MickaËlla avait vu l'Agent Dante venir de loin et le général ne semblait pas trop d'humeur à le supporter alors quand ce dernier fit mine de vouloir s'imicer elle lui coupa la route.C'était bien là le seul pouvoir que l'Agent Dante avait laissé dans les maisn du major et du Sergent et cette dernière en se privait pas de l'utiliser donc.Elle ne comptait pas se laisser impressioner par l'Agent Dante et ceux quelle que soient les menaces qu'ils pourraient bien prononcer à son encontre.Qu'il n'est pas confiance en les anglais était une chose mais qu'il n'est pas en ce point confiance en certains membre du SGC en était plus qu'insultant.A l'ordre du général MickaËlla se retira docilment et laissa l'Agent Dante approchait le général qui le laisserait donc lui parler.Elle jouait à un jeu dangereux et laisser à penser à virgile que soit elle jouait parfaitement l'agent double soit elle était resté loyale au général , il était bien difficile de savoir avec elle.

A à peine un mètre du général embrassa l'assistance d'un regard mauvais pour leur signifiait que ce qui se passait à côté d'elle ne les regardaient absolument fut ce t'il des hommes de Dante ou le président en personne.Quand à elle , elle guettait les moindres gestes du général au cas ou cette dernière souhaiterait ne plus s'entretenir avec l'Agent Dante ou quelquoncque autre besoin auxquels elle pourrait répondre.Sachant que celui de foutre dehors Dante par le fond de son pantalon et celui qu'elle aurait aimé exècuter en prioritée mais ce dernier en viendrait pas tout de suite il fallait donc prendre son mal en patience en attendant.

MickaËlla se rendait bien compte que la situation était devenue tendu et que les soldats anglais commençaient à se poser des questions et que les membres du SGC quand à eux étaient sur les dents par rapport à l'attitude de l'agent Dante.Tant mieux c'était parfait la seul bèmol était la présence des anglais et encore qu'eux.Les pièces d'un puzzle complexe commençaient à s'assembler dans l'esprit de MickaËlla.Puzzle sans cesse en mouvement , toujours entrain d'évoluer qui n'avait pas encore vraiment de forme précises.Si MickaËlla avait retenu quelque chose de toutes ces années à collaborer avec le caporal-chef Bertaud c'était bien l'adaptabilitée et la réctivitée intellectuelle.Elle avait son plan ses objectifs connus d'elle seul et elle avançait ses pions parfois alèatoirement parfois de manière très stratègique , tant et si bien qu'on ne savait pas trop à quoi s'en tenir.Qui plus est une telle attitude entretenait sa réputation d'esprit malade et d'instabilitée qui pouvait surgir dans des moments incongrues.

Strucker jouait les cerbères et cela ne fit que tirer un rictus prédateur à Virgile. Il poussa même le vice à lui demander si elle trouvait les petits fours à son goût, mais avant que la petite rencontre ne fasse long feu, le général Parray coupait court au débat et renvoyait le toutou à la niche... pour le moment.
L'agent s'approcha, son petit sourire froid ayant quitté son visage et son expression reprenant son naturel, autrement dit, la joie de vivre incarnée.

Général, il faudrait que vous serriez la vis à vos troupes. C'est un joyeux bordel ici et j'ai tout juste ce qu'il faut pour empêcher que cela ne se transforme en véritable foire! Il a déjà fallu persuader le docteur de l'Argentière de la boucler, il serait bon que vous leur fassiez comprendre que ce qui est classé secret défense ne doit pas être abordé la bouche en coeur quand on a à sa porte une armada d'agents de renseignement britanniques qui ne vont pas se priver d'enregistrer tout ce qui se dira. Vos hommes n'ont pas l'air de comprendre et ils ne semblent pas prêts à m'écouter. Je veux bien qu'ils puissent papoter et boulotter le budget de la défense, mais si cela doit mettre la sécurité nationale en péril, je baisse le rideau et tout le monde file dans sa chambre. Je suppose que vous n'en avez pas envie, et moi non plus d'ailleurs, j'ai déjà fort à faire avec les agents de sa gracieuse Majesté. Il est dans l'intérêt de tout le monde qu'ils tiennent leur langue et évitent de s'égayer aux quatre vents. Je compte sur vous, général Parray.

Virgile avait bien noté la montée de tension et ses agents aussi. tous n'attendaient qu'un ordre pour agir et à le voir, Constance savait très bien qu'il n'hésiterait pas une seconde à noyer la salle dans du gaz incapacitant et balancer les corps dans un camion, direction le SGC ou alors une fosse dans une forêt profonde de France ou ailleurs.
Il embrassa la salle du regard, puis regarda Constance. Le message était clair, c'était à elle de gérer ses troupes ou alors il le ferait à sa manière, et elle avait pu en avoir un petit aperçu avec la façon dont il avait négocié la mise en sourdine de l'aristocrate à grande bouche.

Laurent était content d’avoir de la compagnie en la personne d’un Sergent dont il ne connaissait que le prénom et le nom car il l’avait croisé de temps en temps à la base mais sans oser l’aborder car il n’y avait jamais eu d’occasion pour justifier de déranger un supérieur. En ce jour triste, l’occasion s’était présentée alors quand Luc s’approcha, il le regarda faire un raid sur les canapés en souriant car il venait de faire la même chose et que les anglais allaient penser que la France ne nourrie pas ses soldats. Laurent eu juste le temps de répondre ces quelques mots :

« Vous savez Sergent, je suis à moitié français et je n’ai connu que l’armée française alors reconnaitre les grades n’est pas un problème pour moi, c’est une question d’habitude et de… »

Une tête qui lui disait quelque chose interrompit la conversation, et comment, c’était le bien connu Lewellyn Drogon, un scientifique dans un corps de militaire qui savait faire parler de lui pour ses frasques et aussi pour son bon travail entre deux.

« Bien sur Sergent, venez donc et trinquons, par contre je vous préviens de suite, je suis à l’eau plate mais c’est l’intention qui compte n’est-ce pas ? »

Ils n’eurent pratiquement pas le temps de parler ensemble, entre le toast suivi d’un silence pour respecter la mémoire du défunt et Lewellyn qui observa un mouvement suspect autour du Général avant d’en faire des éloges et de vouloir la rejoindre.

« Nous ne serons d’aucune utilité auprès d’elle car il y a des types qui bougent dans la salle, le mieux est de se positionner à leurs côtés pour les gêner dans leurs intentions, je vais suivre celui la, je n’aime pas sa tête ! »

Dante n’était sans doute pas celui à craindre car le Général avait déjà son escorte personnelle, c’étaient de ses hommes de main sans doute armés que venait le danger alors c’étaient contre eux qu’il fallait se battre si jamais ils avaient la mauvaise idée de vouloir soustraire la jeune femme. Laurent doutait quand même qu’ils osent faire ça ici sur un territoire étranger en présence d’anglais mais il enleva sa veste qu’il posa sur un dossier de chaise avant de se mettre en position pour agir si besoin.

Matt était dans un coin d'ombre ou on voyait tout et tres bien ainsi il sentit Virgile on ne peut plus stressé et le général pareil, et l'entente entre les deux ne semblait pas des plus cordiale. Puis il vit les autres arriver et discuter en petits groupes. Hum...la sécurité semblait se renforcer au passage. matt fronça les sourcils regardant les toutous de Dante puis sortit de son coin. il observait tout sans mot, dire et fait extremement rare, il ne souriait pas. il décida de se rapprocher de Rakel un peu histoire de la soutenir et posa une main sur son épaule. il ne vulais pas la déranger mais juste faire savoir qu'elle n'était pas seule même dans sa tête. Il se permit un bref sourire et se plaça non loin de la jeune femme, mais restait seul.

*pourquoi tant de surveillance? daccord nous aprlons peut etre un peu trop mais il n'y a personne ici qui emmenerait tout ça au président ou autre tout de même. Enfin...ça se fait lourd*


personne n'avait grande envie d'etre la ça pointait l'ambiance, était on ne peut plus tendue et Matt le sentait, les sourcils froncés il croisa le regard de dante, lui lança un regard noir avantde se détourner. Avec lui ils n'étaient tous que des pions qu'il pouvait sacrifier pour le bien du programme, en aucun cas il ne les voyait comme des humains, c'était quelqu'un de manipulateur et d'égoiste au yeux de l'archéologue qui ne pouvait rien y faire.
Mais cela ne l'empécha pas d'observer les faits et gestes de chacun bien que restant dans son coin, il écoutait tout ce qu'il pouvait, enregistrait, et surtout avait vraiment envie denfoutre une a virgile mais pas le jour de lenterrement de Ewan ce n'étaitpas correct.

L'Agent Dante avait remarqué sans difficultée les mouvements des Soldats du SGC et un simple regard dans leur direction avait suffit à éventer la manoeuvre et pour ces hommes remarques à leur tour les sodlats du SGC qui comptaient pas laisser Dante prendre à parti leur général.

Cette dernière d'un regard plein d'autorité et d'un regard calma les ardeurs de ses subalternes et d'un hochement de la tête , elle dèmontra à l'Agent du BSPC qu'il lui serait bien plus difficile qu'à elle que d'avoir à gèrer les membres du SGC.En effet beaucoup de ces derniers était prêts à en venir aux mains et quand l'Agent Dante se retourna il trouva le major Plummet qui était à pas plus d'un mètre et qu'il n'avait pas vu ni senti venir.Dans son oreillette on lui signala que le major Merril venait de reposer un couteau sur le buffet apparemment elle l'aurait dissimullé dans sa manche.Les deux majors n'avaient pas plus que ça retenu son attention dans ce joyeux brouha et ces derniers venaient de lui démontrer qu'ils devaient redoubler de vigilance spècialement sur ceux qu'ils soupçonnaient moins que les autres.

Le coktail se termina donc sur cette note quelque peu crispé entre les hommes de Dante et les membres du SGC qui si ils n'avaient pas été dans un pays étrangers et en présnece de soldats étrangers en seraient certainement venus au mains.L'inimitié entre les deux groupes étaient telment flagrante qu'elle avait fait fuir les SAS anglais et la famille du dèfunt Sergent Ranks.L'Agent Dante put enfin faire évacuer ses brebis et les faire regaggner leur quartier respectifs pour aller rejoindre la gare d'Oxford ou un train devait les amener jusqu'à Londres de là il prendrait le Shuttle pour Paris.Et là dèbrieffing dans les bureau du BSPC et là se serait une autre chanson pour cette bande de doux rêveur , de traitre , d'incapable et d'espion.

Dailleurs le caporal Campbell et les Sergents Drogon et Daving eurent l'insigne honneur de partager la banquette arrière du vèhicule de secours du général qui suivait le convoi dans lequel cette dernière se trouvait en sécurité en apparence.Mais bien vite ils changérent d'avis en voyant ce que l'Agent Dante entendait à l'oreillette alors qu'il s'occupait du gros des membres du SGC s'assurant que chacun trouverait bien le chemin jusqu'au bus et n'oublierait pas malencontreusement un quelquoncque indice de son passage.

Une camionette avait surgit et bloquait la rue au convoi , immédiatement la voiture de queue du convi du général décrocha et doubla la voiture du général et la voiture de tête pour aller percuter la camionette de plein fouets.Mais déjà la voiture de tête commençait à bifurquer sur la droite pour éclairer l'intinèraire de fuite à celle du général mais c'est alors que des rue adjacente deux autres camionettes préparés avec soin pour servir de bèlier vinrent percuter la voiture de tête et celle du général.Au même moment la voiture de queue explosa en percutant la camionette qui était apparu en premier et avait servi de leurre.

Sorti de dieu seul savait ou une dizaine de para-militaires armé de pistolets mitrailleurs silencés se mirent à approcher des vèhicules accidentés et leur attitude ne laissaient aucun doute sur leur objectifs de mission capturer le général Parrey.Le chauffeur du vèhicule de secours n'hèsita pas une seule seconde et fonça dans la camionette qui avait percuté la voiture du général.Lui et son binôme ne perdirent pas une seconde et MP7 à la main ils engagérent le combat avec les assaillants.Le reste des hommes de Dante encore en se défendaient bien mais l'accident et le sous-nombre ne compensait pas le manque de couvert des assaillants.

En descendant de leur voiture les soldats du SGC et la baronne virent sortir de la voiture du général , le général et le Sergent Strucker.Cette dernière , derrière le général collait à elle , forçait le général à baisser la tête et venait d'ouvrir la serviette en kevlar en grand et la laissait pendre dans son dos.Technique classique de protection raprochée mettre un maximum de kevlar entre le vip et la menace.Mais ce qui était réelment étrange était le fait que le Major Merril se batte avec le chauffeur qui arme à la main semblait bien déterminé à s'en servir.Une balle perdue , pas pour tout le monde vint se loger dans l'épaule du Major qui lâcha prise et permit à l'homme de Dante de s'extirper de la voiture et de prendre pour cible le Sergent Strucker mais dans un effort de volonté surhumain le major Merril plaqua l'homme du BSPC avant de perdre conmaissance trop grièvement bléssée pour quoi que se soit d'autre.En se dégageant de dessous le major il remarqua les soldats du SGC qui approchaient soit pour lui toucher deux mots sur son attitude douteuse soit pour rejoindre leur chef certainement les deux.

L'Agent Dante pouvait se féliciter d'avoir monter des faux dossiers concernant sur chacun de ces hommes prouvant que ces derniers avait été soudoyé par une puissance étrangère cela allait lui servir plus tôt que prévue.

Laurent, le verre de jus de fruit à la main était juste à côté du sbire de Dante, l’air de rien, il continuait de faire de saluer de la tête les quelques personnes qu’il croisait mais ces dernières sentaient bien qu’il ne valait mieux pas rester la car ce mouvement convergeant vers le Général était inquiétant.

Quand son nouveau pote s’arrêta à quelques mètres de sa cible, le militaire eut l’occasion de voir le Général faire signe de la tête comme si elle ne voulait pas que ses fidèles agissent, ce qui était plutôt sage dans un tel lieu mais cela dépendait de ce chacal de Dante qui n’était pas du genre à lâcher prise quand il voulait quelque chose.

Ainsi ils se retrouvèrent entre membres du SGC et de la BSPC, l’ordre du départ était donné dans une méfiance et un bordel sans nom, d’ailleurs les trois mousquetaires de la Reine Parray furent inviter à la suivre et à s’installer dans une des voiture, celle qui servait de véhicule de secours en cas de problème sur celui du Général. C’était un véhicule aux vitres teintées et très confortable, l’idéal pour le repos du guerrier même si le combat n’avait pas eut lieu sauf peut être dans les têtes. Il était monté en dernier, laissant passer ses supérieurs par respect alors il se retrouvait sur une des extrémités de la banquette, près d’une des portes. Il s’installa et commença à regarder un peu partout dans la voiture avant de dire :

« Cool, c’est la classe… Chauffeur à Piccadilly Circus s’il vous plait ! »

Bien sûr il plaisantait et de toute façon le chauffeur n’en avait rien à faire puisqu’il était la pour suivre le convoi. Attiré par un crissement de pneus, Laurent constata que la voiture devant eux qui fermait le convoi doublait rapidement la voiture du Général pour aller vers une camionnette un peu plus loin :

« C’est quoi ce bordel ? »

A peine avait-il réalisé que ce ne devait pas être un simple manœuvre que deux autres camionnettes vinrent percuter les deux autres voitures du convoi dont celle du Général. Cette fois c’était certain, il s’agissait bien d’une attaque et cela fut confirmer par l’explosion de la première fourgonnette. D’un coup le chauffeur démarra brusquement en direction de la camionnette qui avait percuté la voiture du Général, Laurent ne pouvait rien faire à part constater qu’il allait se retrouver au milieu des combats sans arme et la voiture allait finir en passoir et lui et ses deux camarades avec.

Le choc fut rude car le véhicule venait de percuter la camionnette, Laurent était un peu choqué mais il en avait vu d’autre et ce n’était pas le moment de trainer alors que les tirent redoublaient alors il jeta un rapide coup d’œil par ce qui restait des vitres latérales avant d’ouvrir la porte et d’avancer le long du véhicule pour s’abriter le temps d’ouvrir la porte avant pour essayer de redémarrer le moteur, peut être que la voiture pouvait encore rouler pour tenter une marche arrière après avoir embarqué le Général qui sortait de son véhicule sous une protection trop fragile pour tenir longtemps dans ces conditions.

« Si vous n’y voyez pas d’objection, je m’occupe du moteur pendant que vous essayez de sauver ce qui peut encore l’être, s’il démarre je vous attends sinon je vous rejoins… Saloperie de moteur, tu vas démarrer oui ! »

Les mousquetaires allaient-ils pouvoir sauver leur Reine contre les hommes du Cardinal, cela allait être compliqué mais ils avaient l’habitude d’être dans des situations périlleuses, cette fois il fallait se débrouiller pour récupérer les armes de ceux qui étaient déjà tombés mais Laurent laissait cette tâche aux deux autres, trop occupé à engueuler ce moteur récalcitrant sous le bruit des impacts de balles frappant la carrosserie.

Laurent n'arrivait pas à faire redémarrer la voiture , foutue mécanique anglaise , qui comme d'habitude vous lachait toujours quand vous en aviez le plus besoin.Et de là ou il était il pouvait voire que la fusillade loin de se calmer s'intensifia avec l'arrivée d'un troisième groupe et de la police.Le troisième groupe devait être des agents du MI5 et ils tiraient sur leurs agresseurs mais la police n'étant pas dans le secret des dieux commença à arroser copieusement sans faire de discrimination entre anglais français agressé ou agresseur.Le carreffour était entrain de devenir une zone de guerre digne d'un conflit à grande échelle et Laurent n'était pas armé.

Luc quand à lui n'avait pas été épargné par l"accident tout comme la baronne et en plus d'être sonné il avait l'arcade ouverte ce qui en plus d'être douloureux saignait abondament et vous empêchez de voire ce qui se passait autour de vous.Mais nul besoinde voire pour savoir qu'un enfer de plomb et de poudre était entrain de se dèchainait autour d'eux et qu'il fallait vite trouver un couvert une arme et défendre sa vie car il ne faisait aucun doute pour le suisse qu'ils étaient en guerre.

Lewellyn venait de coller un coup de barre à mine derrière le coup d'un de leurs agresseurs et auraient certainement réitéré l'opération si un des assaillants ne l'avaient remarqués.Ce dernier pointa son arme en direction de Lewellyn qui eut le réflexe de se mettre à couvert derrière le couvert de l'homme qu'il venait d'assomer quaund une rafalle de balle vint s'écraser à l'endroit ou aurait du se trouver son torse.Il récupéra l'arme mais il vit qu'une partie des assaillants se dirigeaient vers lui et leur tirs étaient sans nulle doute des tirs d'appui visant à lui faire baisser la tête pendant que des hommes s'approchaient de lui pour le capturer.Bine sur si il ne pouviat pas faire autrement que de baisser la tête et de rispoter veinement qaund il le pouvait tout autre acte lui aurait vallu un nouvel orifice.

Virgile qui roulait dans les rues de Oxford comme si il se trouvait sur un circuit de vitesse se prèocupant à peine des feux et encore moins des piètons.Les choses étaient entrain de virer au vinaigre Argus veniat d'arriver sur place mais son action n'était pas facilité entre les assaillants , les agents du MI5 , la police et le général qui avait disparu dieu seul savait ou.Quand il arriva sur le fameux carrefour il put voir que le sergent Drogon était dans une facheuse posture mais sans compter l'intervention d'Argus qui avec trois quatres rafalles de pistolet mitrailleur bien placé dissuada les assaillants de continuer leur assauts.L'agent Dante arrêta son vèhicule dans un crissement de pneu près de celui du général mais elle n'était plus là et le Major Merril l'un des gardes du corps du Général était entrain de se vider de son sang.Mais aucune trace du chauffeur du Général et du Sergent Strucker.La seconde qui suivit ce dernier annonça à Virgile qu'il était sur les talons du Général et du Sergent mais la comunication fut brutalement interrompu avant qu'il n'ait pu donner sa position.

MickaËlla avait extrait le général du vèhicule sans ménagement et sous une volée de plomb , elle avait pu sentir deux balles venir s'écraser sur le kevlar de la serviette.L'impact des ces dernières lui avait sacrèment fouetté le sang et elle en garderait des bleux pendant plusieurs semaines.Une fois sortie de la zone rouge MickaËlla chercha immédiatement un itinéraire de repli , elle savait qu'elle n'avait pas d'autre choix que de rester toujours en mouvement c'était la meilleure garantie de survie pour le général.De plus maintenant elle savait qu'elle ne pouvait pas faire confiance à virgile comme à ces agents , le MI5 n'était pas un solution envisageable et ils étaient quasiment iréel qu'ils tombent sur un agent de la D.G.S.E par hasard au coin d'une rue.Elles étaient en territoire étrangés , en zone urbaine , et traqué par au moins trois services secrets , un groupe para-militaire et peut être par la police.Mais alors que MickaËlla se débarrassait de sa malette kevlar et sa veste de tailleur elle put entendre un homme qui courait et se raprocher de leur position.Quand ce dernier passa l'angle du mur ou elle avait pris refuge pour l'instant elle reconnut sur le champs le chauffeur qui avait essayé d'abattre le général.Du tranchant de la main elle lui fit lacher son arme et le repoussa d'un coup de pieds , mais cela ne fut pas suffisant pour l'agent qui revint à la charge et plaqua le sergent contre le mur en la prenant à bras le corps.Puis ce dernier tomba inconscient comme par enchantement comme si quelqun venait de lui enlever ces piles.Et ce quelqun était le général en personne qui sembalit d'une humeur massacrante et tout à fait apte à se défendre au vue de l'atemi qu'elle venait d'administrer.MickaËlla sut alors que le général Parrey n'avait pas passé tout sa vie derrière sa vie et que si elle le fallait elle pouvait se montrer aussi capable que n'importe quel soldat du SGC.

[Hrp : Alors petit récapitulatif pour ceux ou celles qui seraient perdus.Laurent est dans la voiture qui ne démarre toujours pas , Lewellyn essuie encore quelques tirs mais ces derniers viennent de la police , Luc est bléssé et à couvert , Mathilde dans le gaz.Virgile vient d'arriver sur les lieux et voit donc MI5 , ses vigies , la police et qui s'affronte.Les para militaires sont entrain de se replier.Le Sergent et le Général ne sont pas en vue , hors de portée de voix et poas rattrapable de suite dans l'immédiat.Ceux qui se trouvent encore à l'hotel peuvent avoir choist de voler une voiture oursuivre virgile mais il faut soit avoir assomé un garde soit être passé en douce.]

Laurent ne parvenait pas à faire redémarrer ce fichu moteur alors il ne s’éternisa pas en sortant de ce qui restait du véhicule en restant le plus possible accroupi avant de prendre une grande respiration, de se demander si ce qu’il allait faire n’était pas de la folie mais se mit quand même à courir vers le Major Merril afin de le mettre à couvert et aussi d’en profiter pour s’armer et ainsi protéger sa nouvelle position.

Il avait pu observer la situation derrière son volant alors il savait que le Général escorté par Stucker s’était éloigné de la zone au risque de se faire isoler mais il ne pouvait rien faire maintenant que la police tirait sur les personnes qui lui semblait dangereuses alors il décida de s’occuper du Major en appliquant les gestes de premiers secours dans le cas d’un saignement abondant, il en arriva à hurler en anglais :

« Un médecin, il me faut un médecin, j’ai un blessé grave, vite il me faut une ambulance »

Les policiers devaient avoir du mal entre les cris de Lewellyn et ceux de Laurent, ce dernier savait qu’ils ne bougeraient pas tant qu’il n’y aurait plus de tirs alors il devait attendre en prenant soin du militaire blessé. Il se serait bien lancé à la poursuite du Général mais cela risquait de coûter la vie au Major et la sienne si un policier le prenait pour un terroriste. Il était énerver de ne pouvoir en faire plus alors qu’il était armé du MP7 de celui à qui il faisait un point de compression, il cherchait autour de lui l’aide médicale qui serait la bienvenue mais il se doutait qu’une fois la situation sous contrôle, il serait retenu ainsi que tous les protagonistes pour éclaircir les identités de chacun, les policiers n’allaient prendre aucun risque alors le Général et Stucker allaient devoir compter que sur elles.

Virgile s'arrêta dès qu'il vit la situation, prenant soin de ne pas se faire remarquer, il arrêta sa voiture plus loin et mettant le MP7 sous le siège, jeta un oeil au coin de la rue. Ces foutus bobbies canardaient à tout va. Heureusement qu'ils étaient aussi bons au tir que leurs collègues français. Il ne voyait pas les hostiles, ni aucune trace du général.

Vigie, Argus déposez les armes et rendez vous. Une ordonnance de l'ambassade viendra vous récupérer, annoncez vous simplement comme le service de protection du général de brigade Constance Parray que les agents SG sont des coéquipiers à vous, faites leur comprendre qu'ils doivent surtout la boucler, on va vous sortir de là. Dites moi par où sont partis les ennies et s'ils avaient le général avec eux.

L'agent enrageait de ne pas pouvoir continuer. il était tributaire des renseignements que lui fourniraient ses gars. Et sachant qu'il y avait eu une taupe...

*Des espions au SGC, et maintenant dans mes équipes... Il y a vraiment quelque chose de pas net dans cette affaire. Seul et sans soutien. Comme au bon vieux temps, génial.*

Dante se replia jusqu'à sa voiture et s'éloigna en respectant scrupuleusement le code de la route puis dans une rue attenante plus discrète, glissa son MP7 et les chargeurs dans une sacoche qu'il avait dans le coffre et quitta le véhicule, bien garé et verrouillé comme si de rien était. Il devrait temporiser alors que le temps pressait justement. Faire le tour du pâté de maison serait déjà un début, il pourrait avoir un oeil sur la situation, relever un indice, suivre une piste. Il maudissait ses supérieurs pour ne pas lui avoir fourni le bracelet GPS qu'il avait demandé, le général n'étant pas une cible suffisamment prioritaire, de simples gardes du corps et une escorte suffiraient... Et voilà où on en était, un général dans la nature avec des secrets défenses sur la moitié de ses souvenirs et potentiellement entre les mains de l'ennemi.
Il passa un autre coup de fil à l'ambassade pour faire relâcher les prisonniers. L'affaire serait vite entendue étant donné la situation, en espérant qu'un de ces cowboys du SGC n'ait pas flingué un policier auquel cas, l'Etat ne pourrait le couvrir.

[HRPG: Alors je ne sais pas du tout si ce que je vais faire va convenir mais je dois avouer que je suis perdue et que je ne sais pas trop quoi faire]

Jill s'était retrouvée à l'hôtel avec les autres. Laurent, Lewellyn, Luc étaient partis avec le Général. Jill n'avait aucune idée de l'endroit où ils se rendaient mais tout ce qu'elle savait, c'est qu'elle aurait aimé participer au voyage.

Alors qu'elle était en train de se reposer dans sa chambre, Jill entendit un sacré bazar dans les couloirs. Elle se changea rapidement et enfila un jean, un tee shirt et ses rangers.

Lorsqu'elle entrouvrit la porte pour de quoi il s'agissait, elle vit les gorilles de Virgile s'exciter ainsi que Virgile lui même. Sans même comprendre de quoi il en retournait, Jill enfila sa veste en cuir et suivit tout ce petit monde en veillant de ne pas se faire remarquer.

Une fois qu'elle fut arrivée dehors, le véhicule de Virgile avait déjà démarré. En jetant un rapide coup d'oeil aux alentours, elle remarqua qu'une des voitures noires était encore là. Seulement, un garde poireautait à côté et il n'avait pas l'intention d'allait voir ailleurs.

Discrètement, Jill s'empara d'un bout de bois et s'approcha du garde. Elle le tapa à la tête avec le bout de bois avant de monter dans la voiture après avoir récupéré la clef dans une des poches du gardes.

"Désolée pour la bosse mais j'ai pas le choix."

Jill démarra la voiture et suivit celle de Virgile de façon à ne pas le perdre de vue et à ne pas se faire remarquer. Lorsque la voiture de Virgile se stoppa, Jill ne put que constater les dégâts. Que s'était-il passé ici ??! Des coups de feux retentirent, Jill sortit de la voiture et rejoignit Laurent.

"Il se passe quoi ici ?"

Jill regardait tout autour d'elle. Une vision de chaos se présentait à elle et elle ne trouvait pas le général Parray.

"Où est le général ?"

Comme par hasard, Jill n'avait pas son arme et elle se sentait complètement nue sans elle.

Laurent n’en croyait pas ses yeux de voir Jill arriver aussi facilement au milieu du champ de bataille, cela voulait dire qu’il y avait un moyen de repartir avant que la police n’approche par l’autre côté mais l’état de santé du Major Merril l’inquiétait et aucun signe des services médicaux autour pour venir s’en occuper alors il fallait prendre une décision et Jill tombait bien.

« Content de te revoir Jill, le convoi est tombé dans une embuscade, à part Lewellyn et Luc, je ne sais pas sur qui d’autre on peut compter, ça pourrait être un coup de Dante comme de n’importe qui ayant un intérêt pour le projet.
Le Major est blessé, il faut l’emmener à l’hôpital, les secours ne viendront pas avant un bon moment, du moins pas avant qu’il n’y ait plus de danger pour eux alors je vais le transporter jusqu’à la voiture, prends cette arme et couvres moi si jamais tu vois un type en noir pointer la sienne sur moi puis caches la le long de ton corps pour ne pas être une cible pour la police, si tu arrives à appeler mes deux Sergents ce sera bien sinon il faudra partir sans eux ! »

A peine eut il terminé sa phrase qu’il tendait le MP7 à Jill pour ensuite empoigner le Major afin de le porter.

« Désolé Major, ça va faire mal mais il faut vous sortir d’ici pour vous soigner »

Des tirs se faisaient toujours entendre mais moins qu’avant, cela ne changeait rien au problème alors péniblement il avança jusqu’au véhicule pour placer tant bien que mal le blessé par balle sur la banquette arrière avant de regarder l’état de sa blessure, elle n’était pas belle selon lui mais il n’y connaissait pas grand-chose à part qu’il avait constaté qu’une seule fuite de sang, ce qui devait vouloir dire que la balle n’était pas ressorti et donc qu’il n’y avait qu’une sortie à colmater comme il pouvait. Il enleva sa veste de cérémonie puis sa belle chemise pour s’en servir comme compresse en maintenant sa main dessus et en ayant couvert la victime avec sa veste pour le réchauffer, il ne restait plus qu’à attendre Jill et peut être les autres mais ils devaient faire vite sinon Laurent serait obligé de partir sans eux pour l’hôpital en sachant que ce ne serait pas bon de ne plus appuyer sur le semblant de compresse pour pouvoir conduire.

Jill n'avait aucune idée de quelle manière elle avait réussi à rejoindre Laurent sans se prendre une balle perdue ou se faire tirer dessus comme un lapin. Mais vu ce qu'il se passait autour d'eux, elle ne cherchait même pas à comprendre. Jill se précipita vers Laurent qui avait un blessé avec lui. Celui-ci était salement amoché d'ailleurs.

"T'en fais pas Laurent, je vais faire le ménage et je vais vous conduire à l'hôpital. Je suis arrivée avec une voiture et elle est en état de marche."

Laurent émit l'hypothèse comme quoi Virgile était dans le coup. Jill n'en était pas convaincue.

"Tu sais Laurent, je ne pense pas qu'il y soit pour quelque chose dans tout ça. Vu l'état dans lequel il était en quittant l'hôtel, il n'a qu'une envie, régler son compte au con qui a fait ça."

Laurent tendit son MP7 à Jill. Elle le rechargea et sortit comme une dératée et dit à l'attention de Laurent.

"Allez vas y !!!!"

Jill faisait bien attention à ce qu'elle faisait. Il fallait qu'elle trouve Luc et Lewellyn, seulement à cause de tout ce bordel, elle n'arrivait pas à les voir. Une fois que Jill faut assurée que Laurent et le major se trouvait en sécurité dans la voiture, Jill appela une ultime fois Luc et Lewellyn avant de se mettre en marche vers la voiture.

"Lewellyn !! Luc !!!"

Laurent attendait toujours dans la voiture en parlant au Major dans le but de le rassurer en même temps il observait à travers les vitres et la porte arrière encore ouverte, ce qui se passait autours, en espérant voir arriver la cavalerie pour battre en retraite, enfin il fallait plutôt s’attendre à un joli bordel, chacun devant se débrouiller pour éviter les balles des policiers un poil nerveux par cette situation à laquelle il n’étaient pas trop habitués.

« Major, vous m’entendez, ne lâchez pas, je m’occupe de vous enfin la vous pouvez avoir peur… Non ça ira, je n’ai jamais tué quelqu’un sans le vouloir… Qu’est-ce qui se passe ici, est-ce que c’est un coup de ce type en costard qui en veut à la vie du Général ?
Je sais vous avez autre chose à penser en ce moment, je ne suis pas doué pour ça… Parlez-moi de ce que vous aimez faire pendant vos loisirs, juste ce qui nécessite pas de me tuer après… Ok vous ne voulez pas ou plutôt vous ne pouvez pas alors c’est moi qui vais continuer de vous saouler avec mes histoires »

Il ne savait pas si le Major Merril l’entendait mais c’était une façon de se rassuré un peu dans ce moment qui semblait durer une éternité alors il parla de tout et de rien avant de hurler :

« Jill !!! La, derrière l’épave, allongé le long du mur, je crois que c’est le Sergent Daving, il n’a pas l’air d’aller bien, je suis trop loin pour voir correctement et je ne peux pas y aller, est-ce que tu penses pouvoir le récupérer ? »

Et la il enchaina en parlant à nouveau doucement :

« Major, nous avons retrouvé un des nôtres, encore quelques minutes et on part, ça va aller, battez-vous, le Général compte sur vous ! »

Il n’avait vraiment pas l’habitude des monologues et n’avait qu’une envie, celle d’être à l’hôpital pour pouvoir se lancer au secours du Général car il ne croyait pas à l’innocence de Dante dans cette histoire qui l’arrangeait bien et où il était toujours absent au bon moment pour pointer le bout de son nez après le combat afin de compter les points.

Alors que Jill pensait que les deux retardataires allaient les rejoindre, Laurent lui fit signe d'aller rejoindre le sergent Daving près d'une voiture accidentée. Il lui demanda de le ramener pour le mettre dans la voiture. Jill fit alors demi tour et elle se précipita vers Luc. Il avait pas l'air en forme. Le choc m'avait blessé à l'arcade et il était presque en train de comater.

Jill rangea son arme dans sa ceinture et s'accroupit près de son collègue. Elle lui fit un sourire pour le rassurer et l'attrapa de façon à le placer correctement pour l'emmener jusqu'à la voiture.

Une fois qu'elle fut arrivée à destination avec Luc, elle le déposa avec délicatesse dans la voiture et elle retira sa veste qu'elle jeta dans la voiture. Elle fit le tour des environs du regard à la recherche de Lewellyn. Comme elle ne le trouvait pas, elle monta du côté conducteur et démarra la voiture.

"Allez, on va récupérer le grand dadet"

Jill fit un demi tour assez brusque pour retourner à l'endroit où Laurent l'avait vu une dernière fois. Jill était comme une folle et klaxonnait comme une bourrique pour que Lewellyn les repère.

Il fallait qu'ils aillent à l'hôpital le plus rapidement possible. Le major était dans un sale état.

Jill arriva avec Luc à moitié dans les vapes et le plaça à l’avant car derrière, le Major était allongé sur le banquette avec Laurent qui tenait ses jambes surélevées pour que le sang qui lui restait serve aux organes vitaux, dès lors il n’y avait plus de place assise pour Lewellyn, à moins de redressé le blessé par balle, ce qui était une très mauvaise idée.

« Je crois qu’il ne faut pas compter sur lui, aux dernières nouvelles il est en train de papoter avec les rosbifs, on n’a pas le temps Jill, je ne vois personne arriver, il faut y aller avant de se faire canarder »

Contrairement à ce qu’il s’attendait, il eu juste le temps de se cramponner de sa main disponible pour ne pas finir lui aussi allongé sur Merril, cela aurait fait jazzer… Jill venait de démarrer violement pour faire un demi-tour inattendu et se dirigeait vers le centre des échauffourées !

« Jiiiiiiill, mais où tu vas, on va en plein dans ce bordel, le but était de transporter les blessés à l’hôpital, pas à la morgue et nous avec !!!
Bon… Fais comme tu veux, c’est toi qui a le volant, moi ce que j’en dis… Oui vas-y klaxonne dès fois qu’ils n’aient pas encore repérés le véhicule, dommage, il manque des hauts parleurs pour bien leur dire que nous sommes une cible !
Je veux bien qu’on n’abandonne pas les nôtres mais il était en bonne compagnie tout à l’heure et en plus il aurait eu l’occasion de perfectionner son accent. »

Laurent ne savait plus quoi dire, de toute façon Jill était décidée à chercher le grand méchant mou et rien ne semblait l’en faire changer d’avis à part peut être si les policiers se mettaient à canarder la voiture car en l’espace de quelques secondes, Jill devait avoir perdu tous les points de son permis de conduire.

« Si jamais il se pointe, il ne reste de la place que dans le coffre alors il devra faire avec, par contre est-ce que tu vois une poignée près du volant pour ouvrir le coffre de l’intérieur ? »

Maintenant que tout le monde avait embarqué, il ne restait plus qu’à savoir où pouvait se trouver l’hôpital le plus proche, avec un peu de chance le véhicule était équipé d’un GPS, au pire il y avait les piétons pour demander le chemin.

Après quelques minutes de route grâce à la conduite mi-sportive mi-suicidaire de Jill, le groupe était arrivé à l’hôpital où le personnel des urgences s’occupèrent de sortir du véhicule le Major Merril et alors que Laurent sortait à son tour, un infirmier lui demanda ce qu’il s’était passé et qu’il avait besoin d’informations sur l’identité du blessé alors le militaire répondit évidemment en anglais :

« L’escorte de la délégation française vient d’être attaquée, c’est le Major Merril, pour toutes autres questions, veuillez appeler l’ambassade de France, ils prendront les soins en charge, nous devons repartir… »

Il se retourna pour remonter dans la voiture, il n’avait plus grand-chose sur le dos à part un maillot de corps tâché de sang, sa chemise n’était plus qu’un souvenir puisqu’elle s’était transformée en compresse et sa veste de cérémonie était elle aussi pleine de sang à l’intérieur du fait de s’en être servit de couverture. Bref de quoi faire peur aux passant s’il devait sortir dans la rue alors il s’arrêta et demanda juste une minute à Jill et Lewellyn qui devait être en train de voir si Luc pouvait continuer où s’il valait mieux le laisser à l’hôpital rester pour se faire soigner, Laurent rejoignit l’infirmier et lui parla pour revenir avec un pantalon et un maillot d’infirmier dans les mains alors il monta à l’arrière du véhicule pour aller à la recherche du Général Parray.

Le temps de changer de pantalon et de mettre le maillot pendant que Jill s'amusait à prendre tous les nids de poule de la ville pour empêcher Laurent de s'habiller tranquillement, il leur laissa le soinde regardez un peu partout à la recherche d’un signe ou d’une trace laissant penser que le colis à récupérer était dans le coin. Cela n’allait pas être simple car le Général aidée de Stucker faisaient en sorte de se planquer donc le groupe improvisé avait plus de chance de repérer un des assaillant ou les hommes de Dante mais s’ils étaient la, c’était que le Général n'était pas loin.

[HRP : Mais non Iris ne va pas nous tuer parce qu'on ne l'attend pas... C'est que nous on l'aime notre Général alors on veut vite la retrouver ]

Jill sentait l'adrénaline montait. Elle avait toujours aimé conduire avec rapidité mais n'en n'avait presque jamais profité. Maintenant qu'elle allait le pouvoir, elle n'allait pas s'en priver même si à l'arrière, Laurent ne faisait pas le fier. Elle le regarda dans le rétroviseur et lui sourit pour le rassurer. Après tout, Jill pilotait des avions et les voitures n'étaient pas plus compliquées à piloter.

Ils trouvèrent Lewllyn peu de temps après et pour lui faire comprendre où il devait prendre place, Jill actionna la commande d'ouverture du coffre. Même si il n'était pas d'accord, il n'avait pas le choix. Une fois dans le coffre, il fit signe à Jill de redémarrer. Celle-ci ne se fit pas prier et démarra sur les chapeaux de roue, direction l'hôpital.

Il ne leur fallut pas longtemps pour arriver à bon port. Laurent aida les blessés à descendre de la voiture et explique vite fait la situation à l'infirmier qui accueillit les blessés. Après avoir récupérer des fringues, Laurent monta dans la voiture et se changea. Seulement, Jill prenait un malin plaisir à rouler dans les nids de poule de la route ce qui faisait que Laurent avait un peu de mal à coordonner ses gestes.

Il fallait qu'ils trouvent le chemin qu'avait emprunté le Général. Lewellyn était maintenant passé à l'avant de la voiture et sans quitter la route des yeux, elle lui demanda.

"Tu as vu quelle direction ils ont pris ?"