Enterrement Du Sergent Ewan Ranks [Libre-Angleterre]

Maître du jeu Nombre de messages : 278 Date d'inscription : 05/10/2008

Le major en tenue d'apparat attendait devant le monte charge numèro trois avec Quatres soldats qui transportait le cercueil du Sergent Ranks sur un banc à roulette.Son large béret noire de chasseur Alpin lui donnait un air de paysan , son uniforme d'un blanc immacullé et ses chaussures de montagnes ne faisait qu'accentuer cette impression bizarre pour quiquoncque n'était pas chasseur alpin.Impeccable dans son uniforme le Major arborrait une batterie de mèdaille plus qu'impressionante les unes que les autres avec entre autre autour du coup celle d'officier de la lègion d'honneur et la mèdaille du mèrite militaire cette dernière étant la consécration pour un soldat.Elle n'était délivré qu'à des militaires pour des actes de bravoures exceptionnelles et avec au moins 8 ans de campagnes derrière eux.Elle était la seule décoration à mettre sur un pieds d'égalité le plus inconnus des trouffions avec le plus prestigieux des généraux. A n'en pas douter le Major était un hèros de guerre quoi qu'au vue de la batterie de cuisine qu'il trimballait les qualificatifs de miracullé et de lègendes vivantes seraient plus appropriées.Tout ceci faisait du major un être quasi surnaturel et quand on arrivait devant ce monte charge on avait l'impression que jamais tout le monde pourrait monter à l'intèrieur telment celui sembalit occuper d'espace.Quelques secondes plus tard les portes du monte charge s'ouvrirent et les quatres soldats firent rouler le cercueil dans le monte charge.Le major regarda derrière lui pour voire si la garde d'honneur était bien au grand complet.Son regard inquisiteur détailla chaque parcelle de la tenue de la garde d'honneur.Chaussure ciré pantalon propre et repassé correctement de même pour la veste brevet et mèdaille briqué rasé de frais haleine fraiche il alla même jusqu'à vèrifier qu'aucun fil de couture ne dépassait des galons.Satisfait de son inspection son visage exprima un air de satisfaction et il monta à son tour dans le monte charge qui emmena tout ce petit monde vers la surface en quelques minutes.

Une fois celle-ci atteinte il fallut
encore passer le cercueil au rayon X , montrer patte blanche et laisser ces
affaires de voyages être fouillés mèticuleusement avant de pouvoir monter le
cercueil dans le camion et tout les participants à la cèrèmonie dans un bus
militaire.Toutes les armes et les moyen de communication non prévu dans le cadre des missions furent confisqués.Une fois ceci effectuée la lourde porte du hangard coullissa sur le
côté pour laisser sortir le bus et le camion.A l'extérieur de ce dernier il y
avait plusieurs Jeep et moto qui attendait de pouvoir encadrer le convoi jusqu'à
sa destination.Le convoi entier se mit en branle et chacun élèment de l'escorte
prit sa position et c'est d'abord doucement que ce dernier quitta la base puis
rapidement il atteint une allure plutôt rapide pour un bus.A chaque
instersection des motards partis en avant faisaient la circulation et bloquaient
la route pour laisser place au convois et ceux en campagne comme en ville ou les
motard du SGC furent secondés par ceux de la police.C'était assez impressionnant
de voire tout se plier à la volonté du SGC comme si il ne s'agissait que de
simples fêtues de pailles.

Le convoi pénétra sur l'aèroport
militaire de Brives et chacun eut quelques secondes pour se dègourdir les jambes
, trouver un endroit ou assouvir des besoins naturels avant de grimper dans
l'avion de transport militaire qui allait les amener à Oxford.Aucun d'entre
eux n'avait vu le général et s'était étrange qu'elle ne se déplace pour
l'enterrement d'un de ces hommes et quand le Major avait le dos tourné ou
dès qu'on pensait qu'il ne pouvait pas entendre il y avait toujours quelqun pour
remettre ces questions sur le tapis mais que fait le général?Pourquoi n'est elle
pas venue à l'enterrement du Sergent Ranks.Autant de questions et ragots qui
permirent à certains de ne pas voire le trajet s'écouler contrairement à d'autre
qui ne le trouvèrent que trop long en compagnie de telle piplette.Mais à leur
descente à Liverpool tout le monde put mettre un réponse sur la question
fatidique.

Le général était bien là en tenue d'apparat et
descendait d'un jet privé encadré par deux femmes.La première était l'un des
Majors responsable de la sécurité extèrieur de la base qui s'avèrait être un
croisement improbable entre une femmelle doberman un inquisteur espagnol et un
banc de pyranna.La seconde était le Sergent Chef Strucker le tireur d'élite de SG3
pour les plus gentils , le chien de guerre de Rakel pour les plus rèalistes et
l'autre taré de la gâchette pour les plus mèchants.Sur qu'avec un telle garde
rapprochée personne ne risquerait de s'en prendre au général dailleurs personne
n'aurait envie de l'approcher de peur de se faire bouffer.Les trois femmes
montèrent dans une berline pendant que le reste du SGC montait dans un bus pour
suivre le corbillard jusqu'à la maison de la famille Ranks à ce qu'ils en
savaient.Une fois de plus le bus s'arrêta , le major se leva et demanda à
la garde d'honneur de descendre du bus et de le suivre et informa les autres
membres du SGC qu'ils devait ne pas rester trop loin du bus car il ne savait
pas quand ils pourraient se rendre à la veillée ni même si ils le pourraient et
que donc par conséquent il savait encore moins quand est ce que le bus allait
repartir pour l'hotel.Il précisa également que si certains voulaient les accompagner cela était tout à fait possible mais que les places seraient chères et qu'il inspecterait la tenue de chacun des candidats.La garde d'honneur plus quelques autres du SGC s'éloignérent donc du bus laissant le reste
des membres du SGC à proximitée d'un petit
parc.

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

La
garde d'honneur et le major marchèrent une dizaines de minutes sous les regards
interlocqués des passants avant d'arriver à leur destination.La voiture
du général était garé devant et son chauffeur était entrain de fumer une
cigarette tout en s'appuyant sur le capot et en surveillant la rue.Le bonhomme
avait été fournis avec la voiture et devait être membre du MI5 en tout cas il
avait l'air de connaitre son travail.Le major sonna à la porte et quelques
secondes plus tard une vieille femme vint ouvrir la porte au Major qui salua se
présenta et présenta le reste de la garde d'honneur dans un anglais parfait mais
avec un accent à couper aux couteaux.Le major et la garde d'honneur furent
introduit dans le salon ou le général se trouvait déjà et commençait à présenter
ces condolèances à la famille.La femme qui avait introduit le major et la garde
d'honneur se présenta comme étant la mère d'Ewan et dans le salon elle désigna
la femme qui se tenait en face du général comme étant la femme d'Ewan et la
jeune fille aux côté de la femme comme étant la fille d'Ewan.Cela avait de quoi
vous mettre un coup au moral de dèbarquer comme ça de but en blanc dans une
famille en plein deuil en ne sachant pas trop bien quel est votre place si , si
vous en avez une et en ne sachant pas trop quoi dire.

Pendant ce
temps le Major Merril et le Sergent Strucker était telment discret qu'on aurait
pu les prendres pour des membres de la famille d'Ewan.La jeune demoiselle qui était la fille d'Ewan devait avoir 7 , 8 ans
tout au plus et elle serrait contre elle un cadre photo et une peluche.Ces yeux
étaient rouges d'avoir trop pleuré et elle faisait énormément d'effort pour
retenir ses larmes devant des inconnus mais sa douleur était immense.La femme
d'Ewan ou plus l'ex femme d'Ewan comme elle le précisa était elle aussi
accablées de chagrin les deux parents semblaient s'être quittés en bon termes ce
qui n'en était qu'encore plus triste quand on repensait à ce qui amenait les
membres du SGC dans cette maison.

Ce n’était pas un jour comme les autres pour Laurent, il sortait son uniforme de cérémonie car il s’était porté volontaire pour faire partie de la garde d’honneur conduisant un frère d’arme du SGC dans son dernier voyage. Il ne le connaissait pas mais cela n’empêchait pas de lui rendre hommage comme il le méritait et comme tout soldat aimerait être entouré par sa seconde famille.

Cette fois, l’uniforme sortait de sa housse pour un triste évènement et le militaire se devait d’être impeccable alors il passa du temps à brosser, astiquer, cirer…
Il était fin prêt pour l’heure du rendez-vous devant le monte charge, où il retrouva les autres membres du cortège et un Major qui leur tournait le dos, il ne savait pas trop s’il devait annoncer sa présence car le silence régnait et voir le cercueil lui fit avoir un pincement à la poitrine alors il attendit une réaction de l’officier. Ce fut le cas quand l’ascenseur ouvra ses portes alors il se mit au garde à vous et salua le Major en se présentant, ce dernier inspecta l’uniforme sans rien trouver qui cloche.

Ainsi il accompagna le cercueil jusqu’au camion avant de monter dans le bus en jetant un coup d’œil sur les personnes présentent comme pour chercher une compagnie le temps du trajet vers l’aéroport pour ne pas se morfondre. Il remarqua que le Général Parray n’était pas la mais il l’imaginait dans une des jeeps de l’escorte car elle se devait d’être devant pour montrer le chemin à son soldat mort au combat.

Le passage à l’aéroport de Brives fut bref et le vol en Transal pour Oxford fut calme et le cercueil sous constante surveillance car Laurent ne le quitta pas des yeux, songeant par moment que sans Kendra il aurait été la tête d’affiche d’une autre cérémonie mortuaire. Depuis ce jour, il ne voyait plus la mort de la même façon bien qu’il ne soit pas croyant, c’était comme si son âme avait voulu s’élevée dans une lumière intense mais l’outil de guérison Goa’uld l’avait fait revenir dans le monde des vivants, alors il avait moins peur de la mort qu’avant car il pensait que quelqu’un veillait sur lui.

Tout s’enchaina assez rapidement pour arriver devant une maison de pur style britannique où il fit la connaissance de la famille du défunt, un moment lourd en émotions surtout en voyant cette gamine exprimant toute la tristesse du monde. Il se força à regarder ailleurs sans quoi lui aussi allait verser une larme.

Un jour comme celui-ci, Noky aurait certainement préféré qu’il n’arrive jamais. Enterrer un camarade n’était pas une parti de plaisir, loin de là même. A vrai dire, la militaire se demandait si elle parviendrait ou non à garder son sang froid jusqu’au bout. Enfilant avec soin son uniforme, elle se motiva intérieurement, sachant qu’au moins elle rendait un dernier hommage au soldat en étant membre de la garde d’honneur. Respirant un bon coup pour évacuer le trop plein de tension, la jeune femme alla rejoindre les autres afin de porter le cercueil jusqu’au monte charge. Avoir ainsi près d’elle ce grand objet massif contenant le corps d’Ewan lui donnait froid dans le dos. Ca aurait pu tout aussi bien être Lewel à l’intérieur, même elle si ça se trouve. Les missions sur des planètes inconnus restent dangereuse, beaucoup avaient tendance à l’oublier. Mais au moins, Ewan était mort au combat, un militaire ne pouvait pas rêver mieux comme fin : même si cette fin en soit doit arriver le plus tard possible bien sure. Au bout de plusieurs longues minutes à soutenir le cercueil, ils arrivèrent près de la camionnette qui amènerait Ewan à destination de l’aéroport. Pour les autres, direction le bus.

Noky resta près de Lewel durant tout le voyage, que ce soit dans le bus ou dans l’avion. Le savoir près d’elle était source d’un grand réconfort. Elle se rendait encore plus compte de la chance qu’elle avait d’être avec lui et de pouvoir encore lui parler aujourd’hui .C’est ainsi que le temps passa très rapidement pour tout le monde, mais ne diminuant pas la peine que chacun ressentait. Noky ne pleurait pas, non, elle l’avait fait avant de partir pour tenir bon jusqu’à la fin de la cérémonie. Elle se devait de garder sa prestance, ne serais-ce que par respects pour les membres de la famille d’Ewan qu’elle allait rencontrer. Sheyffi observait les autres et notamment ceux qui comme elle, faisait parti de la garde d’honneur. Laurent s’était lui aussi porté volontaire, ce qui toucha Noky droit au cœur. Le militaire mort au combat était réellement très apprécié au sein de la base du SGC, le vide qu’il laissait derrière lui ne se comblerait sans doute jamais. Finalement, Noky et les autres furent invités à descendre afin de se rendre chez la famille du sergent.

Pénétrer ainsi dans la maison où Ewan avait vécu était une drôle de sensation. Mais ce n’était rien comparé à la « confrontation » avec ses proches, accablés par le désespoir. Ne parlant pas un mot d’anglais, Sheyffi resta un peu à l’écart et ne salua que respectueusement les membres présents. Les mains dans le dos, elle attendait de voir la suite des évènements. Seule la petite fille aux yeux rougit lui creusait un gros trou dans le cœur. Noky se revoyait en elle, le jour où elle avait perdu sa mère. Elle savait ce que cette petite la ressentait : de la colère, de la frustration, de l’incompréhension= une douleur à l’état pure, comme on en fait plus. Se rapprochant de Laurent qu’elle sentait tout aussi mal à l’aise qu’elle, Noky tenta de croiser son regard, autant pour chercher du réconfort, que pour lui en donner.

Lewellyn n'avait jamais rencontré celui qui gisait dans le cercueil qu'on lui avait confié d'escorter comme il se devait. Il n'avait jamais non plus eu à remplir une telle obligation que nombre de soldat considéraient comme l'ultime honneur, autant pour eux que pour ceux qui dormait en bière.

Pourquoi lui avait-on confier cette tâche ? Il l'ignorait, mais il se devait de faire preuve de la plus grande déférence pour et envers tous les présents, surtout les morts, et se promit d'être aussi irréprochable qu'il lui était possible, d'autant qu'on lui avait annoncé qu'il porterait le cercueil ! Ce n'était pas le moment de se prendre les pieds dans le tapis. Toutefois, il craignait d'être distrait par la présence de celle qu'il aimait tant...

Il s'apprêta donc en conséquences et se rendit au lieu de rendez-vous avec la plus grande ponctualité, étant allé jusqu'à s'entraîner la veille pour connaître les secondes précises le séparant de l'endroit où il devait se rendre afin d'en pousser la porte très exactement dix secondes avant l'instant I !
Cela pouvait paraître étrange à qui l'observait, autant que cela pouvait sembler une arrivée tardive auprès de ses collègues, toutefois, pour lui, cela avait une signification précise : une forme de ritualie qui lui était proche...

Après avoir quitté le SGC dans des mesures sécuritaires dignes d'un convoi présidentiel, il put constater qu'il était encore loin d'avoir tout vu, tentant au maximum de minimiser sa surprise afin de garder une mine affable et stricte.

Pour qui le connaissait un tant soit peu, l'attitude du scientifique était des plus étrange ! Il ne disait pas un mot, ne regardait aucune femme – pas même celle qui habitait son cœur – pas plus qu'il ne parlait. Il restait droit, statique et rigide... tout le contraire de son habitude.
En fait, il prenait la tâche plus à cœur qu'il ne l'aurait cru, même s'il ne ressentait rien de particulier pour la situation ou celui qui en était à l'origine.

Il faisait exactement ce qu'on lui demandait, ne prononçant pas un mot qui lui soit expressément attendu, pas plus que le moindre geste à côté de ce qu'il se devait !
Il restait concentré, durant ces longues heures, pensant à chacun de ses mouvements avant même des les effectuer.

Jill avait été choisie pour participer au cortège d'honneur. Elle avait vêtu son uniforme de cérémonie pour l'occasion mais le moral n'y était pas du tout. Elle avait déjà rencontré Ewan plusieurs fois et le courant était bien passé entre eux. Même si ils n'étaient pas proches, Jill savait très bien que cet homme était un grand et que la moindre des choses était de lui rendre un dernier voyage comme il se devait...

Lorsque ce fut l'heure du départ, Jill sentit son coeur se serrer et les larmes monter. Elle savait qu'elle ne devait pas craquer. Il fallait qu'elle soit forte. Tout le monde se mit en route vers l'aéroport et leur avion décolla en direction d'Oxford.

Une fois arrivés, le cortège et des membres du SGC arrivèrent à la maison des parents d'Ewan. Le nombre de personnes qui s'y trouvait était impressionnant. Ewan devait sûrement être quelqu'un d'apprécier. Jill qui pour le moment arrivait à contenir ses larmes, ne put s'empêcher de retenir ses larmes lorsqu'elle vit la petite fille qui se trouvait dans un état pitoyable. La journée allait être très dur et riche en émotions. Depuis le décès d'Ewan en mission, le climat au sein du SGC n'était plus le même. Le projet venait de perdre un de ses piliers, une équipe avait perdu un membre, des personnes avaient perdu un ami et une femme avait perdu l'homme qu'elle aimait...

Sans un mot, Jill attendait près du cercueil et présenter ses condoléances à la famille.

Faith avait reçu l'ordre de rejoindre la garde d'honneur du Sergent Ranks avec un certain pincement au coeur.Elle ne connaissait pas cet homme mais elle avait enterré trop de proches à son goût et cela lui rappellait de très mauvais souvenir l'enterrement de son propre époux.Elle passa donc des heures à cirer ces chaussures , à briquer les insignes et à amener et ramener son costume de sous-officier de marine au pressing.Elle était l'un des rares marins au SGC et elle devait être le seul soldat à ne pas être médaillé et le seul brevet qu'elle portait était celui de l'initiation au parachutisme militaire.Elle arriva donc avec dix minutes d'avance au lieux de rendez vous ou un major aussi bardé qu'un placard de génèral soviétique les attendaient.Il inspecta Faith et le reste de la garde d'honneur avec minutie puis ils purent quitter les sous-sols pour la surface ou ils durent se soumettre au contrôle de sécurité qui était plus que draconien et frôlait la paranoia.Puis ce fut le départ d'abord en bus pour se rendre à l'aéroport puis l'avion jusqu'à Oxford et de nouveau le bus.Faith sentait la tension montait tout le monde était mal à l'aise de participer à une telle cèrèmonie mais personne ne voulait la louper.Et plus elle se rapprochait et plus elle se sentait proche de la famille du Sergent Ranks apprenant par un tel qu'il lui avait donné des cours de français qu'il était né à Liverpool apprenant par un autre à qui il avait appri à tirer qu'il entretenait une idylle avec une femme du SGC.

Si bien que quand Faith rentra dans la maison de la famille d'Ewan elle se sentait faire elle aussi parti de cette famille et d'avoir perdu un cousin éloigné dont on lui avait telment parlé qu'elle aurait pu être élevé avec.L'ex-femme d'Ewan et sa fille était accablée de chagrin , Faith ne comprenait que trop bien ce sentiment et le voire dans les yeux d'une petite fille lui ravageait le coeur.Mais pour cette petite fille et pour l'ensemble de la famille d'Ewan elle se devait de tenir le coup et de se montrer sous son meilleur jour.

Constance avait accepté les gardes du corps. A contrecœur, il fallait bien avouer, mais elle devait reconnaitre que c'était plus prudent ainsi. Elle connaissait l'une des deux femmes parce qu'elle faisait partie des équipes SG, ce qui ne la rendit pas plus bavarde pour autant durant le trajet. Elle semblait s'être renfermée dans un silence imperturbable qu'elle ne brisait que pour les formalités d'usage. Elle songea qu'elle devait avoir l'air sinistre, mais après tout, c'était de circonstance.

Ils finirent par arriver chez Ewan et elle dut faire un effort sur elle même pour rester... les enterrements lui rappelaient de bien trop mauvais souvenirs, comme à nombre d'autres personnes probablement. Cela dit, parmi tous les membres du sgc, elle connaissait Ewan un peu plus que d'autres, elle se souvenait l'avoir entrainé lorsqu'il était arrivé et l'avoir recroisé à plusieurs reprises. La fillette qui essayait de ne pas pleurer acheva de la déprimer mais elle continua à présenter ses condoléances en gardant son sang-froid. Pas le choix... Elle n'allait pas se mettre à pleurer, elle n'allait pas craquer, c'était hors de question. Elle allait juste faire ce pour quoi elle était venue et en rester là. Et surtout ne plus penser à Ewan et à tout ce qui aurait pu faire qu'il évite la mort... ressasser ne servait à rien.

[hrp : bon j'ai enfin posté, désolée si c'est pas très détaillé, n'attends pas trop mes post micka je rattraperai quand je pourrai]

Au dernier moment, Mathilde avait failli se dérober et ne pas assister aux funérailles de son ennami de coéquipier. Elle ne l'avait jamais aimé et savait que c'était réciproque, pourtant indépendamment du fait que sa disparation devait faire souffrir mille morts à Roxanne, la jeune femme regrettait la mort du SAS. Il était un MIB lui aussi et il l'avait accueilli dans ce qui était maintenant son équipe. Son équipe... James muté on ne savait où, maintenant Ewan qui rejoignait la longue liste des gens morts au champ d'honneur... Les anciens étaient partis, il ne restait plus que les deux nouvelles, G et A. Parel avait fait un passage éclair, et elle ne se rappelait même plus de son visage le pauvre, quand au nouveau... Quel était son nom déjà? Bel... Bel... Elle ne s'en souvenait plus et à vrai dire s'en fichait, même si c'était affreusement injuste.

*Mais pourquoi suis je venue?! Il me détestait, je ne connais même pas sa famille. En plus je ne peux rien leur dire vu que tout est classifié... Peut être puis je encore me faufiler jusqu'à l'aéroport en catimini...*

Malgré sa tristesse et son embarras, on ne pouvait rien remarquer sur son visage affichant une expression de circonstance comme elle avait dû faire depuis qu'elle était toute jeune.
Elle laissait passer son tour, retardant l'inévitable le plus possible, se faisant toute petite dans un coin, ce qui n'était pas très difficile étant donné son gabarit, lançant de furtifs regards vers la sortie la plus proche. Quoique son tailleur et son pantalon noir, sa chemise blanche et les lunettes noires qu'elle avait gardé le plus longtemps possible tranchaient avec les uniformes et lui donnaient l'aspect d'un agent d'une agence en trois lettre, détail qu'elle n'avait absolument pas prémédité soit dit en passant.
Elle ne pouvait pas partir, quelle équipière serait elle si elle laissait Roxanne dans un moment pareil? D'ailleurs, où était elle? Au milieu de tous ces géants, Mathilde n'y voyait pas plus loin que le dos des premières personnes devant elle aussi, chercher et trouver sa supérieure n'allait pas être une mince affaire.

*Et si elle s'était enfuie en douce? Après tout, se présenter devant la femme de son amant, même s'ils étaient séparés... Et puis ce cercueil... Nous savons bien toutes les deux qu'il est vide... foutus serpents!*

Maître du jeu Nombre de messages : 278 Date d'inscription : 05/10/2008

La famille d'Ewan écouta le général présentait ses condolèances qui était on ne peut plus protocolaire et donc cela manquait cruellement de chaleur humaine , mais étant son rang et les devoirs qui allaient avec elle ne pouvait pas s'embarrasser de regrets ou d'autres choses dans ce genre.Quelques minutes plus tard quaters soldats du SGC vinrent apporter le cercueil du Sergent Ranks et le général se chargea d'expliquer à sa mère et à son ex-femme que par respect pour la mèmoire de ce dernier il était impossible d'ouvrir le cercueil.Elle ne donna pas plus détails laissant l'imagination de la famille faire son travail sur ce qui avait pu arriver.Les quatres soldats déposérent le cercueil dans le salon installèrent le drapeau anglais et une photo du Sergent Ranks en uniforme et ils repartirent aussi sec qu'ils étaient arrivés.La photo était truqué Ewan avait été nommé Sergent à titre posthume et portait les trois chevrons reconnaissable sur sa veste , le cercueil devait même avoir été lesté pour faire illusion et peut être par un autre cadavre.Aucun doute que les services secrets avaient du mettre leur nez dans cette affaire et qu'ils ne seraient pas loin du dit cercueil jusqu'à ce que celui-ci soit en terre.Les membres de la garde d'honneur se regardèrent et deux d'entre eux se dirigèrent au côté du cercueil pour veiller sur la dépouille de leur camarade dèfunt.

L'ex-femme prenait mal cette ingèrence de l'armée française dans sa propre demeure mais elle aussi avait du se plier à certaine contraintes pour son ex-mari et surtout pour leur fille.Cette dernière à la vue du cercueil se leva et sortit du salon par une petite baie vitrée qui donnait dans un jardin.La cèrèmonie prenait des allures de guerre froide et la famille d'Ewan regardait les militaires en chien de faïence , qui eux ne se sentait pas non plus très à l'aise dans cette situation.

MickaËlla s'était méllée à la famille d'Ewan en arrivant et sans trop de difficultée.Il fallait dire que tout le monde avait les yeux sur le général et sur son uniforme et le fait qu'elle soit en civil facilitait à passer inaperçu.Le phènomène s'accentua quand la garde d'honneur et quelques autres personnes vinrent présenter leur condolèances.Les vieux conflits Anglais Français , militaires civils , armée familles s'étaient rèunis en un point et avaient décidé de s'affronter dans un arêne d'un peu plus de 45m².Le général resta très professionel dans sa façon de présenter ses condolèances à la famille d'Ewan et cela ne semblait pas passer aussi bien que prévu mais qu'importait au final le général et le SGC en général n'était pas venu se faire des amis.MickaËlla restait donc avec son orangeade à surveiller les alentours pour s'assurer que la sécurité du général ne serait pas compromise par n'importe quel évènement extèrieur.

Le major Merril n'avait pas été très prècis sur les règles d'engagement en cas d'agression et la raison s'imposait naturellement à l'esprit de MickaËlla.Le major et elle étaient des soldats en mission dans un pays étranger qui s'avèrait être un allié , en cas d'affrontement armé cela serait pourrait être interprêté comme un acte de guerre.De toute manière le major et elle n'avait pas été autorisé à porter une arme durant cette mission.Question de sécurité apparemment.Elle ne voyait pas bien en quoi ne pas pouvoir répliquer en cas d'attaque assurerait la sécurité du génèral.Elle n'avait pas eu non plus le droit à des serviettes kevlars ou ne serait ce à un gilet pare-balles , il s'agissait de fourniture non prèvue par l'équipement et il fallait donc remplir tout un tas de dossier pour espèrer obtenir une réponse avant noël.

Quatres soldats pénétrèrent dans la maison en portant le cercueil d'Ewan , sur le champs elle reconnut les quatres soldats qui avaient emmenés le cercueil dans le camion et l'avait escorté jsuque là.De bons soldats malgré le fait qu'ils aient échoué à l'évaluation pour intègrer une équipe SG.Les soldats repartirent quasiment aussi rapidement qu'ils étaient arrivés laissant le cercueil du Sergent Ranks dècoré sobrement d'un drapeau anglais et d'une photo qui avait du être retouchée.De nos jours il n'était pas bien difficile de rajouter un chevron sur une photo et hop ni vu ni connu , l'important c'est que la famille y croit.La jeune fille d'Ewan sortit quelques minutes plus tard cela devenait certainement trop dur pour elle.MickaËlla regarda immédiatement vers l'extérieur pour être sur qu'aucune menace ne viendrait de ce côté là.Tout semblait normal mais elle rèinspecta du regard par acquis de conscience avant de vèrifier du regard si le major en avait fait autant.

Aujourd'hui était un jour bien triste, le SGC enterrait l'un des membre d'une équipe d'exploration mort en mission. Ce matin là, je m'étais levée de bonne heure, histoire de tout préparer, ma tenue devait être impeccable, JE devais être parfaite. Après tout il s'agissait là d'un hommage à notre frère d'arme et je faisais partie de sa garde d'honneur, se qui était un privilège. Je ne connaissais pas personnellement ce soldat, je savais juste ses états de service, et même si il n'était pas Français, il avait servit la base avec courage et bravoure, c'était donc notre devoir de lui rendre honneur. En me préparant, je sentis une boule se former au niveau de mon estomac. Il en était ainsi à chaque fois que je disais au revoir à l'un de mes frère d'arme, simplement parce que je ne pouvais m'empêcher de me dire que ça aurait très bien pu être moi. Oui mourir au combat était un honneur, mais le genre d'honneur dont tout le monde se passerait bien.

Une fois prête, je rejoignis le reste de la garde d'honneur. Mes cheveux étaient tirés en un chignon parfait, et ma tenue était impeccable, j'avais pris beaucoup de soin à cella, et beaucoup de temps aussi. Je m'approcha doucement du cercueil, observant les autres membres de la garde d'honneur. La plus part je les connaissais de vue, mais à peine plus en dehors des deux membres de SG1 avec qui j'avais participé à l'entraînement. Je n'ouvris pas la bouche une seule fois, que se soit lorsque nous emportions le cercueil jusqu'au véhicule, et même tout le temps du voyage. J'observais le paysage en silence, préférant de loin respecter le silence plutôt que participer aux potins, nous n'étions pas en ballade de santé, et certains semblaient l'oublier.

Une fois arrivé à destination, je n'avais toujours pas ouvert la bouche, et je n'avais pas la moindre intention de le faire pour le moment. Bien sûr j'avais vu MickaËlla en compagnie du général, et c'était rassurant, au moins Parray était parfaitement protégée. Un frisson me parcouru le dos lorsque nous fûmes introduit dans la maison de la famille en deuil. Je n'avais pas l'habitude de ce genre de scène familiale, et s'était très perturbant d'être introduit ainsi, après tout nous n'étions même pas de l'armée britannique. Je ne me sentais pas à ma place, mais ne laissait rien paraître. Mon visage était neutre, et je ne quittais pas ma place, j'étais bien décidée à remplir mon rôle ici.

Une fois le cercueil introduit, je me plaça à côté de la dépouille de mon collègue après avoir consulter les autres membres de la garde d'un simple regard. Nous n'étions pas les biens venu, c'était évident, et ça me mettait parfaitement mal à l'aise, mais ce n'était pas le moment de montrer ce genre de faille, aussi je me cachais derrière mon masque d'indifférence, essayant de ne pas montrer trop de sentiments, mais il était dur de rester de marbre lorsque l'on perd un collègue, même si l'on ne le connaissait que très peu.

Parce qu'il était chargé de l'enquête, Virgile se retrouvait aussi du voyage. Il avait été aussi discret qu'une ombre, ayant voyagé dans un appareil de la DST, mais n'avait cessé de surveiller les agents du programme. On lui avait aimablement attribué une demie douzaine d'agents pour garder un oeil sur la cérémonie et ses participants. La sécurité était assurée par des militaires, mais la surveillance serait de son ressors.
Dans la maison, il ne parla à personne, mais ne perdit pas vraiment de temps. Se glissant discrètement dans les pièces voisines du salon, après tout il le pouvait, faisant partie du dispositif , il glissa discrètement des mouchards aux endroits stratégiques, téléphone, mobilier, ordinateur, etc. Il dut cependant interrompre son inspection car la fille du sergent prenait la clef des champs selon un de ses hommes.

//Ne la laissez pas sans surveillance. Pas de contact, pas d'intervention. S'il y a de l'agitation, vous posez un marqueur et on suivra le tout à distance, le MI5 va nous faire un caramel s'ils apprennent qu'on joue sur leurs plates bandes alors profil bas!//

Revenant dans le salon comme si de rien était, il jeta un oeil sur les gens présents. Quelques membres de la famille et surtout des gens du programme. Et Virgile n'aimait pas ça. C'était un programme classifié et il y avait en ce moment un joli paquet de cibles potentielles pour des services secrets étrangers. Si en plus on devait entrer dans l'équation que le défunt était lui même un espion pour une puissance étrangère, la situation était tout sauf idyllique en ce moment pour Dante et il aurait donné cher pour avoir sous la main une dizaine d'agents supplémentaires et un commando du groupe action. Il doutait de pouvoir compter sur qui que ce soit d'un tant soit peu compétent si les choses tournaient mal. Il y avait bien Strucker qui avait travaillé régulièrement pour l'Etat mais il se demandait si elle ne profiterait pas de la situation pour essayer de le descendre également.

En portant son regard sur le major Merril elle put la voire lancer un regard assassin vers l'entrée du salon à l'endroit exact ou se tenait l'agent Dante du BSPC.Cette oiseau de malheur était venu se présenter à cette cérèmonie pour une raison précise et probablmetn dèsagrèable pour l'ensemble des personnes ici présentes.Personne en dehors du Mjor et de MickaËlla ne l'avait remarqué en ce moment et cette dernière ne l'aurait sans doute pas remarqué aussi rapidement si le major ne l'avait pas repéré.Il devait agir sur ordre de la DST mais en dehors de sa juridiction le territoire français et il devait garder le géneral sous surveillance constante ce qui ne faciliterait pas le travail des gardes du corps du général de ne pas savoir si ils étaient fillés par des services français ou étrangers.Impossible de faire la diffèrence cela mit MickaËlla sur les nerfs surtout qu'elle se doutait que l'Agent Dante en manquerait pas une telle occasion de faire ressortir la vieille rivalitée entre français et anglais même si c'était involontaire.

MickaËlla reporta son attention sur le pèrimètre qu'elle devait surveiller espèrant très fort que tout se passe bien car en cas de coup dur le major et elle n'était pas armé et ne pourrait pas faire la diffèrence entre un agent de la DST et du MI5.Elle n'avait en tout est pour tout sur elle ses mèdicaments et ses habits il lui faudrait compter sur ces capcités.Encore heureux qu'on était dans un pays anglophone et qu'elle parlait un anglais parfait cela éviterait certaine situation gênante.C'est dailleurs ce qui apparemment avait enterriné le choix du major Plummet pour l'affecter à la protection rapprochée du général.MickaËlla vit tout de même une opportunitée à la présence de l'Agent Dante.Ce dernier était en dehors des murs du SGC et en pays étranger il avait intèrêt à ne pas trop la chercher , un accident en mission pouvait arriver très vite et même si il disposait d'agent pour assurer les sruveillances elle savait comment disapraitre et le traquer l'évolution en milieu urbain était son domaine de prèdilection.Elle salivait déjà à l'idée de balancer l'Agent Dante du cinquième étage d'un immeuble pour entendre le bruit sourd de son corps se fracasser contre le bitume près de 15 mètres plus bas.

En voyant la jeune fille du dèfunt Sergent sortir du salon Faith eut un pincement au coeur en pensant à la dètresse sans fond de la jeune fille.Dètresse qu'elle pouvait imaginer sans grande peine et le pire ce que dans ce genre de situation il n'y avait aucun mot qui pouvait consoller les prôches il fallait juste laisser faire le temps en espérant que ce dernier ne rendrait pas le souvenir de l'être aimé pire qu'un poison.Le genre de poison qui vous rongez de l'intèrieur sans aucune pitié , vous faisez telment souffrir que vous aviez que douleur était physique et vous en veniez à espérer que l'être chèr n'est jamais existé.Rien au monde ne pourrait remplacer le père de cette jeune fille et le SGC qui aurait du être un père de subsition pour cet enfant ne se montrait pas plus avenant qu'un hussier de justice venu saisir meubles chien femmes enfants.

Elle ne remarqua même pas la présence de l'agent Dante qu'elle connaissait vaguement de nom et dont elle ignorait tout et dont elle se foutait royalement.Certainement parce qu'elle ne connaissait pas la raison de sa venue au SGC et à cette cèrèmonie sans quoi elle aurait essayé en vain de raccompagner la dites personne jusqu'à la porte prètextant qu'il s'agissait ds'une cèrèmonie privèe et qu'il n'avait pas été invité.

Faith se dirigea elle aussi vers le jardin et une fois dans celui-ci , elle sortit un paquet de cigarette de sa poche et s'en alluma une avec dèlectation sans sembler prêter attention à la jeune enfant qui sanglotait.Faith tira quelques bouffées sur sa cigarette pour laisser la fillette s'habituer à sa présence , elle ne voulait pas la brusquer.

"Tu sais , tu ne devrais pas retenir tes larmes.Surtout pas devant nous.On était très proches de ton père à nous aussi il nous manque."

Faith mentait mais sa douleur était bien réel elle repensait à la perte de son époux qui avait failli la dètruire parce que personne n'avait eu le courage de venir lui parler quitte à essuyer les plâtres d'une douleur immense.

Laurent était mal à l’aise, l’accueil était plutôt glacial mais il ne fallait pas trop en demander alors qu’une mère venait de perdre son fils, une gamine son père, une ex-femme le père de sa fille et peut être encore comme un ami.

Il avait l’impression d’être en trop dans cette maison car il ne pouvait rien dire pour encenser le défunt à part des trucs de militaire qui ne servait à rien dans cette situation assez particulière car déjà il fallait maîtriser parfaitement l’anglais pour engager une conversation sans faire de boulettes et puis il n’avait pas à parler, il avait des supérieurs qui étaient la pour ça.

Du coup, il fit un signe de la tête à Sheyffi qui le regardait avant de s’approcher d’elle pour lui murmurer :

« J’ai besoin de marcher et de prendre l’air, si on me cherche, je suis devant la maison »

Ainsi il se glissa lentement, l’air de rien ou presque vers la porte d’entrée de la maison puis une fois cette dernière franchie et fermée, il respira un grand coup comme pour faire le vide et évacuer cette pression innocente de la famille du Sergent Ranks. Il avança de quelques mètres pour fixer le ciel en ayant à l’esprit ses amis morts pour la France, que ce soit en Afghanistan ou ailleurs dans le monde, les cérémonies avaient été tout aussi triste mais beaucoup plus poignantes car il avait pu parler avec les familles de ses amis alors que la, il y avait un mur de méfiance ou de mépris, quelque chose qui faisait que Laurent n’était pas à sa place.

Après avoir fait les quatre cent pas devant la maison, il alla s’assoir sur un banc et se prit la tête entre les mains en se demandant ce qu’il faisait la puis d’un coup s’obligea à penser à autre chose, un évènement positif alors de suite il se remémora sa rencontre avec Suzanne à l’infirmerie puis dans un des laboratoires. Le voila qui retrouvait un semblant de sourire en songeant qu’aujourd’hui il n’avait pas l’objet de tant de franches rigolades sur lui. Malgré cette bonne humeur passagère, il avait le sentiment d'être observé ou plutôt surveillé, étaient-ce les services anglais ou français qui l'avaient à l'oeil le militaire ? Il commença à lentement regarder devant lui, puis de chaque côté l'air de rien avant de voir dans son champ de vision un type non loin derrière lui.

Noky ne se sentait pas non plus à son aise dans le domicile de la famille d’Ewan. Mais malgré tout elle n’avait pas d’autre choix que de rester là, malgré les regards curieux ou provocateurs, voire accusateurs. La demoiselle avait subit quelques entrainements phycologique pour faire face à ce genre de situation et elle ne comptait pas se laisser déstabiliser aussi facilement. Observant la salle, elle laissa les acteurs principaux parler avec la famille, tout en gardant un œil sur ce qui se passait. Elle était là pour ça après tout. Laurent en revanche avait l’air de moins bien supporter cet aie austère et s’éloigna. Noky ne le retint pas, sachant parfaitement que s’il restait, le jeune homme risquait le malaise.

Restant à sa position, les mains dans le dos, Sheyffi se vidait l’esprit, s’imaginant à un autre moment dans un autre endroit. Elle n’avait rien trouvé de mieux pour l’instant pour tenir face à toute cette pression qui reposait sur ces épaules. La famille allait vouloir savoir ce qui était arrivé à Ewan, mais personne ici ne pouvait dire la vérité. Ce n’est pas tous les jours qu’on apprend qu’on peut voyager sur d’autres planètes et qu’un Extra >terrestre peut vous exploser la tête à tout moment ! Cependant, la rouquine se demandait quel faux prétexte allait être utilisé pour expliquer la mort du sergent. Curieuse, Noky était bien tenté de s’approcher pour en entendre d’avantage, même si l’anglais et elle ce n’était pas trop ça, mais son esprit logique reprit le dessus. Il fallait juste attendre, encore un petit peu : courage.

Matt avait quitté le SGC habillé de noir, simple chemise et pantalon, et avait suivit les autres avec la même mine. Oui il était triste, ce combattant, était un dur a cuire il avait eu l'occasion de le découvrir pendant la chasse aux infectés et ewan avait failli le tuer. Bon ce n'était pas tresréjouissant mais a vrai dire, il ne le connaissait que peu sinon. cependant il avait tenu a être la. D'abord parce que finalement la psy lui semblait gentille, et qu'il voulait être la pour la soutenir, ensuite parce que c'était quelqu'un Ewan. Et que en tant que collegue, eh bien il se faisait un devoir d'être ici. il avait donc suivit tout le monde se taisant surement pour la plus longue période de sa vie, mais quelque chose, le faisait rager, hurler a l'intérieur.

*Ewan est mort en héros la bas avec les Tok-ras, il a défendu sa compagne, et les autres, alors que pourtant il ne les portaient aps dans son coeur, il s'est battut pour la terre...et sa famille n'en saura jamais rien c'est injuste!*

des traits de colere se formèrent sur son visage et ses poings se serrenrrent tandis qu'il suivait les autres. La famille avait le droit de savoir!!!! ils étaient maintenus dans le mensonge, dans l'absurdité et il ne connaissait même pas la véritable cause de la mort de leur parent, c'était inadmissible!. Matt toujours aussi sensible était a deux doigts d'exploser. Il voulait voir la famille, les soutenir, mais il ne pourait que mentir! pourquoi? c'était si...déguelasse. oui il ne trouvait pas d'autres mots ALors plutot que de faire une bourde monumentale, il laissa au groupe un peu d'avance bien que suivant mais il avait peur de ne pas savoir se taire. il le faudrait pourtant.

*Pour la terre, et pour ce que tu as fait Ewan, ne reste pas en vain*

Maître du jeu Nombre de messages : 278 Date d'inscription : 05/10/2008

En tendant l'oreille Sheyffi put entendre la converastion du génèral avec la famille il s'agissait du scènario numèro 4.On prétendait que le soldat mort avait trépassé en testant du matèriel expèrimental qui ferait parti d'ici quelques année de l'arsenal militaire de l'OTAN.Bien sur les causes et les consèquences de l'accident ne pouvait pas être divulgué à la famille mais cette dernière ne pouvait pas voire le corps car celui-ci était mèconaissable.Le cercueil comportait donc bien un cadavre mais pas celui du Sergent Ranks mais celui d'un illustre inconnu qu'on avait préparé pour ressembler un maximum au reste du Sergent Rnaks et ce qui n'avait pas pu être modifié sur le corps avait été modifié dans les fichiers que possèdait les services anglais.Voila ce qu'était le scènario numèro 4 Sheyffi comme tout membre du SGC avait pris connaissance des scènarios mais là c'était autre chose que de le voire en application.

---------------------------------------------------------------------------------------

Dans le jardin la jeune fille et Faith avait engagé un dialogue dans lequel la fille d'Ewan pleurait les trois quarts du temps et posait d'embarrassante question l'autre moitié du temps.

Pourquoi son papa était mort?Pourquoi était il parti loin d'elle?Pourquoi si elle était l'amie de son pére elle l'avait laissé mourrir?

Autant de question auxquels il était dur de trouver des réponses qui puisse être considéré comme bonne.

---------------------------------------------------------------------------------------

Laurent vit l'homme qui l'observait porter la main à sa bouche puis se replier en dehors de la rue et de sa vue mais il se sentait toujours observé.Mais ces derniers se montraient un peu plus professionels et restait dissimuller au regard de Laurent.De qui s'agissait t'il?Certainement du MI5 , pouravoir été envoyé sur le projet porte des étoiles ce dernier devait fricoter soit avec le MI5 ou le MI6.La présence de l'un de ces deux groupes voire des deux étaient quelques stressant pour la suite , leurs chambres devaient être sur écoute et ils devaient y avoir des hommes qui les écoutaient avec des micros canon ils n'étaient donc pas libre de dire ce qu'ils voulaient tant qu'ils ne seraient pas rentré à la base.

---------------------------------------------------------------------------------------

Virgile reçu une communication de l'un de ces hommes lui signalant qu'un homme observait le soldat Campbell et que l'inconnu s'était replié quand le dit soldat l'avait repéré.L'homme de l'agent Dante attendait les ordres de son supèrieur devait il suivre la menace , ou rester en place.En bon agent de la DST il avait eu la présence d'esprit de prendre une photo de l'inconnu restait à savoir qui était ce dernier.

Elle s'était montrée discrête.

Depuis le retour de cette désastreuse mission, Roxanne Gallen n'avait revu personne, n'avait parlé à personne, passant le plus clair de son temps dans son bureau ou dans ses quartiers.

Personne ne savait ce qu'elle y faisait. Elle avait annulé la plupart des rendez-vous pris avec des membres du SGC, au soulagement de beaucoup d'entre eux. Et personne n'avait pris le soin de demander pourquoi elle agissait de la sorte, avant que la nouvelle ne se répande.

Elle avait put donc rester seule, à ressasser ces derniers moments...

Lorsqu'on lui avait dit que l'enterrement se ferait en Angleterre, elle avait simplement haussé les épaules et était repartie. Le pays de sa gracieuse Majesté ou ailleurs, ça ne changerait rien.

Cette cérémonie n'avait pas lieu d'être. Il n'était même pas là.

Pourtant, elle n'avait pu se dérober à la demande du Major. Elle 'était le leader de SG-6, elle se devait d'y être.

Elle avait donc, à contrecœur passé sa tenue d'apparat et à suivre le reste des membres ayant souhaité assister à cette mauvaise plaisanterie. Tout le trajet, elle resta distante et silencieuse, ses yeux dissimulés derrière des lunettes noires. Très différente de la Roxane habituelle.

Elle ne se sentait pas l'envie de parler sous peine de pleurer. Elle avait besoin de tout son esprit pour rester concentrée, pour ne pas faire d'erreurs qui jetterait encore plus de malaise sur cet évènement déjà bien malheureux.

Personne n'était au courant. A part Mathilde et peut être Relnak. Et personne ne devait l'être. Ici, elle n'était que le Sergent Roxanne Gallen, responsable de SG-6 et responsable de la mort de l'un de ses soldats.

Il n'empêchait qu'en arrivant en Angleterre, elle avait peur. Les réactions de tout un chacun l'effrayait par anticipation.

Elle avait eu beaucoup de mal à ne pas partir en courant en voyant son ex-femme et sa petite fille... Et de fait, s'en tenait à distance, sans oser entrer dans la maison. Réellement, elle ne se sentait pas à sa place.

Et les questions incessantes de cette petite fille innocente lui faisaient mal au coeur...

Passé ce coup de blues et devant cette désagréable intuition d’être le centre d’intérêt pour quelques agents en manque d’action, Laurent passa ses mains sur son visage avant de se lever et de vérifier que son uniforme n’avait pas trop bougé durant cette pause pas très protocolaire.

Ainsi, il retourna auprès du cercueil pour permettre à un autre de la garde d’honneur de faire un break, il se rendit compte qu’il y avait beaucoup de monde du SGC dans une si petite maison pour un tel évènement.

Il n’y avait plus qu’à rester fixe, le regard perdu droit devant en attendant que les choses évoluent, soit de pouvoir discuter de tout et de rien avec un autre membre du SGC, soit de passer à la suite du programme mais le temps semblait s’être arrêté.

Par moment, son regard se portait vers ceux s’approchant un peu trop près du cercueil ou posant une main dessus comme un dernier adieu, il surveillait que personne ne l’ouvre car les ordres étaient clairs, il n’y aurai pas de présentation de la dépouille, pour peu qu’il y en ait une mais il n’était pas dans le secret des hauts gradés et ne savait rien de la dernière mission du Sergent Ranks.

Maître du jeu Nombre de messages : 278 Date d'inscription : 05/10/2008

Après une bonne heure entre présentation de condolèances silence et incomprèhension le général prit congé et donc officiellement les militaires pouvaient quitter la maison Ranks sans offensr qui que se soit bien au contraire ils étaient invités à la quitter sauf la garde d'honneur du Sergent Ranks.

La grosse partie des membres du SGC se dirigea donc vers le parking ou le bus les attendaient pour les mener à l'hotel et ils purent voire le général partirent avec ses deux gardes du corps , et son chauffeur qui n'était pas du SGC , dans une sublime Jaguar.Comme quoi malgré les inconvènients il y avait quelques priivilèges sympas à être général.En retournant au bus cette impression d'être observé était de plus en plus pressante il faut dire que l'uniforme d'apparat avait de quoi pas passer inaperçu.

Une fois à l'hotel les membres du SGC eurent l'agrèable surprise que l'ensemble du minable établissement avait été loué rien que pour eux et que des hommes vêtus de costumes noirs assuré la sécurité des abords de ce dernier.A n'en pas douter ilo s'agissait d'Agent anglais qui sous couvert de vouloir mettre en sécurité la délèguation du SGC y voyait un moyen facile de glaner des informations sur le projet porte des étoiles.

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Pendant ce temps les choses ne s'étaient pas arrangés dans la demeure des Ranks la fille d'Ewan était parti se cacher dans sa chambre et Faith eut de la chance de n'avoir à subir que des regards assassins de la part de la famille Ranks qui ne tenait pas à faire de scandale en cette journée mais nul doute qu'ils en feraient part au commandement anglais pour qu'il y ait des répercussions.Même si cela avait peu de chacne d'aboutir le fait de voire tant de colère pointait sur vous avait de quoi être dèmoralisant.

Bien rapidement la Garde d'honneur fut seule dans le salon personne ne venait s'inquiéter de leur besoin ou ne leur avait en cesserait indiqué ou se trouvait la salle de bain.Ils étaient là seule laissait à eux même malgré qu'ils soient plusieurs la solitude en ce moement était bien plus pesante qu'aucun d'eux n'aurait pu croire.

Jill trouvait la veillée de plus en plus longue. Elle n'avait jamais vraiment aimé les enterrements et elle devait bien avouer que si ça n'avait pas été pour un camarade d'armes qu'elle appréciait beaucoup, elle ne serait pas là et encore moins dans la garde d'honneur...

Alors que tout le monde commençait à quitter la salle, Jill sentait que l'atmosphère allait devenir de plus en plus pesante. En même temps, ils ne pouvaient pas se permettre de rire ou autre. Ce n'était ni l'endroit, ni le moment pour ce genre de chose. Qui plus est, Roxanne était présente dans la salle et ça serait mal placé de se comporter ainsi.

Roxanne faisait de la pein à voir et Jill ne pouvait pas s'imaginer être à sa place. Comment réagirait elle si c'était elle qui avait perdu John dans ses conditions. Elle aurait réagi certainement de la même façon que Roxanne même si Jill préférait intérioriser ses émotions.

Alors qu'un lourd silence pesait dans la pièce, Jill fut prise d'une envie naturelle plutôt urgente et personne ne leur avait dit où ils pouvaient trouver les toilettes... Alors que l'envie pressante se faisait encore plus pressante à chaque seconde, Jill commença à se balancer de droite à gauche en essayant d'être la plus discrète possible. Malheureusement, ceux qui se trouvaient dans la même pièce qu'elle, comprirent assez vite ce qu'il lui arrivait. Ne tenant plus, Jill se tourna vers ses coéquipiers et leur demanda en chuchotant.

"Je ne voudrais pas paraître impolie mais j'aimerais savoir où se trouve les toilettes... Je ne voudrais pas inonder cette charmante moquette.."

Jill se sentait mal à l'aise mais c'était ça ou la fuite et elle se voyait mal se faire dessus.

G en vue. La petite baronne avait alors fendu la foule, écrasant quelques pieds au passage sans même l'ombre du commencement d'un prémisse d'excuse et s'était portée à la hauteur de Roxanne. Elle était resté là, sans mot dire durant toute l'épreuve que constituait cette cérémonie.
Rien ne leur était épargné et SG6 en prenait joyeusement plein les dents même si aucun mot n'était échangé.
Les brefs regards que Mathilde avait porté sur Maniel avaient de quoi mettre en déroute toute velléité d'approche. Elle arrivait au nombril du breton, mais dans ses yeux brillaient une rancœur à peine croyable.

Au retour, on les parqua dans un hôtel miteux. Là encore, Mathilde ne lâcha pas Roxanne sans pour autant chercher à lui adresser la parole. Si cette dernière voulait parler, elle le pourrait sinon, eh bien elle pourrait au moins garder un œil sur sa supérieure parce que si maintenant elle affichait le masque de sergent Gallen, Mathilde se rappelait le retour de Maniel et Roxanne comme si cela s'était passé la minute précédente.
En plus ils étaient surveillés par des gorilles des services de sécurité britanniques ou pire, par des espions. Comme James Bond mais en sacrément moins glamour. Il n'y en avait pas un pour rattraper l'autre... Il y avait aussi des gars en noir dans leur propre délégation ce qui devait créer une joyeuse ambiance dehors...

Les invités ou plutôt les personnes du SGC, qui étaient la en pensant bien faire au grand désarroi de la famille Ranks, commençaient à quitter les lieux pour être acheminés à leur hôtel pendant que la garde d’honneur se sentait bien seule malgré qu’ils étaient encore six à assurer la surveillance du cercueil.

Du coup, Laurent essayait de ne pas croiser les regards froids se focalisant sur le petit groupe, en fait il était interloqué devant le dandinement de Jill jusqu’au moment où elle chuchota pour connaitre l’emplacement des toilettes alors Laurent comprit enfin qu’il y avait une urgence et lui répondit en chuchotant :

« Je ne sais pas, en tout cas je te déconseille de faire ça dehors sinon les agents de je ne sais quel service de sécurité vont se régaler en voyant les photos… Tu devrais aller voir par la, j’ai vu des allers-retours de personnes seule donc je pense que les petits coins sont par la »

Il indiqua la direction de la tête dans une légère oscillation de celle-ci accompagné du regard, elle n’avait plus qu’à tenter sa chance entre deux ou trois portes. Cet interlude inattendu brisa le silence et l’immobilisme régnant dans la pièce, s’il avait connu le défunt, il aurait sans doute été discuter avec sa mère pour lui raconter des instants joyeux et peut être même chanter l’hymne britannique qu’il connaissait de part ses origines canadiennes.

Comme il s'y attendait, les fouines du MI5 étaient déjà sur place et ne manqueraient aucune occasion pour ramasser des bribes d'information. quelques uns tournaient un peu trop près des agents du programme, il fallait régler cela au plus vite.

Négatif, nous sommes hors juridiction nous ne pouvons pas agir sans accord. Nous n'avons que la possibilité d'escorter et de protéger les personnes rattachées au programme. Ramenez la brebis égarée dans le troupeau, je ne veux personne hors de vue d'un agent et surtout personne qui va s'isoler dans un coin. vous me gardez un oeil sur les rosbifs.

Il avait la charge de la sécurité de ces personnes mais pas assez de personnes ni de moyens pour le faire. Comme d'habitude. Le fait qu'il s'intéresse à certains plus qu'à d'autre pouvait être révélateur de choses dont il n'avait pas encore connaissance et il se promit de passer le canadien au grill une fois de retour à base.

Enfin tout fut fini et on escorta les agents dans des bus jusqu'à leur hôtel minable au possible. Mais cet hôtel avait l'avantage de permettre des contremesures simples aux tentatives d'espionnage britanniques. Des vibreurs furent installés sur les fenêtres pour court circuiter les micro à faisceau laser et en guise de lutte anti moustique on leur avait posé un générateur de bruits blancs. Mais même avec toutes ces précautions, minimales en fait Virgile passa chaque chambre en revue pour vérifier que tout était sécurisé et chaque personne du programme fut à nouveau briefée:
Pas de sortie en solitaire ou en petit groupe.
Pas de discussion concernant le programme.
Pas d'appel personnel.
Contacter un des agents en patrouille dans les couloirs si quelque chose leur paraissait suspect.
Toujours aussi aimable, il avait passé l'envie de rire à ceux qui avaient osé dire que c'était un peu excessif comme mesures.

quand au général, elle était personnellement escortée par des hommes du service action qui s'ils étaient en civil, n'en restaient pas moins des militaires surentraînés et dotés de petites merveilles dans leur attache-case blindé. Chaque homme avait pour consigne d'empêcher l'enlèvement de l'officier général en charge du programme. En aucun cas elle ne devait être prise vivante et l'agent avait bien insisté sur l'absolue nécessité d'empêcher cela, les soldats comprenant ce que cela signifiait s'ils étaient dans l'impossibilité d'empêcher qu'on leur soustrait le général Parray.