Constance avait lu le dossier de Mike avec intérêt. Il y avait peu de soldats avec une formation médicale qui se présentaient au SGC. Ce genre de personne serait un vrai bonus pour une équipe. A condition qu'il soit à la hauteur de son dossier.

Contrairement à nombre de recrues, elle l'avait rencontré peu de temps avant l'entrainement : un homme plutôt grand, l'air calme... Quand elle arriva au camp, il avait l'air plutôt impatient de commencer et elle lui fit signe de la suivre, l'entrainant vers les bâtiments. Elle récupéra une arme qu'elle lui tendit en expliquant :

" Ceci est un flash ball, qui tire des balles de caoutchouc. Vous allez commencer avec une petit parcours du combattant. Après nous passerons à quelque chose de plus spécifique, vu vos compétences médicales. Suivez moi. "

Cette fois, elle l'emmena vers l'arrière des bâtiments, devant un parcours du combattant.

" Le principe est simple : vous traversez le parcours en éliminant à l'aide de votre arme les "ennemis" qui se dressent sur votre chemin. Ils sont également armés d'un flash ball. Le temps est limité, je vous chronomètre. "

Pour l'instant, aucun soldat n'était visible, elle continua à expliquer :

" Pour la mise en situation, vous avez été séparé de votre équipe et vous vous retrouvez seul en territoire ennemi. Votre équipe vous attend près de la Porte des étoiles à l'autre bout du parcours, mais ne peut en aucun cas vous prêter main forte. "

Elle fit une pause pour s'assurer que Mike avait tout retenu et conclut :

" si vous n'avez pas de question, vous pouvez y aller. "

Devant s'étendait le parcours : un mur de 3m avec quelques prises, suivi d'une dizaine de mètres avec des barbelés, puis des broussailles, une échelle à l'horizontal pour traverser un cours d'eau. Chaque obstacle était séparé des autres par une cinquantaine de mètre qui présageaient pas mal de course à pied. Pour l'instant, aucun soldat "ennemi" n'était visible. Le terrain était très légèrement sec, poussiéreux et donc glissant, il n'avait pas plu depuis un moment, mais rien de bien gênant surtout pour quelqu'un d'entrainé. A vrai dire, avec le soleil qui brillait doucement, les conditions étaient idéales pour faire un peu de sport.


[hrp : essaye de développer au maximum tes réponses. ]

Constance regarda attentivement l'évolution de Mike. Rien d'extraordinaire, mais ça allait. Il s'était blessé mais continua sur sa lancée, ça ne devait pas être bien grave. D'ailleurs, il avait dû se faire la même réflexion car il jeta un coup d'œil et repartit. Ses tirs n'étaient pas très précis, mais peut-être était-ce du à l'arme qu'il n'avait sans doute pas l'habitude d'utiliser. Il faudrait voir ce que ça donnait avec d'autres armes. Ca lui rappelait un médecin qui préférait sauver des gens que les tuer... Ca elle comprenait parfaitement, mais il fallait bien apprendre à se défendre en mission. On ne pouvait pas toujours compter sur ses co-équipiers. Enfin, Mike était un militaire, il devait l'avoir compris.

Elle le rejoignit à la fin du parcours en souriant légèrement.

" Bien, on va passer à la suite. "

Elle l'entraina plus loin rapidement, à la lisière du bois. Là, attendaient trois soldats dont une femme.

" Vous allez prendre la tête de cette équipe et rechercher en forêt les deux soldats blessés qui s'y trouvent. On les a signalés à proximité du chemin. Votre but est de traverser le bois en amenant tout le monde de l'autre côté, à bon port. "

Les autres soldats étaient également armés de flash ball. A l'intérieur de la forêt se trouvaient une bonne dizaine d'ennemis ainsi que des mines qui explosaient sans provoquer de dégâts mais en rameutant, de part leur bruit, les ennemis. Ça, Mike ne le savait pas, mais le découvrirait bien assez tôt.

En ce qui concernait les deux blessés, c'était bien sur du cinéma, mais il avait intérêt à les gérer comme de réels patients. Elle lui tendit une trousse de premiers secours et une radio.

" Vous avez le minimum de matériel, mais ça vous arrivera en mission. Si vous n'avez pas de question, vous pouvez y aller. "

Constance s'apprêta à s'éloigner. Elle allait suivre l'expédition par caméras interposées depuis un petit bâtiment non loin de là. La forêt était juste assez dense pour dissimuler les ennemis. Un chemin serpentait parmi les arbres trop étroit pour y marcher de front.


[hrp : tu entres dans la forêt, pour l'instant, tu n'arrives pas jusqu'aux blessés.
essaye de développer en parlant notamment de tes sentiments etc.]

Après avoir réussi sans grande performances la première épreuve, Mike vit le général s'approcher de lui un petit sourire aux lèvres. Il se demandait si elle se moquait de lui ou si c'était parce-qu'elle appréciait ce qu'il faisait. De toutes manières, il fallait continuer. Puis elle se dirigea vers la lisière du bois et Mike vit 3 autres soldats. Parmis eux se trouvait une femme, "décidément, il y a pas mal de femmes qui travaillent ici héhé" pensa-t'il. Après que Constance Parray lui ai expliqué la situation et son objectif, il fit un signe de tête au général.

"Allons-y, et regardez bien autour de vous ! On va se déplacer en triangle défensif."

Le but du déplacement en triangle était en fait de protéger le médecin. Un soldat se mettait à la tête du triangle, deux autres sur les cotés faisant les coins du triangle. Et le médecin au milieu du plus grand coté, c'est à dire entre les deux soldats se trouvant sur les cotés. En effet, en cas d'attaque le médecin avait moins de chance de se faire toucher sauf bien sûr si l'attaque provenait de l'arrière. Ce n'est pas qu'il était égoïste bien au contraire. Malgré la formation médicale de base des soldats, en cas de blessures majeures le médecin est plus apte à soigner ce genre de chose.

Il se dirigea donc avec son équipe vers la forêt. Toujours aux aguets, aucune menace ne se manifestait pour l'instant mais "le danger est souvent plus proche que l'on ne le pense" se dit-il. Effectivement, alors qu'ils étaient à présent dans la forêt, tout d'un coup il y eut une embuscade et un croisement de "balles" qui vint toucher l'homme se trouvant à gauche au bras gauche.

"Contact, à couvert maintenant !!!"

Tout le monde se trouvit une planque pour se protéger. Alors que les membres de l'équipe était derrière des arbres et, ayant trouvés les positions ennemies, ils leur tiraient dessus. Ces soldats bien entrainés les avaient touchés. Les ennemis étaient apparemment quatres. Mike vint alors voir le blessé. C'était bien simple, "la balle" s'était encastrée dans son bras et il ne pourrait désormais plus se servir de ce bras.

Mike mis d'abord sa main sur la plaie pour empêcher que le sang ne s'échappe. Il sortit ensuite un bandage qu'il entoura autour du bras et sur la plaie du blessé. Il fit un noeud puis demanda au blessé s'il pouvait toujours se servir de son autre bras pour tirer et s'il pouvait marcher. Il réponda positivement.

"Il faudra enlever la balle plus tard. On a d'autres blessés à secourir, courage mon gars !!!"

Il ordonna aux soldats de se mettre en position défensive puis prit sa radio

//QG...ici Mike Buford...nous avons eu un accrochage dans la forêt et nous avons aussi un blessé mais rien de très grave...Nous allons continuer la mission...//

[HRP]J'ai compris, j'essaie de rester autant que possible réaliste on est pas des surhommes^^ Sinon je fais comme si c'était réel...le sang etc...[HRP]

Constance regarda Mike organiser l'avancée de son équipe. Il s'était mis en position la plus protégée, mais vu son comportement c'était du bon sens et non pas de la couardise. Tant mieux pour lui parce que dans le cas contraire, c'aurait été sa dernière erreur. Le général tolérait la peur dans certains cas, ou venant de civils qui n'étaient jamais sortis de leur labo, mais pour un soldat dans un cas aussi classique, ça devenait inquiétant. Et puis avoir peur est une chose, mettre les autres en avant à sa place en est une autre et ce n'est pas un comportement très positif quand on est sensé travailler en équipe.

En revanche, point négatif contre lequel Mike ne pouvait rien, ils étaient obligés de suivre le chemin pour localiser les blessés. Ils étaient vulnérables et bientôt, ils tombèrent dans une embuscade. Constance sourit : autant elle avait parfois reproché aux soldats qui jouaient les ennemis leur manque de professionnalisme, autant là, ils avaient bien organisé leur coup.

Cela dit, Mike aussi gérait bien la situation. Il réagissait promptement, comme si la mission était réelle et il permit à son équipe de se retrouver rapidement à couvert. Un des hommes était touchés et à la réaction que la recrue eut, le général sourit à nouveau : vraiment, elle y aurait cru ! Par contre, maintenant, ils auraient un handicap. Cela dit, ce n'était pas une raison pour laisser tomber une mission. On n'avait pas toujours des renforts qui débarquaient par miracle en cas d'imprévu.

Mike prévint le QG, nota-t-elle, bonne initiative. Pendant ce temps, les autres membres de l'équipe faisaient leur travail et les ennemis furent rapidement touchés. Ca n'avait pas été très difficile, ces derniers n'avaient pas eu pour ordre d'insister. D'autres devraient prendre le relais plus tard. Constance attendait de les contacter que Mike trouve le premier blessé. Elle voulait aussi lui laisser le temps de faire son travail sans lui mettre excessivement la pression. L'équipe repartit.

Ce fut une cinquantaine de mètres plus loin qu'ils tombèrent sur un homme à terre. La jambe en sang, il avait apparemment fait un garrot en désespoir de cause, avant de sombrer dans l'inconscience. Pour l'instant, il n'y avait plus trace des ennemis. En revanche, quelques mètres plus loin, un autre homme appelait à l'aide. Il était encombré d'un attirail d'archéologue. Blessé également, mais au bras et moins grièvement, il semblait surtout en pleine crise de panique. A crier comme ça, il allait rameuter les ennemis en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire.

Constance secoua la tête, amusée : la recrue était gâtée... Mais elle aimait autant le préparer à gérer des civils en mission. Civils pas toujours prêts à supporter le stress. En réalité, et c'est ce qui l'amusait, il s'agissait d'un soldat bien entrainé qui jouait à la perfection son rôle. Il avait dû rater sa vocation théâtrale ! Bredouillant, larmoyant, respirant mal et par à coup, il vint au devant de l'équipe en continuant entre deux suffocations à crier qu'ils allaient tous mourir. Constance se mordit les lèvres pour ne pas rire : pour Mike, ça n'avait probablement rien de drôle et elle se demanda comment il allait gérer la situation. Elle connaissaient quelques militaires qui auraient suggéré d'assommer le trouble fête un temps pour avoir la paix.

Elle hésita à envoyer de suite d'autres ennemis mais décida de lui laisser un peu de répit. Après, tout irait beaucoup plus vite.


[hrp : c'est vrai que ça fait plaisir de voir une recrue qui ne réussit pas tout par miracle ! ^^]

Après avoir soigné le blessé, Mike et son équipe avaient continués leurs chemins. Ils tombèrent sur un homme blessé à la jambe, et un autre qui criait comme un vulgaire porc plus loin. Il ordonna à ses trois hommes d’établir un petit périmètre de sécurité le temps qu’il examine les blessés. Il examina le premier à la jambe, la victime avait perdue beaucoup de sang et avait fait un garrot. Etant évanouie, Mike ne put lui demander depuis combien de temps il avait fait son garrot. En effet le patient risque une nécrose au muscle si l’on n’enlève pas le garrot dans les 3 H suivants sa pose. Il en déduit qu’il fallait tout simplement l’évacuer le plus rapidement.

Il prit l’homme sur ses épaules et l’emmena à l’abri d’un arbre et ordonna aux autres de le couvrir en cas d’attaque pendant qu’il allait chercher l’autre blessé quelques mètres plus loin. Arrivé sur place, le blessé continuait de gueuler très fort, cela agaçait Mike.

« S’il vous plait monsieur il faut que je vous examine pour vous soigner alors arrêtez de crier car premièrement vous êtes plus ridicule et énervant qu’affolant et de deux car vous allez attirer les ennemis !!! »

Rien à faire, il continuait de crier. Mike vit qu’il s’agissait d’une simple blessure au bras, donc il prit un bandage et fit la même opération qu’il avait fait sur l’un de ses hommes. Le blessé continuait de crier mais au moins il était soigné. Mike ne pouvait pas l’assommer, c’était un rat de bibliothèque, normal qu’il ait cette réaction mais tout de même… La seule solution était de le bâillonne. Et pas question d’utiliser un bandage médical pour cela, il prit un couteau et déchira un bout de sa manche. Il l’entoura rapidement autour de la tête du gars et fit un nœud.

Au moins on l’entendrait moins maintenant, mais toujours aucun signe de l’ennemi. Cela inquiétait Mike car il sentait que quelque chose se préparait. Enfin il prit l’archéologue et l’emmena à coté de l’autre blessé et se dit qu’une pause rapide s’imposait le temps d’indiquer au QG se qui s’était passé.

//QG…c’est toujours Mike Buford… j’ai soigné les deux blessés, il y en a un qui a un garrot…aucun ennemi en vue, nous allons poursuivre la mission…//

[HRP]Je ne sais pas si c'est toi qui fait intervenir les ennemis ou moi alors voilà...^^[HRP]

Installée derrière ses écrans, Constance réfrénait un fou rire. Mike avait l'air plus à l'aise avec des patients inconscients qu'autre chose... Autant il avait réagit logiquement devant le soldat inconscient, laissant le garrot en place, autant il géra l'autre avec plus de difficulté. Passablement agacé, il ne prit pas de gants et après un bref essai pour calmer l'archéologue il finit par la bâillonner. Constance continua à rire. Elle ne se moquait pas de lui, bien au contraire, il se débrouillait bien, mais bon, la situation était plutôt comique ! Du moins de son point de vue : pour la recrue qui devait faire ses preuves, c'était sans doute beaucoup moins amusant. Le pseudo civil avait finit par se calmer un peu, les yeux écarquillés devant le tour que prenait les événements. Il retira son bâillon et se tut, mais il suffoquait encore légèrement.

Encore une fois, Mike contacta le QG. Ça changeait de certaines recrues qui se croyaient seule au monde. Enfin, il ne fallait pas non plus qu'il s'imagine recevoir des renforts ou ce genre de chose. Mais ce n'était pas ce qu'il demandait, il se contentait de signaler sa position.

Constance réprima son rire le temps de répondre à la radio :

// Bien, poursuivez et sortez de cette forêt rapidement. //

Ça suffirait comme ça, il n'avait pas vraiment besoin de réponse en soi. Elle contacta ensuite trois autres soldats ennemis et les envoya secouer un peu la petite équipe. Elle allait voir comment il s'en sortait avec trois blessés dont un inconscient et un hystérique sur les bras. Les "ennemis" qu'elle avait envoyé trouvèrent rapidement la trace de l'équipe : facile, vu que ces derniers avaient jusque là suivit le sentier. Cette fois, pas d'embuscade ou de plan exceptionnel, ils se lancèrent simplement à leurs trousses, prêts à les abattre d'une balle de flash ball.

Constance se calma un peu et observa plus sérieusement la situation. A moins que Mike n'ait une réaction qui remette sa décision en cause, ce serait la fin de l'entrainement. Fidèle à son dossier, il avait fait ses preuves et elle comptait bien l'accepter au SGC. "ne vends pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué", se corrigea-t-elle. " attends de voir la fin de l'entrainement". Il était vrai que jusque là, la recrue n'avait eu à gérer que les blessés sans ennemis, excepté le soldat de son équipe et sa blessure lors des premiers échanges de tirs. Là, il s'agissait de voir comment il s'en sortait en baladant avec lui autant de handicaps. Moment déterminant.

Les ennemis arrivèrent derrière l'équipe qui repartait, l'un des hommes tira une balle qui, ratant sa cible prévint de leur arrivée.


[hrp : tu peux terminer et sortir de la forêt.]

Après que le QG ait répondu, Mike et son équipe continuèrent donc leur progression pour arriver à la fin. Dans sa tête, il se dit qu’il était plus que temps d’en finir avant que d’autres événements perturbateurs viennent gâcher sa réussite, mais cela faisait aussi parti de son boulot après tout. Peu de temps après leur départ, venant de l’arrière un coup se fit entendre.
Apparemment les ennemis avaient décidés de calmer leurs nerfs sur nous. Et pour en rajouter comme si ce n’était pas déjà suffisant, l’autre intello se remit à crier et partit vers la forêt en courant.

« A terre, FEU !!! » cria Mike

Alors que l’équipe initiale se coucha et tira en direction des assaillants, Mike se dit qu’il fallait d’abord repousser la vague avant de partir chercher le civil, car si tout le monde se séparait, il risquerai d’y avoir plus d’ennuis qu’autre chose. Mike tira plusieurs coups en direction d’un ennemi et l’eu cette fois au torse. Malheureusement celui qui était déjà blessé se fit retoucher à l’épaule droite cette fois, vu qu’il était allongé. La femme de l’équipe se débrouillait bien et toucha le reste des assaillants.

Mike sorti aussitôt un bandage et vérifia que le soldat blessé à deux reprise maintenant, était bien conscient. Il passa le bandage en dessous son bras et l’enroula pour bien arrêter l’hémorragie. Désormais il prit sur ses épaules le blessé au garrot, indiqua à la soldat en forme de couvrir tout le monde en cas de nouvelle attaque. Le soldat aux deux blessures arrivait à marchait, cela arrangeait Mike. Il fallait retrouver l’archéologue, pas difficile il suffisait d’écouter ses cris. Une fois que Mike retrouva l’archéologue il lui ordonna de se taire tout simplement car la fin de la mission était proche.

L’archéologue vit sûrement que Mike en avait vraiment marre de ses cris et que ça ne servait à rien de continuer. Mike ne contacta plus le QG se disant que ça serait tout simplement une perte de temps car il vit la fin de la forêt se profiler à quelques mètres. Enfin arrivés à la fin, Mike souffla et posa l’homme au garrot à terre.

« QG…ici Mike…missions accomplie, attendons évacuation... Terminé »

Mike avait l'air d'avoir saisi qu'il devait se bouger avant qu'autre chose ne leur tombe dessus. Bonne initiative, car les ennemis les interceptèrent rapidement, chaque mètre gagné, à ce stade de l'entrainement, était important. Le pseudo civil en profita pour corser un peu la situation et Constance faillit repartir dans un fou rire. C'est presque fini, se corrigea-t-elle, c'est pas le moment d'aller lui annoncer son affectation en rigolant ! Il va penser quoi de son général ?

Vu les circonstances, la recrue s'en sortait bien, faisant preuve de professionnalisme. Il se payait même le luxe de soigner de suite le blessé et de rechercher l'archéologue. Il avait réussit à sortir tout le monde là, son équipe et les blessés, parcours presque sans faute. Mais personne n'est parfait. De toutes façons, comme pour chaque recrue, elle lui avait mis la pression, de façon à le pousser à bout. Si c'était pour voir les capacités de monsieur-tout-le-monde en ballade dans la forêt, l'entrainement n'aurait servit à rien. Le but était de savoir si la recrue pouvait se dépasser.

Finalement, Constance abandonna l'observation et contacta les ennemis pour leur signifier la fin de l'entrainement. Puis elle sortit rapidement et rejoignit Mike, le sourire aux lèvres. Faisant signe aux membres de l'équipe qu'ils pouvaient disposer, elle annonça :

" C'est terminé pour votre entrainement. Je vous souhaite officiellement la bienvenue au SGC. Je n'ai rien à redire, vous vous êtes bien débrouillé. "

Restaient les détails pratiques qu'elle répétait à toutes les recrues. Elle réfléchit, essayant de ne rien oublier.

" A votre arrivée, installez vous dans vos quartiers puis passez à mon bureau pour être affecté à une équipe. A moins que vous ne souhaitiez rester à la base pour travailler à plein temps. Enfin, je suppose que vu votre formation, vous comptez bien aller sur le terrain. Ce serait dommage de passer vos journées derrière un bureau, vous seriez un bon élément pour une équipe SG. "

Voilà, c'était réglé. Et pour finir, la question rituelle :

" Avez vous des questions ? "


[hrp : je t'ouvre les accès au sgc. ]

Mike vit le général arriver et souriait car enfin il allait savoir si oui ou non il allait être accepté au SGC. La réponse était oui. Ensuite, Constance parray lui a expliqué ce qu'il devrait faire en arrivant au SGC. Lui signalant qu'il pouvait aussi travailler à la base exclusivement mais bien sûr il voulait être au plus près de l'action et aussi être immédiatemment là pour soigner ses alliés au cas-où...


"Je n'ai pas de questions mon général, merci !"

Puis il repartit en direction du SGC où il allait enfin avoir ses quartiers.