Profitant du joyeux bordèle entre police , MI5 , et DST les soldats du SGC purent s'enfuir de la zone rouge non sans se faire remarquer , manquant d'écraser quelques policiers et essuyant quelques tirs.En quelques minutes ils arrivèrent à l'hopital devant l'entrée des urgences ou ils purent confier le Major Merril au personnel Mèdical.Cette dernière n'avait pas repris connaissance et à voire la quantitée de sang qui macullait les vêtements d'apparats de Laurent ces chances de survie semblaient bien minces.Mais le petit groupe ne perdit pas une seconde et se préparait déjà à venir en aide au général Luc malgré les avis des mèdecins ne voualit en rester là et Laurent avec sa tenue d'infirmier était telment remonté qu'il semblait capable de prendre d'assaut le siège du MI5 à lui tout seul.Lewellyn et Jill était encore remonté à bloc et bien décidé à en découdre.Les restrictions et les bravades du BSPC avait mis tout ce petit monde à cran et maintenant que le temps d'agir était venu les gestes maintes et maintes fois répétés à l'entrainement revenés naturellement et devenait salvateurs tant chacun d'entre eux avait besoin d'action.Jill au volant du Van Blindé repartit donc au hasard des rues cherchant au petit bonheur la chance un indice les mettants sur la piste du général et de son garde du corps.Mais rien ne se profillait à l'horyzon à part peut être comme venait de le remarquer Jill cette berline banalisé qu'elle avait vu en sortant du parking de l'hopital.Elle en était sur c'était là même malgré que ce ne soit pas la même personne au volant.Ils étaient fillés et par des pros.

L'Agent Dante s'était élancé sur la piste du Général et remonté la piste comme le fin limier qu'il était et quel en fut pas sa surprise de dècouvrir le chauffeur du général entrain de s'extraire tant bien que mal du beine à ordure.Ce dernier était encore à moitié dans les vappes et n'arrivait à répondre à Dante que par signe de tête et en maugrèant.Il retrouva la veste du général dans une poubelle une dizaine de mètres plus loin ainsi que celle de son garde du corps.L'Agent Dante commençait à entre voire la stratègie que les deux femmes allaient employés et ils avaient peu de temps devant lui avnat qu'il ne perde leur trace.Elles allaient se fondre dans le décor changé de vêtements de coiffures , de couleurs de cheveux et voyagés certainement en stop.Ils ne disposaient pas de la logistique pour mener une traque en régle en pays étranger , il avait fait appel à l'ambassade pour avoir des renforts mais il serait peut être obligé de faire appel à la D.G.S.E ou au MI5 pour l'épauler.Le MI5 était déjà dans le coup et la D.G.S.E ne tarderait pas à y fourrer son nez si ça n'était pas déjà fait.Alors qu'il réflèchissait à un millions de choses tout en essayant d'imaginer quelles direction avaient bien put prendre le général , il vit de l'autre côté de la rue un van noire banalisé avec au volant Jill Cooper s'arrêter.Il pouvait voire qu'il y avait également d'autre membres du SGC entre autre les membres de la garde d'honneur.

Jill demandait à Lewellyn s’il avait vu dans quelle direction chercher le Général mais il n’en savait rien, tout comme Laurent qui essayait d’éviter les balles en jouant bêtement du démarreur quand Parray devait avoir évacué le véhicule.

Puisqu’ils ne savaient pas où chercher et après quelques secondes à se prendre la tête, il dit :

« On ne sait pas de quel côté, c’est vrai mais on peut procéder par élimination… On était dans une rue à l'approche d'un carrefour, devant les assaillants donc pour moi ce n’est pas possible pour cette direction donc elle est forcement revenu en arrière jusqu’au carrefour précédent que nous avions passé peu de temps avant l’attaque !
Si je me mets à sa place, au carrefour j’aurai bifurqué pour ne plus être en ligne de mire donc soit à gauche, soit à droite, tout dépend du trottoir sur lequel elle était car elle n’allait pas non plus traverser la route pour changer de côté, son but était de se mettre à l’abri.
Sergents, avec vous vu de quel côté de la voiture elle est sortie, rien que cela peut nous indiquer quel trottoir elle a pu longer, je ne pense pas qu’elle soit entrée dans une maison, c’est un quartier résidentiel et les portes sont normalement fermées à clé à moins que les anglais laissent leurs portes ouvertes ! »

Ensuite, Lewellyn avait raison sur le fait que leurs vêtements étaient trop voyants et qu’en changer pouvait être suspect alors il ne tarda pas à donner son avis :

« Peut importe nos fringues, si on nous arrête nous ne pourrons plus rien pour aider le Général alors autant tenter de se fondre le plus possible dans le paysage en changeant de vêtements.
Arrêtes-toi Jill, il y a un magasin de sport qui est ouvert, prenons dix minutes pour nous acheter de quoi être moins voyant, si vous n’avez pas de quoi payer, j’ai ma carte de paiement internationale mais soyez gentille avec elle, je n’ai pas un salaire de ministre.
Est-ce que quelqu’un voit un magasin de téléphones portables, il faudrait s’en procurer car les nôtres sont peut être sur écoute où ont des traceurs comme cela on pourra se séparer pour augmenter nos chances tout en restant en contact »

Il savait que les dix minutes demandées pouvaient être trop long au goût des autres mais à vouloir aller trop vite en prenant trop à cœur cette mission qu’ils s’étaient donnés, les agresseurs risquaient de ne pas avoir de mal à les éliminer. Il était prêt à descendre du véhicule et à continuer seul si jamais personne n’était de son avis, pour lui il était clair qu’il fallait prendre le temps de se préparer pour augmenter les chances de réussite.

De plus, si la jeune femme s’arrêtait, elle allait avoir confirmation de la filature, un plan allait sans doute être nécessaire pour piéger et neutraliser ces poursuivants mais ce serait par la ruse car le groupe ne disposait que d’un MP7 que portait Jill.

Le petit groupe venait de repartir de l'hôpital et Jill conduisait à allure modéré pour ne pas perdre ne cessait ce qu'un seul indice. Comme elle s'en doutait, Lewellyn n'avait pas vu par où le Général avait disparu mais étant donné les circonstances, il n'avait rien pu voir.

Alors que Jill tentait de trouver quelque chose, elle remarqua rapidement dans les rétroviseurs qu'une berline noir les suivait. Ils avaient l'air de savoir ce qu'ils faisaient.

Lewellyn leur proposa de se changer dans un magasin de sport pour éviter d'être trop voyant. Jill acquiesça d'un signe de tête et Laurent lui demanda de s'arrêter devant la magasin de sport.

"Les amis, j'ai le plaisir de vous annoncer que nous somme suivis et pas par des débutants."

Elle fit un signe de tête pour leur montrer la berline qui se reflétait dans les rétroviseurs. Il fallait qu'elle trouve le moyen de se débarrasser d'eux mais pour ça, elle allait devoir conduire d'une manière que les garçons n'allaient certainement pas apprécier.

Jill s'arrêta sur le bord de la route pour voir si la voiture allait en faire autant. Une fois le van arrêté, Jill jet un coup d'oeil sur l'autre côté de la route et elle remarqua Virgile. Celui-ci les avait repérés.

""Costard noir" à 9h."

Jill croisa les bras tout en surveillant les occupants de la berline derrière eux.

Lorsque Jill signala la présence de Dante juste en face, il n’en fallait pas moins pour que Laurent sorte vite fait du véhicule pour mieux voir celui qui était suspect à ses yeux et surtout contrôler la situation plutôt que de se faire amener à lui sur un plateau par la jeune femme qui ne croyait pas qu’il était mouillé.

Une fois dehors, tout en observant pour ne pas se faire surprendre, il dit aux autres :

« Vous faites comme vous voulez mais tant qu’on ne m’apporte pas la garantie que Dante n’est pas l’auteur de cet attentat, plus loin de lui je serai et mieux je me porterai, la situation n’est pas clair alors faisons ce que nous avons appris, ne comptons que sur nous même !
Pour Lewellyn et Luc, je n’ai pas de problème vu qu’ils étaient prêt à agir lors de la réception… Jill de quel côté es-tu ? »

Il lui laissa quelques secondes pour répondre puis se dirigea vers le magasin de sport, il jeta un coup d’œil à gauche et à droite pour ne pas être intercepté et entra pour y faire ses emplettes en espérant que les autres avaient fait de même, tout en imaginant devoir continuer seul si jamais ils ne venaient pas. L’air de rien et malgré sa tenue d’infirmier, il ne se fit pas plus remarqué qu’il ne l’avait pensé, après tout un infirmier pouvait profiter de sa pause pour faire des achats.

Il se choisit un survêtement sombre, sans signe voyant et pas vraiment repérable de loin, des tennis noires toute aussi passe partout et une casquette elle aussi noire avec juste une virgule blanche mais il n’y avait pas trop le choix.

Le magasin semblait le lieu idéal pour préparer la suite, de l’intérieur, il avait une très bonne vue sur l’extérieur et savait qu’il n’y avait pas de micro pour écouter, la mise en position d’un micro à distance aurait été visible et aurait interrompu la discussion, que ce soit avec ses coéquipiers s’ils étaient la ou la jeune vendeuse avec laquelle le courant passait bien et qui l’autorisa après avoir payé, à se changer dans une cabine d’essayage.

Alors il enfila par-dessus son costume d’infirmier, ce nouvel uniforme qui serait celui de la mission spéciale, retrouver le Général sans pour autant conduire à elle Dante et autres types louches. Il ne lui restait plus qu’à sortir par la sortie de secours au fond de la réserve avec l’accord de la charmante anglaise pour aller faire une visite surprise à celui qui suivait le groupe depuis l’hôpital afin de faire connaissance et pourquoi pas lui piquer son arme avant de le mettre dans le coffre et d’avoir une voiture donnant moins l’impression d’être dans une passoire.

Laurent et Lewellyn avait maintenant repéré Virgile. Lewel était remonté comme une pile et il n'avait qu'une seule envie, lui éclater la tronche et lui refaire le portrait. Laurent quant à lui se montrait méfiant. Il ne voulait pas lui faire confiance et à vrai dire, Jill non plus. Mais pour le moment, sa préoccupation première était de se débarrasser des pots de colle qui lui collaient au derrière depuis leur départ de l'hôpital.

Laurent lui posa un ultimatum. Soit elle allait voir Virgile mais seule, soit elle continuait les recherches avec eux. Mais il connaissait très mal Jill. Ce n'était pas le genre de personne à trahir ses camarades. Elle avait promit de les aider à retrouver Parray, ce qu'elle allait faire même si pour ça, elle allait s'attirer des problèmes. Elle regarda Laurent droit dans les yeux et avec un petit sourire en coin, elle lui dit.

"Tu peux compter sur moi Laurent."

Jill fit alors comme si elle n'avait pas vu le geste que lui avait fait Virgile pour qu'elle vienne dans la ruelle. Contrairement à ses camarades, elle n'eut pas besoin de se changer car elle ne portait plus sa tenue de cérémonie. Elle cacha la MP7 dans son dos et descendit de la voiture. Il fallait trouver une diversion pour se décoller les boulets. Jill chuchota aux garçons.

"Si vous avez une idée pour qu'on ait plus les pots de colle, je suis toute ouïe."

(HJ : je fais court, j'ai très peu de temps aujourd'hui.)

Ils étaient quatre et le resteraient, une bonne nouvelle pour chercher efficacement sans s’isoler. Pendant que Jill surveillait les abords, les garçons se changeaient dans le magasin, laissant en attente sa question.

A l’intérieur, l’opération se préparait et Lewellyn proposait d’acheter des battes, juste de quoi commencer à faire vraiment peur à la vendeuse.

« Heu… Tu vas lui faire peur, déjà que c’est louche de se changer sur place et de vouloir sortir par derrière… Ok va chercher deux battes pendant ce temps la je lui explique notre situation sinon elle va appeler les bobbies »

Il ne restait plus qu’à espérer qu’elle comprenne et croit à cette histoire que les détonations qu’elle avait entendue la rendait possible ou pouvait laisser penser à complètement autre chose. Luc, dans son état était chargé de rejoindre Jill l’air de rien et de lui dire d’attendre cinq minutes le temps que Lewellyn et Laurent fassent le tour pour arriver discrètement par derrière alors que la jeune femme et le Sergent Daving devait attirer l’attention des poursuivants sans pour autant les rendre méfiants.

Laurent avant de sortir dans la rue parallèle prit le soin de glisser sa batte dans sa manche avant de se mettre à courir d'une façon étrange avec un bras raide du fait de l'objet caché, suivant le Sergent Drogon pour parcourir la distance jusqu’au prochain carrefour qui devait leur permettre de rejoindre l’endroit où devait avait lieu un spectacle de rue que les passants ne devaient pas avoir l’habitude de voir, il fallait aussi espérer que la police ne passe pas par la.

Il était en position, cacher derrière une voiture, prêt à foncer vers le côté conducteur pour maitriser ces inconnus suspects. C’était à Jill et Luc de jouer…

Jill attendait à côté du van que les garçons aient fini de se changer. Les deux guignols de la voiture étaient toujours là et elle sentait leur regard braqué sur elle. Alors qu'elle regardait sa montre, Luc vint la rejoindre et lui chuchota qu'ils devaient se charger de faire diversion pendant que Laurent et Lewellyn allaient attaquer les poursuivants par surprise.

Ils étaient bien gentils mais Jill ne voyait pas quoi faire comme diversion. En plus, Luc était blessé et elle n'avait aucune envie de lui faire encore plus mal. Une idée lui traversa la tête mais elle ne savait si Luc allait apprécier. Et si jamais John l'apprenait, il n'allait sûrement pas apprécier. Mais c'était pour la bonne cause. Jill fit comprendre à Luc qu'ils allaient faire en comme si ils se baladaient sur le trottoir et lorsqu'ils arriveraient au niveau de la voiture des pots de colle, Jill allait donner à Luc un baiser de comédien enflammé contre leur voiture.

Une fois que Luc lui donna son accord, lui et Jill avancèrent sur le trottoir. Lorsqu'ils arrivèrent près de la voiture, Jill attrapa Luc et elle le plaqua contre la portière du conducteur.Elle l'embrassa d'une façon qu'elle n'aurait jamais pu soupçonner de faire avec un autre que John.

*Allez les gars c'est le moment !!!!*

Si Lewellyn et Laurent devaient agir, il fallait qu'ils le fasse maintenant. Les deux bonshommes bavaient presque devant la scène qui se présentait à lui et plus rien ne semblait pouvoir les arrêter de lorgner Jill.

Laurent qui avait décidé de s’occuper du passager devait longer les véhicules garés le long du trottoir et la diversion de Jill était parfaite car elle masquait le rétroviseur donnant sur son côté donc il avait peu de risque de se faire repérer. Lewellyn de son côté devait aussi trouver le moyen de remonter son côté vers le conducteur sans que les types ne voient du mouvement dans le rétroviseur donnant côté route, le moyen le plus simple était sans doute de suivre une voiture en circulation en se baissant au maximum mais allait-il en avoir l’idée à moins qu’il trouve une de ses idées tordues qui font ce qu’il est au yeux de Laurent, un gars pas toujours compréhensible et parfois instable mais qui cherche à faire du mieux qu’il peut et ne lâche rien.

Tout était prêt, la batte de Cricket dans la main gauche, Dès que le scientifique s’élança, c’était le top départ de l’opération "Aujourd’hui exceptionnellement ce sont les soldes… Moins trente pourcent sur les vitres des voitures"’, le militaire fit de même jusqu’à ce que Jill et Luc s’écartent de la porte pour le laisser éclater la vitre avant grâce à sa batte. La surprise était totale, les occupants de la voiture eurent juste le réflexe de tourner la tête pour se protéger des éclats de verre avant de vouloir voir ce qu’il se passait, très mauvaise idée puisque Laurent avait ouvert la portière alors le passager se ramassa un coup de poing dans la figure qui le fit tomber dans les bras de Morphée.

« Hum, pas très résistante cette chose la !
Désolé Jill, tu devras rouler les vitres ouvertes… Au fait la prochaine fois c’est moins qui fait diversion avec toi ! »

Le militaire récupéra le pistolet et le téléphone portable de son nouvel ami appelé "Punching ball" et ouvrit le coffre, il ne restait plus qu’à voir s’il y avait des armes pour les prendre. Puis il donna son avis sur la suite car ils n’avaient pas le temps de jouer les babysitteurs avec leurs prisonniers.

« Voici mon idée, si on nous colle au cul c’est qu’ils n’ont pas encore mis la main sur Parray, au fait Jill, mets ma casquette, tu comprendras plus tard si ça fonctionne comme je l’espère… Et le téléphone pour vous Sergent Drogon si vous pouvez voir s’il a un traceur…
Oui donc Lewellyn et moi déposons en voiture nos deux amis à Dante en prenant le soin qu’il ne refuse pas le cadeau et qu’il n’ait pas le choix de nous laisser repartir pendant que Jill et Luc nous rejoignent à pieds pour palier à un éventuel souci avec cet abruti puis on part tous en voiture afin de tourner dans le quartier pour repérer les assaillants car je ne crois pas qu’on trouvera le Général, c’est elle qui nous trouvera car elle doit être planquée mais doit observer de sa position… Pour cela il faudra bien plus que nos quatre tronches pas très visibles dans cette caisse alors à part peindre sur le toit quelque chose comme un code et le numéro de notre nouveau téléphone qu’elle comprendra comme le message venant d’alliés, je ne vois pas quoi d’autre »

Laurent cherchait des solutions mais il ne pouvait pas tout faire tout seul alors d’autres idées étaient les bienvenues, il avait la stratégie dans le sang mais pas la science infuse alors il comptait sur Lewellyn pour trouver des moyens scientifiques pour les aider dans cette recherche qui risquait de durer longtemps, il comptait aussi sur Jill et Luc pour le contredire si jamais son plan était trop foireux et en proposer un autre.

[HRP : Non je ne me suis pas fait tatouer sur le corps le plan du quartier... J'ai pas le temps, mon esprit glisse ailleurs ]

Après cette petite séance de sport, Laurent réalisa que la voiture allait moins bien marcher maintenant, en tout cas ils allaient sentir la fameuse bruine anglaise et gouter aux moucherons locaux.

« Vu l’état du véhicule, il passera encore moins inaperçu que l’autre, laissons nos belles au bois dormant dans celui-ci et prenons plutôt la passoire et puis finalement je pense qu’il vaut mieux ne pas approcher Dante sinon ses sanctions seront encore pire qu’elles ne vont l’être si vraiment il n’est pour rien dans cette attaque et qu’on le braque pour se barrer !
Jill, toujours partante pour conduire notre ancien carrosse ? »

Il avait emporté ce qui pouvait lui servir comme le pistolet et les quelques chargeurs de sa victime du jour, sans oublier ce qu’il avait trouvé dans le coffre, des types comme ça devaient bien avoir des choses intéressante avec eux comme de l’équipement ou des armes pour pouvoir remplir leur mission.

Une fois dans la voiture où il monta à l’arrière, il s’adressa de nouveau à ses coéquipiers d’un jour :

« Jill, si tu veux le pistolet, ce sera plus pratique si tu dois tirer en étant au volant et moi à l’arrière j’aurai plus de facilité à me servir du MP7, c’est comme tu veux. Mieux vaut ne pas rester dans le coin avec le bazar qu’on a mit trouvons-nous une petite rue tranquille pour que je m’occupe de rendre la voiture repérable par notre colis !
Sergent Daving, est-ce que ça va, vous tenez le coup ?
Sergent Drogon, avez-vous le numéro de ce téléphone, il me le faut, c’est notre seul moyen d’être contacté si le Général nous voit »

S’éloignant de la zone et se dégotant une petite rue calme, Laurent descendit du véhicule avec un gros rouleau de ruban adhésif, une chance qu’il était marron, il allait se voir sur la peinture noir, alors le militaire grimpa pour s’allonger sur le toit, commença à découper et coller des morceaux pour former deux lettres, d’abord un S puis un G, la seule chose qui manquait était le numéro alors il glissa un peu en avant pour voir ce que fabriquait le scientifique dans l’habitacle… MacGyver à côté était un amateur comparé à ce que bricolait le grand loufoque, ce qui fit se soulever les sourcils de Laurent dans un regard interrogatif avant de tapoter sur le pare-brise comme pour lui rappeler qu’il attendait quelque chose.

Virgile n'eut pas attendre pour que le chauffeur se mette à table mais ce qu'il apprit le laissa circonspect car il en était certain l'homme qui se trouvait en face de lui ne lui mentait pas.Et pourtant ce dernier affirmait avoir reçu l'ordre direct de sa part d'abbattre le général car la situation était intenable.Cette hsitoire sentait de plus en plus le roussi, et l'agent Dante avait dee plus en plus de mal à entrevoire les ramifications entre les diffèrentes parties.Il restait également l'éventualitée que l'homme soit bien meilleur comèdien, qu'il n'était spècifié dans son dossier.Mais virgile en doutait fortement quand à savoir si il devait prévenir le MI5 et la D.G.S.E. il ne savait pas trop.Il y avait de quoi se sentir oppréssé et pris au piège quelque soit la solution envisagée.C'est alors qu'il vit un convoi compopsé de deux hummers encadrant une 607 s'arrêter du même côté de la rue ou il se trouvait.



A l'hotel Rakel avait vu l'agitation des hommes de l'Agent Dante et elle était avec eux quand ces derniers avaient trouvés le corps d'un des gardes criblés de balles.Il y avait également un autre garde qui était bine aml en point du partir en ambulance pour l'hôpital, apparemment il avait fait une malheureuse recontre avec un énorme bout de bois.Selon les hommes de Dante deux vèhicules avaient disparu et ils n'avaient plus à rentrer en liaison avec ce dernier.Décidèment cette histoire sentait mauvais et Rakel se sentait impuissante tout comme les hommes de Dante.Surtout que les hommes de Dante ne voulaient pas lui dire ce qui se passait mais pas besoin d'être sorti de saint-cyr pour deviner que cela avait un rapport avec le général.Alors qu'elle était à rèflèchir aux solutions qui s'offrait à elle une 607 noire blindé encadré par deux hummer s'arrèterent en face de l'hôtel.De la voiture de tête descendit un homme, habillé d'une veste en cuir noir d'un simple jean et d'une chemise noire, qui se dirigea directement vers Rakel et salua cette dernière à la manière des militaires, tout en montrant sa carte aux hommes de Dante sans même prendre la peine de les regarder.Sur cette dernière il était marqué qu'il était capitaine de l'armée de terre française détachée à la D.G.S.E. et qu'il s'appellait Antoine De la Motte Piqué.

"Votre rapport sur la situation Adjudant Peleonore."

L'homme écouta attentivement chacune des paroles ne prenant même pas garde aux regards acides que lui lançaient les hommes de la DST.Une fois qu'elle eut finie comme si cela était naturelle il lui donna un ordre simple.

"Suivez moi."

Alors que l'un des hommes de Dante allait l'ouvrir le capitaine le coupa sur sa lancée.

"N'essayez même pas de l'en empêcher.La dernière chose que vous souhaitez c'est obliger mon supèrieur à descendre de son vèhicule."

Cela dissuada l'agent de la DST car non seulement la situation était border, mais en plus il n'avait plus de nouvelles de son propre supèrieur.En plus le capitaine avait l'air de lui faire une fleur en lui permettant de ne pas à avoir à faire à son supèrieur.Le simple fait de se mettre dans la situation inverse avec Dante dans la 607 l'homme se dit qu'effectivement le capitaine lui faisait une fleur.Quelques secondes plus tard Rakel était à l'arrière du hummer de tête, qui tenait plus de la salle de commande du SGC que du vèhicule d'assaut, avec trois autres hommes.Celui qui était à côté d'elle était entouré de quatres écrans ordinateurs fixaient à l'habitacle et lançaient des informations à ces colègues.

"Le major Merril vient d'être admise à l'hôpital saint Quentin et elle est dans la salle d'opèration numèro 3.La baronne est en direction du même hopital.Le colis et son kevlar vienne de prendre le bus.J'ai localisé les cow boys ils sont pistés par deux indiens."

Tandis que l'homme faisait un drôle de rictus Rakel put voire que ce dernier avait un micro oreillette fixait à l'autre oreille.

"J'y travaille Colonel."

Apparemment ce dernier était en liaison avec son supèrieur et à voire la tête qu'il avait fait quand ce dernier lui avait parlé le capitaine avait vraiment une fleur à l'homme de Dante.Moins de trente seconde plus tard l'homme donnaiit une réponse.

"MI5 Colonel."

Pendant ce temps le capitaine qui était monté juste devant Rakel se retourna et enleva les pression qui retenait le cache en cuir qui se trouvait sur son siège juste devnat Rakel.Cette dernière y trouva un gilet pare-balles, un P90 avec deux chargeurs et la même oreillette que l'informaticien.

"Les cow boys se sont occupés des indiens apparements pas de mort d'aucun côté.Je viens de retrouver l'épervier.La baronne vient d'être récupérer et elle en partance pour l'ambassade."

Rakel avait mit et allumé son oreillette quelques secondes trop tard pour entendre les ordres du Colonel mais le reste des hommes semblaient plus que près pour cette opèration et c'est en choeur qu'ils répondirent.

"A vos ordres."

Moins d'une minute plus tard le convoi arriva sur zone à vive allure et Rakel put reconnaitre sans mal, l'Agent Dante.Le Capitaine se retourna vers Rakel.

"Descendez lui parler ça passera mieux si cela vient de vous plutôt que de nous."



Les soldats du SGC dans leur ruelle était entrain de bricoler dieu seul savait bien quoi.Mais la question était dans toutes les têtes comment retrouvés le général avec leur maigre moyen.

Je me demandais encore comment tout ce bordel avait pu se passer alors que nous rendions hommage à un collègue. Je me sentais parfaitement inutile au milieu des hommes de Dante qui refusaient de me dire quoi que se soit. Bien sûr, j'aurais pu m'énerver, les menacer, mais ça n'aurait pas changer quoi que se soit. Nous avions un cadavre sur les bras, et ce n'était pas beau à voir, il était criblé de balles, sans parlé du blessé qui partait en direction de l'hôpital dans un sale état. Il n'y avait pas à dire, l'ambiance à l'hôtel était explosive. Par réflexe, je posais ma main à l'emplacement habituel de mon Beretta mais en vain, nous n'avions pas eut le droit d'emmener notre équipement, et mon inquiétude pour le général était grandissante, je savais qu'elle était dans de bonnes mains avec MickaËlla, mais comme tout le monde, elle était humaine, et je doutais fortement que Dante ne fasse dans la dentelle, quitte à se mettre tout les hommes du SGC à dos, enfin juste un peu plus que maintenant. Mais je n'eus pas plus de loisir de me poser des questions, une 607 noire accompagnée de deux Hummers venaient de s'arrêter devant l'hôtel, étrangement, j'étais soulagée, visiblement l'armée Française reprennait le contrôle de la situation. Un homme habillé en civil s'approchait de moi et me saluait à la manière militaire, et bien évidement je fis de même, ignorant les hommes de Dante à côté de moi, la carte qu'il m'avait présenté était plus que rassurante, il s'agissait bien de l'armée Française.

Ignorant toujours les regards des hommes de Dante, je fis mon rapport sans rien oublier, Dante était actuellement le dernier de mes soucis, et de toute façon, l'armée devait tout savoir si elle voulait prendre les choses en main. Finalement lorsque j'eus terminé, il m'ordonnait de le suivre, se que je fis avec plaisir, rester dans cette atmosphère tendu ne me plaisait pas, surtout entouré des hommes de Dante, d'ailleurs il fallut que l'un d'eux essaye de protester, quelle bande d'emmerdeur ! Enfin le capitaine lui clouait le bec, et nous partîmes en direction du Hummer de tête. Il s'agissait d'un sacré engin, plus proche d'une base militaire à lui seul que d'un véhicule. Avec attention j'écoutais les informations qui étaient donné sur les gens de la base, un peu inquiète, mais ça je ne pouvais pas le montrer, restait que j'aurais bien aimé savoir où se trouvait Matt à cet instant précis, enfin ce n'était pas le moment je devais rester concentrer. En observant les hommes se trouvant dans la bête, je remarquais qu'ils portaient un micro oreillette, sans doute en liaison avec l'homme dans la 607 blindée qui ne semblait décidément pas être un ange.

Le capitaine qui se trouvait devant moi, se retournait, dévoilant du matos. Il faut dire qu'à ce moment, rien ne m'aurait réellement fait plus plaisir que ça. J'enfilais rapidement le gilet par balle, rangeant mes chargeurs, et passant la sangle du P90 autour de mon cou. Là c'était déjà mieux. Il restait l'oreillette, mais je la mis trop tard, et donc n'entendis pas les ordres du colonel, enfin je m'en passerais, pour le moment je retrouvais mon élément et c'était déjà pas mal. Moins d'une minute plus tard, nous arrivions sur la zone, laissant apparaître Dante, à qui je devais aller parler. Je n'étais pas franchement convaincu qu'il prendrait mieux les choses si c'était moi qui lui annonçais, mais hors de question de discuter.

"Bien, capitaine."

Je sautais du Hummer, marchant d'un pas décidé en direction de Dante, tout en me demandant se que pouvait bien foutre mes collègues, légèrement rassurée de savoir que la baronne allait retrouver la sécurité de l'ambassade Française.

"Agent Dante."

Je ne fis pas de cérémonie, pas besoin, il n'y avait qu'à voir mon air froid et mon P90 serrer contre ma poitrine pour voir que j'étais tendu.

Lewellyn lui indiqua qu’il ne pourrait se servir du téléphone car il fabriquait un brouilleur donc l’idée de Laurent tombait à l’eau alors il en resta aux deux lettres avant de répondre au scientifique qu’ils allaient ratisser les rues en voiture mais qu’il y avait plus de chance que ce soit le Général qui les voit plutôt que l’inverse mais il n’eut pas le temps de poursuivre son explication que le véhicule bougeait.

*Mais qu’est ce qu’elle fout*

Laurent ne mit pas longtemps à tapoter sur le toi quand Jill démarra, il se demanda si elle ne l’avait pas déjà oublié et heureusement s’arrêta pour le laisser descendre et prendre place à l’arrière où il serait bien plus à l’aise qu’à tenter de s’agripper et de risquer de tomber à chaque virage de la ténébreuse conductrice. Il dit en rigolant :

« Mais t’es pas bien toi !
Tu voulais te débarrasser de moi ou quoi… Tu cherches à éliminer les témoins de ton baiser fougueux ?! »

Ca va que la plaisanterie avait été assez courte alors ils pouvaient passer au quadrillage du quartier en espérant que le Général allait se montrer ou au moins qu’ils pourraient éliminer la menace qui pesait sue elle. Maintenant il se posait la question de savoir quel objet miracle le scientifique avait pu fabriquer :

« Sergent Drogon, a quoi sert votre téléphone si on ne peut plus téléphoner ? »

Je ne laissais rien paraître en voyant Dante la main coller dans sa sacoche, il était clair que monsieur était armé alors que ça nous avait été interdit, décidément, il avait tout pour plaire ce mec. Je restais parfaitement neutre, malgré la situation, après tout j'étais armée comme Rambo dans un pays qui n'était pas le mien, mais après tout je suivais les ordres. Par contre Dante ne semblait pas au courant, mais finalement sans attendre mes réponses, Dante m'ordonnait de remonter en voiture, pas de soucis pour moi, j'aimais autant rester en compagnie de mes nouveaux petits copains plutôt qu'à côté du fou de la gâchette.

Aussi je me retournais et retournais à ma place dans la voiture, suivit de Dante, et du pauvre chauffeur qui se faisait bousculer, je me demandais bien se que Dante avait dans le crâne mais ce n'était pas le genre de réponse que j'obtiendrais par l'intervention du saint esprit. Je me serrais à l'arrière pour laisser de la place à l'arrière, mais le véhicule restait confortable.

"Pour répondre à votre question, je peux aller leur parler, ils se calmeront si ils savent que Parray est en sécurité, mais je n'ai aucun moyen de les contacter."

Je laissais le capitaine se présenter, après tout il était assez grand comme ça.

Il fallut se serrer à l'arrière du Hummer pour que tout le monde puisse loger, et l'homme de Dante semblait de plus en plus perdu dans ce mic-mac.Rakel informa aussitôt qu'elle pourrait certainement les calmer si ces derniers savaient que le gènèral était en sécurité, ceux à quoi le capitaine ne tarda pas de répondre.

"Ca n'est pas si simple.Il est facile de retrouver vos potes mais on est entrain de perdre le général et il plus important de retrouver le général.Ce qui serait certainement déjà fait si nous n'avions pas eu à récupérer une cible hautement prioritaire qui ne doit pas tomber entre les mains d'un service de renseigement étranger."

Il en faisait aucun doute que le capitaine, faisait allusion à Dante qui en savait aussi long qu'elle sur le SGC et certainement plus long sur pas mal de chôses dont certaines devaient être ignorés de pas mal de gens.Ce fut cet instant que choisit l'informaticien pour les interrompre.

"Je viens de perdre le général Capitaine.Elles ont pris le mètro enfin je crois."

Il s'agissait d'une sacrée mauvaise nouvelle et sur le champs le capitaine donna ordre à son convoi de se diriger vers l'impasse ou se trouvait le reste des membres du SGC.Il ne répondit à aucune de ces questions et ne prit même pas la peine de répondre à la moindre de ces menaces.Le convoi roulait pleins tubes dans les rues d'oxford se souciant de moins en moins des feu et du code de la route.Un van denait de rejoindre leur convoi quand le hummer s'immobilisa dans une impasse.Le capitaine se retourna vers Rakel, avec un regard tout aussi assassin et froid que celui de Dante.

"Je vous donne un chance de les ramener à votre manière après c'est moi qui m'en charge."

Le "m'en charge" du capitaine promettait d'être assez expèditif si Rakel ne se montrait pas convaincquante.

Serrée à l'arrière du Hummeur, je restais concentrée, serrant mon P90 sur ma poitrine j'écoutais se qu'il se passait, n'aimant pas vraiment se qui arrivait à mes oreilles. Comment ça ils avaient perdu le général ! J'espérais au moins qu'elle était toujours en compagnie de MickaËlla, c'était l'un des rare truc qui pourrait me rassurée, parce qu'en présence de mon seconde, elle ne risquait pas grand chose. Par contre comment voulait il que je me démerde pour les ramener en annonçant que la seule personne en sécurité se trouvait Dante, l'homme à abattre pour mes petits rambos. Franchement ils auraient mieux fait de ramener Parray et d'abandonner Dante plutôt que l'inverse, ça aurait arrangé tout le monde, surtout que face à toute logique Dante était sensé pouvoir résister à la torture et autre, vu se qu'il nous demandait, mais ce n'était pas le moment de discuter de ça.

Je serais les mâchoires en entendant les paroles de l'informaticien, c'était le genre de nouvelles dont je me serais bien passée, ça ne remontait pas le moral des troupes. Enfin je continuais à me rassurer en me répétant qu'elle était probablement avec MickaËlla et donc en sécurité. Le convoi prit alors la direction de l'endroit où se trouvait des membres du SGC, j'espérais de tout coeur qu'il s'agissait de personne que je connaissais bien, sinon ça serait d'autant plus difficile de les convaincre de rentrer à la maison. Si Dante ne pouvait s'empêcher de parler, moi j'étais silencieuse, me demandant comment allait se passer le retour au bercail. Et même si le convoi secouait ses passagers, je n'y prêtais pas la moindre attention, restant silencieuse, et calme, du moins pour le moment. Puis finalement il s'immobilisa.

Le regard froid du capitaine ne me dérangeait pas, je commençais à avoir l'habitude avec Dante, et de toute façon, ce n'était pas le premier supérieur soupe au lait que je croisais. J'acquiesçais d'un signe de tête, espérant que les membres du SGC se montreraient conciliant.

"Bien."

Sans plus attendre, je sortis du Hummer, et pris la direction supposée de mes collègues, mes mains sur mon P90, croisant les doigts pour réussir à les convaincre. Lorsque j'eus enfin atteins leur position, je ne pu m'empêcher de froncer les sourcils en voyant à quoi les membres du SGC c'était amusé. Je poussais un dernier soupire et m'avançait un peu plus vers eux.

"Dante n'a plus aux commandes des événements, l'armée de terre Française à envoyé des troupes compétente et à mon avis ça vaudrait mieux que de jouer aux rambos."

Je fis une légère pause, et décidais d'utiliser se que je savais.

"D'après les renseignements, Constance se trouve dans le métro, mais personne ne va vous laisser y aller seuls, le mieux reste encore de rejoindre les forces envoyer par l'armée pour retrouver Constance, leurs matériels est plus..."

Je fis une pause observant se que mes collègues avaient fait. Décidément si ils ne passaient pas pour fou avec ça ils auraient de la chance.

"Plus sophistiqué."

Laurent attendait bêtement une réponse de Lewellyn concernant l’objet mais devant ce silence, il commençait à douter et qu’ils perdaient leur temps, Parray pouvait être n’importe où et y aller au petit bonheur la chance ne servait à rien alors contre toute attente il dit :

« Tout ça pour rien, on a échoué, j’espère qu’elle a réussi à s’échapper… Attention du monde approche ! »

Un hummer s’arrêta au début de la rue, Laurent était planqué derrière ce qui restait de la voiture en attendant de voir la suite, le MP7 prêt à servir si jamais c’était encore une attaque.
Il fut surprit quand il entendit parler que c’était l’Adjudant Peleonor, le bras droit de Parray, devait-il avoir confiance ? Le fait qu’elle explique la situation calmement plutôt que d’hurler pour leur dire d’arrêter les conneries était un bon point et Laurent se releva, tenant devant lui le pistolet mitrailleur par le canon pour montrer qu’il n’était pas hostile.

« Mon Adjudant, je suis content de vous voir je veux bien vous croire quand vous dites que leur matériel est meilleur ! »

Laurent avait tourné la tête vers le scientifique avec un regard sombre comme pour souligner sa dernière remarque.

« Comment ça se passe maintenant, qu’est-ce qui est prévu pour nous ? »