Je fus plutôt ravie de voir que mes collègues n'avaient pas totalement perdu la tête. Je comprenais leur méfiance pour Dante, moi même je ne lui faisais pas confiance, mais il fallait se plier à la direction du SGC, et prier pour qu'il débarrasse le plancher rapidement. D'ailleurs avec ce fiasco, il allait peut être dégager plus vite que prévu, se qui serait une bonne chose. Le canon de mon P90 pointé vers le sol, je m'approchais un peu plus des hommes du SGC. Pas besoin de crier, après tout se qu'ils voulaient était parfaitement compréhensible, chacun des membres du SGC était fidèle à notre vrai patron : Parray.

Je ne retins même pas un sourire en voyant Lewellyn manquer de s'assommer, il faut dire que retrouver les personnes avec qui j'avais l'habitude de travailler me rendait le sourire. Quelque chose de familier dans ce foutoir ne pouvait qu'être agréable. Bien sûr ils étaient méfiant, logique Dante se trouvait dans le Hummer, et il n'inspirait confiance à aucun d'entre nous.

"A mon avis, Dante va se faire botter le cul pour avoir foutu un merdier pareil, du moins je le souhaite. Et dans ce cas là, la seule chose que je regretterais ça sera de ne pas pouvoir le faire moi même. Pour le moment il est au placard, les ordres ne viennent pas de lui, il ne sait même pas se qu'il se passe."

Puis la fameuse question de se qu'il se passait pour eux, enfin non pour nous. A mon avis il était clair qu'on rentrerait à la maison dès que tout le monde serait récupéré. A mon avis, il ne manquait que Parray avant de retourner au bercail.

"L'armée récupère tout le monde et on rentre à la maison. Si j'ai bien compris il n'y a plus que Parray à récupérer, notre aide sera sans doute la bienvenue."

Alors que Rakel était entrain d'essayer de convaincre ces collègues de la suivre et de rejoindre les forces de récupération projetées par la D.G.S.E. et que ces collègues eux freinaient des quatres fers.Du bruit derrière Rakel attirra l'attention de l'ensemble des protagonistes.Le capitaine qui était venu récupérer Rakel venait de descendre du Vèhicule et se diriger vers eux d'un pas assuré avec un regard aussi glacial que celui de Dante.

"Primo nous ne sommes pas des renforts mais une équipe de récupération, et plus je perds de temps avec vous, moins j'ai de chance de retrouver votre général.Deuxio vous venez de recevoir un ordre direct et si vous ne commencez pas à vous bougez tout de suite vers le van vous allez vous retrouvez inculpez pour insubordination et trahison."

Pendant qu'il parlait des hommes étaient descendus des vèhicules et avaient sortis de leur gilet tactique des psitoles tazer.Une arme petite compact légére ressmebalnt plus à jouet qu'autre chose mais la dècharge qu'elle délivrait un douleur atroce.Et rien que sa simple vue avait tendance à calmer tout ceux qui y avaient déjà goûté.Et si cela ne suffisait pas on pouvait voire que les hommes du nouveau venu portait en plus de leur P90 ou de leur fusil à pompe, des bâtons téléscopiques, et des bombes lacrymogènes.Ils étaient équipés pour neutraliser sans tuer et semblaient capable de le faire sans forcer.De leur côté les mousquetaires n'avaient qu'une arme, et vu ce que venait de dire Rakel, si ils résistaient ils risquaient de se retrouver dans un merdier inimaginable en plus de mettre en danger le Général Parrey.Il ne fut pas bien dure de prendre une décision au vue des évènements.

Le convoi de vèhicule reprit son chemin sans attendre et à pleine blindes.Dans chaqu'un des véhicules on pouvait voire des gyrophares bleux clignotaient et à chaque intrersection le vèhicule de tête envoyait la sirène typique des services de police.Apparemment le capitaine avait décidé d'arrêter de faire dans la finesse, récupérer le général au plus vite semblait êter sa seule préocupation et peu lui importait si pour cela il devait mettre en l'air la moitié de la ville d'Oxford.

Dans le van les soldats du SGC purent s'intaller relativement confortablement sur banc matellassé.A l'arrière du dit van il y avait une jeune femme qui prit le temps de les examiner sommairement avant de remettre à chacun d'eux un gilet parre balle, un P90 chargé et un mirco oreillette.

"Ces armes sont pour assurer votre défense et uniquement votre défense.Tout ce qui concerne la resco de votre supérieur ne vous concerne plus.C'est à nous de remplir cette tâche vous m'avez bien compris."

Laurent reconnu sur le champs la façon de parler d'une recrue du CPA 30.Les commandos de l'armée de l'air, la même unité ou il avait été formé.Les pros de la récupération en territoire hostile.Il s'agissait d'un fait rassurant pour le commando qui se sentait presque en famille en présence de l'une de ses consoeurs.

Au bout d'une dizaine de minutes de conduite extrème dans les rues d'Oxford, les vèhicules ralentirent et rapidement tout à chacun compris pourquoi.A l'arrière du van comme dans le hummer un petit écran LCD s'alluma et chacun pu voire un homme dans la trentaine bien bâti portant les insignes des parachutiste.Le capitaine De La Motte Piqué était en discussion avec l'homme un lieutenant qui semblait être en mesure de lui fournir des informations ou tout au moins une piste.

"Voila les faits lieutenant d'après vous quelles sont les issues de secours qu'elles se sont ménagées?"

Dante reconnut sans peine l'homme qui allait répondre à l'homme de la D.G.S.E, il s'agissait de l'ancien chef d'unité du Sergent Chef Strucker.L'homme des services secrets s'adressaient à la personne qui connaissait les sales petites habitudes de leur proies pour la retrouver plus plus facilement.Loin d'être bête mais est ce que cela serait aussi constructif que prévue.

"Difficile à savoir Strucker a été entrainé pour ce genre de mission.L'extraction de ressortissant Français en zone hostile fait partie de nos missions et à ce jeux elle est plutôt douée.Sans parler qu'elle est bilingue et qu'elle n'a aucune trace d'accent français.Dans le meilleur des cas on la prendra pour une amèricaine."

Le capitaine commençait à s'impatienter et coupa le lieutenant de sa lancée.

"J'ai besoin d'une solution pas de plus de question à me poser lieutenant."

Le lieutenant esquissa un sourire comme si il était content que le capitaine quèmande son aide.A moins que se sourire soit du au fait que l'un des anciens membres de son unité faisaient vivre une journée infernale aux gens de la D.G.S.E.Certainement beaucoup des deux.

"Et bien elle doit déjà avoir récupéré un bon petit pécule en faisant les pôches et les sacs à mains dans le bus ou dans la rue.Elle va chercher un endroit pour brouiller les pistes comme une station de mètro ou un hall de gare.Ne cherchez pas dux personnes voyageant ensemble Strucker doit certainement ouvrir le chemin à une vingtaine de mètres de distance.Elle va certainement essayer de prendre le train en changeant sont apparence.Se couper les cheveux, une couleur, des rajouts de nouvelles fringues mais si vous arrivez à filtrer tout les passagers en partance pour Londres vous avez peut être une chance de leur mettre le grappin dessus."

Les prévisions du lieutenant était loin d'être encourageante mais semblaient assez logique mais n'aidait pas en grand chose dans les recherches pour ne pas dire que cette communication s'avèrait totalment inutile.C'est alors qu'une deuxième e fit entendre et qu'un deuxième apparut sur l'écran, immédiatement cet homme rappella MickaËlla à Rakel dieu seul savait pourquoi.

"Patron.Si je puis permettre je pense savoir comment crazy va s'y prendre.Elle va essayer de regagner le territoire français au plus vite il y a trop de monde sur cette affaire pour leur échapper indéfiniment.Elle a le choix entre le train et l'avion.Si elle prend le train, elle prendra la place d'un contrôleur pour éviter tout ce qui est camèra et une fois sur les côtes anglaises elle se fera passer pour une immigrée débarquée d'un containaire pour être renvoyé en france par les services d'immigration.Mais il y a plus de chance pour qu'elle prenne l'avion il y a une ligne qui fait Edimbourg, Poitiers tout les jours.Et pour se rendre à Edimbourd soit elle va voller un vèhicule soit plsu certainement faire du covoiturage ou du stop suivant ce qui sera le plus rentable.Personne ne s'attends à cette manoeuvre elle peut être dans la journée à Edimbourg et se soir en France.C'est ce qu'elle fera "Qui ose gagne"."

Le lieutenant regarda fixement devant lui et annoça solennellement.

"Si le sergent vous le dit, vous pouvez être sur que c'est ce qu'elle fera."

La façon de dire patron, de bouger, ce truc dans le regard rappeller MickaËlla à Rakel et il ne faisait aucun doute pour elle que cet homme avait raison.Sans parler du fait qu'il ait prononcé la devise des RAPAS, il s'agissait d'un plan que MickaËlla aurait très bien pu imaginé.Culloté, bien ficellé, rapide et efficace.Pour le reste des membres du SGC toute cette psychologie de bas étage semblait quelque peu branquebelante et ne rimait pas à grand chose.Mais étant donné qu'il n'y avait aucune autre piste à suivre il fallait bien se rabbattre sur quelque chose.Le capitaine coupa donc la conversation sans plus de préambule et fit prendre au convoi la direction d'Edimbourg.Pendant ce temps l'informaticien continuait à faire des recherches cherchant avec avidité un indice le mettant sur la piste du général et de son garde du corps.

[Hrp : Alors dans le van à l'arrière il y a Jill Laurent Lewellyn Luc et une femme qui vous examiné.Rakel tu es toujours dans le vèhicule de tête.]

Il en était terminé de cette folle escapade, Laurent était prêt à suivre l’Adjudant Peleonor quand des pas détournèrent son regard sur un type en civil, veste en cuir noir, jean et chemise noire. Ce dernier arrivait d’un pas décidé et avec un visage indiquant qu’il ne venait pas pour faire un câlin, ce qui se confirma par ses propos bien qu’il ne déclina même pas son identité et ne montra pas sa carte, heureusement que l’adjudant était la pour confirmer par son absence de réaction que c’était bien lui qui donnait les ordres.

« Tertio je vous suis "Monsieur je ne sais pas qui vous êtes mais qui semblez diriger" ! »

Laurent se senti tout petit sous le regard assassin du type à qui il venait de balancer sa remarque puis la cavalerie arriva pour décider le groupe à bouger. Il donna son arme à l’Adjudant car il aurait été risqué de la confier au man in black qui aurait pu s’en servir pour répondre au militaire du SGC.

« Nan mais faut pas vous énervez les gars, vous voyez je n’ai plus d’arme et je ne demande qu’à vous suivre alors pas de blague, ça fait mal ces joujoux »

Il parlait des tazers dont il ne souhaitait pas recevoir une décharge même s’ils étaient loin de la technologie des zats, ils pouvaient quand même faire mal alors que cela était inutile, en tout cas pour Laurent qui grimpa sans rien dire de plus dans le van où une jeune femme les attendait.

« Mademoiselle !
Enchanté de faire votre connaissance… Heu vous faites quoi la !? Qu’est ce que vous regardez, avez-vous perdu quelque chose ? Hein ??? Ben merci ! »

Sans trop comprendre, il venait de se faire examiner rapidement et de se voir octroyer un gilet pare-balle, un pistolet mitrailleur et une oreillette. Les consignes qui suivaient étaient très clairs, ils étaient spectateurs mais on leur donnait la possibilité de se défendre au cas où, alors Laurent retira le chargeur pour vérifier qu’il y avait bien de vraies balles avant de s’équiper des deux autres objets.

Pas facile avec la conduite sportive du chauffeur quand il fallait s’accrocher pour ne pas se retrouver sur les genoux de son voisin mais cela restait quand même possible entre deux virages à la corde. Quelques minutes plus tard, l’arrêt du véhicule fut un soulagement, non pas que cela pouvait dire quelque chose sur la localisation de Parray mais plutôt pour reprendre sa place et se sentir encore vivant par on ne savait quel miracle.

Le retour au sérieux de la situation était amené par cet écran où le man in black discutait avec un para, ils cherchaient le moyen de retrouver le Général en essayant de se mettre à la place du pitbull qui lui servait d’escorte.

*Vous êtes mal le gars si vous essayer de rentrer dans la tête de cette folle furieuse, vous risquez de vous faire peur tout seul, le peu que j’en ai vu au SGC m’a suffit*

Les hypothèses allaient bon train et pourtant ils s’orientaient sur la piste de l’avion ce qui étonna Laurent, pour lui le train était la meilleure solution car il n’y avait moins de risques de se faire contrôler et surtout pas de portiques de sécurité. L’avion était pour lui un piège et ne laissait que peu de marge de manœuvre, par contre le train pouvait être arrêté grâce au signal d’alarme en cas de problème à bord, permettant de fuir le danger. De toute façon on ne lui demandait pas son avis alors il attendait la suite qui vint assez vite, l’hypothèse de l’avion était privilégiée, c’était mettre toutes les billes dans le même panier ce qui pouvait être une réussite pleine de chance comme un échec total alors Laurent demanda à leur accompagnatrice :

« Pouvez-vous demander à votre chef s’il n’est pas possible qu’on ne néglige pas la piste de la gare, nous ne servons à rien alors peut être que nous pourrions nous en charger »

Le regard de la demoiselle en disait long sur son envie de déranger son supérieur sur la proposition d’un soldat qui était sans doute destiné à ne pas quitter le van avant un bon moment sauf pour embarquer à destination de la France. Il fallait tenter plutôt que de garder ça pour lui alors il se dit qu’il avait essayé et qu’il fallait croiser les doigts pour que l’option choisi soit la bonne.

(HJ: désolé, j'ai du mal à trouver quoi que ce soit à faire en l'état des choses...)

La jeune femme allait répondre quand la voix du capitaine la coupa dans son élan.

"Nous n'aurions certainement pas négligé cette piste si nous n'avions pas la protection et le rappatriemment de 5 sublaternes du général Parrey et d'un VIP.Ce qui sous entend que votre requête est rejeté soldat."

Le capitaine mettait tout le monde dans le même sac qu'ils sagissent des quatres mousquetaire ou de Dante.Ils étaient sa mission et il était hors de question qu'ils les perdent bêtement en les laissant remplir la mission qu'on lui avait confié.Et il est vrai que si on se mettait quelques secondes à sa place, la décision qu'il venait de prendre était la plus rationelle.Si il n'arrivait pas à récupérer Parrey il aurait au moins ses subalternes et Dante si ils les laissaient partir il n'avait plus personnes.Le convoi se dirigea donc à vive allure vers la freeway qui allait les mener à Edimbourg quand l'informaticien à côté de Rakel repéra une course poursuite sur les camèras de surveillance du trafic urbain impliquant apparemment des personnes armées.Il était fort probable qu'ils s'agissent du Général et de son garde du corps qui étaient prises en chasse par les mêmes assaillants que lors de l'embuscade.Le convoi se mit donc en devoir d'intercepter la course-poursuite tout comme les policiers s'efforçaient de le faire.Sauf que ces derniers ne disposaient pas de la même logistique et de l'expèrience dans ce domaine.En quelques minutes le convoi fut en mesure de pouvoir tenter une interception mais la voiture qui devait être celle du général venait d'avoir un accident.Le général aidait son garde du corps à sortird e la voiture alors que les hostiles arrivaient à hauteur du général et la menaçaient de leurs armes.

Contre toute attente le Général s'avança et colla son front sur le canon de l'arme du premier des assaillants qui hésita pendant une seconde.Une seconde de trop.D'un mouvement de la nuque le général dèvia le canon de l'arme et engagea son assaillant au corps et en moins de temps qu'il ne fallut pour le dire, elle avait désarmé ce dernier, et récupéré son arme.Les autres assaillants ne s'étaeint pas attendus à se revirement de situation et il mettaient en joue le général mais sans avoir la réelle intention de lui tire dessus.C'est à ce moment prècis que le convoi arriva sur la zone et que les hommes du capitaine débarquèrent en force avec parre-balle, pistolet mitrailleurs et cagoules.Les assaillants se retournèrent pour faire face à la menace mais ils n'avaient aucune chance de s'en sortir les hommes du capitaine étaient trop bien entrainés.Chaque balle tirée fut mortelle et cela ressemblait plus à une exècution qu'à une opèration de sauvetage.En quelques secondes place net fut faites et le général ainsi que son garde du corps furent emmené à l'arrière de la 607 blindé.Mais la police arrivait sur zone pour demander des comptes.Le capitane enleva son oreillette et s'avança vers eux gardant sa cagoule apparemment moins sous pression que les policiers eux même.Moins de deux minutes plus tard le convoi pu reprendre sa route direction l'aèroport prive le plus prôche ou Jet les attendaient pour les ramener en France.

Sur le Tarmac on récupéra toutes les armes confiés, mais on leur laissa les parre-balles.Les mousquetaires purent voire que le général se portait comme un charme comme si elle sortait de faire son footing.Strucker quand elle semblait un plus salement touché, elle boitait et avait du sang séché sur le visage.Tout ce petit monde fut rapidement embarqué à bord du gulfstream qui ne perdit pas de temps à quitter la piste.De ce qu'en avait dit le capitaine au général Parrey, ils avaient été obligé de faire deans l'expéditif et il vallait mieux qu'ils quittent le territoire anglais au plus vite.Pour ce qui était d'arrondir les angles d'autres s'en occuperaient après coup.Le jet pris son envol et en regardant par l'un des Hublot de ce dernier on pouvait voire les hommes du capitaine, ainsi que lui même réunis autour d'une autre personne qui venait de sortir du hummer de queue.On n'arrivait pas à distinguer plus qu'une silhouette à croire que cette dernière le faisait exprès.Au moment ou le jet quitta la piste le famuex colonel se tourna vers le Jet qui prenait son envol.Et tout ceux qui regardaeint dans cette direction purent voire une tonsure Or, et sentir un frisson leur parcourir l'échine en sentant le regard de ce prédateur se posait sur eux.Maintenant il savait ce que ressentait l'antilope traquait par la lionne.

[Hrp:Désolé pour le temps que ça a pris et de bacler ça mais il faudrait qaund même que l'enterrement d'Ewan soit terminé avant son retour]