Peter Alhash est descendu du voiture. Il a pris son sac à main et il est parti. Bien sûr qu'il a lu le dossier de SGC, mais il a douté. Les extra-terrestres? Et les extra-terrestres qui ont l'air d'un humain? Et les extra-terrestres ennemis? Un peu bizarre, ça. Mais le lettre était officiel. Le SGC éxiste aussi. Comment ça pourrait être une blague?

Peter Alhash a continué vers SGC. Un jeune gardien lui a dit qu'il pouvait entrer.

Alors, il semble que c'est vrai. Pas plus il va analyser les textes des musiciens grecs d'une culture morte et faire le travail qui n'avait vraiment pas d'utilité pour les hommes normals. Il va découvrir les cultures extra-terrestres et aider à défendre la planète contre les méchants!

Peter a été accompagné d'un soldat jusqu'à la porte de son quartier temporaire dans le niveau 3. "Attende ici. Quelqu'un va t'emmener dans quelques moments." dit le soldat et il a fermé la porte.

L'aventure la plus grande de ma vie va bientôt commencer!

Constance arriva au camp d'entrainement après avoir relu une dernière fois le dossier de Peter. Un archéologue, également informaticien à ses heures... La question est de savoir ce qu'il vaut sur le terrain.

Elle le salua d'un bref signe de tête :

" Peter Alhash ? Je suis le général Constance Parray, je vais m'occuper de votre entrainement. Suivez moi. "

Elle l'entrainait déjà un peu plus loin en demandant :

" J'aimerais savoir si vous vous êtes déjà servi d'une arme, si vous êtes habitués à faire du sport, notamment si vous pratiquez un sport de combat. "

Elle attendit qu'il réponde. Des réponses négatives à chacune de ses questions ne vaudraient pas son exclusion, elle se contenterait d'adapter l'entrainement à son niveau. Peter n'était pas le premier civil qui arrivait au sgc et elle comprenait que certaines recrues ne soient pas au point sur le plan physique. Après tout, les archéologues et autres scientifiques étaient recrutés pour leurs neurones plus qu'autre chose. En revanche, pour aller sur le terrain, il fallait ensuite qu'elles suivent sérieusement leur entrainement, ne serait-ce que pour leur propre sécurité.

Ils avaient fini de traverser une cours et elle l'avait fait rentrer dans une bâtiment qui, de toute évidence, était une salle de tir.

Peter Alhash suivit la femme qui disait qu'elle était général. Peter ne connaissait pas beaucoup de femmes qui étaient généraux. Mais, c'est vrai, il ne connaissait aucun général. Qu'est-ce qu'ils vont me demander? Entraînement? Je suis un archéologue - j'éspère qu'ils ne demanderont pas des visites régulières d'une salle de musculation...

"Euh... une fois, quand j'étais en Égypte, nous avons exploré une site dans un territoire dangereux. Les tribus du désert là ne voulaient pas qu'on fait les fouilles dans leur territoire. Notre chef a demandé que tout membre de l'éxpedition doit savoir utiliser une arme, alors j'appris utiliser... er.... le mot français... c'est une arme d'une grande cadence... beaucoup de tirs par minute... mitraillette."

Il attendit quelques secondes... quand Constance Parray ne répondait pas, il s'est rendu compte qu'il n'a pas répondu sur toutes les questions.

"Et... non, je ne fais pas de sport, pas du tout un sport de combat. Et cette éxpedition dans l'Égypte s'est passé il y a 3 ans."

J'éspère que ça suffit. Je n'ai pas d'envie de passer mon temps apprenant le tir

Constance eut un petit sourire navré devant le manque d'enthousiasme de la recrue. S'il n'était pas d'avantage prêt à s'entrainer ça allait poser problème. Elle décida de lui parler franchement :

" Ecoutez, je ne sais pas pour votre expédition en Egypte, mais là où vous serez envoyé, il y aura plus que des tribus du désert hostiles. Jusque là, on est tombés sur pas mal d'aliens franchement dangereux. Soit vous apprenez à tirer et vous vous maintenez en forme, soit je vous garde à la base. "

Elle sortit un simple pistolet et le lui tendit en ajoutant :

" Je ne vous demanderai pas un entrainement de militaire, bien évidemment, mais j'exigerai des bases solides, pour votre propre sécurité et celle de votre équipe. "

Elle désigna une cible, à une dizaine de mètres.

" C'est à vous. "

Elle espérait qu'il se ferait à l'idée...


[hrp : tu peux tirer plusieurs coups, à toi d edire si tu réussis au non.]

"Soit vous vous apprenez à tirer, soit je vous garde à la base" Jamais! Comment elle veut que je fais mon travail dans la base? Ils ne peuvent pas prendre les ruines anciennes et les mettre dans la salle d'embarquement. Et je ne veux pas être devant l'ordinateur regardant les images faits par des militaires.

Il prit le pistolet. J'éspère que je ne manquerai pas. Il regardait le cible. La main avec le pistolet tremblait. Il y avait beaucoup de temps qu'il a utilisé une arme le dernier fois.
Il tira. Mais aucune balle sortit du pistolet. (hrp: Et maintenant je ne connais pas le mot correct pour la chose sur un pistolet - un bouton sur lequel je dois appuyer pour permettre les balles à sortir. Il sert pour la sécurité) Après il résolut ce problème (en appuyant sur le bouton), il tira encore une fois.

Maintenant, la bulle sortit et elle n'a pas manqué. Il tira encore une fois. Et encore plus. Quatre tires en total, et quatre succès. Peut-être il avait de la chance, peut-être il n'a pas oublié beaucoup.

"C'était mieux que j'ai attendu. Est-ce que ça suffit? Ou il faut que je continue à tirer?"

Constance eut un petit sourire quand elle vit qu'il tremblait. Ah, ces recrues ! Toujours à stresser ! Elle ne lui montra pas sa réaction, toutefois, inutile de l'inquiéter encore plus. Il oublia d'enlever le cran de sécurité et dû s'y reprendre une deuxième fois. Mis à part ce petit contretemps - qui d'ailleurs était la faute de Constance, elle préparait habituellement l'arme à ceux qui n'avaient pas l'habitude de les manier - ce n'était pas mal du tout.

Elle récupéra l'arme en répondant :

" Ça ira, je voulais juste avoir une idée de votre niveau. Ne vous inquiétez pas comme ça. "

Elle reposa l'arme et lui fit signe de la suivre à l'extérieur. Elle le guida vers une sorte de parcours du combattant. Elle avait choisi le parcours de base, vu qu'il avait dit ne pas être sportif. Le but était surtout de voir dans quelle condition physique il était et surtout s'il faisait preuve de bonne volonté.

Elle sortit un chronomètre et expliqua :

" Voilà un parcours relativement simple, mais assez long. Le but est de le faire en un minimum de temps ; inutile de vous préciser qu'il est donc à faire au pas de course. "

Elle s'assura qu'il avait assimilé les instructions et conclut :

" Si vous n'avez pas de question, vous pouvez y aller ! "


[hors rp : pose des questions si tu en as, sinon, tu as, séparés à chaque fois par 50m de course sur terrain plat, des haies, obstacles de toute sorte, échelle horizontale (passer en se balançant avec les bras), échelle de corde, mur de 1m50. va déjà jusque là.]

Peter Alhash regarda toutes les obstacles. Quelque-uns étaient trop difficiles pour lui - il déjà savait qu'il n'avait pas de chance de les surmonter. Quand Constance Parray lui donna le signal à commencer, il courut. Les premières obstacles ne posaient presque aucun problème. Jusqu'à l'échelle horizontale, il a fait très bien.
Mais cet obstacle-ci était trop difficile. Tout simplement, il n'avait pas assez de force dans ses bras ou il ne connassait pas le bon technique pour surmonter cet obstacle. Après essayant de le faire pendant une minute, il se dit que c'est inutile et il a continué vers l'obstacle suivante. Il n'était pas sûr quand il monta sur l'échelle de corde. Il n'avait pas beaucoup d'expérience avec cet obstacle. Et plus il était haut, plus l'échelle devenait instable. Mais enfin, il a réussi.
Il s'est arrêté 15 mètres devant la dernière obstacle - le mur. Il expira et courut vers le mur, sauta et ... non, il n'a pas réussi. Il faut que j'essaie une nouvelle fois... si je mets mes mains au-dessus du mur et je peux les là garder,... ça pourrait fonctionner...
Il revint quelques mètres et sauta encore une fois. Après un éffort enorme de ses bras, il réussit à se rattraper au sommet du mur et de le surmonter.

Il expira et attendit son résultat. Il se sentait bon, il a surmonté un mur aussi haut que lui-même! C'était un succès. Ça doit suffire à cette général....

J'ai passé les tests de tire et de la condition physique. Est-ce qu'il y aura aussi les tests de morale, psychologue, et des connaissances?

Constance regarda Peter qui enchainait les obstacles. Elle ne faisait pas vraiment attention au chrono qui était juste là pour mettre un peu la pression à la recrue. Il y mettait de la volonté, même si l'échelle lui posa pas mal de problème ainsi qu le mur... Il avait l'air plutôt content de lui, apparemment.

Constance le rejoignit, lui tendit une plaquette couverte de symboles et expliqua :

" Dernière épreuve. J'ai vu sur votre dossier que vous connaissiez pas mal de langues actuelles et aciennes. Voilà le principe : vous venez de découvrir une plaquette écrite dans une langue étrange, un mélange de celles que vous êtes sensée connaître soit dit en passant, vous n'avez que cinq minutes pour m'en traduire le plus possible."

Elle lui tendit la plaquette et enclencha le chrono.

"Je vous écoute."

Là, le but était de voir s'il était capable de faire ce pour quoi il venait au sgc sous une certaine pression. S'il perdait tous ses moyens au moindre stress, ça ne servirait à rien de l'envoyer sur le terrain, autant qu'il étudie à la base.

Elle attendit de voir ce que ça donnait, la traduction sous le nez.


[hrp : tu peux inventer ce que tu veux au niveau de la traduction]

Peter Alhash regarda la plaquette. Elle était lourde. Les lettres, ou plutôt les symboles, étaient petites. La plupart des symboles était sans doute dérivé de l'égyptien ancien. Des autres étaient une mélange de l'égyptien et de l'alphabet runique nordique.
"Le Dieu Effrayant et Adoré..." Peter commença à traduire. Ce n'est pas si difficile... ou je suis vraiment super-intelligent., "Râ a habité ce ..euh.. une sphère combinée avec le Nile et la terre... planète peut-être. Puis, étant un Grand Maître ... eau, sable, son ... Suprême, C'est bizarre... qu'est-ce que ça pourrait être... Il réflechit pendant quarante seconds Phonétique! Je lis les symboles commes des choses, mais ceci est une traduction phonétique!"Non, c'est.. Grand Maître .. Goa'uld .. Suprême, il est parti pour battre beaucoup d'ennemis. Il a laissé ses serviteurs... Jaffa... chez nous pendant qu'il n'était pas là. Notre vie tombe... e.... Ça veut dire.. la qualité de notre vie se diminue..."

Cinq minutes passèrent. Le chrono a donné le signal. Peter arrêta de traduire. Il réussit à traduire la moitié du tableau du forme A4. Il attendit.

Constance constata la fin des cinq minutes et l'endroit où s'était arrêté Peter. Il s'en était bien sorti, n'avait pas cédé à la panique. La traduction, bien qu'hésitante était correcte. Il n'était pas allé jusqu'au bout, mais le temps ne le permettait pas vraiment, à moins d'un miracle ou d'un coup de génie.

Elle récupéra la tablette, souriante :
" C'est correct. Eh bien je peux donc vous annoncer que vous êtes officiellement accepté au SGC ! "

Elle réfléchit sur ce qu'elle avait à lui expliquer :
" Vous pouvez donc aller vous installer dans vos quartiers, niveau 3, ensuite, passez à mon bureau pour être affecté à une équipe."

Elle reprit, sérieusement :
" Il faudra continuer à vous entrainer régulièrement au tir et pensez à fréquenter la salle de sport. Vous n'êtes pas militaire, mais si vous n'êtes pas opérationnel, je ne vous laisserai pas sortir. C'est votre vie qui est en jeu, ne l'oubliez pas. "

Elle fit une pause et conclut :
" Bien, vous avez des questions ? "


[hrp : je t'ouvre les accès au sgc]

"Non, madame. Pas encore." Peter Alhash répondit.

Il partit vers son quartier. Il était heureux. Il avait terminé son entrainement et maintenant, il peut vraiment contribuer à l'effort à sauver tous les hommes sur la planète. Et recevoir beaucoup d'argent aussi. Il lirait les rapports des missions déjà terminées et puis, il traverserait lui-même la porte des étoiles.

Allé au Quartier de Peter Alhash, archéologue