ça c'est mon équipe, sinon en dehors:

Jill Cooper: Récemment devenu Jill Sheppard, elle était mon entraineuse comme je l'ai détaillé plus haut.

Lors de la fête de Noël et du mystère, je rencontrai d'autres personnes qui ne sont pas présenté, un sergent, des adjudants...

Oui, je ne connais pas beaucoup de gens et c'est normal, je ne vais pas leur parler.

Voilà la rédaction de mon journal est terminée pour l'instant.

Cela va bientôt faire un an que je suis entré au SGC en tant qu'artilleur. Ayant laissé mon passé derrière moi, j'ai entrepris plusieurs missions avec l'équipe SG1. Toutefois, je regrette en cet instant tant de choses que j'ai décidé d'écrire mes remords et ainsi me faire peut-être pardonné aux yeux de tous. En effet, je dois avouer que j'ai dès le départ pris une certaine distance avec mes coéquipiers et les membres de la base. De plus, je me suis enfermé sur moi même, ne dévoilant rien de ma propre personnalité. Ainsi, personne ne me connaît autant que je l'aurais voulu. Ne pouvant pas revenir en arrière, j'espère que ce document permettra à tous d'éclaircir les points demeurés obscurs.

En premier lieu, je souhaiterais décrire un peu plus en détails mon étonnante personnalité. J'ignore si une quelconque personne l'aurait remarqué ou non mais je suis accro à la guitare. Cependant, le fait de ne pas avoir pu la transporter en ces lieux m'a terriblement chagriné. J'avais même monté un groupe qui ma foi marchait, une maison de disque nous avait repéré mais une pour une raison que j'ignore le groupe se disloqua. Fort heureusement pour mon moral vacillant, je conservai alors mon goût pour la musique et en écoutai régulièrement. Ah, la musique est indispensable à mes yeux et joue un rôle dans chaque existence. Bien fermons la parenthèse et poursuivons ce pénible labeur. Aussi me plait la nature sous toutes ses formes. En cela je veux dire que j'apprécie toutes forêts, montagnes, cours d'eau... Me promener faisait partie d'un de mes passe-temps favori avant mon incorporation. Les oiseaux chantant leur douce mélopée, les fleurs diffusant leur parfum exotique et taquinant vos narines, la brise du zéphyr effleurant votre cou, tout ça est fabuleux! Je n'en ai pas perdu le goût et l'entrainement spécial-Lewell (c'est le nom que je lui ai donné) m'a bien plu car rien n'avoir et partir à l'aventure en se débrouillant sont des choses cruciales pour survivre en territoire hostile. Même si je dois avouer que la première partie m'a laissé quelques mauvais souvenirs. Enfin, ceci a servi au bon fonctionnement de l'équipe et à consolider l'esprit de solidarité sans doute indispensable. A la suite de tout ceci, j'exprimerai mes points de vue sur les différentes personnes que j'aurais pu croiser au sein du SGC. Pour le moment, je poursuis ma description. Eh bien, je dois avouer qu'il est difficile de se soumettre à une autorité. Seulement sur ce point, l'armée m'a permis d'obéir et d'être un peu plus carré. J'exécutai ainsi chaque ordre chaque parole sortant de la bouche de mon sergent instructeur.

Par la suite, je fus embauché pour une guerre contre des terroristes: celle d'Afghanistan. D'ailleurs, ce n'était qu'un bain de sang tout à fait inutile, pour ma part même après l'attentat du 11 septembre. Je me trouvai dans une escouade d'une vingtaine d'hommes, dirigé par le capitaine Robert. Au fil du temps, je commençai à apprécier son autorité et trouvait ses ordres justes. Je parvenais même à les anticiper. Pendant le temps libre, on se faisait des parties de cartes où l'on pariait quelque argent, le capitaine et moi. Le seul moment où on pouvait espérer le contredire. Des liens se nouèrent avec mes compagnons d'armes. Mon nom se faisant de plus en plus connu de par ma capacité d'artilleur. Pourtant, on sentait tous que ceci ne durerait pas longtemps. Ainsi alors qu'on était en patrouille, un piège se referma sur l'escouade. Notre démineur nous avertit alors du danger. Seulement, la position fut mal gardée et nous durent battre en retraite devant les terroristes ayant l'avantage du terrain. Cependant, fuir ne nous était pas permis à cause de tirs se faisant continuels. Notre capitaine eut l'idée des fumigènes. Brillante! Seulement, nos ennemis soutinrent le tir et firent une dizaine de victimes dont le capitaine. Je revois sa tête ensanglantée, ramper comme un damné, hélas on ne put rien y faire; le doc' était mort et ses affaires hors de portée...

Si j'ai raconté cette anecdote, ce fut pour expliquer le lien qui m'unit par le passé à mon supérieur. Un semblable m'unit à l'adjudant Drogon. Toutes les qualités du capitaine se reflètent dans celle du leader de SG1. D'une grande sympathie, il sait toutefois se montrer sérieux et admirable lors de toutes batailles. Ses ordres n'ont aucun défauts sinon que toutes les données ne lui ont pas été accordé. Par conséquent, l'erreur survient puisqu'il n'a pu analyser la situation. Ses hommes lui sont proches et il ne les abandonnerait pas au combat (je me réfère à ma première mission lors de la blessure de Damien). Lewellyn est surtout un grand combattant et soldat, ne s'inclinant pas devant n'importe qui. Plutôt diplomate, il pèse ses mots et ne les regrette pas. Toutefois, ma dernière mission vient contredire ceci. Cet échec est pour ma part ma faute entière. Je ne sais quelle mouche me piqua alors et je ne pus me retenir. Pour des chevaliers, ce fut un trop grand outrage. Bien, je n'ai pas trop envie de revenir sur ça... Parfait leader de SG1, je vous souhaite une carrière des plus brillantes dans le cas où je ne serais plus là pour vous féliciter. Privilège de vous avoir connu...

Je souhaiterais parler plus précisément de mes coéquipiers et de ceux qui ont influencé ma vie au sein du SGC. Commençons par l'innommable général Parray. Je ne l'ai jamais vraiment rencontré. Mais je peux dire qu'elle sait se montrer ferme comme dans le cas de ma remontrance. Étant donné que tout se déroulait plutôt bien au SGC, je peux supposer que son travail est remarquable. Le fait qu'une femme soit au commandes ne s'est pas fait sentir, peut-être est-ce un avantage?
A ceux de SG1, j'ai en vous une très grande estime. Sachez qu'à vos côtés, on peut se sentir invincible. La confiance règne et notre "stage" ensemble nous a permit de créer quelques liens. Damien, ta connaissance des civilisations m'a énormément impressionné ainsi que ta sympathie naturelle. Zoé, un parfait médecin d'une gentillesse sans égale. Je pense que ta pitié est grande et que tu irais même jusqu'à soigner un ennemi. Quel professionnalisme!
Je voudrais également remercié une femme qui a du caractère: Jill. Ton entrainement était juste et tu m'a permis de calmer mes ardeurs ainsi que mon côté "macho". Je dirais même que tu as su me dompter. Et puis, tu t'es marié. Même si je n'apprécie guère ceci, ce fut probablement un grand moment dans ta vie et cela je suis fier d'avoir pu être à tes côtés. Ton cadeau t'a plu?
A tous les membres du SGC, je vous recommande de continuer ainsi et de vous battre pour votre pays, pour la France. Vous faites du bon boulot!

Bien, vous l'aurez sans doute deviné mais ceci tient lieu de testament. En effet, mes quelques biens seront ci-dessous distribué à ceux qui le méritent le plus, le SGC étant devenu une seconde famille. A mon chef adoré, je lui lègue ma moto (fais en bon usage, passe le permis si tu l'as pas et t'as intérêt de mettre un casque). A Damien, je te donne ma chère guitare et je te jure que si t'en prends pas soin je ressuscite pour te mettre une raclée. A Zoé, je lui lègue ma maison afin qu'elle puisse la transformer si elle le souhaite en hospice ou autre (du moment que tu la peins pas en rose). Tous mes autres biens iront à l'adorable Jill et à SG1 qui devront se partager comme il le souhaite le reste (je compte sur vous pour être équitable).

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