Anhim vit passer le premier homme et ne put s'empêcher de pensé que la scène s'était dérouler parfaitement comme dans les quelques films policier qu'il avait vu. Un homme d'apparence innocente est amené, il est ensuite secoué afin de donner l'information qu'il aurait sans doute donner si la question était venue par elle même. Enfin, ont ne sait jamais... N'y connaissant pratiquement rien dans ce domaine, il resta silencieux et joua son rôle.

Quand l'homme sortit de la salle, Anhim voulu parler un instant avec MickaËlla, mais ft prit de cours quand la porte s'ouvrit de nouveau. Il n'aurait donc pas le temps de discuter de l'affaire jusqu'à la fin de ces entrevus; après tout c'était sans doute pour le mieux.

Le deuxième homme fut renvoyé plus rapidement qu'Anhim ne put se faire une idée de lui. Il avait l'air apeuré mais trop timide afin de vraiment avoir quelque chose à craindre. Mais avant qu'il ne se fasse une vrai idée de l'homme, celui-ci fut expédier hors de la salle, croisé rapidement par une femme.

Celle-ci entra dans la salle, visiblement en colère, et lui jeta un regard noir. Il se consentit de rester impassible, il maintient son regard sur elle. Agir ainsi lui semblait bien étrange, il avait l'impression de ne pas contrôler son corps habituel, qui trahissait presque toujours ses émotions, mais au lieux une statue qui ne bougerais pas même si il en avait eu l'envie.

Madame Brezdek avait continuer son soit disant avertissement, mais déjà Anhim avait compris qu'elle avait commise une erreur. Agir de la sorte n'aiderait personne, surtout qu'il n'y avait aucune vrai raison de s'inquiéter. Ayant une bonne idée de ce qui attendait la femme, il fut tenter d'intervenir afin de la calmer, mais songea à ce qui l'attendrait si il agissait de la sorte. Quitte à voire les foudres de la militaire tomber, autant que ce soit sur d'autres personnes.

La troisième personne interrogé était tout à fait interressante, tout au moins du point de vue de MickaËlla.Elle ne réagissait pas aux mèthodes de coercition basique, ou tout au moins elle y réagissait comme quelqun qui aurait vu travailler des services de contre espionage du proche et moyen orient qui contrairement à ce que l'on pourrait croire rechigner à utiliser la violence lors des interrogatoires.Dailleurs plus aucun pays ne faisait ça, et plus aucun service de renseignements.C'était complètement contre productifs.Vous ne saviez pas si on vous disez la vérité ou ce que vous vouliez entendre pour que cesse la douleur, et vous vous retrouviez le plus souvent dans l'impossibilitée physique de retourner votre prisonnier contre ses anciens compagnons.Mais la femme qui se trouvait en face d'elle était d'une trempe comme on en trouvait peu et son petit discours eut juste pour effet de faire afficher un sourire de contentement sur le visage de MickaËlla.

"Je suis heureuse de savoir que vous ne sortirez pas de cette pièce sans mon aval.Mais voyez vous je pense que vous allez effectivement répondre à mes questions, c'est une question de temps."

MickaËlla semblait on ne peut plus calme et elle sortit son PDA de sa poche et le posa sur la table entre elle et le docteur Lynn Brekzeck.

"Le temps pour un agent du BSPC de passer un coup de télèphone et de vérifier au près de sa hiérarchie qu'effectivement des personnes hautement qualifiés ont été envoyé sur cette affaire et qu'il lui ait vivement conseillé de collaborer.Le temps pour une employé un peu trop confiantes dans nos institutions démocratiques d'appeller ses prôches pour leur dire que vous ne risquez pas de rentrer avant plusieurs ou plusieurs semaines.Le temps pour quelqun qui en sait long sur cette affaire et qui n'aurez rien dit au précédent enquêteurs de me dire ce qu'il sait sur cette affaire et de me noter tout les tèlèphones et nom des personnes qu'elle pense être suspect."

MickaËlla était venu secoué des arbres pour voire ce qu'il allait tombé et rapidement elle était tombé sur un fruit qui avait l'air goûtu et juteux et dire qu'elle avait eu peur de tomber sur des tonnes de laborantins apeurés, sur des familles éploré, et des amis mort d'inquiétudes.

La femme qui était devant MickaËlla n'était pas une employé un peu trop sur d'elle, il ne restait donc que deux possibilitées, elle était une agent du BSPC ou un ennemi infiltré.Elle se leva et se dirigea vers Anihm pour lui faire du rentre dedans.MickaËlla ne s'était pas attendu à ce mouvment de sa part pourtant il était on ne peut plus logique elle n'aurait pas agis diffèremment.La femme voyant qu'elle n'arrivait pas à avoir de réponse ou en tout cas de MickaËlla car son portable avait sonné après qu'elle ait envoyé un message.Mais rien ne disait qu'elle avait essayé de joindre sa hièrarchie, ou un complice et MickaËlla n'en savait pas plus long sur la réponse qu'elle avait reçu.Le Docteur Le Docteur Brezdeck avait docn pris le parti de quitter cette pièce contrairement à ce qu'elle avait prétendu quelques minutes auparavant.Cette information mis la puce à l'oreille à une MickaËlla particulièrement au moindre fait et geste de son adversaire.Tout en se levant et se dirigeant vers la porte MickaËlla répondit poliment au Docteur.

"Je croyais que vous ne souhaitiez pas quitter cette pièce avant que je vous prouves mon identité et la raison de ma venue?"

MickaËlla qui venait de faire le tour du bureau s'approcha à pas de louve du Docteur la fixant droit dans les yeux, cherchant à la jauger à deviner ce qu'elle allait faire ou dire.

"Voyez vous chère Docteur Brezdeck, en bon soldat j'obéis à des ordres et ceux ci sont on ne peut plus clair.Je ne dois divulguer mon identité qu'à des directeurs ou responsables, quand à celle de la personne qui m'accompagne elle ne doit être révélè sous aucun prétexte."

MickaËlla posa sa main sur celle du Docteur et continua de lui parler tout aussi doucement affichant un sourire froid de circonstance.

"Alors si vous voulez quitter cette pièce faites.Mais je demanderais au service de sécurité de vous retenir dans une pièce annexe.Et une fois que je me serais occupé de ratisser l'ensemble du personnel de ce complexe, alors je reviendrais vers vous pour de nouveau vous interroger.Et si vous pensez que je ne le ferais pas vous vous trompez lourdement, ce qu'il y a en jeu dépasse bien plus que ma petite personne, vous et même ce laboratoire."

MickaËlla ouvrit la porte en faisant tourner la main du Docteur, elle attendait de voire si cette dernière alalit franchir la porte ou non.Si elle était un agent du BSPC ou de la DST sa fierté était bien mal placé et risquait de lui coûter chère sur ce coup là si MickaËlla en référait à Dante.Si elle était un agent infiltré pas étonnant que maintenant elle souhaites quitter la salle d'interrogatoire.Et dans le cas improbable ou elle ne serait qu'une simple employé et bien la pauvre déchanterait certainement quand MickaËlla appellerait Dante pour que les services du BSPC passent à la question le dit Dcoteur, comme on passe une surface goudronné au roulau compresseur.

Mais avant toute chose si le Docteur sortait de cette pièce il fallait l'empêcher de fuir la garder sous contrôle et donc ordonner aux agents de sécurité de la garder dans une pièce ou il serait deux en factions en permanence avec l'interdiction formelle pour cette dernière d'utiliser son portable.Dailleurs dans un tel établissement avoir un portable allumé sur soi pendant ses heures de travail était une infraction grave au réglement.MickaËlla espérait jsute en aps arriver à un tel point, cela serait une perte de temps considérable pour son enquête.

Le duel entre les deux femmes continuait de plus belle, et Anhim restait passif, un simple observateur; jusqu'à ce que Lynn affiche un intérêt pour ce dernier. Le regard de cette femme le surpris, il ressemblait presque en tout point à celui qu'il avait déjà vu chez MickËlla. Un sursaut vint le secouer et il tenta de son mieux de dissimuler tout apparence, mais doutait bien avoir réussit.

La femme commençait à lui parlait, mais l'archéologue ne faisait pas attention aux paroles, il gardait son regard fixe mais avait l'esprit ailleurs. Il se maudissait d'avoir agit de la sorte, un réflexe pure et simple avait ridiculisé son histoire.

Le duel reprit ensuite un court moment entre les deux femmes, ou Anhim essaya du mieux qu'il pouvait de reprendre ses esprits. Il s'efforçait de ne rien montré, mais il était certain qu'il avait un air ridicule, que cette femme voyait parfaitement à travers son jeu. Allez... il faut le voire de cette façon; ou tu affronte cette femme maintenant ou alors tu te tape la rogne de l'adjudante... À cette idée il se calma et ramena son esprit à la conversation.

Après un moment de silence, la femme se redressa et se dirigea vers... l'archéologue. Il vit la femme s'approcher de lui, s'approcher de plus en plus et puis enfin lui murmurer quelques mots. Ce n'est qu'après avoir entendu les mots qu'il réalisa comment le docteur s'était placée. L'idée qu'elle essaye de l'amadouer ou l'ensorceler de la sorte ne l'était pas venu à l'esprit; il s'était attendu à un coup ou un torrent d'insulte, mais pas à des mots pareils.

À peine fut elle retourner qu'Anhim haussa un sourcil, ne sachant que tiré de cette expérience, cependant si elle voulait partir il n'y voyait aucune inconvenance. MickaËlla cependant semblait avoir une toute autre idée. Le fait qu'elle d'adresse d'une façon aussi... civilisé à cette femme étonnait l'archéologue et ne lui permettait pas de tiré de bonnes conclusions. Cherche t'elle à la faire partir? l'apeuré, ou la gardé ici encore un moment?

Remarquant un nouveau jeu entre les deux femme dont Anhim n'aurait sut les règles, il décida de continuer son rôle assigner, et si elle devait rester encore un moment, et bien il jouerait son rôle de façon plus convaincante.

MickaËlla se permit de sourire à la dernière réplique de la scientifique.Elle était persuadé que si elle enquêtait sur la disparition de Suzanne elle connaitrait le dossier de cette jeune femme.Pourtant cette jeune femme comme MickaËlla ne savait rien du dossier de la scientifique, l'inverse était vrai.Tout c'était fait dans l'urgence et l'agent du ministère de l'intérieur n'avait pas pris la peine de vérifier auprès de ses supérieurs si des agents spéciaux avaient été envoyés.Elle avait fait préféré prévenir les gendarmes, et cela fit encore plus sourire la jeune femme, et elle reprit la scientifique sur un ton professoral.

"C'est la DPSD que vous auriez du prévenir."

Accompagnant cette dernière vers l'extèrieur de la salle, elle s'adressa aux agents de sécurité présent à l'extérieur.

"Mettez le Docteur au secret dans une piéce annexe, avec interdiction de communiquer avec l'extèrieur.Vous direz à votre directeur et votre chef de la sécurité de contacter le BSPC et la DPSD sur mon identité.Une fois que se sera fait ils pourrant alors confirmer à Madame que je suis bien celle que je prétends sans donner de détails."

MickaËlla marqua une petite pause pour que les agents de sécurités présents puissent assimiller ce qu'elle venait de dire, puis elle embraya pour ne pas leur laisser trop le temps de réflèchir.Il fallait

"Des gendarmes vont arriver selon les dires de notre chère amie.Je ne veux pas qu'il pénétre dans cet établissement sans avoir démontré être bien ce qu'ils sont et que vous n'ayez vérifié auprès de leur hiérarchie si ils ont bien ici dépêché sur ordre de leur supérieur.Suis je bien clair?"

MickaËlla se tourna vers l'entrée regardant l'entrée avec un peu d'anxiété car il se pouvait que cette femme ne soit pas des services de la défense ou de l'intérieur et que les dits gendarmes soient ses complices.Si c'était le cas il pourrait y avoir du grabuge mais elle ne pouvait pas utiliser son matèriel de guerre ici.Pas devant tout ces tèmoins, et elle ne devait pas non plus montrer à des gendarmes l'arsenal dont elle disposait car cela coincerait certaines aux jointures.Déjà il allait falloir discuter avec ces derniers pour éviter de se faire embarquer manu-militari.

Les Agents de sécurité ne réagirent pas quand elle ordonna à ces derniers d'embarquer le fameux Docteur, mais cela alla encore plus loin.La soi disant scientifique avait appellé un des agents de sécurité par son prénom, ce qui fit froncer les sourcils à la jeune femme.Un agetn du ministère qui symphatisait avec une entreprise extèrieur chargé de la sécurité du site sur lequel il était rattaché.Rien que ça lui aurait revallu une réaffectation, mais son fameux grand père était sans conteste un appui puissant qu'elle ne rechignait pas à utiliser.Bien mal allait lui en couter étant donné que les agents de sécurité venaient de braquer leurs armes vers elle.Une fois de plus une infraction, qui à elle seule aurait vallu la rupture du contrat de gardiennage et la suppression d'accrèdition défense et préfectoral, avec en prime un jugement militaire et pénal.Mais MickaËlla ne broncha pas devant ces armes pointées vers elle, elle fit signe à Anihm de ne pas bouger, il ne manquerait plus que ces deux cow-boy en herbe blessent ou tuent un civil du SGC.

Presque aussitôt après la gendarmerie arriva avec un gendarme aussi gradé que MickaËlla donc impossible de jour sur le fait de la supériorité Hiérarchique.Le fameux Michel tendit le télèphone au dit gendarme, MickaËlla pendant ce temps là attendait toujours avec un calme qui n'annonçait qu'une tempête imminente et d'une rare violence.Le gendarme tendit le télèphone à MickaËlla qui le prit et écouta ce que le général avait à dire.Le général aurait du être à la retraite militaire depuis quelques années et même si ils conservaient son titre à vie cela était loin de lui conférer une quelquoncque autorité sur ses lieux, ou sur elle.MickaËlla n'aimait pas les généraux, ou tout au moins elle n'aimait pas ceux du genre de Zimmerman qui n'avait vu la guerre que d'une ligne d'artillerie, et vous faisez de long discours sur l'ardeur des combats et le courage.MickaËlla ne se laissa pas démonter mais tenez à faire les choses dans les régles histoire de remettre à leur place toutes ces personnes qui ne savaient pas ou étaient leur place.

//Mes respects général.Adjudant-chef Strucker.Avec tout le respect du à votre grade monsieur, la limite d'âge d'activité pour un officier général est de 60 ans, et même si vous conservez votre grade à vie, et le respect du à celui-ci, je ne suis pas tenue d'y obéir.Qui plus est si vous est détaché à la sécurité dyu territoire vous savez pertinement que la DPSD est l'uatorité approprié pour intervenir et non la gendarmerie.Les agents de sécurité du site en question m'ont menacé avec des armes enfreingnant ainsi plusieurs loi, et n'ont pas respecté les consignes de sécurité primordiale, et je n'irai même pas plus loin en parlant des affinités de votre petite fille et de l'agent de sécurité dénommé Michel.Mon supérieur a récemment démmis un général de ses fonctions, je gage qu'il ne perdra pas l'occasion de renouveller l'expérience.En ce qui concerne ma mission vous devez être au courant des disparitions et de ce que cela implique.Cette mission ne peut souffir plus de délai, qui plus est je suis autorisé à faire usage de la force.Dans le cas dans lequels je me trouve mes régles d'engagements m'autorisent même d'en faire un emploi létal.Ne croyez pas que j'hésiterais une seule seconde, ça n'est pas le style des RAPAS.Qui ose gagne.//

MickaËlla avait parlé de manière claire, respectueuses, et suffisament fort pour que tout le monde entende.Son petit discours en ferait certainement pas effet sur tout le monde, mais les gendarmes sauraient à qu'ils avaient à faire, sans parler des soi disants militaire.Parce que plus ça allait et plus MickaËlla se demandait si tout ceci ne cachait pas quelque choses de louches.La fameuse Docteur qui n'en était pas une, avec un grand père général trop vieux pour être en service actifs, des agents de sécurité armé, des gendarmes à la place du DPSD.Cela commençait à faire beaucoup.MickaËlla semblait fixer le sol, les yeux dans le vague, toujours avec calme et platitude malgré la tension de la situation.Le RAPAS prenait la mesure de ses forces et de ses adversaires présents, et même si elle était plus que clairement diminué à cause du nombre, elle avait pour elle l'audace et son entrainement.Les gendarmes hésiteraient à tirer, et encore plus quand elle aura pris l'arme de l'adjudant chef et utilisé le dit gendarme comme bouclier humain.Mais le génèral si il en était bien un avait encore une chance de revenir à la raison et de ne pas trop s'impliquer dans une affaire qui lui couterait ses étoiles et les honneurs militaires.