Lewellyn était comme fou, il avait les mains attachées mais trouvait encore le moyen de foncer sur un soldat pour le plaqué violement contre la paroi avant d’être repousser au sol où à nouveau le scientifique se releva pour cette fois foncer sur Diana qui fut déséquilibrée et se cogna le visage sur le coin d’une table. Quand elle se releva, sa peau s’était décollée et ce qu’il y avait en dessous avait de quoi faire peur et se poser des questions.

Spoiler:

Le choc de la réalité eut pour conséquence d’arrêter net le membre de SG1 mais la femme-allien en avait assez alors folle de rage, elle attrapa un communicateur et ordonna de jeter la prisonnière nommée Gabrielle dans le bac à sable :

« Vous l’aurez voulu, elle ne plantera pas de salades mais nourrira mon animal de compagnie, vous n’êtes bon qu’à cela »

La situation semblait perdue, échappant totalement à nos amis qui n’avaient de toute façon pas les moyens de lutter contre ces soldats, le pire était qu’ils allaient voir l’archéologue mourir sous leurs yeux. Pourtant Gabrielle était calme, ne se rendant pas compte de ce qui allait lui arriver dans très peu de temps puisque le soldat la surveillant commençait à la pousser pour qu’elle entre complètement dans la pièce.
Etait-ce ainsi qu’allait disparaitre l’équipe SG1 ?

Un flash vint éclairer la porte où se tenait la jeune femme blonde, le soldat s’écroula et Diana s’écria :

« Qu’est-ce qu’il se passe ? »

Elle n’eut le temps que de dire cela avant que la porte du laboratoire ne s’ouvre et que quelqu’un venant de l’extérieure ne crie :

« Couchez-vous »

Il n’en fallait pas plus pour que Sheyffi et Lewellyn ne s’étalent au sol afin d’éviter les tirs de lasers qui partaient dans tous les sens, touchant parfois les soldats. De nouveau la voix cria :

« Rampez vers la porte »

Après avoir rampée comme un ver de terre et avoir nourri les pensées érotiques de Lewellyn, Sheyffi se retrouva face à ceux qui étaient venus les chercher, des soldats comme ceux qui les gardaient jusqu’à présent.
Etait-ce une bonne nouvelle ?
Au moins ce ne serait pas pire qu'avec cette femme vaniteuse !

Un fois de plus le duo n’avait plus le choix sauf que le scientifique avait décidé de faire sa sieste au milieu d’un champ de bataille et que les assaillants n’allaient pas passer la journée à l’attendre. Une autre surprise arrivait pour la rouquine, Gabrielle courait dans le couloir dans sa direction, juste derrière elle put aussi apercevoir Aristide qui une fois arrivé rampa dans le labo pour aller chercher la belle au bois dormant pendant que l’archéologue détachait Sheyffi.

Les choses s'enchainaient très vite pour la demoiselle, peut-être mêem un peu trop vite à son gôut. La militaire qui était pourtant habituée à voir de l'action quotidienne, avait peine à suivre tous les retournements de situations qui se déroulaient depuis quelques minutes. Résultat, la belle était parvenu à adopter un jolie mal de crâne pour la journée. Étudiant enfin les soldats qui les avaient sauvé, vu qu'elle en avait l'occasion, elle fut surprise de voir qu'ils ressemblaient beaucoup aux autres. Qu'étaient-ils donc, des traitres? Ralala, décidément, cette mission ne s'annonçait pas de toute repos.

Et pourtant Noky était loin d'être au bout de ses surprises. Alors qu'elle venait de soulever le problèmes que des membres de son équipe manquaient à l'appel, elle fut encore plus étonnée de les voir débarquer tous les deux. Gabrielle emprunta le couloir et entreprit de détacher la rouquine qui la remercia bien volontiers au passage. d'un coup, la blondinette venait de remonter dans l'estime de la soldat. Aristide quand à lui, s'était échappé dieu seul sais comment et ramena Lewel près d'eux, ou plutôt prit la décision de le faire car le scientifique semblait faire le résistance dans son coma temporaire.

L'état de santé de son bien aimé inquiétait beaucoup Sheyffi, malheureusement, vu que tout le monde était de retour, elle ne pouvait plus rien en montrer et retournait donc à sa froideur habituelle. La demoiselle était pourtant ressurée de savoir qu'Artistide était de retour près d'eux et qu'ils n'auraient pas le besoin d'aller à son secours. se tournant donc vers les soldats, en qui elle ne faisait d'ailleurs toujours pas trop confiance, elle dit:

-Merci de votre aide, vu que j'imagine que vous y êtres aussi pour quelque chose pour le sauvetage du jeune homme là bas (par là bien sure, elle parlait d'Aristide). Mais je dois savoir une chose, qui êtes vous exactement et qu'attendez vous de nous?

Aristide se débattait pour ramper et trainer Lewellyn toujours inconscient, il devait espérer qu’il se réveille sinon il allait devoir le porter une fois sorti du laboratoire, ce qui était délicat pour se sauver car il fallait bien imaginer qu’ils seraient poursuivis du fait qu’ils étaient moins nombreux que les soldats restés fidèles à la cause de Diana.
Pendant ce temps, dans le couloir, Sheyffi observait les soldats rebelles, ils n’étaient que quatre, deux tiraient sur les soldats du labo, les deux autres étant chacun à un bout du couloir pour contenir l’arrivée de soldats. A la question de la rouquine, un des soldats dit :

- Nous n’avons pas le temps de parler, votre ami sait tout, c’est pour cela qu’il est avec nous, prenez ça et testez le sur la paroi pour vous habituez !

Il lui tendait un pistolet laser pour que elle aussi participe à la fête, le labo étant devenu une boite branchée, DJ Dayana aux platines, musique techno et effets lumineux aux lasers, le seul problème pour les humains était de s’adapter à la danse du reptile que commençait à maîtriser Aristide !

D’ailleurs, en parlant du loup (ou du lézard), il poussa le scientifique jusqu’au pas de la porte et demanda à Sheyffi de l’aider en tirant hors du labo l’escargot (bah oui il n’arrête pas de baver partout) qui semblait reprendre conscience, il faut dire que les à-coups donnés par Aristide avait de quoi réveiller.

Un des deux soldats rebelles s'occupant du labo fut blessé au bras, il fallait vite prendre sa place....

Une fois tout le monde hors du labo, un des soldats amis appuya sur la commande pour fermer la porte puis tira dessus afin de la verrouiller. Avec ce qu’il se passait, Gabrielle n’arrivait pas à comprendre Lewellyn, elle avait autre chose à faire que de prendre le thé, au moins d’être inquiète à chaque rayon laser venant frapper les murs aux extrémités du couloir. Celui qui semblait être l’officier regarda de chaque côté pour faire le point sur la situation puis hurla :

- On y va, par ici

Il montrait le côté opposé à la position de Sheyffi, elle allait devoir parcourir tout le couloir pour rejoindre les autres en sachant qu’elle allait se retrouver dos à l’ennemi, le soldat blessé qu’elle était venu remplacer étant déjà en train de s’éloigner rapidement.
Aristide demanda à l’officier de l’aide pour transporter le scientifique mais il reçu un refus car avec ses deux hommes valides, ils devaient ouvrir la route, ainsi l’équipe SG1 devait se débrouiller seule, pour couvrir leur leader et pour déplacer le grand méchant mou. Le caporal voulait bien porter Lewellyn mais avait peur que Gabrielle ne puisse se servir d’un pistolet laser pour couvrir Sheyffi.

Ils avaient des choix à faire et la rouquine devait prendre une décision rapidement car les soldats alliés commençaient à avancer.

Ainsi Sheyffi avait décidé de faire confiance à Gabrielle et cette dernière comptait bien faire le maximum pour éviter de lui tirer dessus alors elle fit comme son leader peu de temps avant, elle essaya l’arme sur un mur mais la militaire ne lui laissa qu’un seul essai avant de se mettre à détaler comme un lapin. On pouvait se croire devant la télé, pendant un ralenti ou la rouquine courait et des tirs venaient des étincelles derrière elle quand ils touchaient les murs de son ancienne position. Gabrielle cria :

-Plus vite Sheyffi, ils vont arriver

De son côté, Aristide attrapa son légume de coéquipier par-dessus l’épaule et commença à avancer pour ne pas perdre de vue les soldats alliés car ils venaient de tourner dans un couloir adjacent ce qui ne permettrait bientôt plus à la rouquine de voir son ami.
Depuis le début de la mission, c’était la première fois qu’ils n’étaient plus l’un à côté de l’autre à pouvoir se voir et se rassurer, encore qu’il y a des fois où il est bon de ne pas voir l’autre !
Le caporal entra dans une pièce où il était attendu et la porte se referma mais il s’arrêta car il se doutait que les demoiselles ne les retrouveraient pas alors il posa Lewellyn et ouvra la porte pour passer la tête de temps en temps.

Après quelques échanges de tirs entre la blonde et des extra-terrestres, la militaire arriva saine et sauve à la hauteur de l’archéologue qui lui tendit l’arme, malheureusement, il n’y avait plus personne en vue, elles allaient devoir avancer en espérant retrouver le groupe, le seul problème étant qu’en avançant, plusieurs couloirs vident s’offraient à elles sans savoir lequel prendre, la panique montait car elles savaient que les poursuivants allaient arriver.
Heureusement, Sheyffi aperçue Aristide qui lui faisait signe de la main de venir, c’était une chance dans un si grand vaisseau de ne pas être isolée des autres avec seulement une arme.

Une fois tout le monde à l’abri dans une petite pièce, l’officier alien parla :

-Voici vos armes, nous les avons récupérés en même temps que votre camarade mais nous ne pouvions nous balader avec sans attirer l’attention, équipez-vous vite, nous devons continuer mais votre ami est un poids qui nous retarde trop et risque de faire échouer notre plan, donnez lui ça à boire, c’est un concentré de ce que vous appelez vitamines et divers autres choses, nous serons obligé de l’abandonner s’il ne va pas mieux.

Trimbalé sur l'épaule d'Aristide sous les tirs de laser des ennemis sauriens, Lewellyn eut à nouveau une absence, qui pourtant passa plutôt inaperçu aux yeux de ses collègues, bien trop occupés qu'ils étaient à défendre leur position et leur repli. Toutefois, Aristide pouvait l'entendre marmoner quelques mots sans cohérence :

« Ce n'est pas le paradis, mademoiselle ! ... J'aimerai pouvoir vous aider, jeune homme, mais j'ignore comment ! ... Il se passe un truc bizarre, c'est certain, il faut comprendre quoi ! Si effectivement nous revenons ici, nous devrions avoir d'avantage de temps et... » Alors que le Caporal Effner le reposait au sol pour s'armer, Lewellyn se releva soudain frais et dispo, comme si rien ne lui était jamais arrivé... bien qu'il sentait encore son visage le tirailler !

« Euhh... Mais qu'est ce qui m'est arrivé ? On est où là ? C'est qui eux ? »

Il regarda alors partout autour de lui à la recherche de quelque chose que lui seul semblait comprendre...

(HJ : Désolé pour la lenteur, mon emploi du temps est un peu serré en ce moment... )

( HJ : Double post, je sais, mais c'est parce qu'il y a du nouveau, histoire que rien n'échappe à personne )

Il regardait autour de lui quand il se mit soudain en cambrure avant, comme pour ramasser quelque chose d'invisible se trouvant à mi hauteur entre le sol et lui !
Il regarda ensuite à nouveau autour de lui, porta les main à son visage en marmonnant :

« Oh bon sang, c'est quoi cette histoire ! »

Un sourire crispé se dessina alors sur son visage en se relevant et en regardant les autres, comme gêné d'avoir été surpris dans cette posture.

« Euhhh, désolé ! Ce n'est rien ! »

Il fit alors quelques pas vers son équipe pour récupérer son propre matériel en attendant de savoir ce qu'allait ordonner Sheyffi, puis marmonna à nouveau des paroles incompréhensible :

« Excusez moi de vous interrompre mais... il semblerait que ma théorie soit la bonne, puisque je vous avais prédit un retour ici avec d'avantage de temps ! Le problème est maintenant de découvrir ce qu'il en est. Je doute que nous ayons le temps de tout entreprendre, mais notre prochain passage devrait nous aider. Je vous suggère de nous mettre rapidement d'accord sur nos prochaines tâches afin de ne pas perdre de temps en discours inutiles la prochaine fois... »

Encore une fois, il paraissait gêné, mais pas au point de rougir comme à son habitude : on pouvait réellement lire de l'embarras et de la peur dans ses yeux...

Toute l’équipe était enfin réunie et chacun avait récupéré son armement et équipement, il y avait de quoi se sentir moins nu. De plus Lewellyn sortait de sa léthargie ce qui allait bien aider le groupe pour avancer plus vite.

L’officier rebelle décida de poursuivre dans les coursives de ventilation afin de ne pas avoir à combattre à découvert dans les couloirs, pendant ce temps, Aristide expliqua la promesse qu’il avait faite pour que SG1 reçoive de l’aide afin de pouvoir repartir par la porte des étoiles, c’était donnant-donnant, ils devaient d’abord aider les rebelles à prendre le contrôle du vaisseau avant de pouvoir espérer le quitter en navette.

Arrivé près de la salle de contrôle de ce monstre flottant dans les airs, l’officier demanda aux terriens d’éviter de faire trop de dégâts sur les consoles électroniques, qu’avec les siens il allait se rendre jusqu’à l’autre porte d’accès pendant que SG1 attaquerait de son côté.
L’attaque était prévue dans 10 minutes et la tension commençait à monter…
…C’était le moment d’y aller (A vous de jouer en sachant que lorsque vous ouvrirez la porte, vous verrez une dizaine d’extra-terrestres qu’il faudra éliminer).

Les échanges de tirs étaient au rendez-vous-même si une grande partie des extra-terrestres de la salle de contrôle étaient plus des techniciens, avec une arme, ils n’en étaient pas moins dangereux que des soldats, juste moins précis, ce qui évita à la belle rousse de ne plus avoir de tête.

Sheyffi en avait eu un pendant que les soldats rebelles en était à deux de leur côté, c’est à ce moment que Gabrielle et Aristide s’élancèrent profitant de la couverture de leurs amis pour aller se réfugier derrière une console tout en tirant. D’ailleurs le militaire élimina un ennemi à force de tirer avant de se plaquer dos à l’obstacle qui servait de protection et de s’apercevoir que Gabrielle gisait au sol sur le ventre alors il rampa jusqu’à elle afin de la tirer à l’abri des tirs qui continuaient de pars et d’autres.

Après trois nouvelles victimes du côté des défenseurs et voyant qu’ils ne pourraient plus arriver à défendre le lieu, les quatre derniers hommes en rouge déposèrent les armes et furent entourés rapidement par les rebelles.

De son côté, Aristide tenait la tête de l’archéologue entre ses mains lançant un cri pour demander de l’aide, le militaire ne savait que faire car la belle blonde était en sang mais était consciente et souffrait beaucoup même si elle ne poussait que des gémissements plutôt que des hurlements.

L’officier arriva vers sheyffi pour lui signaler qu’il avait perdu un homme dans la bataille mais que la salle de contrôle était sécurisée et que si SG1 voulait retourner sur la planète, c’était maintenant ou jamais. Le problème était l’état de Gabrielle qui était intransportable mais le soldat rouge sorti une petite boite de sa combinaison en disant :

- Faites la manger ça, si vous ne le faites pas, elle mourra et vous serez coincé sur le vaisseau, c’est composé d’une céréale particulaire cultivée et très convoitée sur cette planète, nous ne sommes pas les premiers à nous battre pour découvrir son secret.
Dès que ce sera fait, un de mes hommes vous ramènera en navette près du cercle mais il faut faire vite, merci de votre aide et bonne chance !

Il avait dans sa main, une sorte de gâteau qui faisait penser à un sablé qu’il donna à Sheyffi car elle doutait de l’effet et ne voulait pas donner n'importe quoi à son archéologue, comment un biscuit pouvait guérir, un sarcophage le pouvait alors pourquoi pas un biscuit, peut être qu’il y avait un produit chimique dedans qui pouvait expliquer les dires de l’officier rebelle. Ce dernier avait autre chose à faire que de papoter et commença à toucher aux consoles avec l’aide de ses trois soldats.

En quelques secondes, le visage de Gabrielle s’illumina, plus de grimaces car elle semblait ne plus avoir mal, elle ouvrit les yeux et demanda pourquoi tout le monde la regardait avec des têtes d’enterrement, qu’il y avait peut être mieux à faire que de prendre le thé. L’effet de ce sablé était miraculeux, elle était déjà sur ses pieds ce qui avait de quoi surprendre et Lewellyn ne manqua pas de prendre des morceaux tombée au sol, en tant que spécialiste en science avec son doctorat en confection de biscuits, il ne devait pas en perdre une miette. Le temps manquait pour ouvrir un débat sur la justesse de la cause des rebelles alors l’officier releva la tête de son panneau de contrôle et dit sèchement :

Si vous pensez être mieux avec le commandant Diana, ne vous gênez pas pour y retourner, cela évitera à un de mes hommes de perdre son temps avec vous alors qu’il serait bien plus utile ici.
Vous n’avez pas parlé beaucoup jusque la et pas été d’une grande utilité alors continuez et partez maintenant de mon vaisseau !

Le scientifique avait perdu une occasion de se taire, l’officier n’était pas d’humeur et après avoir regardé Gabrielle, il fit signe à un de ses soldats de s’occuper de SG1 alors ce dernier arriva devant Sheyffi :

Suivez-moi, pour le moment les couloirs sont isolés hermétiquement pour que nous ne rencontrions personne jusqu’au hangar, avant d’y pénétrer, il faudra demander une dépressurisation pour éliminer ceux qui pourraient nous y attendre puis pressuriser afin d’y prendre une navette.

Il n’y avait qu’une chose à faire, c’était de courir comme quatre lévriers derrière un lapin rouge, jusqu’à ce que la porte du hangar soit en vue, alors le soldat communiqua avec la salle de contrôle afin de vider la zone d’une quelconque menace. Quelques minutes après, ils purent entrer et constater que l’immense pièce était sans danger, seules des navettes étaient encore en place au milieu de la plateforme d’envol et des objets plus ou moins encombrants jonchaient le sol, déplacés par la décompression.

Ils longèrent une navette grand format qui devait servir au transport de troupe avant de prendre la direction d’une plus petite mais sans doute plus rapide. Le soldat les guidant n’ayant pas vu sur la gauche que la porte d’une navette s’ouvrait, il fut prévenu par un membre de SG1 mais n’eut pas le temps d’éviter la pluie de laser et s’écroula net. De son côté, Sheyffi et les siens eurent le temps de se mettre à l’abri derrière la passerelle de la grande navette. Huit soldats et Diana sortirent du vaisseau dans lequel ils s’étaient réfugiés pour échapper à la dépressurisation, bref des retrouvailles pour les deux leaders aux forts caractères…

(Je suis trop gentil : vous avez carte blanche sur vos actions et résultats jusqu’au moment où vous serez dans la navette, enfin si vous voulez toujours la prendre, n’invitez pas trop de monde, il n’y a que six places. N’hésitez pas à faire plusieurs messages avant d’arriver à la navette car la bataille risque d’être difficile, c’est votre heure de gloire avant la liberté)

Spoiler: