Mission 018 - SG1

Rassuré de voir sa coéquipière reprendre raison, et satisfait que son plan lui convînt, le docteur Drogon effectua une dernière manipulation au moment où elle allait s'élancer pour la seconde fois, rallumant la radio de la jeune femme en en réglant le son au minimum.

" Il faudra vraiment que je demande des radios oreillettes la prochaine fois, c'est pas génial ce matos' pour rester discret ! "

Quand la rouquine commença à dévaler la pente, le cœur de Lewellyn s'emballa ! Elle semblait surfer sur le sable du désert avec une grâce et une aisance hors du commun. Il se figea alors pour la regarder glisser la pente, voyant soudain une toute autre scène.
Il l'imaginait en maillot de bain deux pièces, dressé sur sa planche, slalomant sur les vagues hautes et puissantes de l'Atlantique, les cheveux volant dans le vent côtier du petit matin, l'air chargé d'embruns...

Quand elle s'arrêta pour voir ce qu'il faisait, il reprit conscience et se secoua la tête vivement. Empochant rapidement son matériel, il se mit à ramper le long de la dune, avançant tel un reptile pour rejoindre une meilleure position, regardant en même temps la progression de Sheyffi pour s'assurer qu'elle n'était pas remarquée !

Elle lui explique ensuite son idée alors qu'il arrivait en bas de la dune.
Il était encore bien trop loin pour avoir une chance de toucher qui que ce soit, la portée maximale de précision de son arme étant évaluée à une centaine de mètres !

Continuant à ramper discrètement, il gagna une petite dune proche de la palissade, située idéalement pour avoir une vue directe sur ce qu'il désirait voir... l'intérieur du temple !

Rapidement, il éleva un léger monticule de sable de part et d'autre de lui pour stabiliser ses bras au moment propice, sachant que ça l'aiderait à être plus précis et rapide, posa ses chargeurs sur un mouchoir pour les garder des grains de sable risquant d'enrailler son pistolet. Il savait qu'il avait eu raison de s'encombrer un peu en repassant par la MALP, mais il savait aussi - et surtout - qu'il devrait économiser ses munitions et assurer chacun de ses tirs pour éviter de confondre vitesse et précipitation, et ne pas se retrouver en manque de balles au moment le plus inopportun !
Tirant ensuite son Famas du sac, il le plaça en bandoulière et enfourna les chargeurs dans ses nombreuses poches.
Il préférait commencer par le P99AS, le maîtrisant beaucoup mieux, d'autant qu'il lui fallait être précis. Il serait toujours grand temps de mitrailler pour couvrir leur fuite quand il ne risquera plus de toucher personne.

Il se coucha alors sur le sable, de tout son long, se mouvant pour bien s'y incruster, comme le lui avait appris son instructeur au tir à distance quelques années plus tôt, et prit son arme en main. Il donna alors le top départ à Sheyffi, inspirant à fond pour éviter les acouts s'il devait tirer tout de suite.

Elle lui avait dit qu'elle se déguiserait, il fallait donc attendre le plus longtemps possible pour la diversion, et il espérait qu'elle le préviendrait au bon moment. De toute manière, sa vue dégagée de la grand salle lui laissait tout loisir de prendre la décision plus tôt que prévu s'il notait une activité et une agitation anormal laissant entendre qu'elle était repérée...

Alors qu'il attendait bien patiemment, il se remémora la phrase fétiche du tireur d'élite qui les avait formé, ses camarades et lui :

* Se hâter dans la lenteur... c'est la clef d'un tir réussi ! *

Maître du jeu Nombre de messages : 278 Date d'inscription : 05/10/2008

Aristide continuait de s'approchait de la femme à la beauté envoutante sans faire attention à ec que lui disait Gabrielle.La dèesse fit le dernnier pas vers Aristide en signe de sous mission et lui murmura quelque chose à l'oreille avant de l'embrassser langoureusement.Le baiser était divin et transporta Aristide vers des sommets d eplaisirs qu'il n'avait pas encore explorés.La dèesse le fit asseoir sur son trône de coussin et fit venir de l'eau tandis qu'elle ordonnait à ses jaffas de maintenir fermement Gabrielle à genoux et dans l'obligation de voire le spectacle qui alalit se dèrouler sous ses yeux.La dèesse dèfit les lacets des Rnagers d'Aristide puis les lui retira ainsi que les chausettes et commença à lui laver les pieds tandis qu'elle lui faisait la conversation.Ce dernier quand à lui piochait dans une corbeille de fruit en profitant de l'instant présent tandis que Gabrielle fulminait.

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Lewellyn qui observait ce qui se passait dans la grande salle fut de nouveau assailli par de des pensées hors propos.Il se voyait bien à la place d'Aristide et Sheyffi entrain de lui laver les pieds mais cette epnsée disparau rapidemetn de son esprit.Mais ce deuxième égarement l'amena à se demander si il était lui aussi touché par la même chose qu'aristide ou si simplement il était attiré par sheyffi.

Sheyffi quand à elle dut se faire à l'idèe qu'ici les Jaffas ne portaient pas la tenue traditionelle avec le casque mais était habillé comme les gens de la planète qu'ils avaient croisés.Peut être que celui ci ou ceului là était le père de Sarte?Devait elle quand même les considéraient comme des ennemis alors que finalement il n'étaient que des victimes.En apercevant une pile de vêtement déposé le long d'une maison elle fut soulagé de ne pas avoir à trouver une réponse dans les secondes qui allaient suivre.Elle enfilla une des grandes Robes que portaient les gens du dèsert mais pour éviter de se faire repérer elle dut se débarrasser de son sac.la demoiselle marchait nonchalement en direction du temple et personne ne faisait attention à elle comme si une intrusion sembalit tout à fait improbable.

Alors même qu'elle pénétrait dans le temple encore moins de personne ne faisait attention à elle.D'ailleurs pour une raison qu'elle n'arrivait pas à s'expliquer cela l'irritait de plus en plus.Et plus elle se rapprochait d'Arsitide plus elle avait les nerfs en pelote.Et ce qu'elle vit n'arrangea rien Arsitide était loin d'être prisonnier non monsieur le chef était bichonné par la maitresse des lieux pendant que Gabrielle à genoux et fermement maintenu devait supporter l'humiliation.La colère monta encore d'un cran dans la tête de la rouquine.

A nouveau, des images submergeaient l'esprit du scientifique !
Il était habitué aux rêveries et à ces scènes qui s'imposaient régulièrement à son esprit pervers et retors, et ainsi voir celle qu'il convoitait dans cette posture le troublait malgré tout un peu plus, d'autant que ce n'était pas du tout le moment de perdre sa concentration !
Il fallait absolument qu'il resta lucide, attentif, et réfléchi, car il ne pourrait se permettre de la perdre... Pas plus que les autres, d'ailleurs !
Après tout, Aristide lui avait sans doute sauvé la vie en le ramenant à l'infirmerie pendant son traumatisme crânien, et Gabrielle ne lui était pas non plus indifférente...

Il se baffa, évitant de faire du bruit par le claquement de la main sur son visage, son coup étant plus proche du crochet de boxe que de la simple gifle, ce qui lui laisserait sans doute un beau bleu sur la joue pendant quelques jours, puis se secoua vivement la tête et repris sa position, se calant encore un d'avantage dans le sable chaud.

Le soleil commençait à lui meurtrir le nuque, et il tira son sac à dos sur ses omoplates, usant du rabat de fermeture pour se couvrir l'arrière du crâne, préférant garder sa casquette bien vissée à l'endroit pour éviter d'être ébloui au mauvais moment !

Il lui fallait rester clair, mais ne voyant pas suffisamment nettement, il hésita à sortir ses jumelles, mais se souvînt les avoir laissé au MALP. Après tout, c'était sans doute bien mieux, car il eut alors risqué de se faire repérer par un bête reflet.
Ressortant finalement la caméra, il la cala dans le sable à gauche de l'endroit où il tenait son arme, et le mis en route, zoomant autant que possible pour ne rien rater qui se passerait dans son champ de vision...

C'est alors qu'il pensa à autre chose. Et si on venait à le surprendre par derrière ?
Il était bien trop tard pour s'enterrer, mais il pouvait faire autre chose de plus rapide qui ne l'obligerait pas à perdre sa concentration. Il sortit son ordinateur portable et l'ouvrit de l'autre coté, le mettant en marche. Il actionna alors la webcam pour qu'elle filme en direct derrière lui... ainsi il verrait si quelqu'un tentait de s'approcher...

Sheyffi était arrivée devant la petite porte qui faciliterait théoriquement son entrée dans le village. Ayant reçu le signal de départ de son collègue, elle prit une grande inspiration et ouvrit doucement mais surement la porte. Laissant juste assez d’espace pour se faufiler à l’intérieur, elle prit soin de refermer derrière elle afin de ne pas signaler sa présence outre mesure. Le village ressemblait beaucoup à celui qu’ils venaient de quitter et cela lui donna un léger frisson dans le dos. Maintenant au cœur de l’action, elle devait avouer qu’elle ne s’était vraiment pas attendue à cela. Regardant de droite à gauche, elle longea la palissade pour arriver derrière le mur d’une bâtisse. De là, elle pouvait observer tranquillement tout ce qui se passait dans la rue principale. Elle regrettait d’ailleurs que Lewel ne soit pas avec elle pour profiter de ce passage à l’action, idéal pour faire monter un peu l’adrénaline. Restant collé contre le mur, elle fit dépasser légèrement sa tête afin de voir si la voix était libre. Les pseudos jaffas ne ressemblait vraiment plus à tout ce que la demoiselle avait pu lire à leur sujet.

Cela ne lui faciliterait certainement pas la tâche car ils ressemblaient vraiment trop à des humains à présent. Cependant, ce n’était surement pas ce petit fait qui retiendrait la rouquine de leur tirer dessus en cas de problème. Elle se souvint alors que le père de Sarte devait se trouver parmi eux. Désolé de ne pouvoir rien faire pour lui, elle se rassura en se disant finalement, qu’au moins il était probable qu’il soit toujours vivant. Et dire qu’elle avait affirmé l’inverse au jeune homme auparavant … dommage. Mais au moins il resterait en sécurité dans son village. Si il y avait bien quelqu’un à sauver à présent, c’était les membres de son équipe un point c’est tout. C’était dure à dire et même à réaliser, mais la survie de la mission avant tout ! Cela lui faisait un peu mal au cœur, mais elle avait été entrainée pour cela après tout : les sentiments de pitié et d’infériorité de faisait pas partie de son vocabulaire en mission.

Observant les allées et venus des gardiens du temple, elle fut alors surprise de remarquer un peu plus loin un tas de vêtement posé à la hâte par l’un d’eux près d’une autre maison. C’était son jour de chance on dirait ! Faisant le tour par derrière, la demoiselle s’approcha en catimini de ce qui, peut-être, lui sauverait la vie. Une fois les vêtements récupérés en toute discrétion, même si on ne semblait pas prêter attention à elle, Noky se mit à l’abri dans un petit coin du village afin de se changer. Posant son sac dans un coin, qu’elle pensa même abandonner là s’il le fallait, elle enfila par dessus les vêtements d’homme du désert. Ainsi, elle avait extrêmement chaud, mais elle n’avait pas vraiment le choix. Sur elle, elle avait pu garder ce qu’elle portait déjà comme armes, ce qui lui serait sans doute bien utile en temps voulu. Mettant la capuche sur sa tête ainsi que le joli turban qui l’accompagnait, elle était à présent méconnaissable et espérait sincèrement que Lewel l’avait vu faire de là haut, si non il risquait de lui tirer dessus.

Elle se retrouvait enfin dans la peau du personnage qu’elle avait été avant de rejoindre ce projet « porte des étoiles ». Se déguiser, se faire passer pour quelqu’un d’autre, c’était toute sa vie jusqu’ici ! Prenant une posture tout à fait normale et imitant les hommes du village, elle se mit à déambuler parmi eux sans que personne ne la remarque outre mesure. Etait-elle réellement douée, ou les hommes du village étaient nul niveau repérage d’ennemis ? Préférant ne pas savoir, elle avançant le long de la grande rue médiévale pour s’approcher du temple. Elle s’arrêtant un instant devant le temps de réfléchir à ce qu’elle pourrait bien faire une fois à l’intérieur. Une fois une idée trouvée, elle se mit donc en marche résolument vers son destin. C’était le moment où il faudrait enfin prouver son courage afin de sauver Gaby et son caporal. Au fond, elle espérait même recevoir de jolies félicitations à son retour à la base si elle parvenait à les sauver.

Le temple était divinement beau, que ce soit de l’extérieur ou de l’intérieur. Les grandes colonnes retenant ce qui servait de toit était réellement impressionnante. La lumière parvenait à rentrer par la grande porte. Au fur et à mesure qu’elle avançait, l’atmosphère se faisait plus chaude et la lumière un peu plus tamisée. Ne laissant pas déstabilisée pour autant malgré le fait que ce genre d’endroit avait don de l’énervée, elle continua sa progression. Pour ne pas trop se faire remarquée, elle longea le côté est, pouvant quand même parfaitement suivre c qui se passait un peu plus loin. Restant dans l’ombre, elle fut quand même observé par certains, mais ils ne réagirent pas devant sa présence. Il était vrai qu’à présent elle ressemblait vraiment un homme... la poisse ! Enfin à hauteur de la déesse et de son Harem, elle fronça les sourcils en voyant que le scientifique ne s’était pas trompé à ce sujet. C’est alors qu’elle vit Aristide, confortable installé sur son siège à se faire masse r les pieds dans la reine : où y a pas de gêne y a pas de plaisir hein ?! Lewel et elle pataugeait dans les embrouilles depuis leurs arrivés alors que lui se prélassait ici.

Se rappelant qu’il était sous l’emprise d’un truc au phéro-machin truc, elle se calma un peu même si cela était difficile à admettre. Pour Gaby, la situation était un peu moins drôle. A genoux sur le sol, elle était fermement gardé dans cette position et serait sans doute bientôt tuée quand la reine aurait finit de se « divertir ». Même si elle et Gaby ne s’était pas toujours bien entendu, la voir ainsi humilié ne lui faisait guère plaisir. La rouquine se devait donc de passer à l’action. Une main sur une grenade pour faire diversion et l’autre tenant son FN P90 qu’elle avait caché dans son costume, elle était prête à assumer la reine, puis Aristide afin d’embarquer ses deux mais loin de là. Mais avant, il fallait lancer la grenade pour occuper le reste de ce jolie petit monde. Au pire, elle tirerait quelques coups sur la reine pour avoir el temps d’assommer Aristide et le sortir de là, Gaby suivrait.

Cela faisait déjà un bon moment qu'elle avait passé la porte de derrière, et rien en se passait encore jusque là, pas de message, pas de mouvement suspect, pas de nouvelles !
Commençant à vraiment s'inquiéter que quelque chose ne cloche et n'osant pas utiliser la radio, il se décida à prendre le risque de déclencher la diversion, espérant sincèrement ne pas faire une bêtise qui serait fatale au reste de son équipe.

Se calant une dernière fois au mieux, il pointa son pistolet vers le village, visant tranquillement l'un des deux hommes qui tenaient le professeur Lacroix, puis il inspira profondément et resta les poumons à plein pour assurer son tir.
Il n'avait jamais été très doué pour ce genre d'exercice, mais en temps normal il devait tirer debout. Là, il s'était fabriqué un étau de sable pour bien garder sa position et savait que cela lui suffirait... il y croyait ! En fait, il n'avait pas le choix, s'il manquait sa cible, ne serait-ce que d'un chouillat, il blesserait Gaby... ou pire, il pourrait la tuer !

Il n'était plus tant de se poser de question ! Sûr de sa visée, il tenta de tenir compte de la distance en relevant le canon d'un petit degré et commença à carresser la détente pour se laisser surprendre par la détonnation. C'est ainsi qu'on lui avait enseigner la technique, car cela évitait les tremblements qui pourraient tout changer sur la trajectoire de la balle.

Une détonnation brisa alors le silence de ce calme petit village, et au même moment le jaffa de gauche tomba au sol, une balle ayant pénétré son dos au niveau de la poche symbiotique.
Il avait visiblement eu de la chance, d'autant qu'il visait le coeur, et si la larve était blessée, le Jaffa ne s'en sortirait pas, d'après ce qu'il avait compris des rapports survolés pendant sa convalescence.

Profitant de l'effet de surprise et des deux secondes d'incompréhension qui le suivaient toujours, il ajusta immédiatement son tir sur le second Jaffa, essayant de viser plus haut pour ne pas toucher Gaby qui se trouvait encore à genoux.
Il pressa à nouveau la détente, mais ne le toucha finalement qu'à l'épaule gauche, ce qui eut au moins pour effet de libérer provisoirement sa coéquipière. Il ne restait plus alors qu'à espérer qu'elle en profiterait pour agir avec eux !

Maintenant que la cohut allait commencer dans la salle, il prendrait trop de risque à tirer encore dans la même direction, il fallait donc maintenant qu'il se cantonne aux Jaffas se trouvant entre le temple et la palissade et ce, à la fois sur qui voudrait rejoindre le bâtiment, mais également sur ceux qui allaient l'assaillir à n'en point douter dans les secondes à venir...

Il n'avait pas pris le temps de se poser de questions sur la légitimité de son action, ni sur la culpabilité ou l'innocence des ces pauvres types, sans doute envoutés et extirpés du village de la forêt, mais il aurait toujours le temps plus tard pour les états d'âme. Pour l'heure, il fallait survivre et rentrer tous sains et saufs sur Terre...

Invité

Gabrielle suivait le groupe d'homme s'en rien dire. Elle était traitée comme une chienne, une moins que rien...Le statut de femme était considéré ici comme une hérésie. Il est vrai que le demoiselle n'avait pour ainsi dire jamais vu une femme dans le temple, mis à part le goa'uld....L'archéologue normalement habituée à regarder l'architecture des bâtiments, n'en eu pas eu le temps....faute de temps, non la situation n'était pas propice. C'est alors que deux gardes vinrent lui ligoter les bras dans le dos. Ils firent mettre Gaby à genoux et empoignèrent ses cheveux pour lui faire regarder le spectacle.

Aristide était comme en transe....subjugué par la beauté de l'hybride. La jeune femme la regarda un instant droit dans les yeux, essayant de lui montrer qu'elle n'avait pas peur d'elle. La déesse fit un léger signe de main et les deux gardes resserrèrent encore plus leur étreinte sur l'archéologue. Elle souffrait mais ne laissa rien transparaitre, ne voulant pas montrer sa vulnérabilité. Le caporal n'était plus maitre de lui même, il était totalement à sa merci. Une idée surgit et si le goa'uld ordonnait à Aristide de tuer sa coéquipière...Elle en serait bien capable...

Pensant au plus terrible du futur....C'est alors qu'elle entendit un bruit de détonation et que le jaffa de gauche tomba raide mort. Le second jaffa prit par surprise la lâcha à son tour. Gabrielle était plus ou moins libre...Elle passa ses bras sous ses jambes pour être plus libre et se mi à courir en direction d'Aristide.

Mon caporal, mon caporal! Réveillez vous!!

La demoiselle était à sa hauteur et lui mit une gifle pour le réveiller. Ne voyant que cela n'avait aucun effet, elle le prit par les épaules et le hissa hors du trône...Gaby se dirigea en direction d'où provenaient les coups de feu.

Sheyffi fut presque autant surprise par la chute du Jaffa que les autres personnes présentes, ayant oublié - prise dans le feu de l'action et la décharge d'adrénalyne de son infiltration - qu'elle devait prévenir son coéquipier de donner l'assaut !
Elle vit donc Gabrielle se faire libérer et en profita pour dégoupiller une de ses grenades tout en se débarassant de sa toge en un geste magistral, afin de libérer ses armes et pouvoir attaquer à son tour.

Alors que Gabrielle courait vers Aristide, elle lança son projectile vers l'entrée du temple afin de couper l'approche des arrivants et d'en éliminer quelques uns, profitant également de cette explosion pour intensifier le travail de diversion. Elle se mit alors à mitrailler la Goa'uld pour laisser le temps à sa coéquipière de récupérer leur Caporal !
Une fois qu'elle fut remarqué, elle fit signe à Gaby de partir vers le fond du temple pendant qu'elle les couvrait...

De son côté, le docteur Drogon avait bien troqué ses instruments de mesure pour son arme de point et tirait environs un coup toutes les deux secondes sur les protecteurs du village, jetant parfois un oeil vers l'arrière du village pour savoir si son équipe s'en sortait.
Cette position était vraiment l'idéale, et parvenait à faire mouche presque à chaque fois, même s'il n'atteignait que rarement des secteurs suffisamment vitaux pour tuer sur le coup. De toute manière, il ne visait pas particulièrement, préférant s'assurer de toucher que de tuer !

Les tirs de lance commençaient à éclater un peu partout autour de lui, mais il bénéficiait encore pour l'instant du fait que ses adversaires ignoraient sa présence éxacte, le soldat étant bien camouflé dans le sable.
Toutefois, quand il commença à devoir recharger, il était bien obligé de bouger d'avantage, et certains de ses ennemis se mettaient à le percevoir, rendant sa position très délicate...

Maître du jeu Nombre de messages : 278 Date d'inscription : 05/10/2008

[Hrp : Si on en fit pas mercredi soir et qu'on dèborde un peu c'est pas grave.Alors qu'une seule chose à dire faisons nous plaisir]

Quand les premiers Jaffas tombèrent les autres ripostèrent sur le champs mais pas avec la conviction de toucher quelqun quelque chose de particulier.Ils faisaient un tir de barrage pour empêcher des intrus d'approcher trop près de leur maitresse.Une cloche s'était mis à sonner et tout les hommes du village s'agitaient pour la bataille.

Pendant ce temps Gabrielle qui tirait tant bien que mal Aristide fut surprise car d'un coup elle partit en arrière.C'était Aristide qui pour se libèrer de sa prise l'avait attirer vers elle pour la repousser.Quand elle fut à distance de ce dernier elle put voire dans ses yeux un air de mèpris et de dègout profond.Moins d'une seconde plus tard elle se sentait propulsé par une force invisible.Elle se retrouva sur les marches du temple d'ou elle put voire la femme dont Aristide s'était entiché.Les balles ricochaient autour d'elle blessant ses gardes mais ne l'effleurant même pas les yeux de la femme silluminèrent d'une lumière surnaturelle.

Aristide quand à lui se retourna dans la direction d'ou venait le tir et leva son arme vers Sheyffi et après une à deux secondes d'hèsitation il tira.Ses quelques secondes furent salutèrent pour la jeune rouquine qui put se mettre à couvert et voire voler des éclats de pierre là ou elle se tenait un peu plus tôt.Si ils avaient Aristide contre eux ça n'allait vraiment pas être facile mais ce dernier ne sembalit pas totalement sous l'emprise de la goa'uld mais que faire si les balles ne pouvaient pas l'atteindre.

Lewellyn voyait tout ça de son poitn d'observation et ne pouvait pas s'empêcher de s'imaginer des scènes d'une volupté sans nom en observant ses trois femmes se battre pour un seul.Pendant un instant il envia même Aristide mais rapidement il se rendit compte que c'était déplacé.Etais ce les phèromones ou son côté obscène??

Lewellyn commençait à se dire qu'il était déjà trop prêt, subissant très certainement déjà les effets du procédé servant à tenir ces personnes sous la coupe Goa'uld !
Il sut alors qu'il n'avait aucune chance d'approcher pour aider les autres, sans quoi il finirait sans doute lui même par se retourner contre ses coéquipiers. Toutefois, il fallait qu'il fasse quelque chose pour les aider !

Visiblement, tirer sur la maîtresse des lieux n'était pas une bonne idée, celle-ci paraissant munie d'une sorte de champ de force.

Ses adversaires ne semblaient pas vouloir venir à lui, ce qui l'arrangeait fortement, et paraissaient dix fois plus nuls que lui au tir ! S'ils étaient de simples villageois, c'était compréhensible, mais cela voulait également dire qu'il tuait de parfaits innocents. Le dilemne était grand, mais la volonté de survie, et son désir de revoir Ses femmes également. Il prit donc le temps de tirer et regarda plus attentivement les images fournies par le zoom de sa caméra. C'est alors qu'il constata une chose assez troublante : il y avait de la poussière, et quelques miettes de gravas provenant de l'explosion de la grenade, qui trônaient sur l'épaule de la créature aux yeux luminescents.
Réfléchissant, il se dit que si le champ de force était prévu pour intercepter les projectiles à haute vélocité, il n'était sans doute pas simultanément programmé pour les moindres.
Il n'y avait certe aucune certitude à son raisonnement, mais il fallait tenter le coup !
Il enclencha alors sa radio et s'adressa à Sheyffi :

" Je vais p't'êt' dire une con'rie, mais si les balles ne passent pas, tu as sans doute une chance avec un couteau au corps à corps, ou un projectile plus lent... Tente le coup où j's'rai obligé de tirer su'l' Caporal ! "

Il mâchait un peu ses mots, mais il n'avait pas le temps de le prendre, son temps, et il parlait aussi vite que possible pour rester compréhensible, espérant que Sheyffi agirait en conséquence.

Reprenant une cadence de tir normale, il visait maintenant en essayant de toucher surtout les jambes... Qui sait, ils pourraient peut-être sauver quelques innocents dans cette histoire...

Maître du jeu Nombre de messages : 278 Date d'inscription : 05/10/2008

[Hrp : Au fait Lewellyn tu le sors d'ou ton FAMAS ?Otes moi d'un doute depuis deux posts tu tires sur des gens au P99 que tu ne pouvais observer à l'oeil nu? Me suis fait blouser tant pis.La prochaine balle que tu tires sera pour un de tes coèquipiers.Pas jusque la fin de ta vie , qui risque d'être courte , mais jusqu'à la fin de la scène.]

Sheyffi entendit ce que Lewellyn lui disait et elle attendit patiemment que Aristide soit obligé de recharger avant de lancer une grenade au pieds de de la dèesse.Le timming était parfait sauf qu'Aristide voyant la grenade roulait au pieds de sa promise abbati le Jaffa le plus proche d'une balle dans la nuque et se servi du corps de ce dernier pour étouffer l'explosion.Aristide alla même jusqu'a se servir de son propre corps par dessus celui du Jaffa pour contenir l'explosion.L'expèrience le fit voler sur quelques mètres à demi conscients il geignait le dos contre le sol.Sheyffi pouvait allait le rècupérer mais un autre soucis avait vu le jour.

En effet pendant ce temps gabrielle n'était pas resté inactive et s'était saisi de son couteau pour attaquer la dèesse qui dans un magistralement volte face de voiles et de parfum se retrouvait drèssè de nouveau à Gabrielle.La dèesse avait les deux mains lesquelles étaient ornés de sortes de gants mètalliques lumineux.Gabrielle se senti stopé dans son élan puis de la main gauche de la divine brune sorti un rayon lumineux qui alla frapper le front de Gabrielle et l'obligea à mettre un genoux à terre.Tout ces plus douloureux souvenirs remontaient à la surface et elle sentait que son crâne était pris dans un étau tout en étant cuit à l'étouffé.Elle vivait la pire souffrance de sa vie et elle n'arrivait même pas à crier c'est cela que l'on devait appeller l'enfer.

Pendant ce temps Lewellyn observait impuissant la situation si il s'approchait il rsiquait de faire plus de mal que de bien mais Gabrielle était en mauvaise posture et seule Sheyffi semblait en mesure de sauver la situation.

[Me voila ^^. Désolé du court rp et de sa qualité, mais j'ai un examen demain ...]

Sheyffi restait dans l'ombre, préférant ne pas agir de suite afin d'avoir le temps d'analyser la situation. La tension qui régnait dans l'esprit de chacun était presque palpable et la demoiselle se demandait si elle allait bien pouvoir intervenir à un moment donné. Elle ne voulait surtout pas empirer la situation, ou bien même, se faire capturer elle aussi. Il lui faudrait rester discrète et jouer son rôle une fois le bon moment venu. C'est alors que plusieurs tirs se firent entendent et les deux Jaffas qui retenaient Gaby captive furent abattu rapidement. L'archéologue ne perdit pas l'occasion de tenter de sauver son caporal. malheureusement, et comme Noky le craignait, il était sous l'emprise de la déesse serpent.

Convenant avec son compagnon d'un plan à mettre en place, elle sortit une grenade de sa veste intérieur et attendit le moment propice pour la lancer. La faisant rouler jusqu'à la déesse, elle fut alors très surprise de voir que Aristide prenait la défense de cette dernière. Il voulait se faire tuer ou quoi? Il tenta même de tirer sur Noky qui parvint à se retirer au dernier moment. Juste avant cela, Gaby avait avait été pochetée un peu plus loin. Sachant que de toute manière elel était repérée à présent, la soldat s'élança à son tour dans la bataille. Courant jusqu'à Aristide, elle l'entendit gémir ce qui ne la rassurait pas vraiment. Si il était toujorus conscient, alors il lui poserait problème. Fronçant les sourcils, elle dit à voix basse.

-Désolé mon caporal, mais vous ne me laissez pas le choix.

Serrant son poing droit, elle donna un coup violent dans la tempe du jeune homme afin de le mettre KO pour un petit moment. Inconscient, il ne présenterait alors plus aucun danger pour lui même ou ceux de son équipe. Entendant soudain un cris de l'archéologue, Sheyffi se retourna et s'aperçut que la demoiselle blonde venait d'être attrapée par la déesse qui la torturait à présent à volonté. Plus le choix, c'était le moment d'attaquer. Fouillant dans son autre poche intérieur, Noky en sortit son légendaire couteau de combat. M^me si elle aurait préféré avoir un bon sabre, elle devrait faire avec ce petit objet tranchant. Courant jusqu'à la déesse, elle sauta dans son dernier bon avant d'atterrir comme une forcenée sur la Goau'uld. Son couteau à la main, elle s'arrêta au dernier moment dans un dérapage contrôlé avant de viser la déesse.

Si elle était entourée d'un champ de force, lui sauter dessus n servirait à rien,il faudrait faire passer le couteau tout seul sans l'aide de personne. Visant correctement et inclinant son poignet en arrière, elle lança alors son projectile qui fila directement en direction du cœur de la déesse. Ne prenant même pas la peine de regarder si elle avait juste, car ayant confiance à en ses capacités de tirs, elle hurla à Gabrielle de la suivre et se dirigea de nouveua vers Aristide afin de la porter jusqu'à la sortie du temple. il fallait sortir de là et très vite!

[HRP :]
Le Fama était dans le Malp, et je l'ai récupéré en passant devant la porte... Wink

MALP a écrit:

Lewellyn :

Lunette de visée optronique (4E)
10 bâtonnets luminescents (1E)
Lampe torche forte puissance (1E)
Combinaison de camouflage (8E)
10 Chargeurs P99AS [160 munitions] (5E)
Fusil d'assaut FAMAS G2 (7E)
10 chargeur FAMAS G2 [300 munitions] (10E)

Lewellyn Drogon a écrit:: Lewellyn suivait sans difficulté la cadence de sa camarade ! En approchant de la porte, il se mit à courir et récupéra quelques munitions dans le Malp avant de rejoindre du même pas sa coéquipière !

Par contre, désolé, je me rends compte que j'ai du bâcler mon message alors car là était bien mon intention et que je n'ai pas été très précis...
Et en effet, actuellement, je tire au pistolet !
J'espère que tu ne m'en tiendras pas rigueur, mais si tu insistes, je ferai sans... Navré, pas la forme ces temps-ci...
Toutefois, sur le coup, ou c'est toi qui fatigue, ou je ne comprends plus rien, mais je n'ai pas saisi la moitié du sens de ton dernier message... Sad

, soit toute la partie en jeu...
Je suis paumé, je peux pas répondre si je n'ai pas compris... Crying or Very sad

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Maître du jeu Nombre de messages : 278 Date d'inscription : 05/10/2008

[Hrp : Pas grave Sheyffi cela reste correct. Lewellyn effectivement tu es passé au MALP récupérer des munitions ce que n'est pas un F.A.M.A.S (à moins que le jette sur les ennemis).Et ton appareil photo et le style d'appareil utilé pour prendre des photos à plus d'un kilomètre.Alors même si vous n'êtes qu'à 100 mètres (la porté maximum de ton arme) même un tireur d'élite sans équipement de visée aurait beaucoup de difficulté à toucher sa cible et si il y arrivait se serait un peu de la chance.Donc pour simplifier on va dire que tu tirais au F.A.M.A.S depuis le dèbut.Je te laisse répondre.]

Étant donné qu'il devait couvrir leur fuite, Lewellyn voulait commencer à abattre tous ceux qui se dirigeraient vers la porte de derrière. Mais ne voulant pas trop attirer l'attention sur cet endroit, il commença par tirer totalement à l'opposé, puis là où il désirait nettoyer la zone, puis vers le centre, puis à nouveau à l'opposé, essayant surtout de mettre hors d'état de nuire ceux qui gênerait la fuite de ses coéquipiers.
Il espérait ainsi, non seulement détourner l'attention de sa volonté, mais également laisser croire au village qu'il y avait plusieurs tireurs embusqués.

Sur le moment, il regretta n'avoir pas de grenade sous la main, mais s'eut occasionné fort trop de dégâts pour l'occasion !
Il lui fallait en plus tenter de gêner la vue de ses ennemis. Ainsi, il essaya de prendre pour cible, de plus en plus fréquemment, tous les sacs et emballages ayant une chance de contenir quelque chose comme de la farine, ou qui pourrait avoir une quelconque probabilité de s'enflammer ou de causer gène, panique, ou dégât !

Il attendait maintenant avec impatience la sortie de ses collègues.
Quand ceux-ci franchiraient la porte, il ferait bloc en abattant systématiquement tous leurs poursuivants. Et, quand ils auraient enfin passé la première dune, et sans attendre qu'on s'approcha trop de lui, il se mettrait à courir lui aussi vers le haut de la bute de sable.
Rafalant régulièrement derrière lui pour faire barrage à toute tentative d'approche, il courrait alors le plus vite possible vers la porte des étoiles pour saisir le code et se placer en couverture, afin de protéger le passage des rescapés, attendant la dernière seconde pour se jeter dans le vortex, quitte à se prendre un tir perdu...

Une fois qu'il serait arrivé sur terre, il hurlerait alors de fermer immédiatement l'iris, espérant qu'il tiendrait jusque là, que son plan se déroulerait comme il l'espérait... qu'ils survivraient tous... que Sheyffi s'en sortirait indemne !

[HRP : Toute la partie finale, c'est du conditionnel, essayant de te dire ce que fera mon personnage si l'occasion se présente...]

Maître du jeu Nombre de messages : 278 Date d'inscription : 05/10/2008

[Hrp : voici venu la fin de la mission et de mon dernier post ainsi que du votre et retour au SGC.Vous poster ou pas comme vous le voulez.Ce serait mieux de psoter quand même.Petite musique d'ambiance qui va bien pour finir http://www.deezer.com/track/89462]

Sheyffi venait de mettre Arsitide K.O quand elle vit que Gabrielle souffrait le martyre sous la main de la Goa'ulds.Elle lança son couteau droit vers le torse de la dèesse qui au dernier moment dèvia le projectile de sa main libre grâce à une faculté étrange venu de son bracelet.Mais cette seconde d'inattention avait suffit à gabrielle pour se saisir de son couteau et l'enfoncer dans l'abdomen de la dèesse.La torture s'arrêta et Gabrielle tomba au sol mais au loin elle pouvait voire Sheyffi trainer tant bine que mal le corps d'Arsitide.

Entendre son prénom hurlait par la jeune rouqine donna les forces à Gabrielle de se relever et de tituber jusqu'à elle pour l'aider à trainer Aristide.Du haut de sa dune Lewellyn couvrait son équipe au mieux de ses capacités et déjà plusieurs dizaines de corps jonchaient la place du village se trouvant devant le temple.Ses coèquipiéres arrivaient en haut de la dune et Aristide semblait retrouver ses esprits et arriver presque à marcher.Il était temps parce qu'il ne restait plus qu'un seul chargeur à Lewellyn.

Un cri de femme leur perça les tympans.C'était comme si les furies avaient décidé de se rèunir et d'attquer SG1.Instinctivement les memebres de SG1 surent qu'il ne falalit pas rester là et quelques secondes plus tard du temple sortir une trentaine de Jaffas.Ceux ci était équipé et bougé comme les Jaffas qu'ils avaient entendus parler dans les rapports.Mais d'ou pouvaient ils sortir?

Question qui ne trouverait pas sa réponse aujourd'hui.SG1 prit le partit de détaller le plus vite possible tant qu'il le pouvait encore.Les Jaffas étaient bien entrainés et leur tirs étaient prècis , impossible de dire si ils en avaient abbatu 10 ou aucun.Et tout autour d'eux SG1 vit coller des éclats de pierre et d'arbre et tous autant qu'ils étaient ne pouvaient remettre en doute le fait d'être né sous une bonne étoile.

Ils arrivèrent en fin en vue de la porte des étoiles Gabrielle se prècipita vers le DHD pour composer les coordonnées de la terre tandis que ces comapagnons retenaient du mieux qu'ils pouvaient l'avancée des Jaffas.Lewellyn en était à son dernier chargeur de Pistolet quand il vit un trait de lumière frapper en plein torse Sheyffi.Sans y rèflèchir il alla lui porter secours et la tira vers la porte.La dècharge avait sacrèment sonné la rouquine mais le kevlar polymèrisé de son gilet tactique avait admirablemetn bien encaissé la dècharge d'énergie.Elle garderait juste une petite marque foncé , là ou il y avait eu l'impact , pendant quelques semaines.Mais ça aucun de ces coèquipiers ne pouvaient le savoir.

La rage des combats avaient envahis Aristide et quand il vit un des ce subordonnés tomber alors que cette dernière avait risqué pour le ramener il redoubla d'effort pour couvrir Lewellyn.Alors que ce dernier se repliait il tira une grenade et se leva pour se saisir de sa deuxième grenade et recharger son arme malgré les tirs ennemis.Lewellyn qui passait à côté de lui en fut presque subjugué.Un dieux de la guerre qui se dressait sur le champs de bataille voila ce qu'était Arsitide pour Lewellyn en cet instant.Ce dernier une fois son arme rechargé envoya sa deuxième grenade et tira à tout va tout en se repliant.

Alors que Lewellyn vit arriver Aristide arriver dans la salle d'emabarquement il se retourna vers la salle de commande et hurla de fermer l'Iris et de faire venir une équipe mèdical.Mais dèjà gabrielle était sur Sheyffi et lui ouvrit son gilet et dèchira son T-shirt mais à la place de la rgande plaie à laquelle tout le monde s'attentait une simple marque rouge comme un coup de soleil.Sheyffi commença à grogner tout en retrouvant ses esprits ce qui fit rire Aristide et Gabrielle.Lewellyn lui n'arrivait pas dècrocher son regard du torse de la jeune femme et il ffalut pour l'interrompre dans sa transe l'arrivèe de l'équipe mèdical qui les emmenaient tous vers l'infirmerie.Car ils ne s'en était pas rendu compte mais dans l'ardeur des comabts isla vaient tous reçu des éclats et des echardes par ci par là mais heureusement rien de grave.SG1 avait vraiment une bonne étoile.

Sheyffi s'occupait d'aristide et ne vit pas ce qui advint de son lancée de couteau. Cependant, elle tendit distinctement le bruit métallique de la lame s'abattre avec fracas, comme au ralentit, sur le sol froid du temple: elle avait raté son coup. De peur qu'il n'arrive quelque chose de grave à Gabrielle, elle lâcha de nouveau son caporal afin de se retourner vers la scène. A sa grande stupéfaction, l'archéologue avait réussit à poignarder sa tortionnaire. Finalement, elle s'en sortait très bien pour une accroc des bouquins poussiéreux et moyenâgeux. Souriant sans même s'en rendre compte, elle passa ses bras en dessous de ceux de son supérieur hiérarchique et le traina ainsi sur quelques mètres avant que la jeune femme vienne à son secours. Ensemble, elles parvinrent à remettre Aristide sur ses deux jambes et le trainèrent ainsi jusqu'à la sortie du temple où miraculeusement, il recommençait à prendre connaissance.

Instinctivement, Noky savait qu'il lui ferait payer le fait de l'avoir assommé ainsi, mais elle n'avait pas eu d'autre choix. Enfin, expliquer ça lors du débriefing serait déjà sans doute assez difficile comme cela. Ensemble, le petit groupe parvint à rejoindre plus ou moins sans problèmes Lewel qui les couvrait comme un véritable chef. Malgré la dangerosité de la situation, la demoiselle n'était pas mécontente de pouvoir un peu passer à l'action. Sentant qu'Aristide reprenait peu à peu des forces, elle le soutint encore sur quelques mètres avant d'être sure de pouvoir le laisser se débrouiller seul. En effet, les jaffas, les vrais, les seuls, était enfin de retour! Ils prenaient en chasse le petit corps expéditionnaire qui n'avait rien demandé de tel mais qui allait devoir faire avec.

-On est prit en chasse les enfants, on accélère!

Mimant le geste à la parole, elle se retourna l'espace d'un instant et tira dans le tas à plusieurs reprises. Certains furent touchés et tombèrent au sol, mais ils étaient trop nombreux pour tenter quoi que ce soit à cet instant précis. Étrangement, la chançon d'Indochine, Little dolls, lui passait en boucle dans la tête depuis qu'elle était sortit du temple. Il était peu être temps d'arrêter de se passer des musiques en boucle avant le départ en mission... Secouant sa tête dans le but de reprendre un t'en soit peu de concentration, elle abandonna l'idée de tuer les jaffas et continua de courir à côtés de ses compagnons de galère. Enfin ils arrivèrent près de la porte où Gabrielle était en train d'activer la porte. Alors qu'ils allaient s'engouffrer à travers le vortex qui allait s'ouvrir, tous tentait de garder la porte en sécurité en la couvrant du mieux possible. malheureusement, la chance n'était pas du côté de la rouquine qui reçu un tir en plein torse.

Le choc fut violent et la projeta en arrière, en l'assommant légèrement par la même occasion. Le destin se vengeait-il de ce qu'elle avait fait subir à son caporal. Ouvrant les yeux avec difficulté sous le coup de la douleur, elle fut rassurée de voir que Lewel était à ses côtés pour lui porter secours à son tour. N'arrivant pas à se lever immédiatement, elle l'aida juste à la trainer jusqu'à la porte avant de rester allongée de l'autre côté. Elle regarda vers le ciel en se disant que finalement ils étaient tous entrés vivant. Elle remercia d'un signe de tête Lewel et ses amis pour lui avoir sauvé la vie. Gaby s'occupa immédiatement de la rouquine, toujours un peu sonné, amis qui commençait à reprendre conscience de ce qui se passait réellement. Se redressant légèrement, elle parvint à sourire afin de rassurer tout le monde sur son sort. Observant sa blessure qui finalement terminera en gros hématome, elle dit en plaisantant même si douleur était présente.

-Même pas peur.

Ainsi c'était le mot de la fin qui paraissait même un peu comique vu la situation. ce qu'elle demandait à présent, c'était du repos ... et peu-être une tasse de chocolat chaud.

Tout ce qu'il avait pu prévoir tombait à l'eau.
Dans un sens, c'était évident et il s'y attendait, mais ne le rassurait guère pour autant !

La poursuite avait été longue et pénible, la porte paraissant soudain si loin et inaccessible, comme dans ces cauchemars où l'on court en ayant l'impression de faire du sur-place.

Gabrielle eut le réflexe de s'occuper des coordonnées, ce qui ne fut pas inutile en la circonstance, d'autant que la situation devenait critique.

N'ayant plus de munitions, le docteur avait fini par jeter son Famas sur le coté pour se saisir de son pistolet, tirant tout ce qu'il pouvait.
Et là, ce fut le drame de sa vie. Sheyffi se fit abattre par un ennemi. Il aurait alors juré avoir vécu la scène au ralenti, mais ses mouvements à lui étaient encore trop lent pour réagir à temps ! S'il en avait eu la possibilité, il se serait jeté devant elle pour la sauver, mais cela ne lui fut pas possible.

" SHEYFFIIIIIIII !!! " hurla-t'il dans un cri de désespoir et de rage !

Il se jeta alors devant elle en tirant, la hissa sur son épaule, et commença à la trainer en faisant mur de ses dernières balles.
Elle bougea légerment ! Elle vivait !
Il fallait la ramener au plus vite se faire soigner, c'était indispensable ! S'il la perdait... il en mourrait, il en était persuadé !

Ils passèrent finalement la porte où les équipes médicales prirent le relais, Gabrielle ayant pris les devants.
Mais il avait eu là, à la fois le plus charmant des spectacle et la plus épouvantable trouille de sa vie en quelques secondes à peine !
Jamais il ne pourrait oublier l'effroi ressenti quand elle fut touchée !
Jamais il ne pourrait oublier le rafraichissant spectable de sa poitrine à demi-nue, mise au jour par une archéologue à la poigne de fer...