Selon toute vraisemblance, Mathilde avait oublié un petit détail, les épreuves d'admission au SGC, nom donné à la base et dont elle avait oublié la signification d'ailleurs. De toute façon, elle n'avait pas le choix.

*Heureusement que je me suis accordé une bonne nuit de sommeil à l'hôtel... Fichue SNCF même pas capable de nous filer des itinéraires normaux.*

Elle n'en revenait toujours pas de son étape impromptue en Allemagne mais au moins maintenant, elle pourrait dire qu'elle y avait posé les pieds. Pas vraiment longtemps mais c'était toujours ça.

*Allez! On se concentre maintenant, pas le moment de tout foirer *comme une gourde parc que j'ai la tête ailleurs.*

Elle suivit le militaire aussi loquace qu'une carpe jusqu'à un terrain de manœuvre, se demandant bien à quelle sauce elle allait être mangée. On lui avait gracieusement offert la tenue à la mode dans la place, un superbe treillis vert kaki "à peine" trop grand pour elle et tout en cheminant elle finissait de retrousser ses manches histoire de pouvoir compter ses doigts sans avoir à aller les chercher.

On lui demanda de bien vouloir patienter un moment, un instructeur viendrait pour s'occuper d'elle rapidement. Mais elle ne se faisait guère d'illusions. Il pourrait s'écouler une heure ou plus avant qu'on se souvienne qu'une petite physicienne prenait racine dans un coin. Au moins ça lui laissait le temps de finir le dossier qu'on lui avait remis avec tout un tas de tampons "Secret Défense" .
Tout ce dossier relevait littéralement de la science fiction la plus délirante, et si elle l'avait envoyé à la rédaction d'un journal, on lui aurait tout simplement ri au nez sans l'ombre d'un doute ou alors elle aurait pu passer dans une émission farfelue sur le paranormal et les extraterrestres sur la TNT... Charmant programme.

Notre jeune femme qui s'appelait donc Mathilde de l'argentiere se trompait. Car dix minutes apres que le militaires l'ai laissée, Emerick apparut dans son champs de vision et marcha jusqu'a elle. Il la regarda puis hocha la tête pour se présenter. La jeune femme avait l'air fragile et chétive...mais dans ses yeux une lueur subsistait. Il apprécia cela. Il lui parla alors tranquillement.

"Bonjour. je suis le sergent Vaduc chargé de vous tester avant votre entrée dans ce lieu. êtes vous prête. Je vois que oui même si vos treillis sont un peu grands...alors suivez moi."

Il se retourna , il avait sourit en s'étant présenté. Il alla jusque l'intérieur du batiment, et enta dans une petite salle, ou il prit un 9mm cela sufirait amplement a son avis. il l'entraina ensuite dans une autre salle ou se tenait trois cibles. de plus en plus loin. il n'en avait pas mis énormément ce n'était pas utile puisque la jeune femme n'était pas militaire. il se tourna vers elle.

"avez vous déja tenu une arme dans ce genre? je ne pense pas en tant que physicienne aussi regardez."

Il prit son propre 9mm, et se tourna face a elle, montrant ainsi les mouvements à effectuer. il chargea l'arme, puis enleva le cran de sécurité. Il se mit face a la première cible et tira trois coups. ensuite il se détourna a nouveau mis le cran de sécurité et déchargea l'arme a gestes toujours lents. puis il lui tendit l'autre arme.

"a vous! commencez par charger et décharger tout simplement la sécurité étant le plus important. Souvenez vous de cela."

Il sourit puis s'éloigna un peu l'observant tout en la laissant faire. Il était bien sur prêt à intervenir, une civile avec une arme dans les mains on ne sait jamais mais bon... quand même.

la jeune femme s'était présentée, elle ne manquait pas de joie apperemment ni d'un certain humour ce qui lui sera tres utile a la base car les militaires comme les civils la bas ne sont pas toujours a prendre avec des pincettes. il sourit ne disant rien la laissant parler et le suivre tranquillement.
En salle de tir donc, il l'observa, oui elle reproduisait ses gestes ce qui était pour le moins facile enfin de son point de vue et elle commença a parler ensuite. La phrase le fit sourire. Il était obligé d'y répondre mais avant, il arreta sa main qui tenait le pistolet.

"Alors jevous réponds mais attention, rendez vous compte de ce que vous avez dans les mains. et sans sécurité en plus, le cran est ici. Bien. maintenant je peuxvous dire qu'a force d'entrainment vous y arriverez et que malgré tous les militaires présents,parfois un civil doit se défendre seul ou simplement li aussi défendre la vie de quelqu'un. A présent tirez moi tous votre chargeur, dans les deux première cible."

Il la regarda faire. content, oui il aimait bien cette femme qui promettait en équipe. les menbres ne s'ennuiraient pas avec elle et ses connaissances étaient importantes. une fois cela finit, il entraina la jeune femme dehors. La il y avait un parcours du combattant comme chez tous les militaires mais en plus facile. il la regarda.

"Bien comme vous aurez aussi besoin de quelques capacités physique, voila un petit parcours pour voir de quoi vous êtes capable. un petit mur de 3metre de haut avec quelques prises, une echelle de corde a monter, un joli petit pont de singe, une corde a noeud pour descendre, quelques metres de barbelés a ramper, et enfin le retour en courant car vous êtes chronométrée. voila c'est quand vous voulez."

il la regarda en souriant, ne sachant que dire d'autre, déja qu'elle lui en faisait dire beaucoup a lui sergent souriant mais parlant peu. alors il prit son chrono et atendit patiemment qu'elle se mette en place et parte a la course aussi évidemment.

Mathilde regarda le sergent faire. Elle sourit un peu embarrassée d'avoir agité son pistolet sous son nez, au risque de lui trouer le cuir. Ses pommettes prirent quelques couleurs et ne fit aucun commentaire sur le petit sermon quand bien même elle trouvait normal que ce soit les militaires qui veillent sur ses petites fesses plutôt que l'inverse. Si elle devait faire son travail et en plus le leur... Que leur resterait il?

Chassant toutes ces pensées de sa tête, elle opina du chef quand Vaduc lui demanda de transformer les deux cibles en écumoires et mettant l'arme en joue, elle visant consciencieusement, laissant apparaître une petit bout de langue rose signe de concentration extrême puis elle commença à tirer. Pas très vite, prenant le temps de bien réajuster entre chaque balle pour éviter - dans la mesure du possible - de crépir sol et plafond mais par deux fois au moins ce ne fut pas la bonne cible qui tressauta sous l'impact.
Elle n'aimait pas du tout la sensation procurée par le départ du coup de feu. Elle avait les mains toutes engourdies avec des fourmis jusque dans le bout des doigts et le recul lui avait endolori les poignets. Dans l'absolu ce n'était pas dramatique mais comme les armes n'étaient pas du tout sa tasse de thé, la physicienne avait tendance à exagérer et le pire restait à venir, le résultat de la séance de torture. Une personne regardant les deux cibles de Mathilde aurait immédiatement pensé à une sadique obsessionnelle... Genoux, bras, épaules et entrejambe étaient ses zones favorites. Il y avait bien une ou deux balles offrant une mort digne à la victime de papier mais sinon aucune de fatale mais toutes diablement douloureuses. Tour à tour, passant l'arme d'une main à l'autre, elle secoua celle de libre pour chasser la sensation désagréable. et pour montrer qu'elle avait tout tiré, elle éjecta le chargeur et cerise sur le gâteau, tira la culasse en arrière pour montrer que la chambre était bien vide, manœuvre qu'elle avait vu trois jours auparavant durant un reportage sur la police.
Etrangement, dans le reportage, la culasse ne lui était pas restée dans les doigts... Avec une petite moue intriguée, la petite baronne regarda les deux morceaux du pistolet aussi désappointée qu'amusée, gratifiant son instructeur d'un grand sourire tout ce qu'il y avait de plus désarmant.

Il semblerait que votre arme n'ait pas résisté à ma poigne de fer...

Pour un militaire habitué à ce genre de bricole, ce petit incident était en fait assez grave. Si la jeune femme n'était en rien responsable, elle avait eu une chance inouïe car la culasse s'était tout simplement déformée et aurait pu lui finir en plein visage si elle avait tiré ne serait ce qu'une balle de plus, n'étant plus retenue en fin de course. Evidemment, de cela Mathilde n'en avait absolument pas conscience et pour elle, sa poisse habituelle la frappait encore.

Son puzzle calibre 9x19mm en main, elle suivit le sergent Vaduc sur le parcours du combattant, et affichant une expression des plus confiantes, écouta son petit topo. Sportive depuis toujours - il fallait bien juguler son énergie débordante - Mathilde était comme l'appelait ses amis un "petit pimousse", petite mais costaude et plus d'une fois elle avait fait rendre gorge à quelques inconscients qui avaient voulu aller courir avec elle.

C'est tout de même mesquin de me mettre un mur de trois mètres de haut... Bon, j'espère que vous en aurez pour votre argent, Sergent.

Dit elle d'un ton goguenard, indiquant d'un geste désinvolte son Mont Everest de circonstance et avec son sourire toujours rivé aux lèvres parti à l'assaut du parcours. Là, nul doute possible. Autant elle était une buse en tir, autant elle excellait dans le parcours physique. Le mur fut une simple formalité, bien qu'elle dut abandonner sa veste de treillis coincée au sommet, l'échelle de corde ne la ralentit même pas et à la voir s'amuser comme une enfant sur le pont de singe on pouvait deviner qu'elle s'adonnait à ce genre de passe temps régulièrement, la corde à nœuds aurait pu être lisse que ça n'aurait pas changé grand chose, par contre les barbelés lui tirèrent quelques petites paroles bien senties... Même si les propos étaient inintelligible de là où se trouvait le sergent, le ton était suffisamment évocateur et la façon ostensible dont elle se frotta le popotin après un sprint fulgurant en disait long sur ses mésaventures. Et son pantalon de treillis portait les stigmates de l'affection piquante du fil de fer.

Se campant devant le militaire elle le regarda d'un air sévère et le morigéna avant de finalement sourire. Visiblement pas du tout fatiguée par son petit échauffement.

Une tenue trop grande, un mur trop haut, des barbelés trop bas... Vous avez décidément un problème avec les mesures, vous les militaires. Sinon sympathique ce petit parcours de santé, vous m'offrez une glace pour vous faire pardonner mes blessures de guerre?

Emerick regarda la performance de la jeune femme au tir, la petite langue tirée lui tira un autre sourire et lorsqu'il la vit changer de main, la secouer, il comprit tres bien pourquoi. il avait une forte envie de rire, non pas pour se moquer, simplement car il trouvait qu'elle était comme une enfant découvrant tout. mais lorsqu'elle déchargea l'arme et tira la culasse qui lui resta dans les mains, il ne sourit pas lui, car il connaissait les dangers, heureusement qu'elle avait tout tiré avant. misère. surtout que ce n'était pas elle qui avait pu faire ceci mais l'arme devait être défaillante...ça ça n'allait pas passer. il fronça les sourcills en prenant l'arme, appelant un soldat a qui il expliqua la chose et qui prit a son tour les deux parties du pistolet.

"ça ne se reproduira plus. mais si jamais vous voyez ce genre de chose surtout ne tirez plus. car vous meteriez votre vie en danger."

il s'en voulait de ne pas voir vérifier le matériel destiné aux entraiements bien que ce ne soit pas a lui de le faire. enfin ils passerent au parcours et il enclancha le chrono quand la baronne partit et elle s'amusait comme une folle sur le mur, le pont de singe et la corde! daccord, il regardait vraiment une petite fille qui s'éclatait...enfin bon. c'était son droit si elle aimait être en l'air...par contre le parcours au sol se révéla être...moins marrant a ce qu'il pouvait entendre d'ou il était. ah oui les barbelés en général pas grand monde n'aimait cela. ensuite elle revint en courant en sprintant plus précisément. Ce qu'elle raconta le fit sourire une nouvelle fois. cependant il garda un air professionnel avant de répondre

"eh bien, non les maths n'étaient pas mes amies a l'école madame. quand a vos blessures je suis désolé mais pas de glace ici. sur ce vous avez fait un bon temps mais vous n'aimez pas trop le sol, du moins vous préférez grimper."

il soupira en la regardant, pensant que hors de son domaine elle étiat loin d'être ennuyante et que son équipe allait en voir de toutes les couleurs. dans le bon sens, et peut etre dans le mauvais si elle parlait trop, mais dans son domaine elle devait etre sérieuse. le sergent l'entraina a l'intérieur, dans les vestiaires pour lui permettre de se changer. Puis il vint la rejoindre(sans glace) et s'assit.

"Bien j'aimerais savoir franchement ce que vous avez pensé de vos deux prestations et comment vous vous voyez dans une équipe. autant avec vos coéquipiers qui seront militaires et civils, que au niveau de votre domaine spécifique."

il la regardait, a présent elle serait peut etre plus sérieuse, mais meme si ce n'était pas le cas il y avait toujours une part de vrai dans ses paroles. Elle esseyait comme de cacher quelque chose a travers l'humour, et elle profitait de chaque instant. c'était son avis. il ne la quitta pas des yeux, atendant sa réponse ou ses réponses tranquillement assis.

Mathilde ne s'était pas formalisé de son incident avec le pistolet, elle avait l'habitude des petits ennuis de la vie, pas forcément petits d'ailleurs donc qu'une arme manque de lui exploser au visage était presque une bonne nouvelle puisqu'elle n'avait pas explosé justement.

Après sa petite performance, elle remarqua qu'il souriait mais essayait de rester dans son rôle d'instructeur. Le pauvre devait en voir des vertes et des pas mûres avec elle pensa la petite baronne, amusée de ce comportement. Mais magnanime, elle décida de lui donner un peu de répit surtout qu'il lui posait des questions importantes. Après tout, elle allait devoir travailler en collaboration avec pas mal de gens dont des militaires, personnes qui avaient en général assez de mal à s'habituer à son caractère pétillant. Quand à ses performance... Elle était fidèle à elle même, rien de plus rien de moins. Douée pour les disciplines sportives mais terriblement distraite.

Eh bien pour ce qui est de mes performances... Avec cet engin de malheur je sais que je devrais continuer à maltraiter mes pauvres mains. A moins qu'on me demande de torturer quelqu'un j'ai tout mis là où il ne fallait pas. Mais c'est ma première fois. Si j'avais tout mis dans le mille, vous pointeriez au chômage - ce qui serait dommage soit dit en passant. Vous êtes mimi comme tout - Elle le gratifia d'un petit sourire un brin insolent d'adolescente... Effectivement, elle avait ce côté éternelle enfant qui rendait les journées moins monotones quand on la côtoyait. Mais ne vous en faites pas, je n'aime pas rater quelque chose donc vous pouvez être certain que d'ici un mois je pourrais dessiner des smilies dans la tête des vilains à vingt mètres et d'ici là, leur mettre là où il faut fera l'affaire... Et pour le parcours de santé, mis à part cette fichue veste trois fois trop grande qui s'est accrochée au mur et ces barbelés à la noix posés par un pervers à n'en pas douter je ne pense pas avoir fait un mauvais temps. Je ne suis pas vraiment au mieux de ma forme à cause de mon trajet donc je sais que je peux faire exploser ce temps là. Vous savez, ce n'est pas parce que je suis diplômée de Todaî en Physique des matériaux que j'ai du flanc à la place des muscles et que l'idée de monter dix marches me donne des sueurs froides. Je fais dix kilomètres de course à pied tous les jours ou au pire quand je peux, je suis inscrite à une salle de remise en forme, j'ai fait de l'équitation, de la danse et si je n'avais pas failli me faire croquer par un requin des récifs il y a deux ans, je continuerai à faire de la plongée sous-marine!

Même si elle souriait toujours, son ton était devenu des plus sérieux. Elle voulait être certaine qu'il comprenne qu'elle n'était pas de ces binoclards qui étaient allergiques aux activités physiques ou qui tournaient de l'œil quand on leur annonçait que l'ascenseur était en panne.

Et pour ce qui est du travail en équipe, c'est pour moi la base même du travail tout court. Certains peuvent dire ce qu'ils veulent mais on ne fait rien tout seul dans son coin, ou dans tous les cas on fait bien moins qu'à plusieurs. Pour parler franchement, je me contrefiche des lauriers et autres récompenses à la noix, j'aime mon travail et si je peux j'aime partager cet enthousiasme avec mes collègues. Je ne vais pas travailler pour faire mes trente cinq heures hebdomadaire et toucher mes trois mille euros par mois, je fais cela parce que c'est ce que je veux faire et si je peux travailler avec des gens qui voient les choses de la même façon, c'est tant mieux. Après qu'ils soient militaires ou civils, tant qu'on ne me fait pas marcher au pas de l'oie et qu'on me traite pas comme de la bouse je ne suis pas trop exigeante j'aime juste qu'on me traite avec le minimum de respect, qu'on soit général ou balayeur.
Dans ma précédente équipe de recherche j'ai occupé à peu près tous les postes, de simple assistante à chef de projet mais on se rappelle surtout de moi pour le pot de départ de notre ancien chef - j'avais proposé de faire venir une équipe de danseuses de cabaret histoire de rajouter du piquant - et de la pétition pour qu'on nous pose une vraie climatisation dans nos locaux, nous mourrions de chaud et un ventilateur qui brasse de l'air chauffé à quarante degrés ce n'est pas le mieux, donc j'ai lancé une pétition et comme on ne nous entendait pas, j'ai modifié la climatisation des bureaux pour qu'elle souffle de l'air chaud. Pas de raison que les ronds de cuir passent juillet au frais alors que nous cuisions à l'étouffée. c'était très drôle de les faire suer comme des cochons pour qu'ils comprennent ce que nous vivions.
Autre point très important, le travail d'équipe est essentiel, non seulement cela permet de rouspéter sur les autres quand les choses vont de travers et quand on est face à des vilains, ça leur donne d'autres cibles que moi sur qui tirer...

Toujours son sérieux bien que son regard brilla de malice à l'évocation de ses souvenirs. Par contre le ton se fit faussement docte quand elle énonça deux des lois de Murphy sur le travail d'équipe. Elle ponctua sa phrase d'un large sourire trahissant la petite plaisanterie.

Le sergent Vaduc écouta la jeune femme essayant de retenir les points principaux de tout ce qu'elle disait parce que écouter quelqu'un parler comme ça il n'avait pas l'habitude du tout notre sergent. préférant les phrases courtes et simples, la il avait droit a un vrai discours. Fort intéressant et qui dévellopait ous les points demandés mais trop. tout ça elle pourrait en parler au général. Lui, ne serait pas la pour le voir. Enfin il ne l'interompit pas et sourit même quelques fois alant meme jusqu'a rougir lorsqu'elle dit qu'il était "mimi" chose assez spéciale, chez les militaires. si ses collegues avaien entendus il allait l'entendre longtemps celle la. Enfin bref. le temps éait venu pour lui de parler aussi.

"exusez moi si je n'ai pas tout retenu, je n'ai aucunement l'habitude mais le général plus. enfin j'ai retenu, que vous ne vous preniez pas pour un super héros, que vous saviez écouter les autres et avoir du caractère. Pour ce qui est des armes on vous demand juste de savoir vous défendre pas de tirer a tord et a travers. Et apperemment vous semblez apte a vous adapter a pas mal de situations. Bien."

Il regarda sa montre c'était bientôt terminé, il allait pouvoir envoyer notre jeune scientifique aupres du généra. avant cela par contr, puisqu'il avait mené l'entrainement sans lui demander son avis ou quoi que ce soit dans le genre, il la regarda tranquillement sans perdre son calme olympien.

"bien alors maintenant vous pouvez me poser toutes les questions que vous jugerez utiles. que ce soit sur la porte, sur la base, sur les militaires, les missions ou autres."

le petit discours de la demoiselle sur son parcours professionnel qu'il aurait du faire fit lever un sourcil au militaire, pendant que ils auraient interetaetre patients la bas. enfin les militaires. et puis ça lui donait du charme. un charme épuisant certes mais un charme. il ne répondit cependant pas a ce petit discours, déja parcequ'ilne saait qu'en penser, donc en dire... c'était encore plus compliqué. Bref son sourcil resta levé pendant son etit gloussement puis finalement elle redevint un minimum sérieuse. le questionnant donc sur divers points qu'il tacha de retenir car elle avait décidement un don pour les grands discours et pas lui. il répondit nénanmoins a ses questions et dans l'ordre en plus.

"eh bien nous avons rencontré des humains portant un parasite se prenant pour des dieux, les goa ulds; aussi apperemmment l y aurait des petis hommes comme vous dites seulement ils seraient gris, et ensuite seulement des humains. la menace est les goaulds vous comprendrez vite pourquoi; nous avons des tabettes et armes extra terrestres et les relaatons dépendent des personnes."

il sourit ensuite, levant légerment les yeux au ciel.

"quand a votre question principal il y en a un au vlage voisin, village de ste faycelle."

la il se permit un sourire,enfin. Puis il se leva, invitant la jeune femme a en faire de même. il sortit, marcha environ avec elle dis minutes, puis s'arreta. Il se retourna vers elle, sourire sincere aux levres.

"ce fut un plaisir de vous enrainez. Sur ce Bienvenue au SGC Madame, vous trouverez vos quartiers au niveau 3 et il vous faudra rendre visite au général au niveau zéro. Bonne chance."

il la regarda doucement, l'entrée de la base n'était plus tres loin, et un garde attendait visiblement la jeune femme. Emerickétait sincerement content de ce petit entrainement. son raport serit facle a rédiger et puis la baronne d'agréable compagnie qui ne se prenaitpas la tête.