[pnj - Mathilde] Entraînement Maritza Cruz

Elle arriva au champ d'entraînement avec un dégout qu'elle cachait
difficilement.

* Si il faut courir, sauter et tous ces trucs militaires je le tue pensa-t-elle *

Un sourire sadique apparut sur ses lèvres. Mais il disparut vite quand elle s'arrêta en plein milieu du champ d'entrainement vide.

* Je suis arrivée à l'avance ou quoi pensa-t-elle.*

Elle tourna la tête à droite puis à gauche et laissa tomber son sac à dos à terre. Puis elle soupira de désespoir et se laissa tomber à terre.

* J'ai faim pensa-t-elle*

Elle sortit une pomme verte qu'elle avait mis dans sa poche ce matin-là. Puis elle
commença à la manger calmement. Tout en lançant des regards partout autour d'elle. Elle ne voulait pas se faire prendre par surprise.

* Et si je sors mon ordinateur. Non vaut mieux pas on ne sait jamais avec
les militaires pensa-t-elle *

Elle gigota un peu, l'envie d'ouvrir son ordinateur portable lui plaisait beaucoup. Seulement elle ne savait pas si celui ou celle qui devait l'entrainer allait aimer la voir avait un
portable ouvert en plein milieu du camp d'entrainement.

Ça dit elle continua à manger sa pomme tranquillement.

PNJ Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 19/11/2009

[hrp : bonjour, nous manquons un peu d'entraineurs, nous allons donc te faire avancer avec un PNJ, le temps qu'un entraineur te prenne en charge. Évidemment, ça ne change rien quant à ta validation finale ou le nombre de posts total. Bon rp !]

L'entraineur arriva au camp d'entrainement d'un pas décidé. Apparemment la recrue était déjà là. Ponctuelle, parfait. Une scientifique, disait le dossier, informaticienne. La jeune femme avait de la chance, il n'était pas de ces militaires qui aimaient faire souffrir les civils inutilement et pour de mystérieuses raisons. Enfin, elle allait devoir se bouger un minimum tout de même, si elle ne voulait pas retourner d'où elle venait. Ce qui comptait énormément à ses yeux, c'était la motivation. Il avait vu son dossier médical : il y avait de drôles de trous et en même temps une quantité impressionnantes de blessures en tout genre... En revanche, il aurait bien aimé en savoir un peu plus sur le dossier militaire qu'il n'avait pas encore eu le temps de consulter.

Il salua Maritza d'un bref signe de tête :

" Maritza Cruz ? Je suis le sergent Paul Delorme, je vais m'occuper de votre entrainement. Suivez moi. "

Visiblement peu disposé à perdre son temps, il l'entraina déjà un peu plus loin en demandant :

" J'aimerais savoir si vous vous êtes déjà servi d'une arme, si vous êtes habitué à faire du sport, notamment si vous pratiquez un sport de combat. "

Probablement, d'après ce qu'il avait pu comprendre. Des réponses négatives à chacune de ses questions ne vaudraient pas son exclusion, il se contenterait d'adapter l'entrainement à son niveau. Maritza n'était pas le premier civil qui arrivait au sgc et il comprenait que certaines recrues ne soient pas au point sur le plan physique. Après tout, les archéologues et autres scientifiques étaient recrutés pour leurs neurones plus qu'autre chose. En revanche, pour aller sur le terrain, il fallait ensuite qu'ils suivent sérieusement leur entrainement, ne serait-ce que pour leur propre sécurité.

Ils avaient fini de traverser une cour et il l'avait faite entrer dans un bâtiment qui, de toute évidence, était une salle de tir. Il alla chercher un 9mm et revint vers elle rapidement. Qu'elle sache ou non s'en servir, elle allait devoir montrer ce que ça donnait. En gardant l'arme en main - pas envie d'avoir affaire à une petite rigolotte qui joue avec avant de comprendre ce que c'était - il attendit donc une réponse à ses questions.

Elle s’était levée à l’arrivée du sergent qui s’arrêta face a elle.

*Il est un petit peu mignon ce sergent pensa-t-elle.*

Un sourire sadique apparut sur ses lèvres mais elle ne parla à aucun moment. Quand il commença à marcher vers un bâtiment, elle prit son sac qu’elle déposa sur son épaule et suivit le sergent vers le bâtiment. Amusé par ce qui allait arriver.

*je suis triste pour lui il va devoir m’endurer pensa-t-elle. *

Quand il arriva dans le bâtiment elle déposa son sac à terre. Elle n’avait aucune envie de le laisser à la portée d’inconnus de cette base. Elle lançait des regards méfiants et sur ses gardes autour d’elle. Elle n’aimait pas les endroits inconnus. Il était facile de tomber dans une embuscade.

Elle balança sa tête à droite et gauche pour revenir à la réalité qui ne la hantait jamais.

*Du calme Cruz, nous sommes en France, pas dans un territoire ennemi. Personne ne va te sauter dessus pensa-t-elle *

Seulement elle était restée silencieuse pendant toute la discutions du jeune sergent. Depuis son arrivé elle n’avait aucun envie de répondre a ses questions.

*Il a l'air amical. Je pourrais ne pas le massacrer et il est mignon pensa-t-elle. *

Mais quand il revint avec un 9mm, elle leva un sourcil amusé par ceci. Seulement elle lâcha durement mais surtout avec méfiance envers le sergent.

-Vous posez trop de questions sergent vous pourriez en payer le prix. Donnez-moi ce 9mm et regardez. Et vous aurez votre réponse.

Elle tendit sa main avec un regard amusé. Mais avec un sourire sadique elle dit calmement.

-Ah oui j’avais oublié vous voulez que je tire ou que je démonte cette arme.

* Oh que je suis sadique, j’ai hâte au combat du corps à corps pensa-t-elle. *

PNJ Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 19/11/2009

Toujours aussi calme, l'instructeur ne sourcilla pas devant le comportement de la nouvelle recrue. Il fronça les sourcils et campé devant elle, Delorme lui parla sans la moindre trace de sympathie dans le ton.

"Ecoutez moi bien, soldat. J'ai déjà eu mon lot de petites terreurs qui se croient invincibles, de frappés camés à l'adrénaline ou d'autres substances moins naturelles et des petites frappes qui se croyaient encore dans leur quartier de banlieue. Si vous croyez que de jouer la gamine surexcitée reine du flingue devant l'éternel va vous faire marquer des points, vous vous fourrez le doigt dans l'oeil jusqu'au coude! Ce qu'on attend d'une recrue pour le programme c'est d'être fiable, sérieuse, professionnelle et performante, alors remballez vos grands airs, faites ce que je vous dis, donnez vous à fond et si vos résultats sont à la hauteur, vous serez retenue."

Les choses étant mises au point, il pointa du doigt le pas de tir. La tablette était dotée de deux chargeurs.

"Vous avez trois chargeurs à disposition soit quarante cinq balles de neuf millimètre parabellum. Les trois cibles que vous voyez là sont respectivement à dix, trente et cinquante mètres. Pas moins de dix balles par cible. Pour le dernier chargeur, vous avez carte blanche pour les loger dans les trois cibles selon votre préférence. Plus ce sera loin, plus vos marquerez de point. Si vous mettez plus de neuf balles dans le vent vous serez pénalisée. Si vous en mettez plus de dix huit, vous pourrez remballer vos billes.
Allez soldat! Exécution!"

Le sergent instructeur s'écarta pour laisser le soldat Cruz montrer ce dont elle était capable.

[hrp : Les tirs à 10m sont faciles, ceux à 30 déjà plus compliqués, par contre à 50 c'est du tir d'élite.]

La jeune femme se raidit puis son regard devint menaçant.

*Pour qui se prend-t-il ce militaire pensa-t-elle *

Elle s’avança calmement vers le sergent instructeur tout en disant avec une voix menaçante.

- De un, je suis une civile pas un de vos petits soldats que vous contrôlez comme du bétail, sergent. De deux je ne vous permets pas de me parler avec ce ton. Je suis ici parce qu’on m'a offert un travail d’informaticien qui m’intéresse beaucoup. Sinon je ne serais pas ici face à vous.

Elle prit l’arme que le sergent instructeur avait dans sa main. Puis elle se dirigea vers l’endroit ou il y avait les chargeurs. Mais elle se retourna avant de toucher au premier chargeur. Et sa voix plus froide que jamais dit :

- Ne plus jamais me prendre pour un de vos petits soldats, sergent, plus jamais. Ne jouez jamais avec les nerfs d’un génie.

Ses yeux lançaient une haine froide envers lui. Elle avait l'air de vouloir le tuer. Mais elle se retourna puis elle arma le premier chargeur et visa la première cible tout en lâchant faiblement.

- Vous voulez voir la machine. Je vais vous montrer ce que la machine peut faire, pauvre fou.

Après quelques secondes, elle prit la position de tir normale qu’on apprenez dans chaque stand de tir. Puis elle visa la cible et tira les dix premières balles dans la première cible. Seulement tout en ligne verticale de haut vers le bas.

Elle se mordit la lèvre.

*Trop facile ça me rappelle les premières années d’académie.*

Puis elle pivota un peu pour prendre la prochaine cible et se concentrer un peu pour évaluer la hauteur, la longueur. Puis elle tira les 5 dernières balles du chargeur toutes au même endroit dans le centre de la cible. Puis elle changea de chargeur avec lenteur calme et prit le deuxième, elle l’arma. Elle reprit position calmement et tira les 5 dernières balles toujours au milieu de la cible. Mais chaque balle avait une distance suffisante pour qu’on réussisse à compter 10 petits trous dans la cible.

Mais elle baissa son arme et se retourna vers le sergent instructeur en faisant une faible sourire sarcastique. Mais elle reprit position et visa la troisième cible. Toujours en calculant la longueur, la distance et la hauteur de la cible tout ceci en quelques secondes. Mais elle calma aussi plus sa respiration.

*Il sera mieux de réussir ses dix balle ou les échouer pensa-t-elle.*

Un faible sourie apparut sur ses lèvres. Elle tiras trois balles dans la cible en pleine tête. Puis elle se déplaça un peu et visa juste à côté de la cible et tiras ses 7 dernières balles hors cible tout en lâchant faiblement.

- Oh instructeur je pense que j’ai raté mes 7 dernières balles. Va falloir que j’aille pleurer chez maman.

Elle lâcha un faible rire, tout en s’armant du dernier chargeur puis elle visa directement sur la deuxième cible, celle a 30 mètres et tira les 15 dernières balles. Seulement 14 percutèrent la cible, seulement la dernier rata la cible.

Et pour la première fois de la journée elle lâcha avec une voix surprise.

-Oh j’ai raté la dernière balle.

Il n’y avait aucun humour et encore moins de sarcasme. Elle avait l'air extrêmement surprise d’avoir raté sa dernière balle.

*Peut-être que j’aurais du prendre plus au sérieux ses paroles sur le professionnalisme pensa-t-elle.*

Mais elle déposa le 9mm et recula tout en se retournant vers le sergent instructeur. Et avec une voix plus calme et moins coléreuse elle dit :

- Bon vous voulez faire quoi maintenant instructeur.

PNJ Nombre de messages : 88 Date d'inscription : 13/02/2009

Apparemment Maritza avait envie de jouer avec le sergent instructeur qui lui avait été attribué. Elle ne savait sans doute pas que c'était un gars plutôt sympathique et donc qu'on lui donnait les civils et autres recrues non performantes ou un peu rétives... Mais les opérations étaient reprises par quelqu'un d'autre, quelqu'un qu'il aurait mieux valu qu'elle ne tire pas du centre des opérations de formation, mais tout étant filmé, le sergent instructeur Hartman avait décidé que la coupe était pleine et qu'il était temps de mater la petite rebelle.

Quand Maritza entendit un bruit derrière elle, ce fut trop tard, à peine avait elle commencé à se retourner qu'elle fut cueillie au vol par un magistral direct à la mâchoire qui lui fit voir trente six chandelles, mais ce n'était pas finie et avant qu'elle ait compris ce qui lui arrivait, elle était au sol avec les mains dans le dos, poignets remontés si haut que le moindre mouvement lui arrachait des gémissements de souffrance, le poids de quelqu'un douloureusement enfoncé dans le bas du dos, pile au niveau des vertèbres. Elle ne pouvait pas voir qui l'avait mis hors service, une main agrippant sans douceur ses cheveux lui maintenait le nez dans la poussière.

"Sergent, vous pouvez disposer, je vais m'occuper de ce petit chiot avec les méthodes adéquates. Faites venir Dumoulin et Ramirez avec pelles et pioches, il se peut qu'ils aient à creuser avant la fin de l'après midi."

Le jeune instructeur déglutit avec difficulté, Maritza aurait pu entendre ses talons claquer quand il se mit au garde à vous.

"A vos ordres sergent!"

Et il partit au pas de course. Qui que fut celui qui l'avait aligné, il disposait d'une autorité certaine sur le personnel. Au bout d'une éternité, il soulagea la prise et releva la jeune femme. Son calvaire n'était pas pour autant fini car elle reçut un violent coup de genou dans le ventre qui la plia en deux, l'air décidé à ne plus entré dans ses poumons, elle devait fixer toute son énergie à respirer, chaque inspiration étant aussi douloureuse que si on lui arrachait une côte sans anesthésie.
En face d'elle se tenait un homme âgé d'une cinquantaine d'année environ, difficile à dire, son visage était l'illustration même de la fureur froide sinon de la haine personnifiée. Il se tenait droit, son uniforme impeccable et une cravache à la main.

"Toi ma louloute, tu as commis ta plus grosse connerie. Ici, tu n'es pas un génie, ici tu n'es pas une civile, ici tu n'es pas une femme, tu n'es pas un être humain. Tu es une punaise, une résidu de capote trouée, un cancrelat que je peux écraser sous ma ranger quand ça me chante! Un imbécile heureux a dû croire que tu avais assez de potentiel pour intégrer un programme qui te dépasse et de loin! Un programme sous autorité militaire et qui nécessite une condition physique et des aptitudes techniques de haut niveau, mais également un degré d'obéissance important. Ici ma poulette, je peux faire ce que je veux de toi, te faire danser le french cancan à poil ou courir dix kilomètre avec quarante kilos sur le dos et des chiens dressé au combat pour veiller à ce que tu ne t'arrêtes que pour te faire bouffer ou parce que tu as passé la ligne d'arrivée. Pour le monde extérieur, là au dehors, si crèves ici, ce sera une disparition inexpliquée de plus et comme ta misérable existence n'intéresse personne, tu seras vite oubliée."

Tout en la regardant, il tapotait sa cuisse avec sa cravache. Le genre de regard qui avait le don de vous faire comprendre que vous n'étiez rien de plus qu'une grosse pièce de boucherie en face d'un équarrisseur.

"Tu as deux choix, tu obéis, tu fais ce qu'on te dit et peut être que tu pourras voir si demain est un jour meilleur, ou tu me rejoues encore une fois la morue qui veut péter plus haut que son cul et je te dérouille jusqu'à ce que tu me supplies de te loger une balle dans ta petite tête de linotte! J'ai tout mon temps et défoncer la boîte crânienne d'une merdeuse qui se croit plus maline et importante que les autres c'est un vrai péché mignon."

Il n'y avait pas vraiment besoin de se dire qu'il en rajoutait. Il devait véritablement aimer ça... Et c'était l'homme qui devait l'évaluer.
Un peu essoufflés, deux soldats équipés pour le combat venaient d'arriver. Chacun transportait en plus de leur barda une pelle et une pioche. A la façon dont ils évitaient de regarder le nouvel instructeur de Maritza, il était évident qu'ils en avaient une trouille bleue et quand on voyait ces gaillards, le genre déménageur charpenté comme un buffet normand, on pouvait se poser des questions quand à la nature du type qui les terrifiait.

HRP
Bien, le sergent instructeur Hartman reprend le flambeau, exit le gentil instructeur Delorme et bienvenue en enfer.
Les comportements rebelles seront sanctionnés avec la vigueur requise. Le programme n'accepte que les individus non seulement en bonne forme, mais également capable de suivre un ordre et de s'intégrer dans une chaîne de commandement, les rebelles et fortes têtes ne sont pas les bienvenus quand ils remettent systématiquement en question l'autorité de leurs supérieurs.
Il y aura d'autres observations plus tard.

La pauvre Cruz n’avait pas compris ce qui venait de se passer, encore sous le choc de l’impact. Faut dire que la pauvre ne s’attendait par a se faire attaquer sur un tel endroit et toutes ses défenses étaient tombées.

C'était comme si on avait attendu le bon moment pour la frapper et la déstabiliser. Et la personne avait en partie réussi. Surtout quand elle avait eu la face en plein dans la terre et n’avait pas réussi a se dégager de la brisé qu’on venait de lui faire endurer.

*Je vais tuer celui qui m'a frappée. *

La tueuse apparut pendants quelques secondes mais quand on la souleva si rapidement et qu’on la frappa dans le ventre elle ne s’attendit pas aussi à cette attaque, trop rapide et trop fort.

Elle était encore en train de s'en remettre. Quand ce fou lui cria après et déstabilisa encore plus Cruz qui ne comprenait pas ce qui se passait. Seulement ça lui rappelait quelque chose, son ancienne académie.

*Oh non je suis tombée sur un autre sadique. C'est ça on veut ma mort. *

Seulement après quelques secondes, elle le regarda dans les yeux puis la cravache et leva un sourcil.

*Je me demande s’il a un frère jumeau. Mais celui-la a l'air plus sadique que mon ancien instructeur. Bon je peux dire adieu à mes blagues idiotes. Moi qui m’amusait tant.*

Elle leva les mains en signe de paix et amicale.

- Oh du calme je ne faisais que blaguer on est pas sur un champ de bataille non ! Sinon jamais je n’aurais autant blagué.

Elle tentait de trouver quelque chose pour se sortir de cette merde. Seulement plus elle réfléchissait plus elle savait qu’elle allait devoir endurer ce fou et sadique d’instructeur. Elle avala un peu sa bave de travers en disant calmement.

- J’imagine que je ne pourrai pas toucher à mon ordinateur pendant quelques secondes hein ? Vous savez les idées apparaissent souvent aux moments bizarres. Et je travaille sur une forme de programme de sécurité.

Elle fit un petit mouvement vers son sac, mais elle s’arrêta et soupira en fermas les yeux.

- Non, j’imagine que non.

Elle balança ses pieds de droite à gauche comme si elle avait de la difficulté à rester sur place et lança un regard de gamine désespérée vers son sac. Mais elle tourna la tête vers ce nouveau sergent en disant calmement.

- Bon je suis à vos ordres j’imagine non, vous voulez que je fasse quoi ? Du tir, des pompes ou de la course ?

Elle regarda ce sergent mais surtout sa cravache qu’elle n’aime déjà pas

Maritza je me permet une remarque que ton entraineur t'as déjà fait, crois tu sincèrement que l'on prendrait le temps de poursuivre cet entrainement si tu agissais ainsi? Simplement on te dégagerait à coup de pied dans le cul, tu es peut être bonne mais tu es remplaçable pour le SGC, comme tout le monde, merci de modérer tes propos. Sinon nous ne pourrons t'accepter.

Je tiens à précisez que ceci est ta dernière chance, jusqu'à présent ton personnage ne respecte rien, et surtout pas ses supérieurs, aussi, il va falloir un sérieux changement de comportement si elle espère être prise, ton prochain message sera décisif

Mise en pause en relation avec quelques mises au point à faire.