Après son retour de Colombie, le jeune homme avait été emmené dans un hopital de Paris, où il fut soigné durant près d'une semaine. Les années passées dans la forêt colombienne l'avait affaibli, et il avait besoin de recouver ses forces. Mais une fois rétablis, il fut encore arrêté une semaine, et des hommes qu'il ne connaissait pas vinrent lui rendre visite. Pourquoi ? Alors que Raphaël était en rééducation dans un centre spécialisé, des hommes étaient venus à sa rencontre, et lui parlèrent d'un projet top secret, concernant une soi-disante "porte des étoiles", qui permettrait de voyager de planètes en planètes à une vitesse imbattable. Jamais le militaire n'avait entendu de tel sottise, et il en avait rit, mais les hommes qui lui faisait face gardait une mine sérieuse. De toute façon, il savait qu'il n'avait rien à y perdre, alors il accepta d'être membre du projet, mais il savait qu'il devrait voir cette soi-disante porte à l'action pour croire à une telle chose.

*Mon dieu, les gens deviennent fou !*, pensa le soldat avec un petit sourire. Comment une telle chose pouvait-elle exister, des extraterrestre ? Fiou, là, il commençait vraiment à croire à une blague, mais bon, il verrait bien de quoi il s'agit réellement. Les hommes lui fixèrent un rendez-vous à la base d'un organisme se nommant le SGC. Raphaël avait vaguement entendu parler du SGC, mais ne voyait pas trop de quoi il s'agissait. Le rendez-vous fut fixé à 8 h 30 le lendemain.

Raphaël pris alors une chambre d'hotel, et dormit rapidement. Si ce que l'on lui avait rapporté était vrai, il y aurait sans aucun doute une mise à l'épreuve, pour juger de son efficacité, et quoiqu'il arrive, il devrait se préparer physiquement et mentalement. Le lendemain, le sniper se leva de bonne heure, il pris un léger petit-déjeuner, pour ne pas avoir l'estomac trop rempli, fit quelques échauffement rapide, et pris ses affaires, en veillant à prendre sur lui un poignard de commando, au cas où...

Le rendez-vous était donné devant un restaurant côté des Champs-Elysée, le jeune homme patienta 5 minutes, puis une voiture noir aux vitres teintées s'arrêta devant lui. Un homme qui était à l'intérieur l'invita à monter, et le soldat entra dans la voiture. La voiture démarra, et bifurqua par de nombreux chemins, et déjà, l'homme assis à côté de Raphaël lui adressa la parole :

- Avez-vous pris connaissance du dossier "porte des étoiles" ?

- Vous me prenez pour qui ? Bien entendu, je ne me lance pas dans une telle aventure si je n'ai pas un minimum d'informations. Cependant, je dois avouer que ce que j'ai lu m'a vraiment stupéfait, et j'espère que ce n'est pas une blague. Mais bon, je ne pense pas que vous êtes le genre de personnes à aller à l'école du rire, en vous regardant, on pourrait croire mn oeuf à la coque que je me suis préparé hier.

L'homme ne répondit pas, ce qui montrait qu'il ne rigolait pas, puis l'homme reprit :

- Raphaël Yhora, vous avez été choisi pour participer au projet "porte des étoiles", tout ce que vous entendrez ou verrez à partir de maintenant ne devra sous aucun prétexte être divulgué à qui que ce soit, sous peine d'une sévère sanction. Compris ?

- Vous ne râté jamais une occasion de nous intriguer, n'est-ce pas ? Ne vous inquiétez pas, j'ai bien reçu le message.

Raphaël avait un sourire aux lèvres. La voiture arriva enfin à une énorme base militaire, cachée, c'était donc là le lieu où ils devaient se rendre. L'homme demanda ensuite à Raphaël d'attendre devant la base, puis l'homme partit quelque part, on ne sait où. Le sniper se dirirgea vers un militaire, et ne pouvant s'empêcher de faire de l'humour, il remit le costume du militaire en place, qui le regardait d'un air étonné, et lui dit en rigolant :

- Et bien, vous êtes bien équipé n'est-ce-pas ? Vous craignez une attaque ici ? Et ben, je sais pas parfaitement où je suis, mais avec une telle chaleur, vous risquez de tombez dans les pommes, et je ne pense pas nécéssaire que vous ayez besoin d'un tel armement pour vous défendre contre les pigeons qui volent ici, non, à moins que les excréments ne brûle votre crâne déjà peu garnis ?

Raphaël était hilare, il riait à grand éclat, et s'éloignait du garde qu'il venait de taquiner, attendant que l'on vienne le chercher.

Stanislas avait reçu ses ordres quelques heures plus tôt.

*@§%£$ de %$£à§, comme si j'avais le temps de m'occuper des nouvelles recrues, KURVA.*

Après réflexion, il se dit qu'en fait, il n'avait pas grand chose d'autre à faire, en ces périodes de fêtes, la base marchait au ralentit, la plupart des personnels ayant posé des vacances pour retrouver leur famille.

Stan se dirigeait donc vers le camps d'entrainement.
Ça faisait un sacré bout de temps qu'il n'y avait pas mis les pieds et il se remémora le premier jour où il avait franchit les portes du complexe militaire.
Son petit problème avec le caporal de garde à l'entrée et sa rencontre avec le Général Parray.

Stan ne savait rien de la recrue qu'il devait évaluer, à part que s'était un militaire qui s'appelait Raphaël Yhora, que ce dernier était en principe en convalescence et qu'il ne faudrait donc pas trop forcer.

Une fois le poste de garde passé, et après avoir rendu son salut au soldat en faction, Stanislas repéra vite celui qui devait le petit nouveau.

"Bonjour, vous devez être Raphaël Yhora, je suis le Caporal chef Lasmezas, membre de SG2 et je serai votre évaluateur pour aujourd'hui."

N'attendant pas vraiment de réponse de la part de son interlocuteur, Stan se dirigea vers un bâtiment d'où provenait le son de tirs.
Certain que la recrue le suivait, Stanislas parlait tout en marchant.

"Nous allons commencer par un test d'armes à feu.
Je ne sais pas si vous avez une grande expérience des armes, je n'ai pas lu votre dossier mais comme vous êtes militaire vous devez avoir reçu une formation de base."

Les deux militaires pénétrèrent dans le bâtiment qui servait de champ de tir.

"Voilà une salade d'arme, vous avez les pièces d'un pistolet et d'un fusil d'assaut qui sont mélangée, je vous chronomètre dès que vous commencez.
Le chrono s'arrête une fois que vous annoncez terminé, ensuite vous pouvez prendre votre temps pour tirer sur les cible qui sont en face de vous.
Si vous n'avez pas de questions, commencez quand vous voulez."


[HRP>> si tu as des questions pose les, sinon, tu commences à remonter les armes puis tu tires au pistolet et au fusil sur trois cibles différentes à 10, 25 et 50m pour le pistolet, puis à 100, 200 et 300m pour le fusil.
Tu décide du temps du chrono et des résultats du tir.]

Raphaël attendait impatiemment que l'on vienne le chercher, il ne supportait pas qu'on le fasse attendre. Mais après quelques minutes d'attentes, un officier vint à sa rencontre.

*Halleluya !!!*, pensa-t-il, il s'approcha de l'homme qui lui dit :

"Bonjour, vous devez être Raphaël Yhora, je suis le Caporal chef Lasmezas, membre de SG2 et je serai votre évaluateur pour aujourd'hui."

Ah ! Alors il allait donc bien être évalué, pas étonnant, et désormais, Raphaël commençait à croire à cette histoire de "porte des étoiles". Il allait donc subir un entraînement, mais le sniper était très sûr de lui, il se voyait déjà admiré de toutes les filles de la base.

*Héhé, je vais l'épater !*

Si c'était une épreuve de tirs, alors il avait toutes les chances de son côté. Avec sa vue perçante et son incroyable précision, il savait que chacun de ses tirs ferait mouche, là était un autre défault de notre sniper, il était très arrogant et prétentieux. Mais il fallait bien l'admettre, il était exceptionnellement bon aux tirs. Raphaël suivit son entraîneur, il entendait des tirs, il devrait donc faire un test aux tirs, et le militaire jubilait déjà de plaisir, le plaisir que lui procurait de montrer sa force et d'impressionner les autres, il se voyait déjà triomphant, jusqu'à ce que Stanislas ne confirme ses pensées :

- Nous allons commencer par un test d'armes à feu.
Je ne sais pas si vous avez une grande expérience des armes, je n'ai pas lu votre dossier mais comme vous êtes militaire vous devez avoir reçu une formation de base.

- J'avais espérer un tel entraînement l'ami, si vous aviez lu mon dossier, le suspens ne serait plus là, je préfère que vous preniez connaissance de mes compétences quand je suis à l'action, répondit le tireur d'élite.

Les deux hommes entrèrent ensuite dans la salle d'armes, et l'instructeur déclara :

- Voilà une salade d'arme, vous avez les pièces d'un pistolet et d'un fusil d'assaut qui sont mélangée, je vous chronomètre dès que vous commencez.
Le chrono s'arrête une fois que vous annoncez terminé, ensuite vous pouvez prendre votre temps pour tirer sur les cible qui sont en face de vous.
Si vous n'avez pas de questions, commencez quand vous voulez.

- Une salle d'armes ? Ca ? Non !!! C'est une salle de filtness, s'sont où les filles ?

Mais le sniper se ravisa, et répondit avec embarras :

- Non je rigole, bon voyons voir ces deux armes. Mhhh... Les cibles sont là-bas, pas très loin.... Bon, je commence, go !

Pour les trois premières cibles, les plus proches, Raphaël assembla rapidement son pistolet en une vingtaine de secondes, lui qui était habitué aux sniper ou fusils d'assault, puis visa. Comme à son habitude, il rapprocha ses mains afin que ses paumes se touchent, tendit ses bras, et visa. En quelues secondes, et exactement trois tirs, il toucha ses trois cibles, deux à la tête, l'autre au niveau du cou. Puis, rapidement, il déposa son pistolet, assembla en quelsues secondes le fusil, visa en collant bien la crosse à son épaule, et, en rigolant, tira...

Les trois cibles, les plus éloignés, furent touchées. La première avec une balle dans la tête et une au torse, la deuxième avec une balle au cou et l'autre dans le ventre, et la troisième, avec deux balles au torse. Raphaël se tourna vers son entraîneur, et dit :

- Terminé ! J'ai mis pas plus de 5 minutes pour faire ma démonstration, alors, épaté ?

D'un naturel assez avenant, Stan se contrôlait et ne laissait transparaitre aucune émotion sur son visage.

Raphaël faisait de l'humour et semblait sûr de lui mais le rôle de Stanislas était de rester distant, du moins le temps de l'évaluation.

En fait, le petit nouveau s'en sortait à merveille, temps au remontage d'arme plus que bon et excellents tirs, mais ce n'est pas pour autant qu'on allait lui faire des compliments.

"Pas mal, mais j'ai déjà vu mieux.
Si vous devez savoir que nous avons des ennemis dans la galaxie, or ces individus portent des armures renforcée, donc pensez à tirer dans le cou, la tête quand elle est découverte ou les membre, histoire de neutraliser efficacement.
Le torse est généralement très bien protégé.
Laissez les armes là et prenez ce flash ball.
J'imagine qu'il n'est pas nécessaire de vous préciser son mode de fonctionnement."

Tout en parlant, Stan avait tendu un flash ball à Raphaël et l'avait entrainé dehors vers une sorte de parcourt d'obstacles.

" Vous allez faire un parcours du combattant.
Pour vous mettre en condition, vous êtes sur une planète ennemie, vous avez été séparé de votre équipe qui vous attend dans un coin sécurisé afin de rejoindre la porte des étoiles.
Des ennemis sont à vos trousses, armés comme vous de flash ball."

Devant lui se trouvaient une dizaine de haies à sauter, des barbelés sur dix mètres, sous lesquels il devrait ramper, un mur de deux mètres par dessus lequel il devrait passer, puis une sorte d'échelle de corde d'une dizaine de mètres, encore une mur, suivi d'une fosse et enfin une corde de quatre ou cinq mètres à grimper qui menait à une petite plate forme. Entre chaque partie du parcours, il y avait cinquante mètres de course à pied.

"Inutile de compter sur d'éventuels renforts, voilà une radio par laquelle je vous contacterai pour la suite.
Une fois en haut de la plate forme, rendez moi compte, à la suite de quoi je vous donnerai d'autres instructions.
Bien évidemment, l'épreuve est chronométrée.
Si les ennemis sont touchés sur des points vitaux, ils s'arrêteront et si vous êtes touché, vous ferez de même.
Si vous n'avez pas de questions, vous pouvez y aller."


[HRP>>> 5 soldats te prennent en chasse,à toi de voir si tu les touches tous, si tu es touché tu peux recommencer, mais forcément le chrono ne recommencera pas lui^^]

Raphaël était fier de lui, quoique, il savait qu'il aurit pu faire beaucoup mieux, mais il ne voulait pas montrer l'étendu de ses talents maintenant, et surtout, il ne voulait pas se fatiguer, car il soupçonner une épreuve encore plus difficile par la suite. Avec un beau sourire, il attendait des compliments, l'entraîneur annonça :

- Pas mal, mais j'ai déjà vu mieux.
Si vous devez savoir que nous avons des ennemis dans la galaxie, or ces individus portent des armures renforcée, donc pensez à tirer dans le cou, la tête quand elle est découverte ou les membre, histoire de neutraliser efficacement.
Le torse est généralement très bien protégé.
Laissez les armes là et prenez ce flash ball.
J'imagine qu'il n'est pas nécessaire de vous préciser son mode de fonctionnement.

- Pas mal ? Pas mal ? C'est tout ce que vous trouvez à dire pour ce chef-d'oeuvre ? Vous cachez l'étendue de vos pensées, hein, pas vrai ? Ouh le petit cachottier.

Mais voyant que Stanislas ne rigolait pas, il dit :

- Aucun sens de l'humour, bon, je me doute bien que c'est un flashball, et ne vous inquiétez pas, je sais m'en servir, c'est quand même pas l'âge des cavernes dans les casernes, on subit de bons entraînements.

Mais qu'est ce qu'il pourrait bien faire d'un flashball, il avait certes sa petite idée, mais il avait l'habitude de tenir des armes ultra-perfectionée, et avoir en main, juste l'idée de se défendre avec une arme si ridicule le déconcerté, en même temps, ce n'était qu'un entraînement. Puis Stanislas poursuivit :

" Vous allez faire un parcours du combattant.
Pour vous mettre en condition, vous êtes sur une planète ennemie, vous avez été séparé de votre équipe qui vous attend dans un coin sécurisé afin de rejoindre la porte des étoiles.
Des ennemis sont à vos trousses, armés comme vous de flash ball."

- Oh miséricorde ! Manquez plus que çà, un parcours du combattant. Comme si j'avais besoin de me salir maintenant.

Raphaël se fichait de se salir en réalité, mais il n'aimait pas trop ce genre d'entraînement, il était endurant, oui, mais il ne supportait pas d'être à découvert, surtout quand il y avait un risque qu'il soit pris en chasse, il avait l'habitude d'être le chasser, pas d'être chassé. Il observa ensuite le parcours, c'était un parcours basique, barbelés, haies, cordes et murs. Stanislas ajouta une dernière chose :

"Inutile de compter sur d'éventuels renforts, voilà une radio par laquelle je vous contacterai pour la suite.
Une fois en haut de la plate forme, rendez moi compte, à la suite de quoi je vous donnerai d'autres instructions.
Bien évidemment, l'épreuve est chronométrée.
Si les ennemis sont touchés sur des points vitaux, ils s'arrêteront et si vous êtes touché, vous ferez de même.
Si vous n'avez pas de questions, vous pouvez y aller."

La recrue prit son inspiration, et dit :

"Bon, le champion va commencer, regardez moi bien, je vais exploser le chronomètre !"

Le temps était un enjeu de taille, et au départ, Raphaël n'attendit pas son reste, il courrut de toutes ses forces. premièrement, les haies. Le soldat leva bien les jambes une par une en se servant des bras, pour mieux enjamber les haies et ne pas perdre de temps ainsi. Puis, les barbelés, la recrue se mit face contre terre, tout sourire, et avança tant bien que mal, en tirant de toutes ses forces sur les bras, et en écartant et collant ses jambes contre la terre, tout en poussant avec, ainsi, il allait plus vite. Troisièmement, le mur de deux mètres, il courru rapidement sur le mur pour pouvoir prendre prise en haut, et passa par-dessus l'obstacle aisément. Raphaël avait déjà fait de tels entraînements.
Maintenant, il fallait passer une échelle de cordes, mais alors qu'il courrait les cinquante mètres qui le séparait de l'obstacle, 3 hommes surgirent de nulles part, armés de flashball aussi. Instinctivement, Raphaël fit une roulade pour éviter deux tirs, et tira, il avait touché l'un des hommes. La recrue poursuivit son chemin vers les cordes, tout en essayant d'esquiver les tirs, il tira deux autres fois, il toucha un autre garde, puis, il sauta très haut pour prendre prise sur les cordes, et tira une dernière fois, il toucha le troisième homme, et il avait bien failli être touché au torse, le sniper l'avait échappé belle. Il y avait ensuite un autre mur, il passa facilement l'obstacle, et maintenant, deux autres hommes le prirent en chasse, il y avait un fossé, deux tirs se dirigeaient vers lui, mais Raphaêl fit exprès de tomber dans le fossé, ainsi, il esquivait les deux tirs, de plus, il avait réussi à s'accrocher en haut avnt de toucher le sol, il remonta, tira deux coups, et toucha deux points vitaux chez le même hommes qui à son tour s'arrêta et fit le mort. Il restait le dernier homme, et le dernier obstacle, une corde à grimper. En esquivant les tirs, l'infiltrateur pris prise sur la corde, enroula sa jambe autour de celle-ci, ainsi, il pouvait tirer et esquivait les tirs à la fois. Il se prit une balle de flashball au tibia, mais réussi en retour à mettre en hors d'état de nuir son poursuivant. Le choc lui avait fait mal, mais il ne gémit pas, et grimpa en haut de la corde, avec un peu de difficulté.

Raphaël arriva à une petite plate-forme, il était arrivé à l'autre bout du parcours, où il voyait l'équipe qui l'attendait, il alluma la rdio, et dit à son entraîneur :

- Voilà, j'ai terminé ! Mais non de dious, je me suis pris un sale coup au tibia, c'est fini, ou il y a une suite ? Je suis fier de moi, j'ai pas dû mettre plus de 10 minutes !

Désormais, il savait à quoi s'attendre, et attendait la suite.

Stanislas prenait des notes tout en observant l'évolution de Raphaël.

Le petit nouveau s'en sortit pas trop mal, mais il était clair qu'il n'avait pas l'habitude d'être pourchassé ainsi.

*Sûrement un sniper, habitué à surprendre plutôt qu'à fuir...*

Le soldat réussit à éliminer ses adversaires mais il reçut une 'balle' pendant qu'il montait la corde à la fin du PO.

// Voilà, j'ai terminé ! Mais non de dious, je me suis pris un sale coup au tibia, c'est fini, ou il y a une suite ? Je suis fier de moi, j'ai pas dû mettre plus de 10 minutes ! //

Étant trop loin du soldat Yhora pour que ce dernier puisse voir son visage, Stan se permit un petit sourire.

// Encore heureux que vous n'ayez pas mis dix minutes auquel cas je vous aurai fait recommencer le parcourt avec un sac de trente kilos et dix adversaires.
Les trois personnes qui doivent être prêt de vous représentent votre équipe.
Vous avez le commandement.
Vous devez tous arriver à la porte qui se trouve de l'autre côté de la forêt.
Bien évidemment, vous êtes encore une fois chronométré, mais le temps n'est pas le facteur le plus important, tâchez de ramener tout le monde à la porte, c'est votre objectif principal.
Je lance le chrono. //

Stan entra alors dans un petite cabane remplie d'écrans.
La forêt était truffée de caméras qui permettraient à l'évaluateur de tout voir en direct.
Ce que ne savait pas Raphaël, c'était que les bois étaient également piégés par des sortes de mines antipersonnel qui émettaient des alarmes.
Ces alarmes permettaient à des soldats embusqués de savoir où trouver l'équipe qui évoluait en direction de la porte.

L'équipe de Raphaël était composée d'un jeune et svelte soldat, d'un homme qui affichait un certain embonpoint et d'une femme.


[HRP>>> Tu décide de tout, déclenchement des pièges, nombre de soldats qui vous trouvent, blessés tout le tointoin.]

Tout fier de lui, Raphaël pensait en avoir finis avec les démonstrations, mais il en fut autrement, Stanislas lui déclara :

// Encore heureux que vous n'ayez pas mis dix minutes auquel cas je vous aurai fait recommencer le parcourt avec un sac de trente kilos et dix adversaires.
Les trois personnes qui doivent être prêt de vous représentent votre équipe.
Vous avez le commandement.
Vous devez tous arriver à la porte qui se trouve de l'autre côté de la forêt.
Bien évidemment, vous êtes encore une fois chronométré, mais le temps n'est pas le facteur le plus important, tâchez de ramener tout le monde à la porte, c'est votre objectif principal.
Je lance le chrono. //

- Ben encore heureux que j'ai pas mis plus de dix minutes.

*Il a qu'à le faire à ma place celui-là, non mais, il me prends pour un imbécile ou quoi ?*, pensa le sniper. Raphaël s'approcha du groupe dont il avait désormais le commandement, et en rigolant, avec un sourire, il dit à son équipe :

- Bon, à partir de maintenant, je suis votre chef, vous êtes sous mes ordres et je n'accepterai aucune erreur. J'ai déjà commandité de nombreuses guérillas, si vous voulez arriver de l'autre côté, faudra me suivre et m'obéir, compris ?

Les hommes du soldats acquiécèrent. Le groupe se composait de deux hommes et d'une femme, le sniper donna premièrement la formation de combat. Le groupe entra donc dans la forêt, et déjà, l'instinct de survie du sniper se révéla, il annonça :

- Bon, on va avançer en se cachant dans les bois, à l'ombre, pour être le plus discret possible. J'ouvre la marche, tous en ligne, les uns derrière les autres, mais surtout, ne vous avisez pas de vous écarter, marcher sur mes propres pas.

Déjà, Raphaël avisait tous les stratagèmes, toutes les circonstances et situations, pièges, hommes, il se méfiaient de tout. Raphaël marchait en première position, en boitant un peu à cause de son tibia endoloris, les hommes derrière lui le suivirent bien, tous caché derrière l'ombre des bois, jusqu'au moment où l'un de ses coéquipiers, le plus gros, ne déclenche une alarme, une lumière rouge se dégageait d'un objet, c'était une mine, heureusement, l'homme n'avait pas marcher dessus. Raphaël déclara :

- Bon, y'a des mines anti-personnelles ici, je m'en dourtait un peu, t'as pas marcher dessus, pourtant, une alarme s'est déclanchée. C'est bizarre... Bon, je suis peut-être chronométré, mais faut que je sacha à quoi sert cette alarme. On va se cacher derrière les buissons là-bas, à couvert, si des hommes vous voient, ne bougez pas, on ne peut pas vous voir, sauf au moindre mouvement, changez toujours votre champ de vision.

Le groupe de soldats se cacha derrière les buissons, alertes, et après quelques secondes, trois hommes armés de flashball arrivèrent, ne voyant personne. Raphaël tira plusieurs coups, deux soldats s'arrèterrent, puis ses hommes poursuivirent les tirs, et le troisième homme s'arrêta à son tour. Raphaël se tourna vers son groupe et dit :

- Bon, on va pas se séparer, mais on va se servir de ses alarmes pour tromper les soldats.

Premièrement, Raphaël prit la tunique d'un des militaires qui l'avait poursuivi, afin de se déguiser, il passa le reste à son groupe, puis son groupe et lui mirent des plantes sur leur tuniques, afin de se camoufler dans l'environnement. Le groupe put ainsi marcher pendant quelues minutes sans être repéré, et, désormais plus vigilants, Raphaël put échapper aux mines. Alors qu'il allait arriver à la fin du parcours, il songea à une chose, et dit à ses hommes :

- A mon avis, des hommes nous attendent là-bas, on va se débarrasser du reste des hommes. Allez vous cacher derrière les arbres là-bas, toi (il désigne l'homme un peu envelloppé), tu restes avecmoi, au cas où ils nous prendraient à revers.

La femme et l'homme svelte restèrent caché derrière les arbres, alors que Raphaël et l'envelloppé restèrent caché derrière des buissons non-loin, et le sniper aperçut bientôt quatre hommes qui allaient arriver derrière la femme et l'autre soldat. Raphaêl et son camarade surgirent de nulle part et tirèrent sur les quatre hommes, tandis que la femme et son ami tirèrent eux-aussi en se mettant à couvert, les quatre hommes s'arrétèrent aussi. Raphaël vit son compagnon se faire toucher à la main, mais rien de grave, juste un bleu. Le groupe poursuivit ensuite sa route, et arrivèrent à la porte. Raphaël resta méfiant un moment, observant autour de lui, guettant le moindre ennemis, mais ne voyant personne, se ravisa, et dit à la radio :

-Ben voilà, j'ai fini, aucune pertes, quelues problèmes, mais c'était rien, c'était trop cool ! Et l'ami, je t'ai stoppé sept hommes, la prochaine fois, recrutez de vrais militaires ! Mouhahaha !

Raphaël était content, joyeux, cette augmentation d'adrénaline lui avait fait du bien, il se sentait invincible, et attendait impatiemment la suite.

// J'arrive. //

Stanislas rejoignit le groupe qui se tenait près de la porte.

"Salut les gars" dit-il en voyant les trois personnes qui étaient avec Raphaël.

Stan se tourna alors vers le soldat Yhora et lui demanda de s'autoévaluer.

"Faites une analyse concrète et honnête de votre évaluation de la journée, elle sera retranscrite dans le rapport que je remettrai au commandant de la base."

Le caporal chef Lasmezas attendait la réponse de la recrue les bras croisés avec son bloc note dans les mains et toujours le même regard neutre.

Alors que Raphaël riait de son succès, il vit le caporal Lasmezas arriver, et, en voyant sa tête, il perdit rapidement son sourire. Il se méfiait un peu, il était sur ses gardes, il ne savait pas encore à quoi s'attendre, mais il espérait que l'entraînement soit finit. Si cette histoire était vrai, Raphaël aurait certainement l'occasion de rencontrer des peuples extra-terrestres, mais celà pouvait se révéler aussi dangereux, pour pouvoir être accepté, il devait montrer le meilleur de lui-même. Stanislas se tourna vers lui et lui dit :

"Faites une analyse concrète et honnête de votre évaluation de la journée, elle sera retranscrite dans le rapport que je remettrai au commandant de la base."

Le sniper fut pris au dépourvu, il songea un moment à ce qu'il allait dire. rare était les fois où le militaire réfléchissait avant de parler, mais les circonstances l'y obligeaient, il devait se montrer agile en rhétorique, il ferait preuve d'habileté, et pour une rare fois, il ferait preuve de modestie :

- Et bien, à en juger ceux qui s'est passée, je dirai que les choses ne se sont pas trop mal passée. Cependant, j'ai courru un risque en entrapinant mon groupe dans les bois et en les considérant en égal, car si je me trouvais avec de véritable civils, je devrais prendre en compte leurs capacités limitées. Je pense aussi que j'aurai pu faire bien mieux, et je suis très déçu d'avoir été touché au tibia, mais sinon, on est arrivé sans trop de problèmes.

Pour la première fois depuis sa venu ici, Raphaël stressait, car il avait peur de la réponse de son supérieur...

Stanislas fut agréablement surpris par l'autocritique de Raphaël mais n'en laissa rien paraître.
Il s'était même attendu, il faut bien le dire, à une autre démonstration d'autosatisfaction, mais le soldat Yhora avait su s'analyser avec honnêteté.
Stan n'allait cependant pas laisser les répliques qu'il s'était prises toute la journée impunies aussi s'exprima-t-il toujours avec ce ton neutre et froid.

"Vous êtes arrivé sans trop de problèmes? C'est réellement ce que vous pensez?"

Le caporal chef siffla et dix hommes apparurent autour du groupe, sortant de terre tels des morts vivant, sauf qu'ils étaient recouverts de végétation tels des snipers voulant se camoufler dans le paysage.

"Comme vous pouvez le constater, on ne sait jamais sur quoi on peut tomber et il ne faut donc jamais sous estimer l'adversaire.
Ensuite, non seulement vous n'avez pas été le seul blessé, mais en plus, si l'un de vos hommes a déclenché une mine, c'est qu'il a marché sur une patte de détection.
Oui, je sais, vous n'avez jamais été confronté à de telles mines mais l'armement extraterrestre reste encore un grand mystère pour nous à l'heure actuelle aussi faut-il s'attendre à tout..."

Stan congédia le commandos et les trois hommes qui avaient joué le rôle de l'équipe d'exploration avant de se tourner vers Raphaël qui n'en menait pas large.
Une fois sûr que tout le monde été partis et que les deux hommes étaient seuls, Stanislas afficha un large sourire.

"Je vous félicite, vous avez réussi les tests avec brio.
Certes vous êtes très certainement trop imbu de vous même et trop sûr de vous mais qui ne l'a pas été avant de franchir la porte pour la première fois?
Je tiens tout de même à vous préciser, même si votre autocritique était très juste sur ce point, que vous serez amené à travailler avec des civils, aussi j'espère que vous saurez les préserver car cela restera toujours votre principale mission.
Je vais transmettre mon rapport concernant votre évaluation.
Ne vous inquiétez pas, comme je vous l'ai dit les résultats sont très satisfaisants et le général Parray sera très certainement ravie de pouvoir vous compter parmis son personnel.
Je vous souhaite donc la bienvenue au SGC, et je vous dis à très bientôt, je suis sûr que nous nous recroiserons à la base ou au village.
Au revoir."


[HRP>>> j'envoie un MP à Constance pour qu'elle te débloque les accès au SGC.
Une fois que ce sera fait, elle postera très certainement un message ici pour te prévenir.
A très bientôt, have a good RP et amuse toi bien tcho.]

Je t'ouvre les accès au sgc.

Tu arrives au sgc juste avant noel, tu peux donc participer à :
* l'intrigue noel, quoiqu'elle soit en train de se terminer (dis moi si tu veux plus de précisions pour savoir où poster)
* la fête de noel au village

Va t'installer dans tes quartiers, puis dans mon bureau pour avoir ton affectation.

Evite d'utiliser le bleu pour les dialogues c'est difficilement lisible sur fond noir.