L'Agent Dante fut informé par L'agent Leblanc que le général avait bien regagné so hôtel , que le Major Merril et le Sergent Strucker s'occupait de la protection rapproché à l'intérieur de la chambre du dit Officier.L'agent précisa , avant que son supèrieur ne lui demande , que la chambre avait été vèrifié par leurs soins et que son équipe vèrouillait tout les accès et gardait constament en visuel le vèhicule de transport ceux d'escorte celui de secours et les intinèraires de fuite à partir de l'hôtel.Même une mouche n'aurait pas pu passer sans se faire contrôler par les agents mais le risque zèro n'existait pas et il existait encore des millions de risques non évoqués qui se pressait dans l'esprit mèticuleux et perfectionniste de l'Agent Dante.Encore heureux que pour le moment les membres du SGC se tenaient correctement , mais il ne fallait pas leur lâcher la bride , ordre et discipline , L'agent Dante y veillerait.

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Les Judicieux conseils de Laurent permirent à la garde d'honneur de se rafraîchir et de se soulager.Mais durant leur garde autour du cercueil du dèfunt Sergent personne ne vint leur adresser la parole et quand ils essayaient d'engager la conversation les gens s'éclipser dans un désolé bien peu sincère.Cette cérèmonie était une vèritable torture pour la garde d'honneur qui commençait à avoir les nerfs à vifs.C'est donc lentement et l'humeur morose que ces derniers passérent la nuit à veiller sur la supposé dépouille de leur camarade mort au champs d'honneur.Et bien sur chacun rumianit un peu dans son coin en pensant au frère d'armes tombé et en imaginant que ça aurait pu être lui mais que le destin en avait voulu autrement.

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Dans sa suite Le général se sentait prisonnière du cage doré et elle n'avait pas vraiment tord.Les gardes du corps que le Major Plummet lui avait assigné était en tout est pour tout équipé d'un serviette en kevlar pendnat que ceux de l'Agent Dante était armé jusqu'au dent relié par radio et protègé par des gilets pare-balles.Encore une injustice contre laquelle elle n'avait rien pu faire et il y avait de quoi enrager intérieurement.Elle essayait tant bien que mal de penser à autre chose mais le Major Merril tirait une tronche approximativement aussi long que le tunnel sous la manche et semblait prête à mordre le premier Homme de L'agent Dante qui lui adresserait la parole.Quand au Sergent Strucker elle était bizarrement agitée , son dossier et les rapports de Rakel la prétendait pourtant d'un calme à tout épreuve en mission.Et là pourtant on avait l'impression que quelque chôse ne cessait de la dèmanger.Certainement le fait de ne pas être armé , Constance était persuadé l'avoir vu reluqué les armes que les hommes de Dante trimballés avec eux ou dans les vèhicules.En tout cas il était sur que les hommes de l'agent Dante était partout elle n'avait pas osé regarder sous son mit de peur d'en trouver un.

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Luc n'avait rien depuis un bon moment, de France en Angleterre, pas un mot. Il n'appréciait pas les enteraîments, enfin personne n'aimait ça. Parmit les membres du SGC, on pouvait facilement remarquer les civils, des militaires et des militaires étrangers surtout lui, il portait l'habituel uniforme gris de l'armée suisse et le berêt vert de l'infanterie. Le volo en avion fut court puis tous les membres durent monter dans un bus sauf le général.

Puis après être arrivé devant une maison, ils descendirent du vehicule mais ne purent entrer dans la maison sauf le général Parray et sa garde. Luc devina facilement que c'était la famille à Ewan qui habitait dans la batisse.
Luc marchait de long en large attendant le départ, il put remarquer des agents secrets mais il n'y faisait pas gaffe, de toute façon qu'est-ce qu'il apprendrait sur lui. Qu'il est Suisse et vient d'un famille modeste sans histoire.

[ HRP: En espérant que je peux laisser le message et continuer avec vous. ]

[hrp : je ne sais pas si je reposterai beaucoup par la suite, donc n'hésite pas à jouer constance en pnj si besoin est.

Micka par pitié, ne mets pas des tirets sur une ligne immense pour séparer, ça déforme le forum ]


Constance était tendue, d'humeur morose et n'avait qu'une envie : retourner en France se calmer dans son bureau en se cachant sous des tonnes de paperasse. Déjà qu'en temps normal elle supportait difficilement tout ce qui était protocolaire, là, en plus, un enterrement, c'était la cerise sur le gâteau. Aux yeux de tout le monde, elle avait dû paraitre d'une froideur extrême, mais c'était parce que c'était soit une maîtrise parfaite soit des larmes et elle s'y refusait. Donc, jusqu'à présent, c'était un masque d'austérité que rien ne semblait pouvoir faire sourire. De toutes façons, il n'y avait pas de quoi. Dante qui trainait dans le coin n'arrangeait pas l'état de ses nerfs mais d'une certaine façon elle préférait savoir que ses hommes armés étaient là, que compter uniquement sur ses gardes du corps quelque peu démunis.

Elle n'avait échangé en parole que le strict nécessaire et se taisait depuis un bon moment quand elle regagna sa chambre, où elel finit par demander :

" Quel est le problème ? "

C'était à Mickaëlla que s'adressait la question. Constance avait bien remarqué son agitation et elle devait reconnaitre qu'elle se sentait elle-même encore plus tendue qu'avant. peut-être était-ce dû aux contrôles méticuleux qu'elle avait subi, peut-être pas. Pour un peu, elle aurait eu l'impression de revenir à l'époque où elle agissait sur le terrain. Sensation très désagréable quand on est sensé attendre patiemment la suite des événements.

MickaËlla suivait le Major et surtout le général comme son ombre prête à se jetter sur la menace comme la peste sur les misèrables.Tout ce qui l'entourait lui inspirer mèfiance , bien plus que d'habitude en tout cas , et le fait qu'elle lui aidit déjà arrivé de perdre de vue un vip lors d'une mission de ce genre avec le 11éme de choc n'arrangeait rien à ça.Le trajet en voiture se passa pourtant à merveille mais le fait d'être isolé des autres agents qui assurait la protection du général ne lui plaisait pas beaucoup.Il n'était ni plus ni moins que des valises et en cas de problème le Major ne serait avisé qu'au dernier moment et le fait que l'Agent Dante soit au commande avait tendance à la mettre encore un peu plus sur les nerfs.

Une fois dans la chambre du général elle ne put s'empêcher d'y faire les cents pas vèrifiant à plusieurs reprises que les pièces étaient bien "nettes" regardant au travers des rideaux que personne ne prennait le général pour cible ou pour un assassinat ou pour une écouté illégale.Le major et elle n'avait pas de quoi vèrifier si il y avait des mouchards et elle en était sur Dante en avait placé au cas ou le général voudrait faire une virée sans toute l'armada rèquisitionné par Dante.Dailleurs le dispositif semblait trop lourd trop imposant à MickaËlla et donc en l'occurence était trop voyant certainement dans un soucis dissuasifs.Mais il ne fesait aucun doute dans son esprit qu'une équipe entrainé pouvait trouver la faille , il y en avait toujours une.Et MickaËlla s'efforçait de la trouver en brassant plus de vent qu'autre chôse mais à son crèdit ses faits et gestes étaient encore plus limités que ceux du général.Dailleurs quand cette dernière lui adressa la parole MickaËlla faillit sursauter et elle mit un peu de temps pour essayer d'ordonner tant bien que mal ses idées.

"Je sais pas général mais il y a un truc de pas net."

MickaËlla mit encore quelques secondes avant de continuer ce qu'elle avait à dire comme si il rèflècgissait à quelque chôse de profondèment censé et dangereux.

"Je veux dire c'est pas comme ça que je m'y serais prise , on est trop exposé , pis les hommes de Dante m'insprire pas confiance.On les connait pas ils ont des armes pas nous et on sait rien de ce qu'ils peuvent tramer avec Dante.C'est pas net."

MickaËlla refixa son regard vers l'horyzon comme un chien de chasse qui serait mis à l'arrêt , mais son discours ne voulait rien dire et même si sa mission consistait à être parano elle en faisait peut être un peu trop.Mais l'extrème vigilance qu'on lui avait inculqué , ou plutôt enfoncé dans le crâne , l'alertait d'un grave problème que ces simples sens humains ne pouvaient détecter.Pas une seule seconde dans son esprit elle pouvait se tromper , trop sur qu'une sourde menace planait sur le général et le projet ce qui en soit n'était pas faux son simple interrogatoire avec l'Agent Dante en était une preuve.Elle connaissait ce genre de prèdateur à sa place avec carte blanche du "PR" le général aurait certainement eut du soucis à se faire pour sa santé et son avenir dans l'armée.

Pour tout le monde la nuit fut terriblement longue les Men in Blacks de Dante n'ayant rien à se mettre sous la dent et les membres du SGC n'étaient pas trop d'humeurs à faire la fête et s'était donc mis au lit de bonheur sans vraiment réussir à trouver le sommeil. La garde d'honneur quand à elle ne passa pas une meilleur nuit à surveiller le cercueil de leur défunt camarade dans une atmosphère de dédain.Tout le monde était soulagé de voire le soleil se lever pour pouvoir enfin faire autre chose que de faire les planctons ou les moutons.Tout le monde se mit donc en route de son côté pour la cérémonie mortuaire qui caprice de la météo et Angleterre oblige se passerait sous la pluie.

Porté par sa garde d'honneur , et d'un pas lent et pesant , la dépouille du Sergent Ranks pénétra dans le cimetière en grande pompe et sous une pluie glaciale qui vous transperçait de part et vous glaçait les os.Le drapeau Anglais reposait sur cercueil et le son des cornemuses vous faisait vibrer des pieds à la tête tout en vous vrillant les entrailles au point d'en faire un paquet de noeud.La mine lugubre les anciens compagnons d'armes d'Ewan regardaient la garde d'honneur avec des envies de meurtre dans les yeux.Nul doute qu'ils reprochaient le décès de leur compagnon aux membres du SGC.Ce qui était le plus gênant c'est que chacun des soldats du SGC présents auraient ressentis la même chose à leur place.Mais eux aussi été en deuil car ils avaient perdus un frère. Ewan s'était illustré à plusieurs reprise au sien du SGC notamment en devenant le leader de SG6 , en prenant contact avec les tokras et en sauvant Roxanne de la mort ce qui lui avait couté la vie au final. La garde d'honneur déposa délicatement le cercueil à côté de la tombe fraichement creusé pour que le pasteur commence son office.La véritable torture allait commencer car dans ce genre de moment peu importait le nombre d'ami qui se trouvait autour de vous.Vous étiez seul avec vous même et vos démons.Le temps semblait se distordre et chaque parole prononçait par le pasteur semblait vous êtes adressé à vous en particulier comme si finalement c'était votre faute mais qu'Ewan ne vous en voulez pas car il était le meilleur d'entre nous et que c'est pour ça qu'il est parti jeune.

Pour moi la nuit fut longue, très longue. Je passais mon temps à observer fixement le cercueil, me gavant de temps à autres de caféine et de vitamines. Le silence était pesant et pourtant je ne tenais pas à le briser, préférant garder mes pensées pour moi même, et autant vous dire qu'elles n'étaient pas des plus joyeuses. Lorsque comme nous on affronte la mort chaque jours, passer des heures auprès du cercueil d'un camarade n'était pas l'idéal pour la santé mentale. Oui je me disais que ça pourrait être moi à sa place, à la grande différence que moi, je serais morte pour la France mon propre pays, et que mes camarades ne seraient pas considéré comme des assassins. Quoi que le plus dur était sans doute de se dire qu'en dehors des membres du SGC, de mes camarades de mes anciennes affectations et de mon père, il n'y aurait personne. Je n'existais que par l'armée, elle était mon unique vie. Vu comme ça quel plus grand privilège que de mourir en mission?

Vraiment, ça ne me réussissait pas de penser, mais au moins aucun sourire ne pourrait m'échapper. Je ne pouvais pas m'empêcher de penser, sans doute pour ne pas imaginer se qui se trouvait dans le cercueil, ou pour ne pas penser aux lourds regards qui se posaient sur nous alors que nous surveillions le cercueil de notre collègue. Mes idées noires occupèrent toute ma nuit, et même si on me l'aurait proposé, j'aurais refusé d'aller me coucher, préfèrent encore laisser aller mon imagination plutôt que mon subconscient. Dormir serait plus douloureux que le manque de sommeil, alors autant s'en priver un peu. Vers le milieu de la nuit, le manque de sommeil s'estompa. Je me leva pour faire quelques pas, histoire de me dégourdir les jambes avant de retomber sur ma chaise.

Se fut avec un plaisir parfaitement dissimulé que j'accueillis les premiers rayons du soleil qui me libérait de l'emprise de mes pensées pour les remplacer de la douleur de cette journée. La pluie trempait tout, et étant donné que je portais le cercueil d'Ewan, il était hors de question de parapluie. Je commençais à avoir froid, mais étant donné le malaise de la situation, je n'y prêtais pas vraiment attention je préférais être dans le froid plutôt qu'en compagnie de la famille. Les émotions, ce n'était vraiment pas mon truc, surtout que la compagnie d'une famille tout ce qu'il y a de plus normal ne faisait que de me rappeler se qui clochait chez moi. Le poids du cercueil était assez pesant, mais rien d'insupportable et puis étrangement se fut lorsque nous avions déposé le cercueil que je sentis un poids sur mes épaules.

En silence, je baissa la tête, fermant les yeux en écoutant les paroles du pasteur, se qui était encore plus désagréable que la situation actuelle. A chaque fois c'était le même chose, aussi je n'écoutais que d'une oreille les paroles, attendant que se soit notre tour d'agir, et surtout en essayant de ne pas penser à tous les autres enterrements qui eut lieu avant ce jour.

La nuit fut longue, très longue, trop longue pour ceux qui devaient veiller sur le cercueil, Laurent avait bien pensé à proposer des tours de garde puisqu’il fallait toujours deux personnes à la surveillance mais il savait qu’il ne trouverait pas le sommeil dans de tels circonstances alors une fois la famille au lit, il discuta avec ceux qui le voulaient bien de tout sauf de ce qui touchait au SGC. C’était le seul moyen pour passer le temps et cela aida pas mal à tenir le coup en plus du café et autres pilules miracles.

Le matin de l’enterrement était arrivé, la pluie avec mais pour Laurent c’était mieux comme ça, le fait d’être trempé et d’avoir froid allait le tenir éveillé et d’ailleurs en portant le cercueil, il se dit que c’était une chance que Jill ait trouvé les toilettes sinon cela aurait donné quelque chose d’impensable. Le militaire regardait fixement la nuque de celui ou celle qui était devant lui, hors de question de subir l’assaut émotionnel de la foule, en tout cas pas avant d’avoir posé le cercueil.

Il suivit le protocole à la lettre et se plongeât dans ses pensés pour ne pas faire attention aux paroles du pasteur, attendant la fin de la cérémonie comme un second souffle, un retour à la vie pour ceux qui accompagnait le Sergent Ranks depuis un bon moment.

Roxanne fut un peu soulagée de voir Mathilde arriver, pourtant elle ne parvenait pas à lui parler. Cette cérémonie était une torture, tout ce monde était une torture et elle préfèrait mille fois etre ailleurs que de devoir regarder ce cerceuil.

Meme vide, il lui rappelait l'atroce réalité. Il était mort.
Les regards assassins des Anglais étaient pesant sur les épaules de la jeune femme et plus d'une fois, son masque menaçait de craquer. Seulement en face d'elle, il y avait Constance Parray, l'une des seules personnes représentant l'autorité qu'elle respectait ici. Pour elle, elle ne pouvait pas craquer Pour l'honneur de SG-6 aussi... enfin ce qu'il en restait...

Pour ne pas éveiller les soupçons.

*Tu dois bien te moquer de moi mon ange... tu m'as toujours reproché de ne pas vouloir exposer notre relation au grand jour et maintenant. Maintenant que j'ai changé d'avis, ça devient trop lourd à porter et j'ai envie de le hurler... que d'ironie."

Elle secoua la tete, désabusée. Elle devrait supporter.

Elle avait pensé que l'hotel lui changerait les idées. Elle avait eu tort. Les agents de sécurité, trop nombreux l'oppressaient. Cette impression d'etre entourée, serrée, mise en cage par des gens sensés PROTEGER lui donait la nausée.

Lui, il l'avait protégée. Tout seul. Et l'avait payé.

S'enfermer dans sa chambre fut un soulagement. Toujours aussi silencieuse, elle se mit au lit sans avoir rien mangé. Mathilde pourra jurer plus tard l'avoir entendue sangloter une bonne partie de la nuit, le visage enfoui dans les oreillers trop mous.

Le réveil fut un calvaire. Se préparer fut un calvaire.

Sortir sous la pluie pour se confronter encore à ses inconnus et revoir ce cercueil...

Ecouter le sermon du prètre... meme les prétendus enfants de Dieu savaient faire mal. Retourner le couteau rouillé dans la plaie.

*Il est parti jeune par ma faute. Je sais que je suis responsable...*

Elle prenait les coups de poignards les un après les autres et ne savait plus comment elle tenait encore debout. alors qu'elle sentat les larmes rouleur sur ses joues et son corps trembler sous l'effet d'un froid qui n'était pas du au vent qui balayait le cimetière.

"Et maintenant..." finit-elle par murmurer, ne cherchant meme pas à savoir si on l'entendrait. "Qu'est ce qui va se passer... ?"

Matt avait passé une nuit horrible, ils étaient parkés dans un hotel, surveillés par des chiens de Virgile et tout le reste, il en avait marre mais pour Ewan il était resté, pour Roxanna aussi car elle allait mal, il l'avait bien vu. la thérapeute qui l'avait si gentiment acceuilli, malgré ses réticences et sa frousse des psy, elle était mal. Le réveil fut dur. Et le discours aussi. il détestait les pretres, toujours a dire des choses qui font mal, si eux n'existaient pas ce serait mieux aussi. Il baissa la tête. Il ne savait pas que faire lui. Ses rapports avec le sergent étaient mince mais il avait vu lors de l'infection ce dont ilé tait capable et l'affection de Roxanne pour lui.

Celle ci était avec une amie de SG6 que Matt connaissait un peu mais n'avait jamasi parlé personnellement. Il s'avança, demandant limite l'autorisation a la nippone pour pouvoir approcher, dun regard et regarda roxy, sur qui il posa une main compatissante sur l'épaule. Il lui glissa quelques mots, il ne pouvait faire plus, il était si...éloigné de tout le monde, il connaissait juste tres peu de monde, effacé comme il était devenu, il parla a voix basse.

"Roxanne, Il est toujours avec vous, il vit par vous, et par vos yeux on verra tous sa détermination qui l'anime. C'est un grand chevalier, et sa compagne est comme lui. Il est toujours la."

Puis il enleva sa main tres doucement et remercia d'un signe Mathilde de l'avoir laisé approcher. Il resta non loin et se tut. Il voulait aider mais comment? dans ce cas la quoidire? il avait esayer de trouver les bons mots mais ce n'était pas son fort sauf avec les indigenes...Matt baissa la tête se demandant vraiment ce que tout cela allait faire sur le SGC, tout ça d'un coup...de quoimettre le moral des troupes dans les chaussettes... Il repéra des gens du SGC qu'il connaissait, ceux de la garde mais aussi Emylia qui avait soigné ranks, et d'autres....

L'enterrement n'en finissait pas de s'éterniser et la tension était monté d'un cran les hommes de l'agent Dante rafirmissant leyur surveillance sur la barone de l'Argentière et elle aurait certainement à un dèbrieffing supplèmentaire dans l'austère bureau de l'agent du BSPC.Le général encadré par ces deux gardes du corps du SGC est escorté par 6 hommes de l'Agent Dante gardait sa maîtrise parfaite d'elle même et donnait l'impression de ne pas plus se soucier de la pluie que de la concentration d'espion au mètre carré.La cèrèmonie touchant sur sa fin chacun attendait impatiemment le moment du coktail pour se mettre à l'abri et se rèchauffer et sutout pouvoir enfin dècompresser.


Rakel eut l'insigne honneur de plier le drapeau Anglais qui reposait sur le cercueil du Sergent et alla le remettre au général qui à son tour alla le remettre à la famille.Après quelques secondes d'attente ce fut la petite Andrèa qui s'avança pour rècupèrer le drapeau dètrempait qui couvrait le cerceuil de son père.L'émotion était forte et la fille d'Ewan pleurait toutes les larmes de son petit corps malgré le fait qu'elle essaie de rester digne et droite devant le cercueil de son dèfunt père.Le pasteur une fois son sermon finit invita chaque personne présente à venir prononcer un mot ou déposer un objet sur le cercueil.La mère d'Ewan passa premier , elle qui avait semblait si forte hier n'était plus que l'ombre d'elle même comme si on venait de lui arracher les entrailles , ce qui en soit était presque le cas.Trop émue pour dire quoi que se soit ou faire quoi que se soit fut ce même préparé elle alla se mettre à l'écart pour cacher son chagrin.Ce fut l'ex-femme d'Ewan qui lui succèda et qui déposa un simple baiser sur le chêne du cercueil puis ce fut au tours de la fille d'Ewan qui resta de longues secondes devant le cercueil de son père en serrant contre elle le drapeau anglais avant de saluer la dépouille de son père à la manière des militaires anglais.


Chacun eut l'occasion de dèfiller devant le cercueil pour dire un mot ou faire un geste puis de s'adresser brièvement à la famille.Quelques minutes plus tard le cimetière commença à se vider doucement pour se rendre à la salle de réception on était donné un coktail en l'honneur du dèfunt et au frais de l'armée française qui devait bien ça au Sergent Ranks mais les miltaires français savaient pertinement que la france ne voulait pas se donner une allure de radine alors qu'un soldat Anglais était mort sous ses couleurs.Les vèhicules se dirigèrent donc au pas ou un service de traiteur s'afférer un tas de petits fours plus suculents les uns que les autres.Traiteur choisi par les soins de L'agent Dante qui voulait pouvoir tout contrôler à tout moment daillerus 3 de ces hommes restérent sous la pluie battante attendant que les fossoyeurs fassent leur oeuvres.Les hommes de l'agent Dante lui signalèrent une fois de plus que des hommes les suivaient et l'Agent Dante rageait de ne pas disposer de la logistique nécessaire pour identifier chacun des hommes suspects qui surveillait son troupeau.

Les mots du pasteur étaient sourd à mes oreilles, comme lointain. Il faut dire que j'étais légèrement perdue dans mes pensées, et pourtant je ne perdais pas le fil de la cérémonie. Se fut d'ailleurs moi qui eut l'honneur de plier le drapeau qui recouvrait le cercueil de Ranks. Bien sûr, ça me mit face aux regards de toutes les personnes qui étaient là. Je ne laissa rien paraître de mon malaise, et plia impeccablement le drapeau, que je remis à Constance, la saluant comme il se devait, avant de rejoindre le reste de la garde d'honneur. Je n'avais pas ouvert la bouche depuis mon départ de France, et je ne comptais pas commencer à parler, je n'avais rien à raconter à qui que se soit, je ne voulais qu'une chose, rentrer à la maison à présent, mais non il fallait encore subir ce foutu cocktail.

Mais avant il fallait que tous fasse leurs adieux au défunt. C'était toujours de pire en pire, c'était le dernier moment avant la mise en terre, le moment pleins d'émotions, celui avant de se retrouver seul face à ses démons. Se fut d'abord les membres de la famille qui dirent leurs adieux, puis plusieurs membres du SGC. Lorsque se fut mon tour, je posa la main sur le cercueil, et chuchota, si bas que même la personne derrière moi ne pu entendre, seul mes lèvres bougeaient :

"Les serpents payeront."

Puis finalement je m'éloigna de ce cercueil, je savais qu'il ne s'agissait pas du cadavre de Ranks, mais c'était douloureux de dire au revoir à un camarade, même si on ne le connaissait que très peu. Installé dans une voiture noire, je regardais en silence par la fenêtre. Je m'étais rendu compte que lorsque j'avais enfin ouvert la bouche, que ma voix était enrouée, un peu comme après une longue nuit de sommeil, mais plus grave. Une fois le trajet terminé, je me posa contre un mur, observant la cérémonie, ne touchant pas à la nourriture. Je n'avais pas manger depuis un moment, mais soyons clair, je n'avais pas faim du tout, j'attendrais encore.

Matt trouvait que cela s'éternisait trop et craignait que cela n'agisse sur le moral de Roxanne et de tous les autres évidemment. Bientot Rakel porta le drapeau a constancequi le remit a la famille et chacun passa devant le cerceuil. dire un mot, poser quelque chose...mais a quoi bon? ce n'était même pas le corps de Ranks a l'intérieur. Mais c'était une tradition et matt était atterré de voir la petite fille qui pleurait, la mere qui était livide et tout le reste, il rageait et ses poings se serrerent, il esquissa quelques aps en direction de la famille et se ravisa, il n'avait pas le droit de leur dire..pas le droit. Et eux vivraient dans le mensonge a jamais.

Matt passa peu apres Roxanne et mathilde, et Une fois seul la bas, il ne regarda pas le cerceuil mais regarda le ciel. L'eau coulait mais il s'en fichait. Ses levres s'ouvrir mais aucun son n'en sortit, il ne voulait pas être entendu. Ses yeux regardaient le ciel, et voyait le visage de l'homme qu'l avait peu connu. Il n'en voulait pas plus

*On continue, reste avec elle, t'éloigne pas trop*

matt n'était pas croyant et pensait que un défunt restait dans le coeur de ceux qu'il aimait, le reste il le supposait, n'en savait trop rien, il savait juste qu'il avait parlé a ranks et demander de veiller sur celle qu'il aimait. puis il s'éloigna. prit place dans une voiture et arriva la bas...un coktail. matt avait tout sauf faim. Il avisa rakel contre un mur mais n'osa pas. Il se posa dans un coin, le plus reculé possible, aurait aimé fuir loin, dire la vérité a la petite qui pleurait....la fille, mais c'était impossible et sur une grimace de rage, et se plaça dans l'ombre d'un mur et attendit.

Garder la pose pendant que le pasteur débitait ses paroles tel un Jaffa à propos d’un dieu qui était bon et généreux au point de rappeler un des siens auprès de lui… Non Laurent n’aimait pas ça mais c’était la volonté de la famille alors il devait la respectée et ne rien montrer car il y avait déjà une tension entre les anglais et les français alors s’il devait y avoir un problème, il ne viendrait pas de lui, bien au contraire puisqu’il était un sang-mêlé du fait des origines de son père.

Encore un moment touchant quand la famille et les proches vinrent lui dire un dernier adieu et Laurent fut un des derniers à s’approcher du cercueil pour saluer à la mode militaire une dernière fois le Sergent Ranks. Puis il se dirigea vers la mère et l’ex femme pour leur exprimer en anglais son respect et la douleur de perdre un frère d’arme.

Il ne lui restait plus qu’à suivre les autres membres du SGC pour se rendre à un cocktail qui fut un moment de réconfort pour le militaire qui commençait à avoir faim car la surdose de café de la nuit passait mal car il n’avait pas touché à de la nourriture depuis son arrivée, il se voyait mal manger à côté du cercueil. C’est la qu’il vit un autre militaire du SGC n’osant pas approcher :

« Sergent-chef, n’ayez pas peur, il n’y a pas que du pudding, ils ont du faire appel à un traiteur français, allez venez cela doit être un moment festif, je n’ai pas dit joyeux mais c’est la coutume sans quoi se sera prit comme une offense »

Laurent savait que ce n’était pas évident pour ceux qui n’avaient jamais fréquenté une cérémonie britannique alors il essayait de faire s’approcher du buffet les membres du SGC pour ne pas se mettre à dos les militaires anglais qui pourrait y voir un manque de respect en ne participant pas comme s’ils avaient quelque chose à cacher ou à se reprocher.
Matt qui n'était pas loin devait aussi avoir entendu la conversation, il ne restait plus qu'à voir s'ils allaient bouger et ainsi sauver Laurent de l'indigestion pour sauver les apparences.

Le coktail se déroulait presque bien les gens d'ici de là commençait à se détendre et à profiter du buffet mis à leur disposition et la baronne de l'argentière n'en finissait plus de craché son fiel et bien sur les anciens fréres d'armes , professionel jusqu'au bout des ongles ne perdaient pas une seule virgule de ce que pouvait raconter cette dernière.Mais bien assez rapidement deux agents de Dante dont l'un de cux s'approchèrent d'elle et cette dernière se sentit défaillir.Il ne faisait aucun doute pour els personnes présentes que cette dernière avait poussé le bouchon trop loin et que des mesures quelques peu musclées et direct avait été prises.Nombre du personnel du SGC ici présent pouvait comprendre que la baronne et ces manières avaient poussé le bouchon trop loin mais chacun semblait préférer cent l'excècrable aristo que l'agent Dante et ces bonnes intentions.

Dailleurs ce dernier passait de groupe trainant une oreille ici et là tandis que l'autre écoutait les rapports des ces agents qui étaient quasi continuels surtout ceux qui étaient placé à la vidéo surveillance et qui aurait pu reconstituer le repas de chacune des personnes présentes et vèrifier si vous vous étiez lavé les mains en sortant des toillettes.Dailleurs il y avait non seulement un agent dans les toilettes hommes et un dans les toilettes femmes en plus des micros et des camèras.Rien qu' à penser à l'écoute de plusieurs heures de ces bandes cela avait de quoi déprimer même le plus acharné des soldats mais s'était mal connaiter l'agent Dante et sa pugnacitée.

Alors qu'il allait de groupe en groupe il allait accoster le groupe du général , mais le Sergent Strucker vint lui couper l'herbe sous le pied en s'interposant.Son regard noir sans expression fixait celui de Dante qui n'exprimait pas plus cela risquait de virer à la confrontation et certains hésitaient encore à respirer.Les deux personnes les plus dangereuses du programme se faisait face la première ne voulant pas laisser la deuxième qui allait certainement pas s'en laisser compter.Il en faudrait bien peu pour que la situation dégénère et en vienne aux mains.

Mais certains soldats à qui Dante ne faisait pas plus peur que ça tel que Campbell , Daving ou Drogon commençait à trouvé la conduite de l'Agent Dante et de ses barbouzes un peu trop excessives.Et même si ce dernier était agent du BSPC la femme a qui il voulait parler n'en rester pas moins leur officier supèrieur qui assurait le commandement du SGC.Il ne fallait pas être devin pour se dire que ces derniers prendraient parti pour le camps du général Parrey et les hommes de Dante commençaient à se rapprocher à la fois de leur patron et des soldats du SGC pour éviter tout dèbordement.Les Soldats anglais quand à eux n'avaient rien perdu de ce manège et commençaient à se poser des questions sur ces français qui étaient bien plus bizarre que d'habitude.

Totalement renfermé dans son monde aussi noir que possible vu les circonstances, Constance remarqua un peu tard la tension qui régnait. Mickaëlla, Virgile et tous les autres autour... Enfin quoi, qu'avaient-ils tous à chercher les ennuis ? Elle n'était pas d'humeur ! Elle n'avait pas la moindre envie de parler à Dante mais si elle ne faisait pas quelque chose, elle avait la désagréable impression que la situation allait très vite dégénérer et c'était hors de question.

" Strucker. "

C'était dit à mi voix, de façon à ce que seule l'intéressée l'entende et c'était clairement un "c'est bon, on se calme". Le regard suivant fut pour Dante, signifiant tout aussi clairement "oui ? Qu'y-a-t-il ? J'espère que ça vaut la peine de créer ainsi une telle ambiance ! Sinon demi tour je ne suis pas d'humeur !" Ce n'était pas dit à vois haute, mais la jeune femme n'avait jamais paru aussi glaciale à son entourage. Elle n'allait pas le renvoyer s'il souhaitait lui parler, mais il avait intérêt à vraiment avoir quelque chose à lui dire. Les blablas aux sous entendus menaçants, c'était hors de question.

Quoiqu'il en soit, vu les circonstances, la sécurité laissant visiblement à désirer - surtout quand, comme elle, on avait une légère tendance à la paranoïa - s'il avait besoin de lui parler, elle n'allait pas faire l'autruche. Elle savait que personne ne l'appréciait - elle la première - mais que cela plaise ou non à ses pauvres gardes du corps désarmés, elle n'allait pas l'ignorer.

Luc fut inviter à manger par Laurent et il n'y voyait pas d'objection, en fait il avait une faim de loup car il n'avait pas encore manger. Il sauta presque sur les canapé et se prit un verre.

" Vous êtes fort pour reconnaitre les grades étrangers où à moins que vous me connaissiez bien avant, parce que moi j'ai toujours de la peine à reconnaitre ceux de l'armée française. En plus, les grades français et suisse sont très différents. "

Soudain, une autre personne vint les rejoindre, Luc se souvenait de lui, c'était le taré qui c'était sucidé et avait braqué une arme sur lui, enfin c'était dans un rêve. Les trois hommes discutaires entre eux pendant que les hommes de Dantes et lui même passaient entre les groupes. Quelques secondes après les embrouilles commencèrent, Dantes et MickaËlla étaient l'un face à l'autre et Lewellyn sorti une longue phrase.

" Alors ça risque de faire mal et faudra surement que j'emmene mon uniforme chez le teinturier après. "

Luc avait regardé son torse puis tirer sa veste vers le bas et repositionner son berêt sur sa tête.

La cérémonie se déroula sous la pluie mais Jill devait bien avouer que ça lui était égal. Au contraire, ses larmes ne seraient pas différenciées. Elle se sentait mal vis à vis de la famille de Ranks. Pour elle, ils n'avaient pas vraiment à se trouver ici même si il s'agissait d'un de leur camarade... La famille leur faisait bien comprendre qu'ils n'étaient pas les bienvenus ici. Tout le long de la cérémonie, Jill demeura silencieuse et elle laissa couler ses larmes avant de pouvoir les essuyer discrètement sans que personne ne le voit.

Lorsque la cérémonie fut enfin terminée, le cortège prit la direction du lieu du cocktail. Jill n'avait pas vraiment envie de manger quelque chose mais elle n'avait pas vraiment le choix car sinon elle allait faire une syncope. Jill se tenait à l'écart des autres membres de la garde d'honneur. Elle ne se sentait pas à sa place ici car elle ne connaissait pas tellement le sergent Ranks.

Jill vit que les gorilles de ce Dante commençaient à tourner trop autour du Général. Alors qu'elle allait s'avançait pour voir ce qu'il se passait, elle fut vite devancée par Lewellyn qui avait l'air un tant soit peu excité. Jill l'attrapa par la manche délicatement avant qu'il ne fasse une bêtise.

"Lewellyn, je ne pense pas que ce soit ni le moment ni l'endroit pour taper un scandale. Ne vous en faites pas pour le Général, elle est entre de bonnes mains.."

En effet, Mickaella veillait au grain et Jill savait qu'elle ne laisserait pas faire les gardes de Dante.