Jason avait sentit le pied du gamin, il sera ses poings et se retenta de dire une phrase au grand publique. Comme si son dos ne lui faisait déjà pas assez mal. Il sentit quelque chose tomber de sa manche puis le jeune homme sortit en courant de la boulangerie. Kawasaky n’avait pas besoin de vérifier pour être sûr que le médaillon n’était plus en sa possession. Le militaire regarda son coéquipier et les deux autres personnes présentent. Nicolas restait immobile, à croire qu’il cherchait toujours ce qu venait de se produire. Cela fit monter les yeux de Jason vers le haut qui lâcha juste après un grand soupir.

* Y en a pas un pour rattraper l’autre.*

- Mr. Bellamy, si pour une fois, on mettait nos différents de côté pour rattraper le… nos billet pour l’avion ? Veuillez m’excuser vous monsieur, madame, mais j’ai quelque chose à rattraper.

A son tour, Jason quitta la boulangerie et se lança à la poursuite du garçon qui avait déjà prit une belle avance. Si Kawalsky n’aurait pas eu de douleur à la jambe, il se serait très vite retrouvé à côté du jeune homme mais ce dernier ayant donné un coup de pied au genou du militaire, Kawalsky avait du mal à courir.

* J’espère que Nicolas à une bonne endurance sinon, je crois que le Lieutenant Fordin va être plus que mécontente… J‘ai quitté le RPIMa pour explorer des planètes en passant par une porte en forme d‘anneau, et non pour courir après un gosse…*

Le gamin avait une bonne endurance et semait presque Jason dans le village. L’enfant se dirigea vers un petit parc semé d’arbres. Kawlasky s’arrêta pour reprendre son souffle quelques secondes. Puis, il regarda autour de lui espérant apercevoir le garçon qu’il cherchait.

-Écoutes-moi, petit, je sais désolé si je t’ai fais peur ou…enfin je suis vraiment désolé de t’avoir mis dans cet état. Je ne veux pas te faire de mal mais vois-tu, mon ami et moi, nous sommes des gens qui travaillent pour un journal, certes, nous n’en avons pas l’apparence, mais il faut me croire ! Ce que je t’avais pris, je ne sais pas ce que c’est, mais je veux justement savoir ce que c’est. Si c’est quelque chose de précieux à tes yeux, je ne ferai que le regarder, je prendrai une photo avec mon portable et sa sera finit, je te laisserai tranquille. Je t’en donne ma parole.

Le militaire vit soudainement le jeune homme reprendre sa course. Kawlasky en fit de même et la poursuite recommença dans les rues étroites du village.

* Je hais les gosse.*

Non mais ont ce fout presque de ma gueule ici!

Anhim se retrouvait dans le siège passager d'une jeep, en temps normal il n'aurait rien contre le silence qui s'était installé entre le conducteur et lui, mais là il voulait des réponses.

Il était en train d'explorer la base SGC, se familiariser avec les nouveaux lieux afin de pouvoir se retrouver dans le futur. Il était en train de faire son propre plan de la base avec les points intéressant pour lui, la bibliothèque, le laboratoire, etc... quand un homme l'accrocha brutalement.

-"Vous! Vous êtes la nouvelle recrue? L'archéologue?"

-"Hum... Oui c'est bien moi, Anhim Jural." Balbutie le jeune homme

-"Parfait, vous venez donc avec moi!"

Sans plus de cérémonie le militaire saisit l'archéologue pas l'épaule et le força vers le garage. Cette manie chez les militaires de le traité comme un sac de farine commençait sérieusement à l'énerver.

La jeep avançait toujours et encore dans le silence. Anhim avait beau le questionner sur ce qu'il voulait de lui et ce qui l'attendait à l'arrivée, il recevait toujours la même réponse: "Tu saura tout ce que tu as besoin de connaître quand tu arrivera".

Abruti! Peut-être que dans l'âme d'un militaire cela tien mais comment veux-tu que j'aide en arrivant si je ne connais rien des détails. Je n'agis pas sans faire de plan et maintenant je vais devoir attendre sur place et faire attendre les autres alors qu'ils me mettent à jour.

L'archéologue soupira, il ne pouvait rien contre cette tête de mule. Voyons, il m'a choisi car je suis archéologue, donc cela doit concerné des fouilles ou au minimum une traduction de quelque sorte.

Les pensées du jeune furent interrompu quand le militaire brisa enfin le silence.

-"Nous somme presque arrivé, le village de St Faycelles est en vue"

Le regardant Anhim réalisa que le militaire ne s'adressait pas à lui mais parlait dans une radio. Bon au moins je sais ou je vais...

Peu de temps après ils s'arrêtèrent non loin d'un autre militaire, sans aucun doute celui à qui Anhim devait répondre.

-"Anhim Jural, archéologue. Est-ce que je peux savoir pourquoi je suis ici?"

Il en avait marre de rester dans l'ignorance, il voulait apprendre ce qu'il fichait dans ce village. Avaient-ils au moins une bonne excuse ou était-ce un blague réservé pour les nouvelles recrues?

Gwarius en avait marre. Ses collègues avait beau appeler le gamin, lui dire dire qu'il ne leur ferait aucun mal et essayer de le rassurer, la porte ne s'ouvrait pas. Il faut dire qu'avec le sprint qu'il s'était fait avant pour leur échapper, le pauvre était peu-être traumatisé. Sa fessait un bout de temps qu'ils étaient là, mais on pouvait entendre des bruits derrière la porte, des chuchotements, l'enfant ne devait pas être tout seul à l'intérieur. Gwarius regardât la boite aux lettres de l'habitation. Après y avoir lu M. et Md Nédhyguan Pas de pub merci, il s'avança prêt de la porte, et frappa en disant suffisamment fort :

-"Il y à quelqu'un ? Police fédérale française, Monsieur et Madame Nez d'iguane, vous avez un fils, comment s'appelle t'il ? Non parce que nous l'avons vu avec en sa possession un objet de l'état classé secret défense ! Ne vous en faites pas, nous ne feront rien à votre fils, nous avons juste quelques questions à poser et nous voudrions voir l'objet en question vérifier s'il est bien en effet propriété de l'état."

Gwarius se demanda s'il avait bien le droit de se faire passer pour un policier, mais après tout mieux valait passer pour des représentants de la loi que pour une bande de pervers courant après un petit gamin. La porte s'ouvrit presque immédiatement, d'un coup sec. Apparemment la dame qui apparue devant eux devait être resté derrière tout le long à écouter ce qu'il y avait derrière. Le jeune archéologue sortit sa carte d'identité, et la montra brièvement à la dame, suffisamment rapidement pour qu'elle ne voie pas que c'était une carte d'identité banale. Il enchaîna en essayant de prendre en compte tout ce qui avait pu être entendu au travers la porte avant qu'on se décide à leur ouvrir, et prit une voix grave et sérieuse.


-"Bonjour madame, Commissaire Deschain, et voici les reporters Kawasaky et Boncopain" ajouta t'il en levant son pouce par-dessus son épaule pour présenter ses collègues, tout en se demandant s'il n'avait pas écorcher l'un des noms quelque part. "Tout d'abord désolé de vous avoir effrayé vous ou votre fils, mais vous connaissez les journalistes, ils manquent souvent de répartie dès le moment où ils dénichent ce qui ressemble de prêt ou de loin à une info croustillante pour eux. Le fait est que nous aurions vus votre fils avec en sa possession une petite pièce de monnaie, aux gravures inhabituelles, qui serait très probablement une prestigieuse pièce de collection en ancien franc dérobé au musée du Louvre il y à quelques semaines, et dont on m'a chargé de retrouver. "


La dame semblait très mal à l'aise, au bord de la panique, peut-être n'avait -elle jamais eu devant le seuil de sa porte des gens aussi importants. C'était plutôt bien qu'elle panique de la sorte, sa laissait peu de place au doute, et Gwarius continua ne lui laissant pas en placer une :


-"Ne vous en faite pas, ces journalistes sont là uniquement car ils pensent que cette pièce est d'origine extra-terrestre, enfin vous voyez ce que je veux dire quoi, une paranoïa pure et simple ! " fit t'il en s'efforçant d'afficher un petit sourire moqueur communicatif.


-"Bref, pourrions-nous voir votre fils et cette pièce s'il vous plait, ne vous en fait pas s'il s'agit bien de la pièce disparue vous ne risquez rien légalement, en effet il va sans dire que si votre fils ai pu se procurer un tel objet, ce n'est ni plus ni moins qu'une erreur et un heureux hasard ! Nous ne vous ennuierons plus après."

Gwarius espéra que son baratin serait suffisant pour dissiper à la fois toute rumeur sur des choses extra-terrestres, et pour obtenir cette pièce en même temps. Il pria aussi pour que cette pièce en valle le coup, que ce soit même au mieux une pièce de vaisseau spatial, sinon quelle perte de temps.

Jural/Nokotay/Davids :
[ HRP : Davids, je t'ai fait arriver avec les autres ]

Fordin attendait patiemment les bras croisés, au point de rendez vous qu'elle avait fixé avec le lieutenant au téléphone. Il avait dégotté d'autres membres pour lui venir en aide sur le terrain. Elle vit la première jeep arriver, suivie immédiatement de la seconde. Deux hommes en sortirent, et se présentèrent à tour de rôle. Elle attendit que le second eut terminé, à savoir Jural, et ajouta, les yeux rivés sur la troisième jeep qu'elle vit arriver de loin :

« Deux secondes mes loulous. Il manque un troisième lascars. »

Et quelle agréable surprise quand elle vit que c'était une femme. Ça allait mettre du piment aux choses pensa-t-elle, ravie.

« …Qui est en fait une lascarde ! Parfait !
Je suis le lieutenant Fordin, chargée de gérer la mission en cours. Et quelle mission ! Trois de vos camarades sont déjà sur les lieux. Et … Bien, en route, je vous explique sur le chemin, pas de temps à perdre. »

La petite Anne toute rondouillarde fit signe aux trois nouveaux, pour leur indiquer la direction à prendre. Elle fit signe en suite aux trois soldats, au volant de leur jeep respective pour les remercier, puis elle se posta derrière eux, fermant la marche, et reprit son baratin :

« Oui donc …
On nous a signalé un soit disant vaisseau spatial ou un truc du genre qui se serait échoué par ici. Plusieurs villageois ont vu l'objet traverser le ciel, ou ont cru voir, là est la question. Le problème, c'est que c'est en train de faire un buzz interplanétaire sur le net. Et il est hors de questions que St Faycelles se transforme en nid à touristes mal sapés, vu la proximité que ce village a avec la base. Donc on met le doigt sur le problème, et on s'en débarrasse au plus vite. Et si il y en a pas, on trouve le responsable de la publication de telles photos sur le net, et on lui arrache les yeux.
…
Quant aux trois autres zigotos, ils ont mis la main sur un gamin, qui semblerait avoir en sa possession, une sorte de médaillon bizarre … Ma foi, j'espère qu'ils disent vrai, parce que ... »

Sa voix se perdit dans le vide, son attention s'étant posée soudainement sur autre chose. Plus exactement des bruits de foule, pas très rassurants. Le lieutenant Fordin et ses trois acolytes, avaient parcouru la moitié du chemin qui les séparait de la maison du gamin, où Descahin, Kawalsky et Bellamy devaient encore y être. Ils avaient emprunté des petites rues bien calmes, et n'avaient croisé encore personne. Seulement, au plus ils avançaient, au plus les bruits étaient importants.
Ils arrivèrent à une intersection, et au moment où Jural mit le pied dans l'autre ruelle, un grand chose tout vert apparut derrière le mur, se jetant littéralement sur lui. Bien que très mal déguisé, il s'agit juste d'un fanatique, qui avait enfilé un genre de costume d'extra terrestre.
Anne Fordin, aussi surprise que tout le reste du groupe, s'empressa de rejoindre le duo tombé à terre, mais n'eut pas besoin d'intervenir, le fanatique s'étant immédiatement redressé, sans pour autant s'excuser auprès de Jural, ni de l'aider à se relever. Il jeta juste tour à tour un coup d'oeil aux membres du SGC et ajouta, d'une voix qui se voulait effrayante :

« Ah ah, O.V.N.I EN VUUUUUUE. Ils sont là, ils sont là ! Ils vont enfin venir nous sauver, nos maîtres tout puissants ! NOUS ALLONS ENFIN POUVOIR NOUS ELEVER VERS D'AUTRES PLANETES ! Conquérir toute la galaxiiiiiie ! Ouuuuuuuhhhhh »

Et il repartit aussi déjanté, dans la direction opposée, en sautillant à droite à gauche, continuant de hurler tout son baratin. Fordin n'en croyait pas ses yeux. Ça existait vraiment ce genre d'individus ? D'une voix bien plus sérieuse, elle s'empressa de dire :

« Ok... Là on a de sérieux problèmes. Elle s'empressa d'agir en même temps, et de sortir des armes de son sac à dos. De simples pamas. Simple mesure de sécurité …
Noël en avance, vous gagnez chacun un pamas ! Nokotay … et elle lui lança l'arme en direction. Davids ! Et elle fit de même. Puis elle s'avança de Jural.
Ça va aller Jural ? Ne soyez pas jaloux de leur déguisement, je vous offrirai le même. Et elle lui confia à lui aussi une arme.
…
Que je sois bien claire, je ne veux aucuns blessés, ...ni morts tant qu'on y est ! Seulement, si ils sont tous aussi barges que celui là, on risque d'avoir du mal à avancer ! On sort nos joujoux qu'en dernier recours, c'est bien compris ?
Faut qu'on rejoigne le reste de l'équipe, donc on se disperse, ou on fonce dans le tas, peu importe, je vous veux tous là bas, aussi vite que possible. »

Fordin s'avança dans la ruelle, et tomba sur la place du village encore une fois. Seulement, elle était bondée de monde. Elle y était passée 5 minutes auparavant, et rien. Maintenant, elle bourdonnait de fanatiques aussi barrés que le premier, qui commençaient déjà à accourir vers eux. Fordin eut juste le temps de donner les dernières indications à ses 3 acolytes, à savoir la direction de la maison à rejoindre.
Un groupe d'une dizaine de personnes apparut derrière Jural, Nokotay, et Davids qui par mouvement de foule, les emportèrent au milieu de la place, leur hurlant dans les oreilles les même absurdités qu'ils avaient entendu auparavant. Ils avaient tous des chapeaux, pancartes et maquillages assortis à leurs idées, et ne se firent pas prier pour les faire partager avec leurs trois nouveaux amis.

[ HRP : La place est vraiment bondée de monde, il est très difficile de s'y déplacer, tout autant de se débarrasser de ses sangsues de fanatiques. ]


Deschain/ Kawalsky/Bellamy :
[ Ça arrive, ça arrive ! Dans la soirée, je poste pour vous ]
EDIT : Milles excuses, je fais demain finalement Si tu veux répondre Nicolas

Deschain/Bellamy/Kawalsky :

[ Encore désolé du retard ]

Mme Nédhyguan était restée muette durant tout le beau discours de Gwarius, bien trop occupée à cacher sa peur qui se lisait clairement sur son visage. Elle semblait agitée, et ne cessait de jeter des regards inquiets dans son dos. Il y avait du mouvement derrière elle, seulement les trois hommes ne purent voir grand chose, Mme Nédhyguan faisant bien attention à garder la porte très peu ouverte.
Elle n'avait finalement pas tout écouté à ce que ce commissaire lui racontait, mais juste assez pour comprendre qu'ils voulaient entrer, ou du moins voir son fils. Ses genoux commencèrent à trembler, elle regarda l'homme en face d'elle un long moment, faisant peu à peu bouger ses lèvres sans pour autant qu'un seul son en sorte. Puis soudainement, sans crier garde, elle recula et referma la porte violemment, s'empressant de hurler à quelqu'un de l'autre côté. Les seuls mots audibles dans tout le bazar qui semblait y avoir à l'intérieur de la maison, étaient « ils sont là » et « il faut le cacher, il faut le cacher ».

[ HRP : Par chance ( ben oui, sinon c'était pas drôle ), Mme Nédhyguan n'a pas refermé la porte derrière elle. Vous avez donc deux solutions ! Entrer ou ne pas y entrer, telle est la question.
Ne pas y entrer : Vous attendez sagement ou non, Fordin et ses trois nouveaux acolytes.

Y entrer : La porte n'est donc pas verrouillée, il suffit juste de la pousser et vous atterrissez dans le hall d'entrée. Tout est assez sombre et sans dessus dessous. Plein de cartons trônent un peu partout. Deux portes :

Spoiler:

Que vous alliez dans l'un ou l'autre, vous tombez sur un homme, qui pourrait bien être Mr Nédhyguan, qui porte dans ses bras un autre carton ( quand on aime, on ne compte pas. ). Il le fait tomber par terre dès qu'il vous voit, et se commence à vous hurler dessus, vous demandant ce que vous fabriquez dans sa maison, et en vous priant par la même occasion d'en déguerpir. Il est très énervé ce cher Mr Nédhyguan, et se baisse immédiatement à terre pour ramasser les objets qui se sont échappés de son carton. A savoir, si vous y regardez de plus près, d'étonnants bouts de métal ou tout autre matière du genre, où y sont inscrits des inscriptions similaires à celles trouvées sur le médaillon.

Euh … MP si y'a problème ]

Anhim écoutait le discours du militaire tout en regardant autours de lui. A ses côté, il y avait un homme et une femme, devant lui une militaire. Décidément cette opération serait une nouvelle aventure "à la militaire", comme c'était dommage. Il avait entendu parler des superbes aventures sur lequel partait certains archéologue, mais lui, un nouveau, ne faisait que se taper la suite de militaires. Il n'avait rien contre ces aventures, au contraire il était heureux de ne plus être dans son ancienne vie, mais il n'utilisait pas son potentiel. Il était un archéologue à la fin, pas un garçon qui ne sert qu'à transporter l'eau et traduire deux phrases ici et la.

Soudain son attention revint directement au discoure du militaire. Un vaisseau... spatial. Anhim sourit à l'idée, depuis qu'il avait découvert le "manque" dans les hiéroglyphes, il mourait d'envie de voir un des vaisseaux spatiaux dont l'histoire semble avoir fait un bon travail de ne pas en marquer le passage. Avec un peu de chance il pourrait enfin un voir un aujourd'hui.

La femme à côté de lui sembla douté de l'existence du vaisseaux et plus intriguer par le médaillon. C'est dommage mais elle à raison... Faute de preuve, il ne fallait pas trop hausser les espoirs, mais cela ne l'empêchait pas de rêver, d'espérer trouver quelque chose.

- "Je devine que si nous sommes ici c'est parce que vous croyez la possibilité d'un vaisseau spatial bien réel... non?"

Il ne s'attendait pas vraiment à une réponse, c'était plus un songe à haute voix qu'autre chose. Il sut cependant qu'il n'aurait pas de réponses quand il vit les trois porter leurs regards à la place devant eux, à la sortie de la ruelle. Anhim se retourna et à peine sortit il vit un homme vert lui sauta dessus, le renversant sans aucun avertissement. Toujours sonné et perdu il vit l'homme s'en aller en criant des foutaises. C'est alors qu'il comprit enfin que c'était un "extraterrestre" qui l'avait attaqué. Le cul toujours à terre il vit la femme qui était arrivé juste après lui, lui tendre sa main. Il accepta l'aide de bonne volonté et fût vite sur pied.

-"Merci."

Il venait à peine d'enlever la poussière qui s'était posé sur ses vêtements que la militaire se tint devant lui en le questionnant.

-"C'est vrai? Vous irez jusqu'à m'offrir un beau costume basé sur une idée préconçus d'êtres qu'ils n'ont jamais vu et ne font que soupçonner l'existence? Non, ce serait trop gentil je ne peu pas accepter."

Son sourire disparut quand elle lui tendit une arme à feu. Pas de blessé? Aucun risque, avec moi c'est plutôt les fenêtres qui craignent. Anhim n'avait toujours pas eu le temps de s'améliorer au tir depuis son entraînement. Il prit l'arme mais se dit que les chances qu'il la dégaine étaient ridiculement petites.

Le tout avançait rapidement, maintenant il fallait se dispersé. Pourquoi...? Ce ne serait pas plus efficace de simplement foncé en bloc? N'ayant pas le temps de formuler ses pensées, il suivit l'exemple des autres et entra dans la foule.

Marcher dans ses conditions se releva extrêmement pénible, continuellement bousculé et piétiné. Il avait presque envie de sortir son arme à feu pour que les fanatiques lui fasse de la place mais il se ravisa, cela ne ferait qu'empirer les choses.

Anhim commençait enfin à trouver un bon rythme de marche quand il vit à travers les têtes une forme verte qui se dirigeait vers lui. Encore? Mais tu le fait exprès ou quoi? Il s'arrêta sur place, et attendit se extraterrestre, l'homme en vert, l'agresseur venu de l'espace. Ça pourrait faire un bon livre ça, non? L'archéologue sourit, il aimait bien sa façon de pensé, complètement non-linéaire, combien de fois avait-il perdu des gens dans ses explications à cause de cela?

Il ne suffit que quelques instant et il devint évident que l'extraterrestre se dirigeait bien vers lui. Anhim ouvrit grand ses bras comme si il voulait l'embrasser. Il commença à avance vers l'autre homme en vert jusqu'à ce que plus que trois pas ne les sépares. L'extraterrestre saute de nouveau vers Anhim, mais celui-ci n'était pas dupe, il s'y était attendu. À la dernière seconde il se tassa de côté tout en laissant son pied droit sur place. L'imposteur accrocha violemment le membre de l'archéologue et se retrouva face à terre la seconde d'après, sonné mais pas blessé grâce à son costume sans aucun doute.

Anhim se pencha au dessus de lui et lui parla dans l'oreille.

-"Mon ami, prochaine fois que tu décide d'énerver quelqu'un fait attention qu'il ne soit pas des services secrets. Tu ferais mieux de retourner chez toi avant que tu ne tombe sous notre surveillance."

Avant que l'homme n'ait pu se relever, Anhim disparut dans la foule. S'éloignant d'un bon pas, il éclata de rire; Il avait toujours rêvé de faire le coup d'agent secret à quelqu'un, et cette fois ci l'occasion avait été trop belle pour être manquée.

Il continua à avancé dans la foule, un sourire radieux au visage. Finalement, cette journée avait du potentiel.

Il arriva enfin au bord de la foule et vit celle qui était arrivé juste après lui au rendez-vous. Il la rejoignis rapidement et réalisa qu'il ne connaissait même pas son nom.

- "Quelle foule, et croire que les gens traites les rues de Paris comme les plus bondées...

Au fait, je m'appelle Anhim, Anhim Jural, Archéologue."

Sheyffi était arrivée saine et sauve de l’autre côté, et n’en revenait toujours pas d’ailleurs. Avec ce monde incroyable sur la place, c’était un miracle qu’il n’y ait pas encore d’accident grave à cause du déchainement de la foule. Ce genre d’évènement était la représentation d’une grande porte ouverte pour tous les brigands du coin : cambriolage, briser les vitrines, c’était le monde rêvé pour mettre le village sans dessus-dessous. Tentant toujours de repérer ses collègues, elle fut contente de voir qu’elle n’était pas la seule à être arrivée jusque là. L’un des hommes qui était arrivé en même temps qu’elle venait de s’extirper de la masse, non sans mal. Elle lui adressa un petit sourire, et décida de se présenter convenablement à son tour.

-Enchanté. Je suis Sheyffi Nokotay, mais on m’appelle Noky généralement : caporal chef et donc femme militaire.
En tout cas cela m’étonne que la situation n’ait pas encore dégénérée avec tout ce monde.

Le lieutenant Fordin et l’autre homme en revanche, étaient toujours portés disparus. Ce n’était pas inquiétant, du moins pour le moment. Mais s’ils ne réapparaissaient pas d’ici une dizaine de minutes, il faudrait craindre le pire et intervenir. Regardant autour d’elle, la rouquine commençait à tourner en rond dans ce début de rue et observait de droite à gauche dans l’espoir d’apercevoir quelque chose. Alors qu’elle allait de nouveau adresser la parole l’archéologue, pour occuper le temps, elle fut surprise de voir une femme arriver dans leur direction. Sa marche paraissait calme, trop calme même vu la situation. De plus, elle portait un bien étrange colis qu’elle paraissait caché aux yeux de tous : elle était louche. Noky fronça les sourcils et observa la femme continuer sa progression vers eux. La foule faisait barrage de toute façon. La militaire aurait pourtant mit sa main au feu que quelque chose ne tournait pas rond avec cette inconnu. S’approchant de son collègue, elle lui parla à voix basse :

-Ça va te paraitre dingue, mais fait moi confiance sur ce coup là, joue le jeu.

Attendant que la femme soit à bonne hauteur, n’ayant plus la possibilité de fuir, Noky s’avança d’un pas et sorti son arme de service en un éclair. La pointant vers la femme, elle lui fit signe de ne pas bouger. De toute façon, la suspecte n’avait pas vraiment le choix, elle n’avait nulle part où fuir avec le monde qu’il y avait derrière. C’était d’ailleurs dingue de voir cette petite scène dans la rue, alors que no loin de là c’était encore la cacophonie parmi la foule.

-Police Nationale Madame, restez où vous êtes. Jural, veuillez regarder ce qu’elle nous cache.
Madame je vous conseille de coopérer, vu les circonstances je n’hésiterais pas à faire feu.

Une fois encore, la demoiselle jouait la comédie et elle adorait ça. Elle espérait juste que l’archéologue en ferait autant. Sortir son arme était certes dangereux mais le risque était calculé. La femme aurait certainement peur et ne penserait pas à demander la justification d’une preuve comme quoi ces deux là étaient de la police. De plus, le ton et la posture de la rouquine étaient très convainquant. Il ne restait plus qu’à savoir ce qu’elle était si décidée à leur cacher à présent.

Sheyffi Nokotay, pas un nom très commun... Enfin, qui suis-je pour juger avec un nom comme le mien aussi...

-"Oui c'est vrai," fit il portant son regard sur la foule. "Mais pour une fois je ne vais pas me plaindre de la manque de normalité."

Les deux se tenaient sur le bord de rue, patient, tout les deux poirotant en attendant le reste du groupe. Anhim chercha du regard l'homme en vert mais ne le vit pas. Il sourit, son coup avait-il fonctionner, ou l'homme se dissimulait-il simplement dans la foule? Quel que soit le cas il ne s'en plaignait pas, cet homme l'avait bien diverti, il n'avait encore jamais été traité de la sorte. Se faire sauter dessus et après avoir son 'agresseur' prendre la fuite afin de revenir une autre fois.

L'archéologue commençait à trouver le temps un peu long, il tourna sa tête vers Noky et s'aperçut qu'elle observait quelqu'un. Anhim regarda dans la même direction mais n'aperçut qu'une femme marchant dans la rue, rien de bien étrange avec cela. Il allait questionner sa camarade quand celle-ci le devança.

Oula, mais tu va faire quoi avec elle, ce n'est qu'une pauvre femme.

Cependant il hocha la tête et suivit l'exemple de Noky. Ils attendirent ensemble la femme comme si de rien n'était mais au dernier moment Noky fit enfin un geste. Quand Anhim vit qu'elle avait dégainer son arme il retenu à grand effort un pas de recul.

Non calme toi, elle ne va pas commencé à tirer sur les gens, si c'était le cas elle l'aurait fait dans la foule.

Afin de confirmer ses soupçons la militaire s'adressa à la femme. Police national? Et depuis quand ils se baladent en montrant leurs armes à feux aux passants? Il rejoua le scénario dans sa tête rapidement mais ne trouva pas de meilleure alternative dans les cas présent. Au final elle avait bien choisi même si l'archéologue croyait toujours le titre de service secret plus impressionnant. Un comportement enfantin certes, mais qui reste toujours amusant.

Suivant les ordres dissimulés de la militaire, Anhim s'approcha de la femme en faisant bien attention de ne pas se placer entre l'arme à feu et la femme. Quand il arriva devant elle, il la vit serrer son précieux colis un peu plus, elle ne voulait d'évidence pas le lâcher ni le donner. Elle ne faisait confiance à personne, c'était parfaitement évident, et l'arme qui était braqué sur elle ne devait pas aidé, cependant c'était probablement l'unique chose qui l'empêchait de prendre la fuite.

L'archéologue, ou plutôt l'agent de la police national, tendit les bras vers la femme seulement pour la voir se tourner sur elle même, éloignant le paquet des bras intrusifs. Anhim soupira et songea rapidement à un plan. Il fallait gagner la confiance de cette femme, ne serait-ce qu'un instant.

Sans prendre le temps d'y songer beaucoup plus il plongea sa main dans sa poche et sortit sa carte de laisser passer au SGC. Il prit bien soin de camoufler le nom du complexe avec son doigt sans pour autant cacher l'insigne militaire. Il savait bien que cela pourrait être mal vu de la part de sa coéquipière, mais après tout, elle avait dégainé une arme, lui; une simple carte.

Il se pencha vers la femme lui signalant qu'elle voulait simplement lui parler. Levant la voix seulement assez pour que la curieuse femme l'entende il s'adressa à elle.

-"Écoutez moi, nous ne vous voulons aucun mal. Nous sommes ici pour éviter un désastre à cause d'un événement... particulier. Mon amie la-bas, " Anhim tourna la tête légèrement et regarda Noky, "est un peu trop stressé part cette journée. Elle à crut voire en vous une personne mauvaise mais je ne croit pas que ce soit le cas." Anhim marqua une pause laissant le temps à la femme le temps d'absorber les détails. Profitant de la petite pause il sourit à la militaire, lui indiquant que tout allait bien... du moins il l'espérait.

-"Ce que je pense moi," fit-il en s'adressant de nouveau à la femme, "C'est que vous essayez de vous cachez afin de protégé quelqu'un. Hors nous sommes ici pour vous aidez, laissez nous faire notre travail et tout ira bien."

Il avait du bien deviner car la femme semblait hésiter. Profitant de l'instant de doute Anhim s'approcha de nouveau de la femme et prit ses bras doucement. Peu à peu ceux-ci cédèrent leurs emprise sur le 'colis' et Anhim put le prendre des bras de la femme.

Quand l'archéologue posa les yeux sur ce qu'il venait de prendre de la femme il écarquilla les yeux. Non seulement tenait-il pour la première fois un bébé dans ses bras, mais il ne semblait pas être normal, à vrai dire pas humain du tout. Le jeune marmot avait une peau presque violette et son nez manquait à l'appel.

Se reprenant un peu du choc il fit marche arrière et montra le jeunot à Noky. Il s'adressa à elle à voix basse, évitant que la curieuse femme les entendent.

-"C'est moi ou ce petit n'est pas humain... Je veux dire j'ai déjà vu des gens s'asphyxier ou se geler et devenir d'une teinte bleuâtre mais violet, jamais. De plus regarde son nez, ce ne peu pas être une déformation, il manque même les orifices nasaux."

L'archéologue était maintenant perdu, ceci dépassait largement son domaine ou sa compréhension. Avec un peu de chance la militaire aurait une meilleure idée que lui.

Nicolas se tenait légèrement derrière son collègue archéologue. Son discours façon commissaire de police lui fit sortir un legé petit sourire sur son visage. Face à ce discours, la vieille femme paraissait désemparé, comme si l'archéologue avait touché du doigt ce qu'elle cachait. Pris par un hélant de panique la vieille femme claqua la porte d'un coup sec. Nicolas fit surpris par ce tel comportement. A l'intérieur, on pouvait entendre la vieille crié "Ils sont là ! ! " , " Il faut le cacher ! ! " Face à ces exclamation, Nicolas s'interrogea sur l'importance de ce médaillon. A voir la réaction de la vieille femme, celui ci doit avoir une certaine importance. Nicolas regarda la porte a nouveau et vis que celle-ci paraissait encore ouverte. Nicolas regarda l'ensemble du groupe et proposa...

"La porte est resté ouverte, on file voir ou bien on attends notre chère lieutenant fordin ? "

Le lieutenant fordin semblait ne pas passé dans la bouche de Nicolas, celui ci ne pouvais décidément pas la supporté après le réveille qu'elle lui avait fait subir. L'idée d'entré était pour le moins tentant mais qu'allait t-il trouver derrière la porte?

[HRP] desolé pour la taille du post

Deschain avait opté pour l'option 1, entré dans la maison. Les 3 protagonistes passèrent la porte. Nicolas regardait autour de lui et un bazars monstre régnait dans cette maison. Il y avait des cartons partout ce qui limite empêchait d'avancer correctement. Deschain, qui ouvrait la marche, tomba nez à nez avec un homme en colère. Celui-ci en fit même tombé son carton. Des tas de pièces métalliques roulèrent un peu partout. Nicolas regardait de son coté Deschain qui jouait sont rôle de commissaire parfaitement bien. Pendant que l'homme se dépêchait de ramasser ces pièces, Deschain avec réussi a en prendre une et l'examina. De sa position Nicolas ne pouvais rien voir. Mais avoir l'état d'énervement de l'homme, cela n'était pas qu'un simple bout de métal. Bellamy regardait la scène, et l'homme semblait de plus en plus étrange face au questions de Deschain. Mr Nédhyguan, le voir, semblait, semblait perdre la raison. Mais lorsqu'il parla de ces pièces, Nicolas tendit légèrement l'oreille pour écouter ce qu'il racontait. Nicolas se rapprocha de Deschain pour voir un peu mieux mais ces symboles ne lui étaient pas familier, ils n'étaient pas terrestre. A croire que Mr Nédhyguan avait effectivement des objet alien. Mais cette discussion pris une tournure différente lorsque Mr Nédhyguan pris son vieux fusil qui était caché derrière le meuble, derrière lui. Il pointa directement son arme sur Deschain. L'homme exigea de suite que toute l'équipe sorte de sa maison mais il était impossible de laisser filer cette a faire, le SGC aurait de gros problèmes si quelqu'un apprenais l'existence de ces objets. Nicolas regarda Mr Nédhyguan et tenta de joué la carte du bon gars...

"Attendez , attendez la ! Rien ne sert de faire ça, on veux juste parler de vos objet rien de plus. "

Nicolas essaya de calmer le jeu et de faire parlé Mr Nédhyguan pour en savoir un peu plus sur ces objets.


[HRP] désolé encore pour ce post qui selon moi est d'une médiocrité pas possible...

*Oh, super… encore un cas, mais c’est pas possible ! Après la pandémie grippale, c’est la pandémie des cas. J’aurai tout vu*

Jason se plaça devant Gwarius et regarda avec une tête, assez provocante, l’homme qui menaçait les compagnons de Kawalsky, dans ce genre de situation, Jason préférait sauver la peau de ses compagnons plutôt que les voir mourir.

-Minute là, si vous voulez tuer une personne, tuez-moi à la place de ce pauvre civil sans défense, contrairement à moi, il ne vous rien fait. Moi, j’ai tenter de voler un médaillon au gamin que vous protéger. Tuez-moi, si vous le voulez. Je n’aurai pas reçu la légion du mérite mais sa n’a pas d’importance.

Jason se tourna face aux membres du SGC, il commença par Bellamy.

-Bien que nous ayons commencé comme deux rivaux, sachez que vous avez quelque chose qui me plait en vous, vous êtes loin d’être un civil chiant, insupportable ou fatiguant, c’est juste que j’ai du mal à revenir dans la vraie vie après ce que c’est passé dans le RPIMa. Bonne chance.

Ensuite, il se tourna vers Gwarius

Que cela vous serve de leçon, un jour, vous serrez peut être confronté à la même situation que moi. Vous êtes encore jeune, tachez de pas gaspiller la chance de survie que je vous donne.

Jason salua les autres membres et se retourna vers le « cas ». Kawalsky s’interrogea quelques secondes, pourquoi l’homme ne l’avait pas descendu ? Le militaire décida de tenter quelque chose. Il s’approcha doucement de l’homme. Ce dernier commençait à trembler et reculer. Jason arriva à côté de l’homme, prit son arme et regardant le chargeur. La recrue sourira et se retourna vers ses compagnons.

-Vous pouvez mourir que d’une chose, la trouille. Cette arme n’est pas chargé. C’est une bonne chose ! J’ai encore une chance de pouvoir décrocher la médaille du mérite !

Jason balançait l’arme derrière Bellamy et se frotta les mains avec un grand sourire. Il retourna auprès des membres du SGC et se retourna vers l’homme qui restait figer.

Quelle retournement de situation ! Moi qui pensait que sa n’arrivait que dans les séries ou dans les films.


[HRP: Désolé de pas poster souvent mais j'ai pas vraiment le temps de poster.]

Pour Deschain/Kawalsky/Bellamy :

Mr Nédhyguan n'avait pas pu lutter lorsque l'un des trois hommes s'était approché de lui. Il savait très bien que son arme n'était pas chargé, il n'avait pu qu'user de paroles pour l'en dissuader de faire encore un pas, mais en vain. On lui retira l'arme des mains, et il se retrouva aussi perdu que quelques secondes auparavant. Il n'avait plus de moyen de faire pression, et maintenant qu'ils étaient tombés sur les pièces du vaisseau, il était fait comme un rat.
Il ramassa le carton et après un moment d'hésitation, le tendit à Bellamy, en ajoutant d'une voix bien plus fébrile :

« Écoutez … On a rien fait de mal … On l'a trouvé dans le jardin c'est tout … Il y avait un gamin dedans … On l'a récupéré, on ne pouvait pas le laisser là dedans, vous comprenez ? Et puis ma femme a voulu le garder et … »

Il marqua une pause, se massa les tempes, puis s'avança vers le hall, pour venir y appeler sa femme. Il fallait qu'elle rende le gamin, ce n'était pas possible autrement. Il ne cherchait plus à comprendre, maintenant que la Police était au courant c'était de la folie de continuer. Seulement, après plusieurs appels, il ne vit aucun signe de vie de sa bien aimée. Il abandonna quelques secondes de plus les trois hommes au rez de chaussée, et monta quatre à quatre les escaliers. Il les redescendit aussi vite ensuite, pour faire irruption dans le salon et hurler aux trois hommes :

« Je vous en supplie, aidez moi ! Elle est partie ! Elle est partie avec le gamin ! Elle s'en sortira jamais toute seule ! Elle ne peut pas aller bien loin, mais si elle tombe sur ces abrutis de … de ... »

Il ne réussit pas à terminer sa phrase, préférant agir de suite pour l'arrêter au plus vite. Les trois membres du SGC l'accompagnèrent dehors, dans les ruelles de St Faycelles, à la recherche de cette chère Mme Nédhyguan. Rapidement, ils tombèrent nez à nez avec le lieutenant Fordin et son acolyte Davids, en train eux aussi de courir à tout va dans le village.

« Vous trois, avec nous !
Et qui est cet affreux jojo ? »

Par affreux jojo, elle entendait bien sûr Mr Nédhyguan qu'elle n'eut pas le temps d'inspecter sous toutes les coutures, puisqu'elle reprit son sprint, en compagnie de quatre membres du SGC et du civil. Sur le chemin, un des trois lui expliqua rapidement la situation, auquel elle répondit seulement par un : « Et ils comptaient élever un futur Superman ces deux là ? Non mais j'vous jure ! ... ».


Pour Jural/Nokotay :

Mme Nédhyguan avait du mal à écouter ce qu'avait à dire la jeune femme. C'était faux, ce bébé était tombé dans son jardin, c'était le sien … Il fallait qu'elle se débarrasse de ces deux jeunes gens, et elle pourrait fuir à nouveau, loin de tous ces problèmes. Oui, voilà...
Et la solution se profila à l'horizon toute seule, quand on lui demanda de montrer l'endroit où le vaisseau avait échoué. Elle trouverait bien le moyen de les semer sur la route … Elle acquiesça d'un signe de la tête, et mit un pied devant l'autre, dans la direction à suivre pour rejoindre sa maison.
Seulement, elle ne put faire que quelques pas en compagnie de ses deux accompagnateurs. En effet, derrière eux, les zinzins de l'espace avaient décidé de passer à l'action, pour ne pas laisser filer ce beau monde. Une vingtaine de personnes avançaient rapidement dans leur direction, et ils n'avaient pas l'air commodes du tout. Certains avaient des sortes de matraques dans les mains, puis d'autres des cagettes de fruits et légumes ( sûrement dérobés à l'épicier du coin ) qu'ils ne tardèrent pas à lancer sur le trio.


Vous tous :

Soudain, comme par magie, le lieutenant Fordin apparut entre deux ruelles, en compagnie de Davids, mais aussi Kawalsky, Bellamy, Deschain et Mr Nédhyguan. Ils avaient finalement fit un détour de la place pour contourner tout le peuple, et avaient bien fait puisqu'ils se retrouvaient du côté de Nokotay et Jural maintenant.

« Tiens, vous nous avez manqué vous deux ! Puis jetant un regard horrifié à la foule, elle ajouta d'un air bien moins joyeux...
Nokotay, Deschain, Kawalsky et Davids avec moi ! Bellamy et Jural, vous vous occupez de Mr et Mme Nédhyguan ! En espérant qu'ils ne vous kidnappent pas vous non plus. Avait-t-elle dit en jetant un regard assassin au couple. Je les veux dans la Jeep sans une seule égratignure, avec le carton et le gamin en supplément ! Vous partez devant, maintenant !

Vous autres, on empêche ces abrutis d'avancer ! Interdiction de tirer sur un civil, à moins que se soit totalement justifié. Attention, le coup de matraque n'est pas une raison valable, apprenez à les éviter ! On les retient jusqu'à ce que Jural et Bellamy soient dans la Jeep, et après on fout le camp ! Les renforts sont censés arrivés d'ici peu, ils s'occuperont de leur cas en détails !"

Elle avait enchainé ça tout en distribuant du matériel à chacun. Bombes lacrymogène aux quatre membres, un pistolet à Deschain et Kawalsky, et deux fumigènes chacun pour Nokotay et Kawalsky.
Elle jeta un oeil derrière elle pour vérifier que Jural et Bellamy avaient bien filé, puis jeta un premier fumigène aux pieds des premiers illuminés.

« On n'en laisse passer aucun. On tient 5 minutes, et on rejoint les deux zigotos ! Deux autres Jeep nous attendent. Go ! »




[ HRP : Mille excuses à Jural et Deschain, je n'ai pas attendu vos RPs pour la suite, mais comme on est censés terminer ... xD Vous pouvez vous rattraper là


Jural et Bellamy :

Spoiler:

Les autres :

Spoiler:

Je rappelle que la mission se termine ici … Donc rentrer à la Jeep c'est vivement conseillé Puisque Fordin lutte avec vous, elle pourra sans mal vous indiquer la direction pour rejoindre la sortie ! ]

L'archéologue sentit la femme reprendre l'enfant de ses bras, il ne lutta pas, après tout il ne connaissait rien en garde des enfants. Elle le dissimula de nouveau sous son manteau et sembla beaucoup plus paisible qu'auparavant, elle devait commencer à avoir confiance aux deux membres du SGC.

Elle se retourna et commença à avancer, Nokotay et Jural à deux pas derrière elle, s'assurant qu'elle n'essayerait pas de fuir. Enfin la journée semblait tourné pour le mieux, mais l'impression ne dura pas bien longtemps. Au bout de quelques pas des nouveaux fanatiques se mirent dans leurs chemin, mais cette fois-ci ils étaient armés.

En peu de temps, le trio se retrouva bombarder de projectiles diverses. La femme s'était replié sur elle-même, protégeant le jeunot. Anhim lui gardait un bras lever au dessus de sa tête et essayait de s'approcher tant bien que mal de la femme tout en évitant les boites de fruits, pierres et autres objets divers.

Un choc sourd l'envoya à ses genou, un des imbéciles avait réussis à l'avoir avec une caisse de fruits. Non mais quel type d'abruti s'amuse à balancer des caisses vides de fruits? Heureusement ce fut ce moment que choisir les autres membres du SGC afin de faire leurs arrivée. Les fous s'arrêtèrent un instant, visiblement surpris de cette arrivée. Rapidement les ordres furent donnés et Anhim accompagné d'un autre homme prirent la femme et son mari de côté et partirent vers la jeep.

Les quelques coins de rues furent vite passés et la confrontation entre les deux groupes rester sur place se fit noyé par les autres sons ambiant. Il se tourna et vit près du couple l'homme qui se nommait Bellamy. Anhim ralentit un peu le pas afin de pouvoir parler sans s'étouffer et s'adressa aux trois.

"Quand nous somme arrivés nous avons laissé la jeep à l'est de la foule." Accompagnant le geste à la parole il pointa vers l'est; une direction qui les faisaient coupés à travers la foule. "Nous n'allons évidement pas passer à travers cette foule mais essayons de la garder à porter d'oreille afin de ne pas perdre notre orientation."

Sans plus attendre il repartit. Eh beh, toi qui faisait le bon serviteur il y a deux secondes... Anhim n'avait aucune idée pourquoi il avait prit la tête ainsi mais ce n'était pas le moment de ce posé ce genre de questions.

Un autre coin, un autre virage. Anhim tourna de nouveau sa tête afin de voire si la femme arrivait à les suivre avec son fardeau en plus. Heureux de la voire toujours avec eux il porta de nouveau son regard devant lui seulement afin d'y voir un homme à deux pas devant lui. N'ayant aucune façon d'éviter l'accident il se para au choc et fonça directement sur l'homme. Les deux se retrouvèrent sur le sol en moins de deux secondes.

Quand Anhim fut repris du choc il essaya de se relever mais sentit une botte s'enfoncer sur son dos le clouant au sol. Il essaya de rouler et de se dégager mais n'y parvint pas. Ses pensées tournèrent dans sa tête, cherchant une solution mais avant qu'il n'y parvienne il sentit le poids s'enlever de son dos et vit un homme tombé à côté de lui. De l'aide de Bellamy?

Profitant de l'instant de liberté, Anhim se releva et se mit sur pied. Autours de lui se trouvait trois hommes relativement bien bâti plus l'homme à terre. Il ne suffit que d'un coup d'œil pour comprendre qu'ils n'étaient pas la afin de faire connaissance avec des nouveaux amis. Il regarda le reste de son groupe, le couple et Bellamy et réalisa que leurs avancé était coupé avec ses brutes.

Ne voyant pas de meilleurs options il joua la même carte qu'il avait vu la militaire Nokotay joué il y a quelques instants. Il dégaina son arme et la pointa sur une des brutes. "Police national, restez ou vous êtes!" Le doute semblait visiblement s'être incrusté dans les brutes. "Nous sommes ici en mission, nous avons ordres d'escorter ce couple. Ils sont de la plus haute importance et nous ne pouvons nous permettre d'être retardé."

Ne voyant toujours qu'un doute léger dans le regard Anhim enleva la sécurité de l'arme tout en prenant grand soin de laisser son doigt le long du canon, loin de la gâchette. De toute façon, même si il l'avait voulu il doutait pouvoir toucher quelqu'un.

Mais le geste avait suffit et les quatre hommes reculèrent un peu. Il fit signe au trois autres d'avancer et les suivit à son tour. Heureusement la jeep ne devait plus être bien loin.

[HRP] Oki finit de mon côté, Bellamy si tu veux ajouter la fin libre à toi. [/HRP]

Surpris de la réaction de M.Nédhyguan, Gwarius en voyant le gros fusil pointé vers lui leva les mains en l'air, puis après un regard sur ces collègues les baissas. Heureusement le militaire de la troupe agit et réussi à faire baissé l'arme au monsieur très colère. Il s'était approché sans crainte de lui après avoir dit à Gwarius que cela lui serve de leçon et qu'un jour il serait à sa place... Gwarius ne voyait pas trop de quoi il parlait au juste pour la leçon, quant à l'exemple, l'engagé Deschain se dit qu'il n'aurait de toute façon jamais le courage de s'approcher comme ça d'une arme à feu sans savoir s'il elle était chargée ou pas. Heureusement pour Kawalsky celle-ci ne l'était pas et lorsque que la cocotte-minute fut désarmée elle se décida donc à dévoilé les ingrédients de sa colère.

Gwarius écarquilla les yeux lorsqu'il entendit parler d'un truc tombé dans le jardin avec un gamin dedans.

-"Comme superman ? " dit t'il tout bas

Il voulut lui demander de voir la "chose" tombée dans le jardin mais il n'en eu pas le temps, le type appela pour leur expliquer sa femme à sa rescousse, n'ayant pas de réponse il partit la cherchée, et ne la trouvant pas il les appelas à la rescousse pour la retrouver.

Il n'eû d'autre choix que de le suivre et sortir dans les ruelles du village. Bizarrement, il semblait y avoir de l'activité depuis qu'ils étaient entrés dans la maison, Gwarius n'eût pas le temps de détailler le fouillis ambiant mais on aurait dit que la CGT déguisée en costume de chez Disney manifestait dans le coin.

Pendant qu'ils couraient à la suite de M.Nédhyguan ils croisèrent Fordin accompagné d'un autre individu. Et leur demanda tout haut et sans retenue qui était cet affreux jojo en désignant l'homme qui se prenait pour le fermier Kent. Gwarius le regardât un instant mais apparemment M.Nédhyguan n'avait pas entendu comment Fordin l'avait appelé, trop occupé à chercher sa femme. Entre deux bouffées d'air Gwarius répondit :

-"Et bien un "truc" avec des symboles extraterrestre s'est écrasé dans les rangées de choux du jardin de monsieur, et ils ont donc décider d'adopter le bébé qui est sorti du choux, un petit garçon... et sa femme est partie avec,et on la poursuit... "

Poursuis était un grand mot, c'était plus rechercher le mot le plus approprié, surtout avec le bazar dans le village, et ironie du sort Gwarius s'aperçut que plusieurs manifestants portaient des costumes d'alien... décidément les nouvelles allaient vite par ici.

Ils arrivèrent finalement devant d'autres personne, et Gwarius fut soulagé de reconnaitre parmi elle Md. Nédhyguan. Et levant les yeux il eût même le temps de voir le bébé de loin... tout violet ! Non, ce n'était pas possible, il avait du mal voir, mais alors qu'il voulu se rapprocher pour y regarder de plus près, Fordin lui demandât de les aider à repousser la foule qui s'approchait d'eux. Elle lui donna aussi des bombes lacrymogène et une arme à feu ! Gwarius la rangea aussitôt dans sa ceinture, espérant qu'il n'en aurait pas besoin. Il leva les bras essayant de contenir la foule et dit le plus fort possible :


-"S'il vous plait, merci de laisser le passage à ces personnes, qui conduiront la bombe le plus loin possible du village, une équipe de démineurs est en route mais rien ne dit qu'ils arriveront à temps, veuillez garder votre calme et rester ici loin de la zone de déflagration ! "


Il avait sortit ça tout seul, il était en pleine forme aujourd'hui, ce qui fessait qu'il fourmillait d'imagination, il s'en amusait même. Sauf que là sa commençait à être sérieux, la foule s'énervait de plus en plus à voir les autres personnes fuir. Son discours eu son petit effet au premier rang "Quoi ? une bombe ? O mon dieu ! " mais malheureusement Gwarius n'avait pas une grande voix et beaucoup le l'avait pas entendu, en même temps il y avait un vacarme pas possible, de quoi en donner un mal de crane à un doliprane. Fordin éclata des fumigènes de son côté, Gwarius en fit de même et en lança un dans le tas de manifestants devant lui, puis regretta aussitôt se rendant compte qu'il avait oublié de l'allumer. Il reçu en réponse un oeuf en pleine tête, qui lui coula sur son visage, avec un goût et une odeur de pourriture. La foule semblait être contenue derrière le nuage de fumigène, de temps en temps Gwarius repoussait un badaud à la démarche désorientée qui était passé outre et le poussait dans la foule. Avec au sommet de sa tête la partie supérieure de l'oeuf pourri qu'il avait reçu, Gwarius se tourna vers Fordin et lui demandât :

-"Combien de temps on doit encore les contenir ? "