Les deux équipes continuaient leur traque silencieuse, Alpha avait au compteur 2 équipes tandis que Bravo en avait 3.Une légère avance qui serait bien dure à rattraper étant donné que si ils n'avaient pas trouvés les autres c'est qu'ils s'étaient mieux cachés, ou étaient plus discrets dans leur déplacement.Qui plus est il ne restait que 3 binôme en lice et ce qui voulait dire que pour être sur de gagner les louves devaient tous les attraper sans exception.Mais de nouveau la voix du major brisa le silence nocturne et cette fois-ci ça voix n'avait plus le même ton enjoué c'était à croire qu'il venait d'apprendre une très très très mauvaise nouvelle.

//Alpha Bravo.Ordre prioritaire.Regagnait votre point d'insertion vous avez vingts minutes.Alors perdez pas de temps.//

Ce dernier n'avait pas perdu de temps en explication, qu'il lui avait semblé inutile, et malgré le fait qu'il avait été plutôt sympa il n'avait pas du avoir sa place au SGC sur se simple critère et il devait pouvoir se montrer tout aussi peau de vache qu'Hartman sans parler que si ce dernier était inquiet cela devait être pour une foutue bonne raison quand on pensait que leur périple à bord du DC10 l'avait fait marré.Les deux groupes se mirent donc à cavaler à travers la nuit noire en direction de l'endroit ou ils s'étaient posé sans essayer de se dissimuler.

Après une course effrénée dans la campagne française les deux groupes purent se retrouver sur le point d'insertion.Chacun d'entre eux était essouflée, mais tout le monde restait silencieux et personne n'osait demander ce qui se passait.Est ce que ça faisait partie de l'entrainement?Une sorte d'évaluation?Allez savoir avec les instructeurs du SGC.Le bruit caractèristique d'un hèlicoptére se fit entendre et chacun des soldats put reconnaitre sans peine un PUMA.Un hèlicoptére utilisait pour le transport rapide de troupes, et alors que ce dernier était à quelques centimètres du sol en stationnaire, ils virent une forme qui ressemblait au major leur faire signe de s'approcher.En montant à bord de l'hèlicoptére ils purent remarquer qu'un calibre 50 et son artilleur était installé du côté opposé ou ils montaient et ce dernier aussi semblait chargé réel.Dans le fond de l'hélico il y avait d'autres sacs, et à peine furent ils montés à bord que le major fit signe au pilote qu'ils pouvaient repartir.Le major se retourna pour leur faire face et une chose inquiéta l'ensemble des soldats présents.Le major était équipé de pied en cape pour aller au combat.Du regard il embrassa la cabine de son regard bleu acier, il se tenait devant les soldats, une main sur une poignet de la cabine et les pieds fermement ancrés au sol malgré la vitesse qui parut excessive à Rakel pour un simple exercice.

En entendant la voix du major MickaËlla sut tout de suite qu'un truc n'allait pas mais elle ne dit rien se contentant de regarder Rakel sans enfreindre la consigne de silence.Sur ordre de cette dernière les trois jeunes femmes se mirent à cavaler à grandes enjambées à travers la forêt puis à travers la plaine pour rejoindre leur point d'insertion.Mais durant tout ce temps l'esprit de MickaËlla ne cessait de s'interroger sur la raison de cet appel.Est ce que c'était encore un exercice ou bel et bien une situation urgente?Et si il s'agissait d'une situation urgente de quoi s'agissait t'il?Le SGC était peut être attaqué ou placé en quarantaine ça ne serait pas la première fois que cela arriverait.Ou plus simplement une facétie de Dante qui souhaitait voire rentrer illico presto ces troupaillons au bercail.

Quoi qu'il en soit la situation la turlupinait et elle ne pouvait s'empêcher de scruter d'ici de là soupçonnant une attaque surprise d'un groupe quelquoncque qui serait lui aussi venu s'exerçait sur eux et rire de leur imprudence.Mais MickaËlla ne se laisserait pas prendre aussi facilement que ça si on essayait de la capturer et celui qui essaierai avait intérêt de connaitre son affaire.Mais alors que le groupe Alpha arrivait au point d'insertion en même temps que le groupe Bravo le bruit caractéristique d'un PUMA se fit entendre.Ce dernier fit du surplace à quelques centimètre du sol et le major les invitaient à force de grand geste à le rejoindre.Si c'était prévu de l'entrainement c'était peut être un peu trop, si c'était pour un engagement réel ça devait être du lourd.MickaËlla laissa donc les deux groupes montés à bord alors qu'elle s'assurait que personne dans son champs de tir en s'en prendrait à l'hèlico une fois le dernier homme à bord elle se dirigea vers ce dernier et grâce à la poigne de fer du major elle fut à bord en un rien de temps.L'hèlico ne tarda pas à reprendre de l'altitude et à prendre une vitesse honorable, qui semblait standard à une MickaËlla habitué au mission héliporté rapide.

Fière comme tout d'avoir réussit à attraper ce binôme, je repris ma chasse avec mes deux collègues. Bravo avait peut être de l'avance, mais peu importait, nous étions douée et surtout, nous tout ceci semblait si naturel. Nous étions des chasseuses nées, des animaux sauvages, peut être que ça pourrait effrayer certaines personnes, mais pour nous, il s'agissait d'un compliment. Je ressentais un grand plaisir à agir ainsi, c'était une vraie libération après l'enfermement au SGC mais aussi la mission qui ce n'était pas passé au mieux, si je pouvais dire ça ainsi. Alors que nous étions repartis à la chasse et que Bravo avait récupérer un autre binôme, la voix du major raisonna à nos oreilles. Je ne pus que froncer les sourcils pourquoi ne pas donner d'explications, et surtout pourquoi ne pas nous laisser terminer notre exercice? Après avoir confirmé que nous avions bien reçu l'ordre, puis après avoir fait signe à mes collègues, nous fîmes demi tour en courant, rejoignant notre point d'insertion à toute vitesse.

Dans le noir, nous retrouvâmes le groupe Bravo, qui se posait visiblement autant de questions que nous et qui n'avaient pas plus de réponses. J'étais un peu essoufflée, mais rien de terrible, j'étais surtout perturbée par le manque d'information. Pendant tout le trajet, je ne pu que me poser bon nombres de questions soulevées par le ton du major. Je me demandais se qu'il se passait, j'étais d'ailleurs légèrement inquiète pour le SGC, même si en soit les membres de la base avaient toujours réussis à s'en tirer jusque là, ils y arriveraient bien sans nous. Prudente, je restais sur mes gardes lorsqu'un ronronnement attira mon attention. Un PUMA j'en aurais mis ma main à couper, ce bruit était si particulier. Je fronçais un peu plus les sourcils avant de monter dans l'engin qui faisait du surplace à quelques centimètres du sol. Je grimpais dans l'engin, grimaçant légèrement face au calibre 50 et l'artilleur, c'était pas un peu abusé là? Et encore, je n'étais pas à la fin de mes surprises, l'hélicoptère s'élançait dans les airs, à une vitesse excessive à mon goût, je commençais à me demander si nous étions toujours en entraînement ou si ça c'était transformé en véritable mission. Il faut dire que le regard inquiet du major n'arrangeait pas les choses, surtout que pour lui la balade dans le vieux carlingue avait été une balade de santé.

le brieffing que venait de faire le major était on ne peut plus sérieux et ne laisser pas de palce à la fanfaronnerie ou quoi que se soit qui fut drôle.L'ambassadeur des étas unis venait de se faire attaquer par on ne savait qui et il se trouvait dans une bien méchante posture et ils devaient voler à son secours mais pour réaliser cette mission on ne leur donnait aucun moyen.Comme toujours les politiques pensaient qu'avec de l'audace du courage de la technique et de l'astuce on arrivait à bout de tout.Mais aussi astucieux que l'on soit on ne chargeait pas une arme à coup de malice et on ne tuait pas un terroriste à coup de cri de guerre si fort soit il.Ils allaient donc devoir faire avec les moyens du bord et se débrouiller avec ce qu'il y aurait sur zone pour remplir cette mission qui si bien sur foiriait dans les grandes leur seraient totalement reproché.Ente autre une journée merveilleuse se présentait au groupe de combat nouvelle formé, d'ailleurs le major tenait à ce que chacun se choisissent un nom de guerre.En entendant ses camarades choisir des noms de guerre qu'il n'avait certainement pas porté dasn leurs anciennes unités MickaËlla réfléchit quelques secondes et il lui vint une idée qui ne pourrait que lui porter chance.Elle fit un grand sourire au major et annonça son nom de guerre.

"Cardinal."

Il s'agissait là d'un nom de guerre de son ancien patron, cela ne pourrait que lui portait chance.Une fois ceci fait MickaËlla décida de manger un morceau et de boire un coup avant de débarquer sur la zone.Avec un peu de chance elle arriverait à voler quelques minutes de sommeil avant d'avoir à se mettre en marche.Elle embrassa du regard la cabine de l'hélico pour émmoriser une fois pour toutes les noms de guerre de ses camarades, puis elle entreprit de continuer de restaurer ses forces avant de boire un coup.Une fois ceci fait elle ferma les yeux essayant de penser à autre chose que la mission qui les attendaient espérant aisni trouvé un peu de repos pour son esprit et son corps.

Je fixais le major, l'observant pour voir si l'un de ses geste trahissait ce qu'il se passait réellement, mais mis à part l'inquiétude, rien ne transparaissait sur son visage. La vitesse de l'hélicoptère me forçait à penser que quelque chose de grave était arrivé, d'ailleurs j'étais énervée de ne pas savoir quoi. Puis finalement le major se décida à parler et ce fut avec un frisson causé par une décharge d'adrénaline qui se mêla à mon sang. Il était clair que le Major ne plaisantait pas, à moins qu'il nous ai caché une carrière à Hollywood avait de rejoindre le SGC. Je ne fus pas choquée une seule seconde des paroles qu'il porta sur nous, il en avait toujours été ainsi pour moi, j'étais un secret, on évitait de crier sur tous les toits qu'une gamine jouait au petit soldat dans l'armée Française, j'étais un fantôme.

Je n'étais pas spécialement ravie de risquer mon cul pour un américain, mais après tout la mission semblait plutôt existante, j'aimais le risque c'est en partie ce qui faisait que nous ne nous ennuyons pas dans cette vie, aussi ma bonne humeur ne me quittait pas pour autant même si le sérieux avait prit le dessus, maintenant que nous étions en situation réelle, il n'était plus question de s'amuser. J'observais le PDA du major, observant avec attention et gravant dans ma mémoire ces informations, même si la plus important était tout de même de se rendre compte que si le gign avait échoué c'était que les gars en face de nous n'étaient pas des rigolos. Le silence qui suivit ses informations me permis de me mettre dans le bain, c'était autre chose que les missions SGC, là on savait que l'on jouait serrer, il n'y aurait pas de bonne surprise, du moins c'était très improbable.

D'ailleurs ça c'était sans parler de l'équipement lambda que nous avions, aucun gilet lourd, pas de casque, quasiment aucune protection, c'était du délire. Enfin vu l'humeur du major qui s'énervait à la radio, il était sans doute pas la peine de signaler la situation précaire. C'était donc en silence que je me préparais à ma mission, repensant à l'Afghanistan, qui avait sans doute eut l'air d'une promenade de santé par rapport à ce que nous allions vivre. Nous avions 25 minutes pour nous mettre en condition, au moins nous allions pouvoir récupérer un peu de force. Chacun se mit à choisir son nom de guerre, le mien était tout trouvé.

"Sirhân."

Je n'ajoutais rien, et plongeais mon attention vers les rations qui me permettrait de reprendre des force, ne pouvant m'empêcher de repenser aux souvenirs que me rappelaient ce simple mot.

L'unité nouvellement formé descendit du PUMA enfouraillée pour prendre d'assaut l'allemagne entière et le commissaire divisionnaire présent sur les lieux les regarda d'un air éberlué qui se changea rapidement en un désaccord complet avec ce quoi que puisse dire le major ou ses hommes.Le reste des policiers, des gendarmes et des soldats présent furent quand à eux scié par cette arrivée et on pouvait lire dans leur yeux une crainte mélangé avec un profond respect.Le commissaire divisionnaire arriva accompagné d'un commandant de l'armée de terre qui aurait préféré bouffer son képi que restait une minute de plus avec le haut fonctionnaire.

"On est pas sur un champs de bataille vous me ferez le plaisir de ne pas vous trimballer comme ça si près de la frontière."

Le major avança sans se laisser démonter par si peu, d'un pas ferme, et d'une voix tout aussi ferme il répondit au commissaire.

"J'ai des ordres."

Le visage du commissaire s'empourpra alors que Trepel et sirahn qui étaient les plus proches d'Apollo se rapprochèrent le regard menaçant, tandis que le reste de l'équipe surveillait les alentours et les hommes présents.Sans même s'en rendre compte l'équipe agissait comme une meute chacun ayant sa place et son rôle mais le commissaire était soi trop en colère soit trop stupide pour remarquer qu'il n'avait pas à faire à des barbouzes.

"Je me fous de vos ordres et de qui vous les donnent."

Toujours aussi calme et pas plus fort que la première fois qu'il lui avait parlé le major lui répondit tout en regardant sa montre comme si il tenait à vérifier que le gars qui se trouvait devant lui ne lui avait pas fait perdre trop de temps.

"Je ne crois pas monsieur."

Le major sortit son télèphone satellite et composa son numéro pendant que le commissaire essayait de se remettre de la nonchalance de la réponse du major.Aucun membre de l'unité n'avait bougé jusqu'à maintenant et les représentants de l'ordre présents n'avaient pas ouverts la bouche pour épauler leur chef ou ne serait ce que pour se murmurer des choses sur les nouveaux venus.

"Vous ne croyez pas?Et bien passez moi cette personne on va voire."

Le major lui passa son télèphone sans rechigner à croire qu'il l'avait prévu et vu l'ancienneté de major dans l'armée, il devait avoir eu sa part de chef présomptueux.

"J'y comptais bien monsieur.N'oubliez pas de vous présenter."

Le commissaire se redressa et se présenta à la personne au bout du fil.

"Ici le commissaire divisionnaire DELJURE qui est à l'appareil?"

Mais bien rapidement ses épaules s'affaissérent comme un chien qui aurait déplu à son maitre et qui cherche à éviter les coups de bâtons.

"Madame je ne savais pas que...."

Le commissaire en menait de moins en moins large, il ne savait plus ou se mettre ayant d'un côté ses hommes et de l'autre les nouveaux venus.Il avait perdu la face devant tout ses gens et il cherchait un trou dans le sol ou se cacher.

"Oui Madame....."

Voyant que les choses tournaient en leur faveur Apollo commença à répartir les tâches pour ne pas perdre de temps.

"BlueBerry, Cardinal inspectait les véhicules.Athos vous prenez ces soldats vous me les secouaient par les pieds et vous ramassez tout ce qui tombe munitions bouffes batteries de talkies, Calamity trouvait moi des traces à suivre."

"Mais madame....."

"A vos ordres....."

Apollo récupéra son télèphone l'arrachant presque des mains du commissaire et il s'adressa directement au commadant passant outre le commissaire qui pour le moment se remettait difficilement de l'affront

"Commandant combien avez vous d'hommes répartit sur le terrain."

Trepel et sirhan pouvaient donc suivre le rapport de situation avec Apollo, certainement qu'il voudrait avoir leur avis une fois que le commandant aurait terminé.

"150 en équipe de 10 ils couvrent une superficie de 80 kilomètre carré.Je pense pas que les bandits aient la cible sans quoi ils s'amuseraient pas à saute mouton avec la frontière.On se sert de cette cabane de chasse comme de QG fixe faute de mieux.Le QG mobile navigue le long de la frontière avec l'officier commandant du régiment."

Le major jeta un oeil sur les cartes et s'en retourna dehors s'en en demander plus au commandant pour voire comment l'équipe s'en sortait.Et l'équipe s'en sortait bien Cardinal avait analysé l'attaque du convoi, un herse avait été posé au sol immobilisant ainsi le véhicule de tête un véhicule ennemi était venu leur couper tout possibilité de fuite.Les agents chargés de protégés l'ambassadeur avaient faits écran et ils s'étaient fait allumé au pistolet mitrailleurs et au fusils d'assauts.Les agents avaient tenues suffisament longtemps retranché dans leur véhicule blindé pour permettre à un groupe d'intervention de se faire allumer en arrivant à la rescousse.A peine Cardinal et BlueBerry eurent ils finis que Calamity annonçait avoir trouvé des traces, deux hommes en encadrant un troisième des chaussures de villes il s'agissait donc de l'ambassadeur et de ses gardes du corps.

Alors que le chemin commençait à être long je vérifiais mes armes, n'arrivant décidément pas à dormir, je n'étais pas comme MickaËlla habituée à ce genre de transport d'urgence. Une fois arrivé, je sautais du PUMA, mon P90 en main assurant immédiatement la sécurité autour du groupe avant de tourner le regard vers les autres hommes présent, Policiers, gendarmes, soldats, tous semblaient ressentir un mélange de crainte et de respect pour notre petit groupe. C'était toujours assez étonnant d'être accueillit ainsi, mais pas le temps d'y penser plus longtemps. Très vite, je détournais mon attention d'eux, fixant le "champs de bataille", vérifiant que nul ne s'attaquerait au petit groupe. J'agissais en véritable chien de garde, tout en écoutant ce qui se passait à l'arrière, prête à intervenir à tout instant pour rappeler aux personnes présentent ici que nous étions l'élite, que l'on ne s'approchait pas de nous si on ne faisait pas partit de la meute.

Je n'appréciais que moyennement que ce soit Apollo qui répartissent les tâches, je n'aimais pas être dirigée surtout en étant la plus gradée mis à part Plummet. Enfin ce ne fut pas moi qui reçu les ordres, moi, je me contentais de continuer à veiller à la sécurité. J'écoutais les informations, prenant notes mentalement et faisant mon possible pour élaborer un plan d'action comme je l'aurais fais avec SG3, même si c'était très différent, je me contentais d'attendre les ordres.

L'unité commandait par Appollo débarqua docn sur une petite national de campagne, et la sortie calme mais tout en force du PUMA manqua de peu de faire avoir une attaque à un haut fonctionnaire.Qui n'hésita pas tout de suite à montrer qui était le patron, mais il en fallait plus démonter le major et sa aplomb était contagieux tant et si bien que personne n'avait osé s'approcher ou bouger telment l'unité de combat qu'ils étaient les faisaient flipper.Le commissaire voulait montrer qu'il était le patron et bien lui en avait pris car c'était loin d'être le casil avait trouvé à qui parlait et le madame qu'il servait à tout bout de champs accompagné d'un pas pâle indiquait une personne d'importance.MickaËlla ne voyait qu'une personne à sa connaissance, qui puisse avoir le respect des militaires, et des policiers tout en leur inspirant une crainte maternelle.Michelle Alliot Marie qui fut tour à tour, ministre de la defensen ministre de l'intérieur et à l'heure actuelle ministre d'état.C'était on ne peut plus logique vu la gravité de la situation d'avoir quelqun de haut placé dans le haut gouvernement qui soit prêt à remuer ciel et terre pour qu'ils puissent opérer en tout confidentialité.MickaËlla accusa docn de la bonne réception des ordres d'apollo en les mettant à l'éxècution.Elle se dirigea vers les véhicules et obsrva comme les corps étaient allongés, la taille des trous dans leur corps et dans les voitures, les douilles de balles au sol, les angles de tir et avec BlueBerry ils commencérent à rejouer la scène.Puis quand apollu vint les rejoindre il lui expliquérent ce qu'ils avaient vu.

"Ils ont posé une herse au sol pour stopper le véhicule de tête, une camionette ou un truc du genre est venu de par là bloquer tout repli.Elle était blindé on a retrouvé des balles écrasées.La fusillade a été longue et intense les assaillants on du laisser trainer exprès pour attirer la police.Ils les ont attendu en embuscade et les ont massacrés à peine ils étaient rendu sur zone.Ils ont juste eu le temps de tirer quelques rafalles.Ca doit être au moment de l'accroche avec le gign que le vip a dégagé de la zone."

MickaËlla se tourna vers Calamity qui venait de trouver des traces dans le sol et de la manière que Cardinal et apollo elle se mit à transformer les plus infimes détails en vérité absolue provoquant l'intérêt connaisseur de ses équipiers et l'admiration sans bornes des autres soldats et policiers et présent qui commençait à se poser de plus en plus de questions sur cette unité à qui tout semblait d'une évidence déconcertante et d'une facilitée enfantile.

Le voyage a bord du PUMA était plutôt long, chose complètement paradoxale fut sa vitesse actuelle. Mais le fait d'être à son bord et dans un état inconfortable entrait sans doute en jeu dans la relativité temporelle. Ainsi, elle tenta de fermer les yeux pour se reposer un peu avant l'arrivée à destination. Car une fois sur place, la plaisanterie serait terminé, les risques seraient réels et les munitions serviraient vraiment. Mais avec les secousses du PUMA dormir était impossible. Ainsi c'est dans un état de semi-somnolence qu'elle termina le reste du voyage.

Enfin l'hélicoptère se posa au sol et l'équipe pu enfin descendre. Mais autant dire qu'ils n'étaient pas seul. Un joli comité d'accueil les avait attendu sagement. Tous était assez surpris de voir autant de déploiement pour eux. C'était assez drôle de voir leur tête. Et oui ils n'avaient pas affaire à n'importe qui. Rakel, MickaËlla, Noky et les autres représentaient l'élite de leur pays, autant dire que ça devait impressionner de les voir à l'action. Mais c'était loin de réjouir tout le monde de voir ce spectacle, si bien que le commissaire en charge des actions locale ne tarda pas à leur reprocher tout ce remue-ménage. Le Major Plummet ne se laissa pas faire et les intimidations s'enchainèrent à une grande vitesse.

De son côté, la rouquine préférait les laisser faire sans intervenir. Ils étaient assez grands pour se débrouiller tout seul. Elle restait donc tout simplement au garde à vous, fière d'appartenir à son groupe. La demoiselle sentait bien le regard qui pesait sur elle de la part des autres soldats et membres des forces de l'ordre. Finalement, ce ne fut que l'intervention d'une tiers-personne qui parvint à calmer les ardeurs quasiment animal du commissaire. Désormais il savait à quoi s'en tenir. Le Major Plummet avait gagné son premier combat. Les choses étaient claires pour tous, enfin en théorie. Les nouveaux venus étaient des spécialistes, alors autant les laisser travailler en les aidant si possible.

D'ailleurs les premiers ordres ne tardèrent pas tomber. Il était grand temps que l'équipe du SGC montre ce dont elle était capable, alors au travail! Noky observa BlueBerry et Cardinal partir en direction des véhicules. Il fallait découvrir en quelques secondes ce qui s'était passé, une chose impressionnante quand on y assiste, mais assez facile quand on s'y connait bien. Athos quand à lui avait pour mission de faire le ménage en quelque sorte et de récupérer ainsi tout ce qu'il trouverait. Enfin, vint le tour de Nokotay, désormais connue par le nom de guerre de Calamity. Il lui fallait trouver une piste. T'en mieux, c'était son jeu favori!

Acquiesçant en silence, la rouquine s'éloigna afin de vagabonder sur le terrain de l'enlèvement, laissant son instinct prendre le dessus. Trouver des traces n'était pas une chose bien compliquée, le plus difficile restait encore des les interpréter. Ainsi au bout de quelques minutes de recherches, elle finit par tomber sur des empruntes au sol qui ne laissait place à aucun doute sur leur provenance. Elle en profita pour écouter la théorie de Cardinal à propos des évènements qui s'étaient passés ici. Pour sheyffi, ces paroles résonnaient comme une vérité absolue. Ainsi elle attendit que ses collègues aient terminés pour prendre à son tour la parole.

-Nous avons les traces de trois personnes ici. Ils étaient assez proches et en ligne. Celui du milieu devait être l'ambassadeur, entouré de ses deux gardes du corps. Ces marques semblent être celle de chaussures de ville ce qui confirmerait ce fait.

Quand à savoir ce qui leur était arrivé après, il lui faudrait beaucoup plus de temps pour le savoir, et encore. Noky peut suivre une piste mais en aucun cas deviner les penser des gens sans même les avoir sous les yeux. Se redressant après son examen, elle se tourna vers les autres afin de savoir ce qui allait être décidé pour la suite. Maintenant qu'elle était sur le terrain Noky n'avait plus qu'une idée en tête: remonter ce jeu de piste pour retrouver cet américain.

[HRP ésolé pour le retard je suis pas mal pris en ce moment.]

Une fois les renseignements compilés, le matériel récupéré et distribué Apollo distribua les taches aux équipiers.

"Athos tu reste au poste de commandement tu sauras nos yeux et nos oreilles.Calamity, Sirahn et BlueBerrie vous ouvrez la marche.Trepel Cardinal en sécurité arrière."

Le major laissait donc le groupe de tête dans les mains de Rakel ayant pu constater que cetet dernière était plus que compétente dans ce domaine.Pendant que l'unité commençait à s'engouffrer dans le sous-boi sils purent entendre le commissaire divisionaire qui avait repris un peu de son aplomb s'adresser à l'ensemble du personnel présent.

"Ce que vous venez de voire ne s'est jamais produit et vous n'avez jamais vu ces soldats.Un mot une allusion sur cet évènement qui n'a jamais eu lieu et c'est la rétrogadation et la réaffectation à saint pierre émiquelon."

Les identités des sodlats du SGC étaient classés très secrets défense et devaient le rester le plus longtemps possible et la personne que le commissaire avait eu au télèphone semblait y avoir veillé et vu la sueur qui perlait sur le visage du commissaire il était à parier qu'en cas de fuite il serait également du voyage.

L'unité progressait à un bon rythme remontant la piste, transformant le moindre fragment d'indice en une vérité absolue, tout en assurant sa propre sécurité.La machine bien que neuve fonctionnait admirablement bien et répondait à merveille, les soldats présents n'étaient pas considérés comme étant l'élite sans raison.Le VIP était encadré par deux hommes et apparemment l'un des trois étaient bléssés mais il soutenait un bon rythme de marche.Calamity qui marchait en tête avec Blueberry, remarqua la première une silhouette en noire allongé.L'unité s'approcha et sécurisa le périmètre autour du bléssé Apollo fit signe à Calamity et Rakel de fouiller le prisonnier et de passer à l'interrogatoire dans la foulée.

Le garde du corps des services secrets étaient sacrèment amochés et il devait être sacrément coriace pour avoir résussi à marcher jusqu'ici.En entendant et en voyant des silhouettes venir vers lui il serra plus fort son .45 dans sa main mais il n'avait plus al force de lever son arme en direction des inconnus..

Toujours aux aguets, j'attendais les ordres du major, légèrement impatiente de partir à l'aventure, je savais qu'il était important dé préparer le terrain, mais ce genre d'expédition était des plus excitantes, nous étions les loups qui venions d'entrer dans la bergerie. Le regard mi admiratif, mi craintif des autres personnes ici présente ne faisait que renforcer ce sentiment si agréable, nous étions les fauves, et eux les brebis égarées. Dès que le major donna ses ordres, je pris la tête du groupe, en compagnie sheyffi et de BlueBerrie, dont j'ignorais le véritable nom. Mon P90 serrer entre mes mains, je m'engouffrais dans le sous bois, entendant le divisionnaire reprendre du poils de la bête et aboyer ses ordres, sans doute inquiet pour son avenir.

Nous progression à bon rythme, suivant la piste trouvée un peu plus tôt, il fallait agir vite pour récupérer tout ce beau monde, après tout notre réputation était en jeu. Mais malgré ce rythme, nous étions à l'affût du moindre indice pouvant nous donner une indication sur le chemin à suivre. L'équipe fonctionnait à merveille, mais rien de plus normal, nous étions des professionnels, et membre de l'élite française, qui plus est. Assez rapidement, Sheyffi nous indiqua une forme noire allongée, et mon arme serrée dans la main, visant cette forme, je me rapprochais avec mes collègues, sécurisant le périmètre dans un premier temps, puis je commençais à fouiller le blessé, enlevant son 45 mm de sa main serrée. Afin de m'assurer les réponses que je souhaitais, je décidais tout de même de nous présenter même si notre uniforme était reconnaissable.

"Armée française, nous sommes charger de l'ambassadeur, nous avons besoin de toutes les informations dont vous disposer."

Je fis une petite pause histoire de voir si le garde du corps avait bien comprit, et si il coopérait, avant de passer à l'interrogatoire à proprement parlé, je préférais de loin économiser ma salive si il pouvait nous donner les informations de lui même.

Nokotay avançait à bon rythme à côté de Rakel et BlueBerry. Une piste avait pu être découverte et il n'était pas question de la perdre, pas maintenant. En tout cas la rouquine avait très vite retrouvé ses aises depuis qu'elle était descendue de l'hélicoptère. Suivre les traces des trois personnes lui paraissait donc une chose facile et reposante comparé à ce qui s'était passé, encore plus à ce qui risquait d'arriver plus tard dans cette mission. Restant à la tête du groupe avec les autres comme on lui avait demandé, elle ne manqua pas t'entendre le commissaire reprendre de la voix. Sa petite frustration passagère semblait s'être dissiper bien vite, malheureusement. Cela arracha un petit sourire à la jeune femme. Ce commissaire, aussi têtu soit-il, était plutôt amusant dans son genre. Désormais Noky ne lâchait plus les traces qu'elle avait repérés depuis le point de départ. Mais quelque chose vint rapidement attirer son attention. De temps à autre on remarquait des tâches sombre sur le sol. En s'arrêtant un instant pour les observer, elle en tira vite les conclusion nécessaire. Bien sure, elle n'avait même pas besoin de parler car les autres l'avaient compris tout aussi bien qu'elle sinon mieux.

-Du sang... L'un d'eux est blessé et pas qu'un peu on dirait.

Sur ce la course contre le montre repris de plus belle. L'équipe suivait avec avidité le chemin qui les mènerait droit jusqu'à de nouvelles informations. Une nouvelle fois ils étaient donc entrés dans un sous bois, ce qui semblait être le nouveau mot de la journée. Mais au moins ici ils étaient à couvert de tout engin pouvant voler, c'était déjà ça. Soudain elle aperçu un peu plus loin une masse anormale jonchant le sol forestier. Elle en avertie l'équipe par les gestes traditionnels avant de s'avancer vers l'homme à terre; Avec Rakel, elle pu fouiller l'inconnu blessé afin de prendre sur lui tout ce qui était susceptible d'être intéressant. Une fois fait, elle fit un pas en arrière afin de couvrir Rakel pendant que celle-ci interrogeait l'homme. Mieux valait être prudent.

Malgré son état lamentable, l'homme des services secrets gardait son sérieux, et prit le temps de déglutir avant de me répondre, me demandant le code du jour. Alors que j'allais ouvrir la bouche, Calamity me prit de cours, et se fut avec un sourire que je la remerciais, j'aimais quand mes collègues mettaient en place un travail d'équipe pareil. Mais au lieu de nous donner plus de renseignements, il se contenta de nous dire que nos ennemis le connaissait aussi, et qu'il ne parlerait pas. Je savais que faire une pression physique sur cet homme était inutile, il devait être au supplice depuis des heures et pourtant il n'avait pas abandonner son poste avant de ne plus pouvoir suivre, c'était ce que l'on appelle un dur à cuire.

Et puis de toute façon, il perdit rapidement connaissance, vu son état, nul besoin de perdre du temps, il était condamné, pas besoin d'être médecin pour voir ça, c'était une évidence. Je me tournant vers Apollo, je lui fis un signe de tête pour lui faire comprendre qu'il n'y avait aucun espoir, et Calamity lui ferma les yeux avant que l'on ne reprenne notre route. Il faudrait être plus prudent, les agresseurs étaient encore mieux renseignés que ce que l'on ne pensait. Aussi mon regard ne cessait de voler de ci de là pour couvrir au mieux notre position et éviter de tomber dans un guet-apens.

Sheyffi observait l'homme qui était au sol, espérant de tout coeur qui lui restait assez d'énergie et de courage pour donner des informations sur ce qui s'était passé. Mais son état était inquiétant, il ne tiendrait plus très longtemps. La rouquine ressentit un pincement dans la poitrine, se rappelant de ce qu'étaient les risques du métier. On y fait allusion souvent, même devant un café. Mais quand on y est confronté et qu'on regarde la mort dans les yeux, c'est beaucoup plus terrifiant qu'il n'y parait. Soudain l'homme attira de nouveau son attention en demanda le mot de passe. Noky lui donna la réponse, le mot semblant sortir de son esprit par un automatisme invisible.

La demoiselle aimait être efficace et pouvoir aider de son mieux Rakel qu'elle respectait énormément. Mais réponse juste ou non, le blessé ne voulait pas en dire plus, du moins pas complètement. Il leur avait fournit quand même une information importante: les ennemis étaient bien préparés et connaissaient parfaitement leur mode de fonctionnement. En gros il y avait vraiment de quoi s'inquiéter sur ce coup là. Rakel décida donc de remettre les troupes en marche et la Sheyffi ferma les yeux du condamné, non sans que son pincement se resserre encore un peu. Mais quoi qu'elle pense, son devoir était de continuer avec les autres militaires afin de récupérer cet américain. Reprenant contenance, elle suivit donc les autres, surveillant les environs de son mieux.

Le major rendait compte assez régulièrement à Athos ou ils se trouvaient faisant le point avec lui d'ou ils devaient aller.Calamity qui progressait en tête du groupe fut la première a repérer des traces de Rangers et BlueBerrie remarqua des fourets dérangés par un groupe de soldat tandis que Sirahn trouva ou se trouvait les soldats qui devaient aussi avoir remarqué le groupe car à son avis il se tenait sur la défensive prêt à répondre à une embuscade.Mais avant qu'ils ne purent prendre une décision ils entendirent une voix masculine s'adresser à eux.

"Déclinez votre identité, donnez le code du jour."

Ce à quoi le major s'empressa de répondre, avec des militaires non habitués au situation tendues on ne savait jamais à quoi s'attendre.

"Forces spéciales.Le code du jour est colibri."

En écho à la voix rauque du général la voix masculine qui leur avait demandé de s'identifier s'adressa de nouveau à eux avec un soulagement non dissimullé.

"La réponse est Vermillon."

Les soldats sortirent de leur couverts soulagés de ne pas avoir eu à engager le combat, l'unité quand à elle restait un groupe de combat hautement proffessionel et malgré la détente ils déployèrent de manière à se couvrir les uns les autres.Après un échange rapide de politesse les deux groupes se séparèrent le major ayant récupéré l'un des soldats qui était de la région et avait chassait régulièrement les "Dix cors" dans la région.Mais le soldat en question se déplaçait plus bruyamment que le reste du groupe qui malgré un talent certain, ne pouvait pas rivaliser avec les soldats du SGC.Le groupe arriva devant une carvane quand Athos reprit la parole au travers de leurs oreillettes.

//Apollo je viens de vérifier parce que ça m'intriguait le coup du "dix cors" et il n'y a pas un chasseur qui dirait dix cors en parlant d'un cerf.Alors j'ai vérifiait et il n'y a aucune section répertorié qui était dans votre cadran à ce moment là.C'est des ennemis leur couverture c'est du bidon...//

Le major se félicita intérieurement d'avoir fait réglé les laryngophones de l'ensemble du groupe de manière à ce que le moindre éclat de voix ouvre une communication.Cela avait permit à Athos d'entendre toute les conversations que l'unité avait pu avoir depuis le début.

//Reçu Athos.//

A ce moment le soldat revenait de la caravane pour dire que tout était clair et d'un simple regard vers le groupe de tête il fit comprendre à ces derniers qu'ils allaient s'occuper de neutraliser le faux soldat.

"Caporal allez vérifier l'intérieur de cette caravane."

Le faux soldat qui revenait vers le reste de l'unité jouait à merveille la comèdie mais il n'avait pas des novices à ce jeu là en face de lui et il ne vit donc pas le danger arriver ou plutôt il se crut capable de faire quelque chose.

"Je viens de vous dire que tout était clair."

Appollo avança vers lui toujours aussi calme est posé qu'à l'accoutmé ce qui déstabilisa quelque peu le faux soldat.

"Et je viens de vous ordonner de vérifier l'intérieur de la caravane."
"Pourquoi faire?"

Appollo se rapprocha encore du soldat se montrant cette fois ci qu'il avait découvert son jeu mais il était déjà trop tard la nasse venait de se refermer et l'homme était déjà perdu il ne le savait pas c'est tout.

"Est ce que vous seriez entrain de désobéir à un ordre caporal?"

Le soldat esquissa un geste pour se saisir de son arme que déjà Blueberrie maintenait l'arme du faussaire contre lui tandis qu'il mettait un grand coups de pieds dans le talon de ce dernier.Calamity elle arrivait par derrière et tapa au même moment que BlueBerrie dans l'autre talon ce qui fit que le soldat se retrouva chutant sur le cocsis.Blueberrie lui arracha l'arme des mains dans sa chute et une fois à terre Calamity lui fit un head block qui au moindre mouvement se resserrait en une prise d'étranglement.Sirahn quand à elle avait son arme braqué sur lui et sa rangers en plein milieu de son entrejambe rappelant au faussaire que sa virilité n'était pas qu'un avantage.Dans ses yeux on pouvait une haine profonde dans tout ce que représentait Siranh, dailleurs elle avait déjà vu ce genre de regard en afganhistan.

Le major rendait compte à Athos régulièrement, et alors que Calamity progressait en tête, elle repéra des traces de Rangers alors que vérifiait les alentours pour ne pas nous faire surprendre. Rapidement, je localisais les soldats, mais il était probable qu'il en était de même pour eux. Je partageais leurs positions avec le reste du groupe, histoire que personne ne se laisse surprendre, surtout que les soldats semblaient être prêt à répondre à une embuscade. Mais avant que qui que se soit ne prenne une décision, une voix masculine prit la parole, demandant le code du jour et une identification. Le major répondit en vitesse et une réponse ne se fit pas attendre, visiblement soulagé la voix masculine répliqua à son tour.

Les soldats sortirent de leur couvert, mais ça ne m'empêchait pas de rester prudente, j'avais appris à me fier à mon équipe et à elle seule, ce n'était pas seulement une question de paranoïa, mais plutôt de prudence, on ne pouvait avoir confiance que dans les personnes qui connaissaient la merde dans laquelle nous étions fourrée. Après un échange de politesses plutôt tendue, les deux groupes se séparèrent, mais le major avait récupérer l'un des soldat, se qui ne me plaisait pas le moins du monde. Cet homme était bruyant. Lorsque Athos reprit la parole, nous étions devant une caravane, et ça sentait mauvais. Rapidement, tout s'enchaînait, et le jeu de l'ennemi tomba à nu. Il avait cru pouvoir jouer avec des membres du SGC, quel idiot, il ne savait pas à qui il avait à faire.

Se fut avec une facilité déconcertante que les membres du groupe réussirent à neutraliser l'intrus. Une fois au sol, je m'approchais de lui avec mon sourire de carnassier, mon arme braquée sur lui, et le plus marrant, mon pied posé sur sa virilité, prouvant une fois de plus, que les organes génitaux à l'extérieur du corps, c'était une très mauvaise idée. La haine dans son regard ne me faisait ni chaud ni froid, j'avais déjà vu ce genre de regard, et jamais ça ne m'avait perturbé, il c'était fait avoir comme un bleu, et ça me suffisait amplement. D'ailleurs un moindre geste de sa part, et il apprendrait que la mort n'est pas la pire des choses.

Noky avançait avec une extrême prudence à la tête du groupe. Même si elle se sentait à son aide dans ce domaine de pistage, elle n'en restait pas moins inquiète face à son environnement. Ce genre de mission de recherche, elle adorait ça, mais quelque chose la dérangeait dans toute cette histoire sans vraiment savoir quoi. Peut-être étais-ce le fait d'avoir débuté tout cela par un entrainement avant de revenir à la vrai vie très brutalement. En attendant, elle n'avait pas le droit à l'erreur. Analysant le sol de son mieux, elle ne tarda pas à repérer des traces de ranger et pu immédiatement prévenir ses collègues. Mais ce n'était pas la seule chose qui avait été découverte. Visiblement ils n'étaient pas les seuls à être ici et cela fut très vite confirmé lorsqu'une voix d'homme se fit entendre derrière eux. Sheyffi restait aux aguets, attendant de recevoir des ordres au cas où il faudrait réagir rapidement. Pourtant l'inconnu semblait être de leur côté, du moins de prime abord. Il connaissait les codes ainsi que le protocole.

Donc a priori, il n'y avait aucune raison de douter de lui. Pourtant rien qu'en observant Rakel, Sheyffi su qu'il fallait mieux rester prudent et ne pas se fier aux bonnes paroles. Finalement les deux groupes décidèrent d'en rester là et ce n'était peut-être pas plus mal. Mais très peu de temps après, alors que tout le monde s'était remit en marche, leur équipe parvint à obtenir une information compromettante. Un soldat les avait accompagné jusqu'à une caravane mais son identité était fausse, c'était justement la nouvelle qu'ils venaient d'apprendre. Décidément cette affaire remontait vraiment haut et ça devenait compliquer de faire confiance aux autres. Même les codes de sécurités ne semblaient plus servir à grand chose. La situation risquait vite de dégénérer surtout que désormais il était évident que cet individu leur mentait ouvertement Appollo jouait de toute sa splendeur pour le maitriser oralement. Mais par pure mesure de sécurité l'équipe se mit à intervenir. Noky n'hésita pas et suivit ses camarades afin de maitriser ce faux soldat. Il était temps de savoir ce qui se passait ici.

L'ennemi était neutralise mais ne semblait pas vouloir s'adresser aux membres de l'unité autrement qu'en pachtou et en proférant des insultes.En gros il se montrait inutile et encombrant mais ils ne pouvaient pas l'abbattre comme un chien, ni le laisser s'enfuir.Appollo décida donc qu'ils allaient le ligoter, tâche qu'il confia à Trepel et Cardinal, tandis que toujours par geste il demandait au trinome de tête d'aller inspecter la caravane en prenant toute les précautions possibles.

Aucun problème pour arriver jusqu'à cette dernière mais là un spectacle peu engageant pour l'avenir les attendaient.Le deuxième garde du corps était là, mort.Les bandits n'avaient pas eu les mêmes scrupules qu'eux et avaient abbatu l'agetn des services secrets d'une balle dans la nuque.Mais les deux jeunes purent remarquer assez facilement que le corps était piégé, sans parler du fil tendu en travers de la porte qui devait relié à une grenade.Une petite ruse qui aurait peut être berné des soldats non aguerris et, ou manquant de discipline.

Le trinôme revint donc vers le reste de l'équipe pour expliquer ce qu'ils avaient vu, appollo se mit à réflèchir quelques secondes et décida de faire sauter la caravane en déclenchant l'un des pièges en y lançant un bout de bois de manière à faire croire aux bandits qu'ils avaient pris dans le petit piège du faux soldats.Cela ne marcherait pas longtemps mais cela leur permettrait de refaire leur avance sur leurs ennemis.Mais avant de faire sauter la caravane il se mit à parler à Athos.

//Athos dites au commandant de retirer l'ensemble de ces troupes du terrain.//

//Le commissaire divisionaire veut une excellente raison cela.//

//Dites lui que si nous tombons sur une patrouille, nous l'abbatrons sans sommation.//

//A vos ordres.//

Le major n'était pas d'humeur à plaisenter ou discuter et il ne tenait pas à prendre le moindre risque, cherchant avant tout à protéger ses hommes il avait peut être mis en danger la réussite de cette mission.Mais il avait une confiance absolue dans les compétences de son équipe.Dailleurs quand il se retourna pour leur faire signe de reprendre la chasse on ne voyait aucun doute dans son regard.D'une manière ou d'une autre il semblait savoir que tout allait bien se terminer.


Car le groupe suivait toujours les traces de l'ambassadeur mais ce dernier devait être dans les mains des terroristes à l'heure actuelle, il était donc préférable de suivre le groupe qu'ils avaient rencontrés, les neutraliser et trouver un moyen de les faire parler si l'ambassadeur n'était pas avec eux.Et il ne fallut pas longtemps à l'équipe pour retrouver des traces viables et ce fut sans difficulté que l'unité arriva en vue de plusieurs sentinelles qui gardait un petit chalet.En observant à la jumelle ils purent reconnaitre parmis les sentinelles certains des faux soldats qu'ils avaient déjà croisés.

Apollo donna ses ordres et Trepel et Cardinal se volatilisérent cahcun de leur côté tout en fixant un silencieux au bout de leur fusils d'assauts.Quand au reste du groupe ils allaient progresser en silence jusqu'au sentinelle et leur tranché la gorge comme on leur avait appris à l'entrainement.

Les membres de l'unité se déplaçait comme des artistes d'un balai les gestes étaient précis et gracieux et chacun deleur mouvement avait répété un nombre inclaculable de fois pour atteindre la perfection.Les pressions qui retenait les dagues de combat au fourraux ne firent pas de bruit quand elles relachérent les lames noire en acier 440.Pas plus que n'en faisait les 4 soldats qui avançaient couteau à la main.Dans la même seconde les 4 sentinelles se retrouvérent à terre en ayant perdu plus d'un demi litre de sang et un air surpris sur le visage comme si ils n'avaient pas compris ce qui venait de leur arriver.A part celui de BlueBerrie qui manifestement avait souffert, mais on pouvait difficilement le lui reprocher.Les trois sentinelles restantes n'eurent pas plus de chance elles avaient pris chacunes une balle en pleine tête.Pendant ce temps chacun prit le temps d'essuyer son couteau couvert de sang sur l'uniforme de son soldat.L'odeur du sang qui pouvait trahir votre présence dans la situation ou vous essayait de prendre par surprise un adversaire et qui aurait été extrèment facile à suivre pour un chien.

L'ennemi ne voulait toujours pas parler même si désormais l'équipe connaissait la vérité. Il était vraiment très énervant dans son genre. Il fut donc solidement attaché afin de ne plus embêter personne. Mais rien que le voir là à les observer avec ses yeux de fouine, c'était suffisant pour mettre la rousse en boule. Pendant ce temps là le trinôme de tête comprenant le demoiselle eut pour mission de fouiller la caravane. Sheyffi restait sur ses gardes. Il était évident qu'il devait y avoir quelque chose à l'intérieur du véhicule, contrairement à ce qu'avait pu dire le faux agent. Immédiatement, ils purent repérer un fil tendu à l'entrée, sans aucun doute relié à des explosifs. Et là, juste devant leur yeux on trouvait le corps du second garde du corps. L'américain était donc seul désormais, du moins sans ceux qu'il connaissait. Le retrouver devenait d'autant plus urgent maintenant. Mais le pire sans doute, c'était que le corps lui aussi était piégé et le trio n'eut aucun mal à le voir. C'était vraiment mesquin et cruel de faire tout ça. Noky était véritablement indignée voire dégouté parce qu'elle voyait. Pourtant l'heure n'était pas aux états d'âmes. Ils retournèrent donc près des autres afin d'aller expliquer ce qu'ils avaient pu voir ici. Appollo décida donc de faire croire que le plan de l'explosion avait fonctionner grâce à un bout de bois. C'était très ingénieux mais cela ne leur ferait gagner que peu de temps avant que le subterfuge ne soit découvert.

L'équipe prit donc la décision de retrouver le groupe d'individus qu'ils avaient croisés. Sans doute savaient-il où le représentant américain était détenu, à moins qu'il ne soit tout simplement avec eux! De nouveau la piste reprit et les traces furent repérées un peu partout. Un chalet fut rapidement en vue et bien protégé avec plusieurs sentinelles. Mais ce n'était pas suffisant pour résister à une attaque éclair de la part de nos spécialistes. Trepel et Cardinal furent envoyés de chaque extrémité, arme à la main afin d'agir rapidement; Quand aux autres, dont Noky, ils purent avancer silencieusement et en harmonie avec le reste de l'équipe. Le moindre geste était calculé à l'avance, leur donnant l'impression d'avoir la supériorité. Sheyffi parvint donc à agir en même temps que les autres afin de trancher la gorge d'une des sentinelles. Elle détestait faire ça, tout simplement parce qu'elle trouvait ce genre de mort très cruel. Mais elle n'avait pas le choix et les autres non plus. La rouquine avait agit le plus vite possible afin que l'ennemi ne sente rien, mais ça elle ne pouvait pas en avoir la certitude, il faudrait vivre avec. Essuyant son couteau de combat comme il se doit, elle alla rejoindre les autres afin d'obtenir les nouvelles instructions.

L'ennemi neutralisé ne semblait pas très coopératif, il ne faisait que proféré les insulte en pachtou, se qui m'amusait beaucoup, ça me rappelait ma première mission. Doucement, je me baissais vers lui, augmentant la pression sur son entre jambe jusqu'à ce qu'il se taise enfin et dans un grand sourire carnassier, je lui lançais à la figure une insulte à mon tour :

"شعب من دون عفو مبكر"

L'humeur de notre prisonnier ne s'arrangeait pas, bien sûr, mais je maintenais la pression pour le tenir tranquille, et à mon avis la souffrance devait être à peine soutenable, l'une des raison pour laquelle je me félicitais d'être une femme. Lorsque Trepel et Cardinal eurent commencer à attacher le prisonnier et qu'ils le maîtrisait, je relâchais la pression, et partir inspecter la caravane avec le reste du trio de tête. Jusque là, tout allait relativement bien, jusqu'à ce que le corps du garde du corps s'offre à nous. Sur le coup, j'eus envie de faire demi tour, et tirer une balle dans les parties du prisonnier avant de le laisser se vider de son sang, mais je n'allais pas gâcher une balle. Ils avaient abattu l'homme d'une balle dans le cou, une exécution pure et dure. Cependant, le corps était pièger, c'était petit et mesquin, et c'était surtout nous sous estimer.

Nous retournâmes vers le reste de l'équipe, expliquant à Appolo la situation. Il décida de faire sauter la caravane à l'aide d'un morceau de bois, au moins, nous gagnerons un peu de temps, et nous pourrions agir plus rapidement. Observant Appolo, je ne pouvais qu'être légèrement énervée de ne pas commander, c'était une habitude qui me collait à la peau, sans doute parce que j'aimais ça. Il demanda l'évacuation de la zone des forces de l'ordre, une bonne décision, au moins nous pourrions tirer à vue, sans la moindre bavure. Puis nous reprîmes notre route, avec prudence et discrétion.

Nous suivions toujours les traces de l'ambassadeur, mais ce dernier devait déjà avoir été attraper par les terroristes, à présent il fallait agir vite pour le récupérer, mais surtout avec prudence, ce n'était pas des débutants, aussi nous suivions le groupes croisés peu de temps avant pour les neutralisés, voir de les faire parler si l'ambassadeur n'était pas avec eux. Rapidement nous fûmes devant un chalet gardé par des faux soldats. Je me glissais doucement, mon couteau de combat à la main, me plaçant derrière l'une des sentinelle et glissant ma lame sur sa peau, pénétrant la chair et ouvrant la carotide, et tranchant le larynx, l'empêchant de crier. Une fois la victime à mes pieds, je nettoyais avec attention mon couteau. Une fois que tout le monde fut mord, je rejoignis le reste du groupe, prête à intervenir.