Ewan aida qui il pouvait, accroché telle la grappe, technique utilisée par les commandos pour s'extraire rapidement de situations délicates. Sauf que là, le vent, le froid, les gelures et la cheville foulée n'aidaient pas.
Malgré le vent, et pas sûr que les autres comprennent il hurle qu'il faudrait garder le secret, ne pas parler Russe ou Anglais, espérant qu'avec de la chance, les "Ruscoffs" ne comprendraient pas le français où juste assez pour les ramener à l'ambassade la plus proche.
Dans l'hélico, Ewan regarde les russes, et leur sourit genre merci. Prenant les couvertures de survie tendus par ceux-ci, il enveloppe les blessés. Sûr qu'il louperait pas son rendez-vous THERAPEUTIQUE avec le docteur Gallen, quitte à prendre les commandes de l'hélico.