C'était le baptème de MickaËlla sur DC 10, à vrai dire elle n'avait jamais pensé avoir à monté dans cet engin qui pour elle n'était que synonime d'histoire racontant la jeunesse des pairs ou de chansons faisant honneur au régiment.Dailleurs l'engin semblait être sortit d'un musée pas étonnant que cela soit le vieux major qui les embarquent pour un plan qui parraissait des plus foireux.Ce dernier arrivait à garder un équilibre sommaire en s'approchant d'eux comme si il était complètement bourré mais cela venait des tremblements de la carlingue.Ce dernier s'adressa à eux comme si pour lui c'était jour de fête leur annonçant qu'il partait en mission pour il ne savait pas ou pour être plus exact il faisait un exercice en condition réel et il ne savait pas ou.Attraper 8 bînomes de soldats c'étaient pas très précis ça comme indice, mais le suivnat éviter de se faire choper par les forces locales ne présagaient rien de bon.Et quand le major regarda sa montre tout en disant qu'il leur manquait déjà du temps MickaËlla ronchona et se dirigea vers l'arrière de l'appareil pour ouvrir les caisses.Dans celle des parachutes elel put reconnaitre sans mal l'équipement qui pemettait de respirer pour les sauts à grande hauteur.Et dans la deuxième il y avait tout ce qui permettait au fantassin du SGC de rester autonome en mission.MickaËlla ne perdit pas de temps et commença à se changer tout en se cognant ici et là à causes de ses ^$*$*ù** de turbulence qui ne faisait qu'augmenter plus le temps passait.

Dailleurs les moteurs faisaient un drôle de bruit et donnaient l'impression qu'ils pouvaient péter à tout moment.C'était donc dans l'angoisse que les soldats se préparérent enfilla treillis gilet tactique et parachute tout en s'assurant qu'ils n'oubliaent pas de faire une vérification.Un simple oubli et on finissait au tas, le droit à l'erreur n'existait pas dans ce genre de cas.Mais instinctivement les soldats s'étaient mis par binôme pour vérifier leur équipement à la lampe car pour couronner le tout les les minuscules loupiotes qui éclairaient l'intérieur du Dakota venait de rendre l'âme.MickaËlla retint son souffle quelques secondes comme si cela pouvait empêcher aux moteurs de rendre l'âme eux aussi.Rien de plus ne se passa donc MickaËlla s'en retourna à la minutieuse vérification du parachute de Rakel.Pendant la vérification de son équipement par Rakel, MickaËlla ne put s'empêcher de parler pour se détendre un peu tant la situation était tendue.

"Putain maintenant je comprends mieux pourquoi les premiers paras étaient préssés de sauter de l'avion c'est vachement moins dangereux que de rester à bord."

MickaËlla avait du crier pour que les autres puissent moitié entendre, moitié deviner ce qu'elle venait de dire et qui finalement n'était pas si éloigner que ça de la vérité.Le major Plummet se repointa quelque minutes plus tard avec tout son équipement de respiration sous oxygène signe qu'il allait dépressuriser la cabine.Une fois celle-ci à la même pression que l'extèrieur il ouvrit une trappe dans sol de l'avion.C'est par là qu'ils allaient sauter et bizarrement cela rassurait MickaËlla qui fut la première à sauter préssé qu'elle était de quitter l'inconfort du cercueil de métal.Elle s'assit sur le rebord croisa les bras sur la poitrine et d'un mouvement de hanche se fit tomber au travers de la trappe et tomba comme une pierre dans le vide.Quelques seconde plus tard elle écarta les bras et s'envola tel un RAPAS.Au loin elle pouvait voire le tube fluorescents que tous portaient au poignet et elle subodorra qu'il s'agissait de Rakel elle se dirigea donc vers elle de manière à ce qu'il n'y ait qu'à peine un mètre qui les séparent avant d'ouvrir son stabilisateur ce petit parachute qui servait à ralentir la chute ben du chuteur justement.Pendant de longues minutes les chuteurs glissèrent en silence dans le ciel puis ils ouvrirent leur parachutes et commencèrent à essayer de trouver une zone à peu près viable ou se poser.

Encore un beau merdier, voilà dans quoi je m'étais fourrée, et pourtant, cet entraînement était pour moi une façon de m'évader, à croire que j'avais besoin de risquer ma vie pour être bien. En faite ça me permettait d'oublier, c'était donc avec plaisir que j'étais monté dans le vieux DC 10, simplement pour m'éloigner de la base et de mes habitudes. Et oui au SGC nous étions les vieux de la vieille au SGC, au moins on avait vu beaucoup de chose, et il était difficile de nous surprendre, l'enfer, nous connaissions déjà. Lorsque le vieux carlingue décolla, je regrettais d'un coup d'être montrer dans cet vieux coucou, à chaque seconde qui passaient, les moteurs semblaient vouloir rendre l'âme dans un râle, mais pour le moment, il tenait bon. Je regrettais mes bon vieux avions, mais ce n'était pas à bord de mes petits bolides que l'on sauterait en parachute, c'était se qu'on voulait de nous, c'était évident. D'ailleurs je ne le sentais pas, je préférais voler que chuter. Alors que tout le monde était assis en silence, laissant le ronflement du moteur dominer tout le reste. De toute façon, je n'avais pas envie de parler, c'était ça le problème, plus le temps passait au SGC, moins je parlais, sans doute parce que les gens qui me comprenaient étaient de moins en moins nombreux. En faites ils se cantonnaient à mon équipe, et encore j'avais l'impression de ne moins en moins comprendre Matt. Enfin je n'étais pas sûr que nous nous soyons un jour compris.

L'arrivée du vieux major jeta un nouveau froid, sans doute à cause de sa tête réjouie, une chose était sûre, c'était que c'était négatif quand ton entraînement faisait cette tête. Ca ne voulait dire qu'une seule chose : tu vas souffrir. Sans bouger d'un pouce, j'écoutais les paroles du major, pestant intérieurement d'avoir eu raison, je me serais décidément passé d'un petit saut en parachute, quoi que dans ce genre de carlingue, il valait mieux être à l'extérieur qu'à l'intérieur. Plummet avait dit simple et c'était ce qu'il avait fait, une chose était clair on ne savait pas se qui allait réellement nous tomber sur la tête. Des armées réelles sans avoir l'autorisation d'ouvrir le feu, pourquoi pas, on allait jouer aux Rambo, c'était un exercice plutôt courant au SGC. Une fois les instructions terminées, je suivis MickaËlla afin de m'arnacher, et naturellement je me plaçais à côté mon second, vérifiant son matériel. Pourquoi elle? Simplement parce que c'était la personne en qui j'avais le plus confiance, j'avais toujours pu compter sur elle, alors c'était naturel, surtout lorsqu'il s'agissait de ma propre vie. Etant près d'elle, j'entendis ses paroles, et elle réussit à me tirer un petit sourire, criant à mon tour je répondis simplement.

"Nous serons bientôt dehors, nos chances de survies augmentent."

Plummet se repointa rapidement, il était temps, se n'était pas plus mal, j'avais besoin d'un peu de silence. J'étais habituée de respirer sous oxygène, ça me rappelait même de bon souvenir. MickaËlla fut la première à sauter et je la suivis de près, malgré mon appréhension, le saut me fit du bien ça me changeait de d'habitude, une vraie bouffée d'air frais, c'était le cas de le dire. Une fois proche de MickaËlla, j'ouvris mon parachute, et commença à chercher une zone correcte pour toucher le sol.

Diriger la voilure d'un parachute s'était autre chose que de sauter avec un parachute militaire standard.On avait la chance de pouvoir choisir l'endroit ou on atterrissait mais on sautait de plus haut, beaucoup plus haut dans le cas présent.MickaËlla avait l'habitude de ce genre de saut et une fois la voile ouverte installait bien confortable dans osn harnais les élèvateurs bien en mains elle était comme chez elle ce qui n'était pas loin d'être le cas finalement.Il leur fallut dériver pendant encore une bonne dizaine de minutes avant de voire le sol se rapprocher.MickaËlla sentait le vent gonfler sa voile et s'orienta donc de manière à être sous le vent et elle se posa aussi délicatement qu'un oiseau sur une branche.Pas pour rien qu'on surnommait les hommes du 1er RPIMA les RAPAS.Ils en avaient la grâce, l'adresse en vol, et l'instinct du chasseur.Mais à peine fut elle posé qu'elle se retourna et qu'elle se mit en devoir de replier sa voile, à la fois pour éviter d'être repéré tant que pour ne pas gêner les autres qui allaient certainement essayer de se poser à la file indienne de manière à pouvoir mettre un plan de déploiement.

MickaËlla se mit donc en devoir de plier sa voile et de la fourrer dans le sac dans lequel elle était renfermé à l'origine, bien sur celel-ci débordait mais en même temps elle ne comptait pas se trimballer le sac jusqu'au SGC surtout si il y avait des flics ou pire dans le coin.Ensuite elle enleva son harnais et son système d'oxygènation et les bourra tant bien que mal dans son sac.Puis elle récupéra son petit sac de combat qui avait trainait durant sa descente, elle y récupéra son arme et mit le sac sur ses épaules.Elle fut très touché de voire qu'il s'agissait de son arme à elle, dailleurs chacun des soldats présents avaient en dotation son arme de prédilection.Le major avait apporté son souci du détails à cet entrainement leur ayant fournis, silencieux, lunettes de visions nocturnes, balles réelles, armes de guerre, peinture de camouflage, la totale en définitive de quoi vraiment s'y croire et se refaire la seconde guerre mondiale dans son intégralité.MickaËlla chargea son arme et vérifia que tout son équipement n'avait pas bougé durant le saut puis elle mit se lunettes de visions nocturnes et se tourna vers Rakel comme à son habitude pour attendre ses ordres.

Je me laissais porter par l'air auprès de MickaËlla, me dirigeait avec précaution pour trouver un endroit approprier pour atterrir, un endroit suffisamment grand pour tous les membres, pour le moment, hors de question de se séparer, au sol, ça serait une autre histoire, enfin tout dépendrait de la situation sur la terre ferme. En parlant de terre ferme, j'étais pressée de le retrouver, même si je ne savais pas réellement où nous allions nous retrouver. C'était toujours comme ça avec les entraînements au SGC, terrain inconnu, faunes inconnues, ennemis inconnus. Enfin je voyais le positif, nous étions sur Terre, et au moins aucun risque de se faire courser par un dinosaure, c'était déjà un grand point positif. Je me posais près de MickaËlla, mais avec beaucoup moins de légèreté et de grâce, j'avais plus l'impression d'être une vache volante qu'un aigle mais bon c'était une autre chose sur terre. Pour moi les airs se conquérissaient à bord d'un oiseau de métal. Enfin même si je ne m'étais pas posée avec une délicatesse sans faille, j'étais au sol c'était une bonne chose, sentir le sol sous mes pieds, me ragaillardis.

Tout comme MickaËlla puis comme Sheyffi une fois qu'elle eut atterrit, je me mis à ranger mon matériel du mieux que je pouvais, tout ne rentrait pas bien sûr, surtout que nous faisions ça en vitesse, mais ce n'était pas le but, il fallait surtout éviter de se faire repérer, nous devions être invisible, et la grande voile blanche n'était pas l'idéale pour ça. Puis une fois terminé, j'observais les environs, essayant de me repérer, regardant ma boussole avec attention, malheureusement, on ne nous avait pas donné de direction, l'idéal serait de suivre le nord, pour l'instant groupé, une fois que nous aurions un minimum repérer les lieux, nous pourrions envisager de nous séparer, mais pas avant. Je vérifiais la fréquence de ma radio, vérifiant que j'étais sur la bonne, logiquement, tout le monde ferait de même, je n'étais pas leur mère, ils étaient grands. Une fois que tous avaient terminés avec leurs parachutes, je me retournais vers eux, tous attendaient mes ordres, pas étonnant, j'étais la plus gradée, comme souvent dans les équipes SG. Je n'aimais pas diriger des hommes que je ne connaissais pas, j'aimais savoir si je pouvais compter ou non sur mes hommes, heureusement c'était le cas avec MickaËlla et Sheyffi, du moins d'après ses états de service. Je pris une profonde respiration avant de donner mes ordres.

"Pour le moment on reste grouper, à distance respectable pour ne pas gêner l'évolution des autres. Direction Nord."

Je distribuais rapidement des rôles aux équipes, plaçant à Sheffi à la tête du flanc gauche et MickaËlla à la tête du groupe fermant la marche, prenant la tête du groupe qui ouvrait la marche, donnant le pas, une allure plutôt rapide.

Ler este des membres de l'équipe venait de se poser sans difficulté et tout le monde se regroupait autour de Rakel pour suivre ses instructions.Pas étonnant au final elle était le leader de SG3 l'équipe la plus ancienne formé au sein du SGC et la mieux taillée pour les excursions en profondeur, et les actions subversives.Même Matt avait un beau niveau fianlement et il aurait pu faire rougir de honte une grosse partie de soldat qui se disait militaire de carrière même si il était loin du niveau d'excellence de la petite troupe sous les ordres de Rakel.Cette dernière donna ses ordres verbalement et sans plus tarder tout le monde se mit en place et en position pour une progression au travers d'une grande étendue qui ressmblait à un terrain en friche.Mais c'est alros que le Major fit son intervention sur la radio et les deux groueps durent se séparer pour remplir chacun leur objectifs de mission.MickaËlla ne sentait pas flatté par ce que venait de dire le major mais le renforcement positifs lui semblAit finalement une bien meilleur option que ce que faisait Hartman à tout bout de champs.MickaËlla tapa sur l'épaule d'un des autres équipiers et d'un geste de la main salua les deux tout en leur signifiant que ça allait rouler pour eux.

Elle avait vécu ce genre de séparation des centaines voire peut êtres des miliers de fois que se soit à l'exercice ou en opération la sensation était toujours la même.Et elle était foutumdent désagrèable mais MickaËlla ne le regarda pas partir, elle n'était pas de ceux là.De ceux qui regardait leurs équipiers allaeint dans une autre direction pour un autre objectifs de mission, ou qui regardait partir l'hèlicoptére qui venait de les poser.Elle n'était pas de ceux qui se demandait ce qu'ils faisaient ici, elle savait ce qu'elle avait à faire et cela devait être fait c'était aussi simple que cela pour elle.Donc sur les ordres deRakel elle se repositiona pour que le groupe puisse progresser de nouveau vers son objectifs qui était vers la vallée.Sur leur chemin il y avait une petite forêt est ce que Rakel alalit la contourner ou décider de passer au travers?

Alors que les ordres étaient donné et que nous commencions à marcher en direction du nord, nos oreillettes se mirent à fonctionner et la voix du major se fit entendre. Tellement habituée aux entraînements du sergent Hartmann, je m'attendais à une engueulade dans les règles, mais ce fut plutôt des félicitations, ce qui me surpris. A entendre le major, j'avais presque l'impression qu'il regrettait de ne pas être avec nous, se qui était d'ailleurs sans doute le cas, moi même, je ne pouvais m'imaginer quitter le terrain et pourtant il viendrait un jour où je ne pourrais plus crapahuter de planète en planète. Enfin logiquement ce temps était encore loin, et je tenais bien à en profiter un maximum parce que si je ne pouvais m'empêcher de ronchonner durant les missions, j'aimais ce boulot, à croire que j'étais sado-masochiste. Je pris une profonde respiration, prête à donner confirmation de notre situation le sourire aux lèvres, après tout jusque là tout ne se passait pas trop mal, tout le monde avait atterrit en un seul morceau.

// Peleonor au rapport major. Tout le monde est bien arrivé, le terrain semble dégagé, rien de particulier à signaler. Terminé.//

Suivant ses ordres, nous nous séparions même si je n'aimais pas trop cette perspective, comme tout le monde d'ailleurs, cet aspect groupe soudé avait quelque chose de réconfortant. Cependant, nous agirons plus discrètement et plus rapidement en petit groupe. En tout cas les paroles du major faisaient chaud au coeur, pour une fois elle ne donnait pas l'impression que nous étions des grosses merdes tombés au SGC par erreur. Une fois la communication radio terminé, je souhaitais bonne chance à l'équipe qui allait surveiller les hauteurs, posant même la main sur l'épaule du chef de groupe en signe de soutient, avant de partir de mon côté en direction des vallées. Je ne me retournais pas, nul besoin de verser une larme, chacun ferait son boulot de son côté. Une forêt se trouvait sur notre chemin, il fallait choisir si nous allions la traverser ou la contourner. A mon avis, il fallait la traverser, après tout notre but était de trouver des binômes, et ils ne se trouveraient sans doute pas dans les plaines.

"Nous allons traverser la forêt, rester sur vos gardes, nos ennemis peuvent s'y cacher, ne vous laissez pas surprendre. Et surtout soyez discret."

Notre petit groupe entra dans le bois à pas de louve, nous étions discrète et de la était notre force, et qui plus est, nous ne nous laisserions pas surprendre. Comme presque toujours durant mes missions, j'ouvrais la marche, mais cette fois c'était tout en couvrant le flanc droit, et oui cette fois nous étions que trois. Sheyffi était chargée du flanc gauche et MickaËlla de fermer la marche, comme toujours, mais aussi de couvrir une partie du flanc droit. Je marchais sereinement, sachant que je pouvais compter sur Sheyffi pour m'épauler en cas de problème. Pour l'instant, notre équipe entièrement féminine s'en sortait à merveille même si il n'y avait pas l'ombre d'un binôme à arrêter. Après quelques mètres dans les bois, une mélopée se fit entendre, portée par le vent. Doucement, je suivais ce son, espérant qu'il s'agisse d'un binôme, même si je n'étais pas convaincu, il y avait trop de voix pour ça. Une lumière apparu à travers les buissons, et vu l'odeur, il s'agissait d'un feu de bois. Doucement, nous approchions du groupe, sans pour autant nous faire repérer, et je remarquais qu'il s'agissait de soldat français, non seulement par leurs chants mais aussi par leurs insignes. Nous n'avions donc pas quitté notre chère hexagone, remarque ce n'était pas plus mal, les étrangers avaient tendances à se montrer moins tendre avec nous, rien de plus logique.

Les soldats ne remarquèrent pas notre présence, je les observais un moment, la plus part étaient jeunes, mais je savais que ce n'était pas une raison pour ne pas se méfier, j'en étais la preuve même. Nous reprîmes notre route, dans la forêt après avoir contourné le petit groupe avec soin lorsque une communication attira mon attention. Je ne pu m'empêcher de grimacer, nous ne serions pas les premières à attraper un binôme, et ça me laissais un goût amer dans la bouche. J'aimais être la première et que ce ne soit pas le cas avait tendance à m'énerver, enfin ce n'était pas le moment de se laisser happer par l'esprit de compétition, théoriquement nous étions dans la même équipe, celle du SGC. Enfin malgré ça j'avais du mal à accepter cette première défaite, mais ça ne m'empêchais pas de poursuivre notre progression, bien décidée de ne pas me laisser faire comme ça. Après une vingtaine de minutes de progression, plus ou moins en tout cas, des bruits attirèrent mon attention, aussitôt, je levais le poing pour que les deux jeunes femmes cessent leur progression, même si à mon avis, elles avaient entendu la même chose que moi. Cette fois était la bonne, il s'agissait de deux hommes qui discutaient à voix haute, et qui ne semblaient pas franchement inquiet à l'idée de se faire prendre. Je fis signe à mes collègues de les encercler, avant de donner la charger, mon P90 à la main.

MickaËlla se devait d'assurer la sécurité arrière de l'équipe, une tâche difficile et vitale.Une erreur de sa part et c'était toute l'équipe quis e faisait décimer, comme toute les positions dans une petite équipe.La prgression se fit donc sans bruit par geste et force d'habitude.MickaËlla entendit un chant s'élever dans les airs et le groupe se dirigea vers se chant que MickaËlla ne mit pas longtemps à reconnaitre.Le chant des cosaques, un chant répandu et connu d'une grande majorité des militaires cela rappella à MickaËlla ses premières années dans l'armée.Après quelques minutes d'observations l'équipe Alpha reprit sa progression silencieuse laissant les jeunes soldats à leur veillé.

Quelques minutes plus tard elle sentit le reste de l'équipe se figer, et elle entendit des voix d'hommes un peu plus loin.Elle s'assura tout de même que rien ne risquait de leur tomber dessus une fois qu'elle aurait le dos tourné.Se retournant vers Rakel tout comme Sheyffi elle prit ses ordres de son supérieur.Cette dernière voulait que elle et Sheyffi les encercle et Rakel finirait le travail en chargeant.Sans y réflèchir MickaËlla se mit en mouvement et fit sortir la lame noire de son couteau de combat de son fourreau.La lame volant d'une main à l'autre et elle inversa sa poigné tout en progressant en redoublant de précaution vers leurs proies qui ne se doutait pas une seule seconde de ce qui allait leur tomber dessus.

Chacune des jeunes femmes se mit en position sur ordre de Rakel qui vit ses deux coéquipières se volatiliser comme par enchantement dans le sous-bois.Il valait mieux les avoir dans son camps que sur son chemin.Rakel se mit don en position et se prépara à s'élancer arme à la main vers le binôme qui ne se doutait toujours de rien.D'une impulsion puissante elle s'élança arme épaulé vers le deux hommes qui essayaient de trouver le sommeil et se tenait compagnie en parlant.En entendant le bruit que venait de faire de Rakel les deux hommes réagirent rapidement en se saisissant de leurs armes.

Mais celui qui se trouvait en face de Sheyffi avait le canon de son pistolet entre les deux yeux et celui du côté de MickaËlla avait cessé de bougé quand il avait senti une lame aiguisée sur sa gorge.Les deux recrues n'en tiraient pas large mais essayait de garder une consistance devant ces ombres surgit de nulle part et qui venait de les capturer comme des bleu-bites.Qui plus est les ombres n'avait pas l'air de rigoler et Rakel pouvait voire que le binôme commençait à se poser des questions.ils avaient certainement vu la troupe du RICM et ils savaient que cela n'était pas eux, mais ils ne semblaient pas savoir qu'ils étaient traqués.Un entrainement du SGC dans toute sa splendeur en quelque sorte, cela fit sourire Rakel et cela eut pour seule effet de faire trembler de peur les deux hommes devant le sourire carnassier de Rakel.

Mes collègues se mirent en place rapidement, j'aimais cette cohésion, nous agissions ensemble, l'image des louves était parfaite, nous ressemblions à une meute qui agissait avec une hiérarchie parfaitement posée, chacune de nous savais ce qu'elle avait à faire, et tout marchait comme sur des roulettes. J'aimais ça, c'était tout de même bien plus agréable que les déboires de SG3, mais c'était logique avec une équipe composé uniquement de militaire, le problème avait toujours été les civils et leur foutue morale à la mords-moi le noeud. Enfin le temps n'était pas à ce genre de réflexion, mon arme dans les mains, je surpris les deux hommes allongés au sol qui semblaient chercher le sommeil sans mettre en place la moindre sécurité, des vrais bleus quoi. Ils eurent beau se saisirent de leurs armes, c'était trop tard, l'un d'eux avait le canon de Sheyffi collé entre ses deux yeux et l'autre la lame aiguisé de MickaËlla sous la gorge. Je ne pu m'empêcher de regarder avec satisfaction le binôme que nous avions capturé, ça c'était travailler avec classe.

D'ailleurs je ne pouvais m'empêcher de sourire en pensant qu'ils ne s'étaient douté de rien, mais mon sourire ne faisaient que trembler de peur le binôme, il faut dire que j'étais réellement ravie de ce boulot, ne les quittant pas des yeux, toujours ce sourire sadique sur mon visage, je saisis ma radio.

// Alpha pour Mike. Nous avons eut un binôme. Demande confirmation des instructions.//

En réponse à la, communication radio de Rakel les jeunes femmes purente netendre la voix rauque du major leur répondre.

//Ici Mike je vous confirme les instructions.Continuez votre chasse Mesdemoiselles.Terminé//

Il n'y avait pas de compliment oral comme avec l'équipe barvo mais le ton et la fierté paternelle qu'elles avaient pu entendre à la radio avait fini de leur gonflé le moral à bloc.Les consignes eurent tôt fait d'être appliqués et els deux hommes furent dépouillés de les insignes en velcro et proprement rabroué et ils s'en allèrent l'air piteux de s'être fait mettre à l'amende ausis facilement.

Les trois jeunes se remirent donc en chasse sans perdre de temps, mais le groupe Bravo lui aussi n'avait pas perdu de temps et avait accroché son deuxième binôme à peine un quart d'heure après le groupe Alpha.Mais une fois de plus la chance sourit aux jeunes femmes.Une nouvelle fois ce fut Rakel qui détecta la présence ennemie.Elle remarqua des ombres bouger à la lisière de la forêt.Ces derniers bougeaient prudemment et ne faisait pas de bruti en se déplaçant mais une faute d'inattention les avaits fait repérés et les deux autres lionnes n'eurent aucun mal à les repérer à l'aide des indication gestuels de Rakel et de lunette de visions Nocturnes.La chasse allait devenir plus excitante le gibier avait plus de cahnce de fuir si elle loupait leur coup, et il faudrait le poursuivre jusqu'à le capturer.

Ce fut avec un sourire que j'accueillis la confirmation des instructions du major, si aucune félicitation explicite était donné, le ton de Plummet ne laissait aucun doute, il était fier de nous, et j'en étais ravie, décidément il savait motivé les troupes, pas comme Hartmann, avec lui j'avais envie de me surpasser pour prouve ce dont j'étais capable. M'approchant des deux hommes je retirais leurs écussons d'épaule sans que mon sourire ne me quitte puis je fis signe à mes collègues de le relâcher.

"Rejoignez votre point d'insertion messieurs."

Puis une fois les deux hommes partis, nous reprîmes notre route, toujours aussi discrète, nos lunettes à vision nocturne nous évitaient la moindre erreur. Peu de temps après, je pestais intérieurement lorsque Bravo signala qu'il avait attrapé son deuxième binôme mais encore une fois l'esprit de compétition n'avait pas sa place ici, aussi nous continuâmes notre progression, imperturbable. Je fus rassurée de voir que notre chance ne nous avait pas abandonné. Dès lors que je remarquais la présence d'ombre, je le fis remarquer à mes collègues, et je pus remarquer que cette fois, ça ne serait pas aussi simple, les hommes avaient avec précaution. Ils étaient en lisère, cette fois, hors de question de louper notre coup, sinon ils risquaient de s'enfuir, une fois de plus j'optais pour une technique de tract très animal, celle des lionnes qui traquaient deux gazelles. Je donnais les instructions à mes collègues, mais hors de question d'attaquer pour le moment, nous nous contenterons de les suivre jusqu'au moment propice où nous attaquerons.

Le major était content, comme un chasseur fier de sa meute de chiens pendant une chasse à cours et l'équipe Alpha tout comme certainement l'équipe Bravo avait le goût de la traque dans la bouche comme ces chats qui aiment jouer avec leur proie.Après que Rakel est retiré les écussons en velcro elle fit signe à MickaËlla et à Sheyffi de relâcher les deux proies pour qu'ils rejoignent leur point d'insertion ce que firent les deux hommes avec bien peu de conviction.

Sur ordre de Rakel, les deux jeunes femmes se remirent en marche traquant avec assiduitée le reste des binômes qui se trouvait éparpillé au 4 vents.Seulement l'équipe Bravo avait une longueur d'avance et tenait à la garder, il venait d'attraper un nouveau binôme.L'équipe mit donc plus d'attention à traquer leur proies ce fut payant relativemtn rapidement.Une fois de plus se fut Rakel qui repéra les proies.Ces dernières se faufillaient lentement et sielncieusement dans la nuit, leur seul erreur était de ne pas avoir dissimuller les contours reconnaissables d'un homme.Rakel en préatrice patiente leur fit signe de continuer à se rapprocher le plus possible de leur proie sans se faire repérer.L'équipe s'étira donc en un demi cercle chacune des lionnes avançant dans la nuit noire en silence, se rapprochant peu à peu de leur proie qui semblait cette fois plus aguerri que les autres.Cette difficultée ne faisait qu'augmenter l'envie d'attraper ses deux proies qui étaient deux morceaux de choix.

Les trois lionnes étaient à peines quelques mètres quand l'une de leur proie sentit une présence et se retourna dans la direction de Rakel.Mais ce dernier n'avait pas senti Noky qui arriva dans son dos et de sa botte frappa au niveau du tendon d'achille.Ce dernier tomba à la renverse, mais dans sa chute la demoiselle avait attrapé la sangle de son arme et à peine eut il touché le sol qu'il put sentir la pression d'une strangulation maitrisé.L'homme connaissait son affaire et ne chercha pas à se débattre sachant pertinemment qu'il n'était pas en position de force, dailleurs il ne voyait plus la présence qu'il avait senti, et pour cause Rakel si tôt repéré avait contourné les cibles laissant le champs libre à ces coéquipières, et s'étaient placés dans leur dos de manière à les couvrir dans le cas improbable ou l'un des hommes se libéraient.

Car MickaËlla avait aussi fait son oeuvre tout aussi efficacement et silencieusement que sheyffi, elle était arrivé sur le côté de son adversaire et d'un coup derrière le genou elle l'avait fait fléchir avant de l'amener au sol par une clé bien sentie.Seul petit hic le soldat stagiaire avait essayé de résister à la clé et MickaËlla n'avait pas hésité et avait vérouiller sa clé en y mettant toute sa force et tout son poids.Le soldat avait étouffé un cri de douleur en serrant les dents, comprenant trop tard que la personne qui s'en était pris à lui était meilleur que lui et que la force qu'il avait utilisé pour se dégager n'avait fait qu'accentuer la douleur que son agresseur voulait lui transmettre.

Un binôme de plus venait d'être neutralisé les lionnes avaient bien travaillées malgré le fait que leur proie soient de plus en plus coriace.Les prochaines allaient certainement être un défi des plus intéressants à relever.

MickaËlla comme le reste de ses équipière avancées à pas feutrés traquandels proies, et dans un silence spectrale sur le commandement de Rakel elle commencérent à se déployer pour refermer le piège sur les infortunés soldats.Ces derniers étaient plus précautionneux que les précédents et à leur façon de progresser on devinait qu'ils étaient bon à se jeu là mais pas assez apparemment.Pourtant l'un d'entre eux se retourna ayant remarquer l'une d'entre elle mais s'était déjà trop elels étaient sur eux et avant même qu'ils ne s'en rendent le combat étauit déjà perdu.Sheyffi neutralisa le sien avec une douceur presque maternelle à côté de MickaËlla qui n'hésita pas une seul seconde à faire sortir la clavicule de son logement quand le soldat fit mine de résister.MickaËlla n'était pas quelqun de tendre et elle prenait cette exercice au sérieux et se comportait ni plus ni moins comme en condition réel d'engagement.Si elle avait été à la place de Noky le sodlat aurait perdu connaissance depuis longtemps.

Alors le malheureux soldat retenait un cri de douleur bien justifié MickaËlla ne dessera aucunement sa prise, et luiu retira l'insigne Velcro qu'il portait à une de ces épaules pour le tendre à Rakel.Elle attendit que cette dernière leur dise de rejoindre leur point d'insertion pour relâcher sa pauvre victime.Après quoi sous les ordres de leur leader elle se remit en chasse avec ses soeurs de batailles traquand avec une avidité et une excitation de nouvelles proie plus difficiles à débusquer.MickaËlla était heureuse de laisser libre court à l'instinct de prédation qui sommeillait en elle et n'attendait que de pouvoir ressortir dans ce genre de situation.

Progressant à pas de louves, nous nous étions séparé afin d'entourer doucement nos proies, leur coupant ainsi toute retraite. Il fallait agir avec patience et discrétion, mais jusque là, nous nous étions plutôt bien débrouillé dans ce domaine. Du moins ça c'était jusqu'à ce qu'une branche un peu trop sèche ne craque sous mes pieds, aussitôt, je me tapis dans l'ombre, mais l'un des soldat m'avait entendu et c'était tourné vers moi. Laissant alors mes collègues attaquées, je contournais les hommes afin de leur couper définitivement toute possibilité de retraite. Lorsque je vis que MickaËlla et Sheyffi avaient neutralisé les hommes, je m'approchais d'eux avec un contentement, leur arrachant leurs écussons d'épaule avant féliciter mes collègues d'un geste de la tête, j'étais fière de travailler avec elle, c'était un vrai plaisir, tout marchait comme sur des roulettes, c'était tellement rare.

// Alpha pour Mike. Nous avons eut un deuxième binôme. Ils ont été envoyé à leur point d'insertion selon vos ordres. Terminé.//

Après avoir donné aux hommes l'ordre de retrouver leur point d'insertion, nous repartîmes en chasse, l'adrénaline coulait dans mes veines, je n'attendais qu'une seule chose, tomber sur le prochain groupe, mais pour l'instant, la traque était repartie.