Il y avait maintenant un bon mois qu'il avait achevé sa formation et décroché ses doctorats. Plus d'un mois qu'il attendait sans avoir plus entendu parler de cet étrange officier qu'il avait rencontré. Plus d'un mois également qu'il déprimait dans sa chambre de la caserne. Il était maintenant convaincu que sa punition pour toute cet indifférence envers le système militaire l'avait conduit à une chambrée dortoir d'oubli au cœur de la cohue des troufions en armes !

Un nouveau soir s'annonçait dans la lecture d'un passionnant ouvrage de recherches sur la thermodynamique des fluides soumis à sources énergétiques variable, quand quelqu'un frappa à sa porte. Il se leva, surpris que quelqu'un se souvint de son existence.

* C'est sans doute quelqu'un qui vient me demander de débarrasser les lieux... *

Il ne croyait pas si bien dire !
La porte ouvrit sur une jeune première classe en tenue d'apparat, qui lui tendit une enveloppe avec un sourire froid et entendu sur un visage par trop crispé.

Lewellyn s'en saisit et l'ouvrit sans plus attendre. A l'intérieur, il n'y avait que ces quelques mots : Il est temps de tenir vos engagements, prenez vos affaires !

Il releva le visage vers la jeune femme qui attendait stoïque :
" Je dois vous suivre, c'est bien ça ? "

En guise de réponse, il n'eut droit qu'à un hochement de tête mécanique.

" Bon, un instant, je prends mes affaires... "

Il se retourna et attrapa le grand sac que lui avait fourni l'armée pour un charger tout le maigre contenu de sa carrée, livres et magasines compris, n'oubliant pas son fidèle ordinateur portable. Vérifiant rapidement le contenu de ses placards, il se retrouva prêt en moins de trois minutes... ce qui avait toujours été trop long jusque là pour ses supérieurs. La jeune femme n'en sembla pas pour autant offusquée, attendant sagement dans l'encadrement de la porte entrebâillée.

Elle le précéda et descendit les trois étages par la cage principale du bâtiment, jusqu'à un camion bâché de transport de troupes, garé devant l'entrée. Elle l'y fit grimper à l'arrière. Quand il fut à l'intérieur, elle redescendit le pan de bâche et laça l'ouverture pour en fermer complètement l'accès et la visibilité !

Et le voilà qui se retrouvait seul sur la banquette froide et dure, dans le noir presque absolu, à peine éclairé par une veilleuse rougeoyante au dessus de sa tête sur la parois du compartiment de conduite.

* Dans quoi je me suis encore embarqué, moi ? *

Le camion démarra dans un tremblement sismique bien classique à ces vieux Berliet, mille fois retapés.

...

Les heures passaient et la nuit était déjà tombée depuis longtemps quand la fatigue pris le dessus sur l'angoisse et qu'il finit par sombrer dans le sommeil, la tête appuyée sur son barda !

Quand le camion s'arrêta, il faisait encore nuit, et Lewellyn - complètement groggy - regarda machinalement sa montre bracelet : 4h27 du matin.

La porte du camion claqua, des pas résonnèrent à l'extérieur, et la bâche se releva soudain. Les pas s'éloignèrent et la porte claqua à nouveau.
Que devait il faire ?
Il n'hésita pas longtemps quand il sentit redémarrer l'engin.
Ni une, ni deux, il sauta en dehors et se retrouva seul, dans la nuit, au milieu d'une grande étendue terreuse désertique alors que le camion disparaissait derrière une colline...

[hrp: un entrainement a 4h30! ouaou eh ben va faloir que mon sergent se leve tôt lol]

Aujourd'hui, le sergent Vaduc commençait tôt sa journée. Il devait être a 4h30, pas tres loin, a 15 minutes d'ici, derrière la plus proche colline. une recrue, encore un scientifique devait arriver vers cette heure la. Non mais ils étaient devenus dingues de prévoir des entrainements aussi tôt! il devait y avoir une histoire de décallage horaire enfin bon. Le sergent arriva a pied traquillement. Il vit la un homme qui devait etre la depuis quelques minutes. il le regarda et s'approcha. la il hocha la tête pour se présenter, et se rapella qu'l avait oublié le dossier de son entrainement. eh flute tant pis. il tendis la main au scietifique

"Bonjour. je suis le sergent Vaduc chargé de votre entrainement avant votre entrée au SGC. Suivez moi on va voir si vous faites du sport régulèrement."

sans attendre de réponse ni même aider le pauvre homme, il partit dans le sens inverse en petit footing on allait voirsi le jeune homme était capable de courir alors qu'il était fatigué et qu'il avait des bagages. eh bien oui il fallait bien les motiver un peu les civils .arrivé a cinq minutes de la base, il s'arreta. il faisait certes un peu nuit, mais le jour n'allait pas tarder a se lever. On pouvait voir la base de ici. il se tourna vers l'homme.

"Bien alors dabord comme vous m'avez l'air parachuter de nul part savez vous ce que vous faites ici et dans quoi vous aller rentrer?"

oui le jeune homme li semblait perdu alors il demandait, des fois que les renseignements aient pas bien passés. enfin bon. un soldat arriva et prit les affaires de notre scientifique sans mot dire et repartit a la base d'entrainement. pendant ce temps emerick attendait sa réponse.

Cela faisait plus d'un quart d'heure qu'il était seul au milieu de nul part.

* Je suppose qu'on ne m'a pas lâché là juste pour que je rentre à pied... fait chier, il fait froid ! *

Un coup de vent glacial porta soudain à ses oreilles givrées le son d'un pas lointain ! Cherchant l'origine de ce bruit, il tourna la tête face à ce satané blizzard pour apercevoir une silouhette masculine approcher au loin.
Bien qu'un peu inquiet, il se dit que ce devait être le comité d'accueil et attendit qu'il soit plus proche pour prendre une décision... après tout, il avait reçu une formation militaire de base, il devrait pouvoir maîtriser un éventuel voleur !
Il fut à la fois rassuré et inquiet en constatant l'uniforme de sergent de l'inconnu qui paraissait vouloir le saluer et lui tendait désormais la main avant de s'exprimer plus normalement.

* Mais qu'est ce qu'il raconte ? *

Il lui tendit la main à son tour, puis se risqua à l'interroger, ne comprenant rien à ce qu'il racontait.

[hpr : je considère n'avoir pas reçu le document ]

" Euh, bonjour... Sergent... C'est quoi cette histoire ? Qu'est ce que je fais là ? C'est quoi ce nom là 'esse gécé' ?
Pourriez vous déjà m'expliquer où je suis et pourquoi ? "

Son visage ne cachait pas l'inquiétude qui montait en lui. Il avait envi de hurler, envi de jurer et de se casser vite fait de ce trou paumé... mais pour aller où ?!?

Mais cet imbécile de militaire partait déjà en courant...

* Mais quel con ce type ! *

" Oh, Sergent, ça va pas la tête ? "

* Et merde, il s'arrête pas !!! Je ferais mieux de le suivre. Mais si cet imbécile me dit pas rapidement ce que je fous là, je démissionne ! *

Et il commença à courir. Il était frais et dispo après des heures de sommeil dans le Berlier et n'avait aucune difficulté à suivre cet homme, ni à rattraper son retard au départ.

Quand il s'arrêta enfin, on voyait au loin une sorte de camp militaire étrange... il ne connaissait rien de ressemblant !

* Mais où suis-je tombé, bordel ! *

Sans être véritablement essoufflé, il répondit :
" Sauf votre respect, si vous aviez pris la peine de m'écouter plus tôt, mon sergent, vous auriez déjà la réponse... "

Il soupira avant de reprendre excédé, mais un peu intimidé du traitement qui l'attendrait s'il était trop brusque pour le moment.
" Je ne sais absolument pas ce que je fous ici ! Une première classe m'a porté une missive me demandant de faire mes paquets et de la suivre. Après quoi l'on m'a fait monté dans un Berlier dont la bâche a été close et on a roulé, toute la soirée et toute la nuit sans interruption jusqu'à me déposer ici sans rien me dire, encore et toujours...

Vous êtes sous les ordres de l'officier XYZ [hrp :j'ai pas le nom ni le grade du type de mon historique, donc je vous laisse compléter] ? "

Emerick, il était vrai n'avait pas entendu les explications du jeune scientifique puisque partit. juste le début, ce qui lui avait permis de réfléchir. il s'arreta donc, rejoint de peu par Lewellyn. Oui il connaissait son prénom, son nom, et son dossier, il l'avait lu la veille. il s'intéressa donc aux paroles de cet homme, qui se trouvait la paumé, ne sachant pas ce qu'était le SGC, ni le programme des étoiles. bien maintenant il devait donner dses cours nouveau ça! enfin bon. il regarda le jeune scientifique.

"profeseur Drogon, puisque apperemment notre systeme de communication a mal fonctionné je vais vous apprendre ce que vous devriez savoir. ah et je travaille sous les ordres du général parray."

n'ayant pas l'habitude des grands discours il rassembla ses idées pour essayer de les mettre dans l'ordre, et en résumé surtout, car il n'avait pas de dossier porte des étoiles sur lui. bon jouer l'historien ne le génait pas trop heureusement.

"bien. En 1928 en égypte a été trouvé un artefact inconnu laissé de coté depuis longtemps. mais maintenant, cet appareil, fonctionne et je ne me joue pas de vous en disant qu'il permet de voyager a l'autre bout de la galaxie, celle ci étant peuplée. vous avez été recrutez pour travailler comme scientifique dans une équipe composée de militaires et de civils, afin de dcouvrir d'autres objets et peuples inconnus. et non il 'y a pas de caméra."

le sergent se doutait fort qu'il devait le prendre pour un fou, aussi gardait il un air des plus séireux et des plus neutre en parlant mais aussi a la fin de sa phrase.

l"e SGC est une base que vous voyez au fond la bas, la base juste avant est la base d'entrainement avant d'aller dans la base. voila et moi je suis chargé de vous tester. En tout cas a une heure pareille et avec vos bagages vous courrez bien."

il le laissa répondre a tout cela bien sur mais apres, il lança de suite l'entrainement en lui même qui commençait par un joli petit parcours. eh bien oui, on ne changeait pas les bonnes habitudes. il regarda le scientifique, le pauvre qui ne devait pas avoir beaucoup dormit et lui annonça qu'il devait accompir un parcours.

"oui, et il se compose de barbelés a ramper dessous pour commencer, de divers haies a différentes hauteurs ensuites, un mur a escalader, puis redesecendre par une échelle de corde, et pour finir, quelques obstacles naturels placés la ou il faut pour empecher de passer. vous etes chronométré, je vous attends a la base que vous voyez en bas, il vous faudra sprinter un peu a la fin. voila. Sur ce a tout de suite professeur."

il sourit, premier sourire depuis ce matin, pis regarda le professeur et se détourna partant tranquillement, en petit footing vers la base, les caméra lui indiqueraient le passage de son éleve d'un jour, et son chrono était pret a démarrer la bas a la base, dés que on le verrait partir a l'assaut de ce petit parcours assez simple mais semé d'embuches.

enfin surtout les obstacles naturels étaient pénibles puisque il fallait enlever des pieres pour passer, grimper sur des branches, bref...rien de bien plaisant quand on doit se dépécher. et encore il n'avait pas de soldat ou de goa uld au trousses. il se demanda bien les failles qu'il pouvait y avoir eut sur ce coup si. bref. il arrivait a la base ayant courut plus vite et se plaça avec son collegue derriere les caméras qui jonchaient le parcours. pauvre professeur...

Lewellyn avait semblé soulagé lorsque le sergent avait entrepris ses explications !
Il l'écouta donc attentivement, intrigué déjà par ce général Parray dont il n'avait jamais entendu parlé encore.

Il manqua de pouffer de rire quand son supérieur lui parla d'un artefact capable de traverser l'espace, bien qu'il sût cela parfaitement possible d'un point de vu théorique, mais en fut interrompu quand le soldat mentionna l'absence de caméras.

* Mais qu'est ce qu'il raconte... je rêve ou c'est une blague ?
Oui, ce doit être une mauvaise farce pour me faire comprendre que je ne suis qu'un imbécile qui ne connait rien, ça ne peut être que ça... *

Lewellyn était d'autant plus surpris que le sergent n'avait pas relever ses haussement de ton et son arrogance, ce qui le fit douter plus encore de la véracité de cette histoire. Néanmoins, il y avait bien une base militaire sous ses yeux, bien visible sous les faibles rayons de lune de cette nuit glaciale et étoilée, et malgré le faible éclairage des lieux.
D'ailleurs, qu'un tel lieux ne fût d'avantage illuminé lui laissait à penser - aux sues des habitudes de l'armée - qu'il devait effectivement s'agir d'une base confidentielle... voire secrète !

Quelle ne fut pas sa surprise, alors, quand le gradé lui asséna un compliment qui résonna dans sa tête comme un coup de matraque.
Pour la première fois depuis longtemps, il ne sut quoi répondre et ne pu que se taire, la bouche toutefois bée comme jamais.

Et voilà que maintenant, il lui annonçait qu'il devait effectuer un presque classique parcours du combattant à cette heure indue... Bon pourquoi pas. Il n'était pas en treillis, mais se salir ne l'avait jamais gêné outre mesure.
Sans plus attendre, il s'élança !

Sa taille importante lui permit d'atteindre les barbelés en quelques enjambée. Il se jeta au sol, sans se préoccuper de l'habituelle flaque de boue qui trainait toujours sur ce genre de parcours, mais se fit un peu mal en constatant que celle-ci avait gelée pendant la nuit.

* Merde, je vais encore avoir un bleu... *

Il fut néanmoins agréablement surpris en constatant que cette glace lui permettait de glisser plus facilement encore et plus rapidement qu'à son habitude, ce qui lui permis de passer les barbelés sans déchirer ses habits de ville !
Une telle aisance et une telle souplesse chez un homme de cette taille était chose peu commune en dehors des milieux sportif, et il était évident qu'il avait déjà fait ce genre d'épreuves à de très nombreuses reprises.

Se relevant, il s'élança ensuite à l'assaut des haies : un jeu d'enfant pour une personne de cette taille, tout autant que le mur. Toutefois, l'échelle de corde lui posa plus de soucis, s'emmêlant les jambes et lui faisant perdre le temps qu'il avait gagné auparavant pour éviter de se tordre bêtement la cheville.

Continuant vers les rochers placés dans l'encadrement d'une porte, il se hâta de les déblayer, mais les épreuves de force n'était pas non plus son apanage ! Il manqua, à plusieurs reprise, de se faire un tour de rein, obligé de ralentir un peu pour ne pas se retrouver à l'infirmerie.
Décidément, ils ne rigolaient pas, ici... Tout ceci serait-il donc vrai ou la plaisanterie serait elle si élaborée ?

Quand il put enfin passer la porte, il repéra le fléchage du passage dans les branches, et se rassura, y grimpant avec l'aisance d'un singe dans son élément, passant d'arbre en arbre comme il le faisait dans son enfance pour impressionner ses petits camarades en faisant montre de ses talents et de sa souplesse.
En le regardant, on aurait presque pu imaginer un animal à l'œuvre, tant cette partie lui était facile, ce qui lui permit de reprendre un peu d'avance sur ses habitudes de parcours.
Sautant de la dernière, il recommença à sprinter vers la base. Une fois de plus, sa taille lui permettait d'effectuer de très larges enjamber et de gagner un peu de temps.
Certes, il ne devait pas avoir réalisé un temps record, mais il était persuadé avoir fait quelqu'impression... Au moins, on ne pourrait pas se moquer de lui pour son incapacité !

Tout de même essoufflé, et complètement en nage, il s'arrêta au bout du parcours, sentant le froid revenir le mordre et s'infiltrer dans ses vêtements par la transpiration qui en suintait...

notre cher sergent arriva donc a la salle des caméras a la base. lorsqu'il entra son camarade lui annonça que le jeune homme encore un peu sonné par ses révélations venait de partir, et n'avait aucun probleme niveau escalade. De plus, notre chez scientifique avait profiter de la glace pour ne pas abimer ses beaux vetements. Par contre il s'emmelait un peu les pinceaux dans la désescalade de l'échelle. mais aucune cheville n'en souffrit, juste le temps.

ensuite, il assissta aux quelques difficultés sur les pierres, oui ça c'était quand même pénible surtout en pleine nuit mais bon. le jour se levait! le chemin parmis les branches pas trop de soucis, et le sprint final nikel. a part que lewellyn, quel nom spécial au passage, était en nage en arrivant et un peu esouflé. normal logique et en plus sans avoir dormi. personne ne lui en voudrait pour ça. Surtout que son temps était tres bon, il avait pas mal rattrapper son léger retard. Ainsi lorsqu'il arriva, le sergent sortit pour l'acceuillir.

"bien bon temps, monsieur. vous avez de la chance pour vos habits que il ait gelé cete nuit. Suivez moi."

il prit les devant et entra dans le batiment qu'était la base d'entrainement. la, il s'arreta aux vestiaires. Il indiqua au scientifique qu'il pouvait se changer et ses affaires seraient emportées. puis il l'enraina en salle de tir. Apres le physique, la précision. bien il y avait la un 9mm. Emerick prit le sien dans sa veste, enleva le chargeur, le changea, et enleva le cran de sécurité. sous les yeux de lewellyn bien entendu. ensuite il se tourna vers les trois cibles de l'autre coté. une cible a 1O metres une a 20 et une mouvante. Il tira deux balles dans chaque bohomme en carton. et la derniere, il la tira encore dans le troisieme mais ailleurs. ah oui car les six premiere avaient atterries entre les deux yeux du bonhomme. la derniere dans la jambe du troisieme. Sur ce il se retourna vers Lewellyn.

"Vous avez déja tenu ça? si oui je veux que ces bonhommes, soient morts dés la pemière balle, mais aussi je veux que vous me montriez que vous savez blesser uniquement cmme je l'ai fait avec ma derniere balle. Et toutes les manoeuvres de sécurité évidemment. Si vous nen avez jamais tenu contenter vous de la sécurité avant tout et d'essayer de viser."

sur ce, il verifia que son chargeur était vide, mit la sécurité etle rangea au même endroit que précédemment. ce cher docteur devait en avoir par dessus la tete de tout ça alors qu'il ne connaissait rien. le sergent entendit la porte s'ouvrir ah bien, le dossier qu'il attendait. il le mit sur un banc.

"ça c'est pour vous, le dossier que vous auriez du avoir avant de venir ici. ne l'oubliez pas, vous en saurez un peu plus."

il garda son air impassible, regardantle docteur, attendant une réaction, des questions ou tout simplement qu'il fasse son entraînement a l'arme. Le sergent s'assit sur le banc a coté du dossier. oui ça paraissait ingue mais la porte éait bien réelle heureusement, car si les goa uld s'intéressaient a la terre au moins ses habitants pourraient se défendre. Il se contenta de regarder, sans mot ire la suite des évenements.

Quand le sergent sortit pour l'accueillir en le félicitant de son temps, Lewellyn eut un sourire de contentement non dissimulé.

* Je vous ai tous niqué, messieurs les plaisantins, * pensa-t'il, ce qui amplifia son sourire en rictus !

Pendant ce temps il avait suivi son supérieur jusqu'aux vestiaires où il commença à se changer immédiatement, en profitant pour reprendre son souffle, un peu trop court.
Il acheva de reprendre sa respiration en le suivant jusqu'au stand de tir. Là, il constata que le sergent lui faisait la démonstration comme on le lui avait fait à son premier stand de tir en entrant dans 'la grande muette', ce qui le fit pouffer de rire.
Certes, le tir n'avait jamais été sa spécialité, mais en dehors des cibles mobiles, il ne craignait pas trop ce genre d'épreuve, même s'il n'aimait pas particulièrement les armes, il avait dû faire montre d'une grande volonté pour suivre normalement les entrainements !
Visiblement, le sergent était un tireur d'élite...

Toujours persuadé qu'il s'agissait d'une blague plus ou moins bien orchestrée, il décida de ne pas répondre et de lui montrer ses capacités !
En guise de réponse, il eut le même rictus souriant qui lui traversa le visage.

Il fit un pas en avant, attrapa le beretta, le déchargea, puis en démonta le fût, la culasse, en regardant les cibles plutôt que l'arme puis en inspecta rapidement chaque pièce avant de le remonter comme on le lui avait enseigné avec un bandeau sur les yeux, comme à tout soldat !
Quand l'arme fut remontée, il vérifia le mécanisme puis que le chargeur était correctement chargé.

* Bon, au moins, c'est une vraie arme et elle ne parait pas piégée ! *

Il inséra le chargeur dans la poignée et se mit en position isocèle pour mettre les cibles en joug, seule position dans laquelle il parvenait à viser à peu près juste. Heureusement, le sergent ne lui ordonna pas de position précise, ce qui l'aidait grandement dans cette épreuve.

Il prit quelques seconde pour viser, puis appuya lentement sur la gâchette, se laissant surprendre par le tir pour éviter de bouger au moment de la détonation, les bras non bloqués pour compenser le recul de la 'bête'.
La première balle traversa la tête de carton des dix mètres au niveau de la tempe gauche !

A nouveau, il prit deux secondes pour ajuster son tir sur la cible à vingt mètres, et toucha le poumon gauche.

Quand la troisième cible se mit en mouvement, il la suivit du regard une seconde avant de presser la détente pour la toucher à l'épaule gauche. Décidément, il avait eu de la chance de la toucher, car la balle avait percé le mobile à moins d'un centimètre du bord.

* Putain, je l'ai eu ! Je l'ai eu !!! *

Il avait envi de crier et de sauter dans tous les sens tant il était fier de lui, mais essaya de se contenir.

[hrp : j'ai joué les touches de cibles aux dés... ]

Un peu surexcité, il tentait de garder un semblant de sérieux en reposant le pistolet sur la tablette.
Se retournant lentement, il n'attendit pas que les cibles arrive à sa hauteur pour se diriger, intrigué, vers le dossier placé sur le banc !

Toujours sur ses gardes, il attrapa la pochette et la tint à bout de bras pour l'ouvrir en plissant les yeux, s'attendant à ce qu'elle lui explose à la figure ou que des confettis en soit éjectée.

Il était tellement surpris qu'il s'agisse d'un vrai dossier qu'il commença à le survoler sans faire attention aux actes et réactions du sergent, une baisse de garde qui aurait pu être fatale à sa dignité si cela avait été une farce quelconque...

Sa capacité à lire relativement rapidement en diagonale, pour ressortir les informations de base des modes d'emplois, lui permit de comprendre en quelques mots l'ampleur de la farce.
Tout d'abord un peu stupéfait, il éclata finalement de rire ! Ne pouvant plus s'arrêter, il se retrouva assis par terre à rire comme un gamin d'un fou-rire qui lui coupait le souffle et lui tirait les larmes...

le sergent regarda le jeune scientifique faire. il n'avait nullement le son dossier et pour cause, il ne l'avait pas reçu simplement son nom et sa spécialité. donc...mais lorsqu'il vit que il prenait le beretta le démontait, le remontait, puis enfin le chargea et s'amusait comme un gamin a tirer sans vraiment tenir compte de ses consignes, il commença a froncer les sourcils. bref, il avait déja tenu une arme et pas une seule fois puisque il savait la démonter et la remonter. les cibles étaient atteintes, oui mais pas forcément ou il fallait, or en mission, il n'y avait pas place a ce genre de choses.

Il comprenait un peu, puisque il venait juste de lui expliquer, mais quand même, la base était réelle, les armes aussi, bon sang il n'était pas a la foire! la le sergent commençait a s'énerver. il ne le montra absolument pas lorsque le scientifique vint parcourir le dossier ce qui d'ailleurs ne lui prit pas longtemps. En voyant le sourire, qui s'élargissait sur le visage du jeune homme il avait envie de le prendre par le col et lui expliquer clairement ou ils étaient, mais pas le temps que l'autre éclatait de rire comme ayant lu une énorme farce il était par terre en riant.

le sergent soupira fortement et se leva les poings sérrés.on aurait pu croire qu'il allait le frapper mais non, il se mit a sa hauteur et le regarda dans les yeux.

"Eh...STOP. je veux bien croire que vous croyez a une farce, mais la vous arretez. ce projet est réel et des dizaines de personnes travaillent du matin au soir a la base, je ne veux pas perdre mon temps avec quelqu'un qui ne croit pas a ce que raconte un militaire,dans une base alors que manifestement vous avez suivie une formation militaire vu vos tirs. c'est compris?
alors soit vous me croyez et vous me recommencez cela de suite, en misson, il ne sera pas question de chance, si vous ne tuez pas, les goa ulds vous tueront et sans pitié. je veux des cibles détruites mortes, es ce clair docteur Drogon? je n'ai pas votre dossier sinon croyez moi je vous aurais servi le menu autrement maintenant debout et au travail, a moins que vous ne préféreriez la porte et des papiers confidentiels a signer."

sur ce le sergent se leva,ne se préoccupant pas de la réaction du docteur, et alla changer les cibles. Il ramassa aussi les balles tomb$bées. non mais la c'était vraiment trop. dans le sable passait encore mais quand il voyait plusieurs militaires, de vraies armes et une vraie base. Stop. il ne fallait pas le prendre pour un imbécile trop longtemps, s'il était patient, il ne l'était pas infiniment, et la, le réveil matinal, le manque du dossier plus l'hilarité du docteur était trop pour lui.

oui il en avait peut etre trop dit, mais c'était partit, et ce n'était pas le moment de s'exuser, du moins il n'y parviedrait pas maintenant. a la fin de l'entrainement peut etre. une fois tout cela remis en place, il retourna s'assoir, les sourcils froncés et les bas croisés. il ne parla pas, ne regarda pas le docteur seulement et inlassablement les cibles.

Lewellyn se roulait par terre, riant comme il n'en avait pas eu l'occasion depuis longtemps !
Quand le sergent s'approcha, il ne le vit même pas. Pourtant, entre deux hilarités, il commençait à percevoir la colère des mots du sergent.
Un peu interloqué d'une telle réaction, il essaya de se forcer à cesser de rire, mais n'y parvint pas complètement, ayant du mal à formuler ses phrases.

" Vous, Ha, voulez dire, haha, que c'est lahaha vérité ? Héhéhé.
Ça ressemble àhaha de la science fiction haha. "

Après avoir macher sa dernière phrase, il parvint à respirer un grand coup sans exploser de rire et, constatant la tête du sergent, il se retrouva interdit !

* C'est pas vrai... Soit ce mec et un acteur de premier plan, soit c'est vraiment vrai... *

Il écarquilla les yeux et se gratta la tête en regardant le dossier qui trainait au sol ...
Relevant les yeux, il dévisagea le sergent, puis le dossier, et à nouveau le sergent.

" Merde ! C'est vrai alors ? C'est pas une mauvaise blague d' XYZ pour me faire peur ? "

Il resta un moment à observer les actes de son supérieur, bien perdu dans toute cette histoire, mais celui-ci ne lui répondit pas d'avantage. Il avait, qui plus est, réellement l'air très furieux.
Ravalant sa fierté, il comprit qu'il avait peut-être blessé le sergent dans ses certitudes :

" Veuillez m'excuser si je vous ai blessé... mais si vous aviez subi les circonstances de mon arrivée ici, je crois que vous auriez également cru à une bonne grosse farce !
...
Après tout, c'est un peu en rapport avec la théorie des trous de vers qu'Einstein avait mentionné, mais c'est malgré tout très étonnant... "

Il s'apprêtait à partir dans d'interminables digressions théoriques quand il se ressaisit.

" Par contre, pour les tirs... navré mais je ne suis pas un pro, je n'aime pas trop ces joujous... et je peux vous garantir que j'ai fait de mon mieux. Mais si vous voulez que je recommence, soit ! "

Il ramassa le dossier, le posa sur la tablette, et se ressaisit du beretta 92 qui était toujours à sa place.
Reprenant sa position de tir, il s'ajusta et décocha trois balles au même rythme que précédemment : la première atteint la gorge, la seconde le genou droit, quant à la troisième elle perça le bras droit !

Il reposa l'arme et se retourna vers le sergent, visiblement gêné, mais avec toujours cette irrépressible envie de rire...

Mine de rien, le sergent écoutait le jeune scientifique parler, une fois celui ci calmé. Bien au moins il commmençai a se rendre compte des choses..il ne le regardait pas mais écoutait. il disait que s'il l'avait blessé, c'était pas voulu, et que les conditions dans lesquelles il avait été amenées ici n'avaient pas aidées. Lorsqu'il ajouta n'être pas plus doué pour les armes, il ne répondit toujours pas mais le vit a sa façon de tirer plus sérieuse, et ses cibles manquées. bien il restait donc un civil. cela ne le dérangeait aucunement. Pendant ce temps le sergent avait fait le point de son coté et s'était calmé. une fois ses tirs finis, il regarda le scientifique qui lui même le regardait.

Bien je préfere ça. maintenant asseyez vous a coté de moi.

il sentait que le jeune n'était pas convaincu ou pas complemtement du moins. alors il parla.

"Cette porte des étoile existe. vous etes ici pour étudier des objets venus d'autres planetes. par exemple ceci.il sortit un zat. c'est une arme alienne, qui paralyse puis tue au deuxieme coup. je déteste les farces et croyez moi j'ai bien cru a une blague lorsque l'on m'a annoncé votre arrivée a une heure pareille. maintenant, tout est vrai, vous allez le voir de vos yeux dans quelques minutes. vous n'etes pas un super héros, du moins ne vous prenez pas comme tel je l'a remarqué. apprennez a faire confiance aux gens qui vous entourent."

il appela ensuite un soldat, qui arriva tranquillement, une clé a la main, et se mit aux gardes a vous. le sergent fi un signe et le sldat se mitnormaement. Emerick ajouta alors.

"le soldat hanks vous emmene jusqu'a la base vous avez réussi nos tests. vous allez pouvoir partir explorer d'autres univers.et das l'immédiat voir cette porte qui vous a fait tant rire. La clé de votre chambre est dans les mains de hanks vos affaires vous atendent la bas, rendez vous au niveau 3vous y trouverez vos quartiers. Puis aller trouver le général parey au niveau O ."

sur ce il se leva, serra la main au jeune scienifique, puis le regarda enfin avec un sourire.

"je m'exuses si j'ai été dur tout a l'heure mais vous etre dur a convaincre. n'oubliez pas le dossier. allez reposez vous et bonne chance."

Il indiqua ensuite a hanks que c'était bon. celui ci remit la clé a lewellyn, puis partit en direction de dehors suivit par le scientifique. il prenait la direction de la base, la vraie base, la ou il verrait la porte, et tous ses reves se réaliser ainsi que peut etre certains de ses cauchemards. quand au segent, une fois or de vue, il souffla un peu, rangea la salle de tir etalla prendre quelques heureus de repos bien méritées pour avoir autant parler et hurler en ce matin.

[hrp: tu n'asplus qu'une seule réponse a faire ici et apres tu peuxaller a la base^^]

Le sergent semblait s'être un peu calmé et lui demanda de s'assoire.
Lewellyn ne se fit pas prier et écouta, en bon élève qu'il avait toujours été, les explications qu'on tentait de lui donner.
Toute cette histoire était toujours aussi dingue... mais ses études lui avait appris que les choses folles sont souvent plus fréquente que les probabilités ne le laisserait envisager... la très célèbre loi de Murphy. Il en avait un parfait exemple entre les mains avec cette histoire de porte.
Il n'avait pas compris tous les mots utilisés, mais la vue de l'étrange objet lui redonna soudain l'envie que cela put s'avérer exacte. Il n'avait plus qu'une seule envie, démonter cet appareil pour voir ce qu'il avait dans le ventre, mais le sergent le rangea aussitôt !

* Merde... je crois que c'est pas le moment de lui demander à le démonter... mais c'est quoi cette histoire de super-héros ? Il parle de quoi ce type ? *

Il se racla un peu la gorge :
" Excusez moi, sergent, mais quelles que soient les circonstances, ma confiance est difficile à obtenir... On m'a déjà assez baisé la gueule comme ça dans ma vie... Toutefois, si les personnes que je côtoie en sont digne, il n'y a pas de raison... et à première vue, vous paraissez en prendre le chemin ! "

Il sourit a ces quelques mots, mais se doutait bien que le supérieur ne comprendrait sans doute pas la profondeur et la sincérité de ses propos.

Puis survint le soldat, la clef, la base, la chambre, les excuses, le général...

" Vous n'avez pas à vous excuser... mais j'apprécie le geste à un point que vous aurez sans doute du mal à croire... C'est trop rare chez les gradés !

Dites... C'est quel genre de type ce général, " osa-t'il ajouter ?

[hrp : je t'ai ouvert les accès au sgc.
Tu arrives durant les missions de janvier. Tu peux donc rp avec les perso présents à la base (mathilde, syrenna, neville et ryan auc)
Pour l'instant inutile de passer à mon bureau pour ton affectation

et au passage, pas de smiley dans les rp ! ]

[HRP : Ah mince, j'ai pas fait exprès... j'ai tellement l'habitude de les utiliser pour exprimer les expressions de mes persos...

Faudra me dire quand passer voir le général, alors ]

Oui oui, je te dirai ça en temps voulu !