[HRP: Je viens de voir qu’un « l » c’était introduit dans Kawalsky, faudrait que je face quelque chose pour arranger sa]

La douce voix d’une femme dans une base militaire secrète pour vous réveiller le matin, il y avait de quoi déstabiliser Kawalsky qui avait l‘habitude des voix graves qui vous sortait les matins « debout le dedans ! ». Il prit ses vêtements et s’habilla en quelques secondes et sortit de ses quartiers. Il salua quelques hommes qui passaient des les couloirs jusqu’à arriver à l’ascenseur, il entra dans ce dernier et monta à la surface avec. Arrivé en haut, il eu un frison, à cette heure-là, il faisait froid.

*Les radiateurs sont en panne ici ou quoi ?!*

La recrue arriva dehors et attendit qui viennent se présenter la personne qui l’avait réveiller alors que Jason est censé être en congé forcé.

être réveillé de si bonne heure dès le matin et aussi tôt, c'était plutôt étrange. Mais que ce soit fait par une femme à la voix plutôt âgée derrière la porte, ça fessait un petit bout de temps que se n'était pas arrivé à Gwarius. En maudissant ses paternels il se retourna dans son lit en rabattant sa couverture au-dessus de sa tête. D'une voix étouffée et endormie Gwarius répliqua :

-"mmmh euuuh mâm-maaan laisse-moi dormir ! "

Puis son esprit se déconnecta peu à peu de ses rêves où son subconscient l'avait plongé. Il entrouvrit les yeux. Sa fessait longtemps qu'il n'était plus réveiller par sa mère, et puis après avoir un peu plus retrouvé ses esprits, il se rappela qu'il n'était pas chez lui, mais dans l'espèce de boite à sardines qui lui servait de chambre au sgc. Et après s'être remémoré la voix derrière la porte, il se rendit à l'évidence : se n'était ni la voix ni l'humour douteux de sa mère.

Gwarius se leva difficilement, tout en essayant d'aller le plus vite possible pour s'habiller : il était à l'armée et ce réveil brutal pouvait très bien être une question de vie ou de mort. Les yeux encore éblouis par la lumière et les cheveux tout ébouriffés il sortit de sa chambre et pris la direction de l'entrée de la base. Il marchait comme un zombie et ne calculait pas trop ce qui se passait. Il croisa un type dans le couloir qui semblait avoir été lui aussi réveillé brutalement par la même personne, ce dernier le salua, Gwarius essaya de lui répondre mais il ne parvint qu'à sortir qu'un simple "smmlû" de sa bouche.

Arrivé dans l'ascenseur, il s'adossa contre l'une des parois et ferma les yeux. Il n'avait dormi que 3 ou 4 heures cette nuit, il n'avait pas l'habitude de dormir dans une pièce aussi hermétique et avait mis du temps avant de sombrer dans les bras de morphé, cette nuit.

Le "bip" de l'ascenseur le réveilla et il suivit quelques autres hommes au dehors de la base, où le frisson frais du matin lui donna un petit coups de "peps" malgré que cela ne le réveilla pas entièrement.

Il suivit toujours avec une démarche de zombie les autres militaires, s'arrêtât où ils s'arrêtèrent et attendit tout en retirant des crottes de rhume autour de ses yeux.

Que des mauvaises nouvelles pour cette mission terrienne; des cinglés qui serait prêt à dire « E.T., téléphone maison », deux archéologues à surveiller, et un croissant tout mou et froid ! Jason sortit en second de la jeep, une fois dehors, il bailla un grand coup et s’étira et c’est à ce moment qu’un bruit suspect sortit du corps de Kawalsky; un « Crack » ! Jason fit une petite grimace et se tenu le dos l’espace de quelques secondes.

*Il faudrait que je demande si je ne peux pas changer de matelas, il trop dur l’actuel…*

Une chose était sûr, Jason n’était pas enthousiaste à l’idée d’une mission comme celle-ci; certes, surveiller deux archéologue qui savaient, avec chance, se servir d’une arme de poing, ce n’était pas le réel problème, mais des types qui croyaient au paranormal alors que c’était eux les choses anormaux, surveiller ces types-là, sa c’était une mission difficile. Et puis la recrue ne s’attendait pas à avoir ce genre de mission sur le dos… Cela dit, se faire commander par une femme, sa plaisait à Jason, il n’appréciait pas trop les gars hyper sérieux, musclé et avec un pétard à la bouche qui donne les ordres. Kawalsky préférait les femmes comme le lieutenant, avec se genre de personne, il y avait un minimum de comique qui était accepté. Jason se tourna vers le lieutenant et lui posa une question qu’il allait sans doute regretter.

Mon lieutenant, j’ai rien contre jouer le touriste, certes en uniforme, sur Terre avec deux archéologues à surveiller, mais, admettons, le SG…

Il s’arrêta brusquement de parler, Kawalsky allait dire un nom top secret, il ne fallait pas que sa sorte du SGC.

… hum, notre base est attaquer par… une attaque surprise ! Il faut bien garder des troupes expérimentée avec des années de carrière militaire derrière elle pour repousser l‘ennemie, non ? Bien sûr, je ne met pas en doute la sécurité de la base mais… on ne sait jamais, et puis je sais manier un P90 comme je manie la 306 de mon père. Non, sa c’est une mauvaise exemple… Enfin bref, ce que je veux dire, c’est; pourquoi m’avoir réveillé moi pour défendre deux civils, je ne sais pas, n’y a-t-il donc pas d’autre recrue ? Et puis voyez-vous…

Kawalsky arriva à côté de la jeep et donna deux petits coups de poing sur le capot

…Ceci, cette jeep qui, il a fort longtemps, à crée une avancé technologique pour l’humanité, je connais déjà son fonctionnement; tournez une clé et elle vous fera parcourir le tour du monde ! Bon peut être pas cela car elle a déjà vécu à ce que je vois, mais moi, je suis nouveau dans la base et je connais quasiment rien, je ne sais même pas où se trouve la cafétéria…

Qu’il se plaignait se bon vieux Kawalsky, qu’il se plaignait temps, si il ne serait pas en service, il se serait glisser dans les jambes du lieutenant et aurait pleurnicher pour qu’elle est pitié de lui mais… cela ne restera qu’un rêve trop pour être vrai…

Le réveil fut assez difficile par la voix assez criarde d'une femme qui semblait en pleine forme. Nicolas chercha de quoi s'habiller et pris la direction du lieux de rendez qu'avait crié jeune femme. Arrivé devant le lieux de rendez-vous, l'entrée de la base, d'autre personnes étaient convoqué, comme Nicolas. A en croire ces yeux, il pouvait distingué un militaire et un civil, vraisemblablement, un archéologue. Une jeune femme se trouvait devant eux, à l'entendre parlé, c'est elle qui avait crié dans les couloirs du SGC. Elle se présentait comment étant le Lieutenant Fordin. Nicolas arriva juste au moment au celle-ci leurs demanda d'embarquer dans un véhicule pour se rendre quelques part. A priori, le pourquoi de la convocation ne semblait pas venir de la base. Nicolas grimpa dans le véhicule sont l'intonation du Lieutenant. Après que tout le monde fut monté à bord, le Lieutenant nous fit sont petit topo. A en croire ces dire, il y aurais des rumeurs qui tourneraient à st faycelles sur un objet qui se serait écrasé non loin du village. Nicolas semblait un peu perplexe à l'idée de cette mission surtout sur son utilité. Qu'est ce qu'un archéologue pourrai bien apporté dans ce genre de situation ? Nicolas écoutait toujours les directives du Lieutenant qui expliquait d'une façon assez peu commune. De plus elle ordonna au militaire de surveillé les 2 archéologue, Nicolas et Gwarius. Nicolas écoutait d'une oreille le Lieutenant et son collègue archéologue lui...

-"Ce type, j'ai pas bien retenu son nom, mais je suis pas sûr qu'on va s'en faire un bel-ami... "

Nicolas avec un air un peu fatigué répondit à son collègue...

"Tout à fait d'accord avec toi, je sens que lui n'est pas du style à perdre le nord ! "

Nicolas avait un peu un air de blazé en regardant son collègue. Le fait d'être surveillé ne lui plaisait guère mais bon à priori on nous laissait guère le choix.

Anne récupéra son sac qu'elle plaça sur son dos, pendant qu'elle écoutait Kawalsky déblatérer. Au plus il avançait dans son discours, au plus la vieille femme grimaçait. Elle était vraiment surprise par ses propos. Les mains sur les hanches, les yeux plissés ne quittant pas sa proie, elle s'approcha et répondit :

« Kawalsky, … Le croissant serait-il mal passé ? Depuis quand envoyons nous des troupes expérimentées pour si peu ? Est ce que vous voyez des méchants affreux jojos dans les parages ? Et avez vous vu la taille de cette soit disant attaque ? Elle n'est pas plus grande qu'une balle de golf ! ... Vous jouez au golf Kawalsky ?... Parce que vous devriez ! Vous êtes beaucoup trop à cran, ça vous détendrait de pouvoir swinguer de temps en temps ! Après avoir accompagné ses paroles d'un rapide swing dans le vent, elle lui asséna une tape amicale sur l'épaule. De toute façon, vous n'avez pas de P90 en votre possession. Nous sommes de simples touristes à St Faycelles, rentrez vous ça dans le crâne mon lapin hein ! La seule chose que je vous demande c'est d'user de vos charmes pour soutirer des informations à la belle boulangère. Parce que je doute fortement que les miens fonctionnent. Sur ce, hop ouvrez la marche ! »

Elle fit un pas en arrière en lui indiquant la direction à prendre, puis tourna la tête vers ses deux autres poulains, en leur adressant un petit sourire :

« Dîtes donc mes p'tits tourteaux, vous ferez connaissance plus tard si ça ne vous dérange pas, on a du pain sur la planche pour le moment ! Et avec le sourire Bellamy, ce n'est pas le bagne non plus ! »

Elle n'attendit pas qu'ils se manifestent, et prit aussitôt la direction du village. Rapidement, ils arrivèrent devant les premières maisons, aucun bruit à l'horizon, les rues étaient plutôt désertes. Seuls s'agitaient les petits commerçants. L'épicier sortait ses cagettes devant la vitrine, quant au boulanger il remontait à peine la grille de son commerce.
Anne stoppa sa course quelques instants pour donner les dernières consignes, à l'abri des regards :

« Bien, deux commerces. Donc on se divise en deux ! Étant 4, le calcul est vite fait... Bellamy, Kawalsky, vous prenez la boulangerie. C'est le bon vieux du village qui s'en occupe, avec sa charmante fifille. Faîtes vous passer pour deux grands touristes perdus, mais des touristes curieux !
Deschain, vous venez avec moi ! L'épicier vous plaira davantage, j'en suis certaine.
On se retrouve ici même à la sortie ! Et Kawalsky n'en profitez pas pour filer durant mon absence, Bellamy je compte sur vous. »

Une fois les instructions données, Anne fit signe à Deschain, et prit la direction de l'épicerie.

Du côté de la boulangerie, le commerce vient juste d'ouvrir, le bon vieux et sa grande fille mettent tout en place dans la vitrine. L'épicerie elle, est en route depuis un bon quart d'heure. Et pendant que le père range les cagettes, le fiston tient déjà la caisse.

*Jouer au golf… mais bien sûr, autant faire un swing vers une autre planète…*

Kawalsky soupira un grand coup avant de se retourner vers Bellamy, se dernier regardait Jason comme si sa vie dépendait du militaire. Jason croisa les bras et attendit quelques secondes avant de se manifester.

-Bon et bien, mon cher, si je dois garder un œil sur vous, je vous demanderai de bien vouloir passer devant. A et, pour avant, je vous présente toute mes excuses si je vous ai vexé, mais si je n’ai pas mon café le matin, je suis de mauvais poil.

Le militaire attendit que Bellamy passe devant. Il sentait que cette mission serait très monotone et le seul moyen pour lui de faire passer le temps était de penser à ces missions à venir sur d'autres planètes; découvrir des civilisations, affronter des ennemies. Même à son âge, Kawalsky était un grand rêveur qui allait se réfugier dans ses rêves des dans situations identiques à celle qui pouvait vivre aujourd'hui.

*Vivement que je quitte cette planète…*

Il fallait que sa tombe sur le vieux Kawalsky, lui qui n’aimait pas trop posé des questions, Bellamy lui portait le coup de grâce. Une chose était sûr, Jason n’avait juste envie d’une chose; quitter ce fichu civil qui pourrissait son matin. La boulangère salua Bellamy et Kawalsky, après cela, Jason s’avançait et commença « l’interrogatoire ».

- Bonjour madame, veuillez nous excuser de vous déranger si tôt, mon… ami et moi sommes des touristes, on a fait le déplacement jusqu’ici pendant cette nuit pour voir si ce qui à été montré sur internet est vrai. Il paraîtrait qu’un O.V.N.I. se soit crashé dans les parages, vous pouvez nous en dire plus, nous vous en serons très reconnaissant.

Le militaire souriait à la boulangère puis, il tourna la tête en direction de l’archéologue et le visage de Kawlasky se changea, il passa de l’être joyeux à l’être qui ne voulait que la mort d’un individu.

*Je te retiens, toi. Me refais plus sa, mon p’tit gars, tu as encore des années devant toit et si sa trouve, on risque d’être dans la même équipe SG. Attention, p’tit gars.*

Jason tourna à nouveau la tête en direction de la boulangerie cette fois, le militaire pouvait voir et sentir l’odeur des bons croissants venant de sortir du four. Dans ces moments-là, en sachant qu’on a mal mangé le p’tit déjeuner, il est difficile de se retenir et pourtant, c’Est-ce que devait faire Jason.

[HRP: Quand je dis que Jason veut la mort de Bellamy, j'abuse, hein. ]

Nicolas dévorait son pain au chocolat avec envi. Il avait d'ailleurs donné envi à Kawalsky. Celui-ci opta pour le croissant. Une grosse voix, assez forte se fit entendre dans la petite boulangerie. Apparemment cela devait être le gérant, voir même le père de la boulangère qui semblait très jeune. A en croire ces dire, tout cette histoire serait folle. Sa comparaison à Alf fit sourire Nicolas. Nicolas laissa Kawalsky se charger de discuter avec le vieux monsieur et Nicolas se r avança au niveau de la boulangère. Il l'a regarda et lui dit avec sympathie...

"Nous venons de Boston moi et mon am... collègue. Nous avons fait pas mal de route c'est vrai. Donc vous avez eu des échos d'un éventuel crash. Intéressant tout ça ! Et vous seriez ou exactement l'appareil se serait crashé ? Des villageois ne seraient pas venu ce matin avant nous vous parlé de ça ? "

Nicolas essaya de rassembler un maximum d'info sur cette évènement. En effet il devait en savoir un maximum comme l'avait ordonné le lieutenant Fordin. Nicolas avait remarqué l'entrée d'un petit garçon dans la boulangerie. Kawalsky rassura le garçon d'une façon bien militaire, à croire qu'il avait déjà pré-enregistré le message. Kawalsky m'adressa la parole sur la façon de mangé qu'avait eu Nicolas. Il regarda Kawalsky d'un air un peu moqueur et ajouta ...

"Les jeune adultes ! C'est bien le genre de réflexions que pourrai me dire mes parents ! ça fait un peu vieille france quand même la Kawalsky !

Nicolas aimait bien jouer avec les nerf de Kawalsky, le taquiné un peu car il avait l'air de bien prendre la mouche.

[ HRP : Ah on veut jouer à ce petit jeu Gwarius Je me vengerai ! ]

Épicerie :

Le jeune apprenti épicier était arrivé tout souriant, il allait passer à la TV, il allait pouvoir raconter haut et fort ce qu'il avait vu, tout le monde le croirait enfin … Ce fut une grosse déception quand il vit seulement deux journalistes, sans micro, ni caméra, ni quoique ce soit qui fassent réellement journaliste. Il écouta cependant avec attention ce que le jeune homme lui demanda, puis après un moment de réflexion, lui répondit sans réelle enthousiasme :

« J'peux vous montrer où j'étais quand ça c'est passé. Mais pas un mot au daron, je n'étais pas sensé être là bas c'soir là. »

Il jeta un dernier coup d'œil dans l'épicerie, pour vérifier que son père n'était pas dans les alentours. Puis il passa devant les journalistes, en adressant un regard perplexe à la femme, quand il s'aperçut qu'elle n'avait pas enlevé le cache de l'appareil photo.
Le lieutenant Fordin le regarda passer avec de grands yeux, se demandant ce qui clochait. Avait-elle un truc sur la tête ? Un truc entre les dents ? … Ses yeux s'arrêtèrent sur son appareil photo, et l'air complètement désespéré, elle enleva le cache, tout en murmurant à son coéquipier qu'elle soupçonnait déjà en train de sourire :

« Pas de commentaires Deschain. »

Le jeune garçon les fit marcher 5 bonnes minutes, à travers les petites rues du village, puis stoppa sa course sur une petite place pavée, avec une fontaine au milieu, des maisons tout autour...

« Donc j'tais là, faisait bien nuit, puis un truc est apparut dans le ciel là bas, au dessus de cette maison là, et est passé au d'ssus de la place, en direction de cette autre maison là bas... Sais pas si c'était une illusion ou truc du genre, mais il m'avait pas l'air bien haut ce truc ! »

Il avait dit tout ça en indiquant soigneusement avec ses mains dans quelle direction il était parti.


Boulangerie :

Le gérant de la boulangerie avait l'air vivement intéressé par les propos de ces jeunes gens. Ils avaient l'air sérieux dans leur délire, ça changeait un peu des hystériques qu'il avait croisé récemment. Mais ça ne changeait par contre pas l'avis du patron : tout ce qui se rapportait aux petits hommes verts n'existait pas.
La grosse voix du boulanger s'éleva de nouveau, pendant que sa jeune fille, elle par contre s'intéressa plutôt au petit garçon qui attendait sagement derrière, prenant son boulot à cœur.

« De Boston ?! Ben dis donc, ça rigole pas chez vous ! Et on vous paie combien pour ça ? Vous avez perdu votre temps les jeunes, personne ne prendra cette histoire au sérieux ! Chacun a ses dires ici, et les pauvres photos qu'il y a sur le net, suis pas certain qu'elles soient authentiques si vous voyez ce que je ... »

Il fut coupé dans son élan par un bruit clinquant. Le petit garçon derrière, désirant sortir ses sous de sa poche pour payer son pain au chocolat, venait d'en faire tomber la moitié par terre.
Devenu soudainement tout pâle, il jeta des regards inquiets à toutes les personnes présentes, puis s'abaissa doucement pour ramasser ce qu'il venait de perdre.
Et à y regarder de plus près [ HRP : Si vous aidez ce pauvre petit garçon tout mignon à ramasser ses pièces ], il n'y avait pas que des pièces. Il y avait également une sorte de médaillon sur lequel le petit garçon s'était jeté en premier pour récupérer.

[ HRP : Si un de vous deux parvient à le ramasser avant lui, les inscriptions sur ce médaillon vous sont totalement inconnues. Il est en bois, et assez altéré. Je vous en ferai un beau dessin la prochaine fois ]

[HRP : ]

Il allait leur montrer ou ça c'était passé ! On ne pouvait pas rêver mieux pour découvrir cette fameuse chose, si tenté soit-t'il qu'il y ai vraiment quelque chose. Gwarius assura le jeune garçon qu'il ne dirait rien à son père et entreprit de le suivre. Ce petit avait l'oeil ! A peine était-t'il passé devant Fordin qu'il remarqua la présence douteuse du cache devant l'appareil photo qu'elle tenait. Heureusement en tout bon enfant qu'il était il ne dit rien, et poursuit son chemin. Gwarius sourit et entreprit de faire un commentaire moqueur au lieutenant Fordin, mais à cet instant même, comme si elle avait lu dans ses pensées elle lui murmura discrètement :

Citation :

« Pas de commentaires Deschain. »

Ce qui eu pour effet de faire rire Gwarius plus qu'autre chose, heureusement, et avec toute la peine du monde le jeune archéologue parvint à contenir quelque peu son hilarité et n'en laissa sortir qu'un petit pouffement. Tendit qu'ils suivaient le jeune garçon Gwarius observait les alentours inquiet, il espérait qu'il n'y aurait pas trop de monde qui pourrait les voir. En effet trois personnes marchant ensemble, chacune se trouvant dans une génération d'âge différente, dont d'eux d'entre eux totalement inconnus au bataillon pouvait bien paraitre suspect et suscité des doutes. Heureusement mit à part les alentours des commerces il ne semblait pas y avoir grand monde à l'extérieur, en même temps il était encore tôt. Arriver à ce qui était semblait être la place du village ils écoutèrent le récit du gamin en déchiffrant tant bien que mal son accent. C'était plutôt vague, même venant de la bouche d'un enfant. Gwarius réfléchit en se demandant quelle serait la meilleure manière de poser ses questions à un enfant sans que sa paraisse trop compliqué. Après un petit instant de réflexion il dit :

-"Ouah, cool ! Et c'était comment ce truc ? Il y avait des lumières avec ou bien du bruit ? Et sa avait plutôt l'air de voler ou de tomber ? "

Boulangerie :

Le petit garçon s'était empressé de ramasser ses pièces, cherchant éperdument autre chose des yeux. Il n'avait pas vu que cette chose là, était à présent dans la manche de l'homme qui s'était abaissé pour l'aider. Cependant il le soupçonnait fortement. Et ses doutes furent fondés lorsqu'il surprit le clin d'œil. Ça ne prouvait strictement rien, mais pour un petit garçon qui vient de perdre son trésor, tout est bon à prendre. Il se redressa en même temps que son principal suspect, dévisageant au passage son collègue, ainsi que les deux boulangers. Que faire ?
La réponse fut vite trouvée. Alors que la conversation reprenait son cours entre le gros boulanger et les deux touristes, le petit bonhomme s'approcha discrètement de Kawalsky par derrière, leva son pied, et lui donna un violent coup dans le genou. Il avait vu ça dans les films de ninja le matin même. Qu'est ce qu'il aimait ces ninjas.
Kawalsky, qui ne l'avait pas vu venir, sentit passer le coup, même si ce n'était dû qu'à un pauvre petit être innocent. L'enfant avait espéré qu'en le surprenant et en le faisant fléchir un peu, son trésor réapparaisse. Et c'est ce qui se produisit. Son médaillon tant aimé tomba de la manche de Kawalsky, et le petit garçon le récupéra aussitôt avant de prendre ses jambes à son cou, déambulant à toute vitesse dans les rues, semblant savoir exactement où il allait. Futé le gamin, futé …


[ HRP : Vous n'avez d'autres choix que d'y courir derrière Ça vous apprendra à détrousser un pauvre bambin ! ]



Sur la place :

Anne Fordin venait de jeter un regard perplexe à son coéquipier. Quel âge avait-il déjà ? Elle était bien consciente qu'il se mettait à la hauteur de son interlocuteur, mais vu de l'extérieur, la scène était quelque peu grotesque. Elle esquissa un sourire pendant que le fils de l'épicier lui était bien trop occupé à donner des indications sur ce qu'il avait vu. Tout content que quelqu'un le prenne enfin au sérieux.
Ce dernier était en train de répondre à Deschain quand son attention se tourna vers un petit garçon, traversant la place en courant. Anne Fordin l'observa de loin, se demandant quelle mouche l'avait piqué de courir aussi vite, et aussi tôt de bon matin. Il disparut très vite dans une ruelle de l'autre côté. Mais ce ne fut pas tout, deux hommes apparurent aussitôt à leur tour, à l'endroit même où le petit garçon était apparu quelques secondes plus tôt. Le visage d'Anne se décomposa alors d'un seul coup, quand elle reconnut … ces deux zigotos de Bellamy et Kawalsky. Elle resta quelques secondes complètement stoïque, en train de les regarder courir eux aussi, vers la ruelle empruntée par le gamin, puis prit le taureau par les cornes assez rapidement :

« Très bien fiston, merci de tes indications, on passe te revoir plus tard ! Mon collègue et moi avons besoin de marcher ! Puis ignorant totalement le jeune garçon dès qu'elle eut terminé, elle s'adressa immédiatement à Deschain.
Deschain, avec moi, on rattrape vos abrutis de collègues qui jouent au loup, c'est parti. »

Elle aurait volontiers hurlé le nom de ces deux autres coéquipiers pour les arrêter dans leur course, mais elle ne souhaitait pas avertir tout le village de leur présence non plus. Puis ils avaient l'air plutôt conscient de leurs gestes, avaient-ils trouvé quelque chose ?
Le lieutenant débuta sa course à toute vitesse, et malgré son âge et sa corpulence, elle se débrouillait plutôt pas mal. Cependant elle s'arrêta aussitôt quand elle entendit un bruit sourd derrière elle. Elle se retourna, et put constater que Deschain était par terre. Il avait du s'embroncher dans un des pavés relevés de la place.

« Vous ne voulez pas non plus que je vous porte Deschain ?! Bon sang, si jeune et si incapable de tenir sur ses jambes, c'est du beau ça ! »

Elle attendit qu'il se redresse et arrive à sa hauteur pour reprendre son sprint en direction des deux autres loulous.

[ HRP : Vengeance ]



[ HRP :Kawalsky et Bellamy, vous ne parvenez pas à mettre la main sur le gosse. Cependant vous le rattrapez suffisamment pour le voir entrer dans une maison, comme celle ci, sur votre gauche :

Spoiler:

Deschain, accompagné de Fordin en rage, arrivent quelques secondes plus tard. Tâchez d'être convaincants devant le lieutenant ! ]

Gwarius écoutait le jeune garçon raconter son histoire sur ce truc étrange. Il fournissait un nombre de détails incroyables, qui pour Gwarius laissais peu de place au mensonge ou à quelconque farce. Ces rumeurs avaient-t'elles des chances d'êtres véridiques ? Si tel était le cas il y avait fort à s'inquiéter sur la garantie du secret de la porte des étoiles. Heureusement le garçon ne semblait pas être du genre à s'imaginer toutes sortes de scénario hollywoodien, ni de colporté tous les faits "bizarres" de la région. Il décrivait simplement ce qu'il avait vu, pour lui s'était anodin, il en parlait sur le même tond qu'on pouvait parler de la pluie et du beau temps qu'il ferait demain. Cependant, Gwarius ne retint pas grand-chose du récit du bambin. En effet son attention avait été détournée par un autre petit garçon cette fois très jeune qui traversa la place en courant à toute vitesse. Ce genre de truc n'était pas rare chez les petits enfants, ça joue, ça court partout, ça braille... sauf que celui-ci n'avait pas vraiment l'air de jouer. Vu le tint pâle de son visage et la vitesse où il courait malgré ces toutes petites jambes, on pourrait croire qu'il avait le diable aux trousses.

Mais le plus bizarre c'est que ses poursuivants n'était autre que Kawalsky et Bellamy, et les deux compères n'avait pas l'air de faire un simple footing.


Gwarius entendit Fordin dire au jeune garçon qu'ils avaient besoin de marcher, et demanda à Gwarius de la suivre. Il voulait bien lui, mais pourquoi ne pas les appelé plutôt ? Et il y avait aussi le jeune garçon, on avait accordé de l'importance à son histoire, laquelle avait plutôt intérêt à ne pas être prise au sérieux. Il ne fallait pas le laisser avec cette impression d'avoir prit au sérieux son histoire, aussi Gwarius avant de suivre le lieutenant dit rapidement au petit sur un tond ironique :


-"ahaah ! Et bien si ce que tu dis est vrai les avions volent décidément de plus en plus bas ces temps çi ! "

Ces mots prononcés il partit à la suite de Fordin. Vu la vitesse avec laquelle elle courait, la vielle, il n'aurait pas de mal à la rattraper ! Il était très fort à l'école en course à pied, particulièrement au 100 mètres où il savait démarrer au quart de tour, comme une flèche doublant tout le monde dès le départ. Il était un peu mauvais en revanche en endurance, mais sur les courtes distances il grattait tout le monde. Ca oui, il allait lui en mettre plein la vue à Fordin, il se voyait déjà la doublée à toute vitesse, lui fessant volé les cheveux sur son passage.

**Par le sombrero de Speedy Gonzalez, Par les baskets de Sonic le hérisson, faites-moi franchir le mur du son ! ** pensât-'il tout en s'élançant dans un nuage de poussière.

Il courut donc, après avoir pris un de ses meilleurs départs. Seulement il ne pû prendre plus de vitesse : son pied droit buta dans une dalle dès la première enjambée, Gwarius perdit l'équilibre et s'étala de tout son long à plat ventre, dans un nuage de poussière. Il se releva complètement déçu, il n'avait rien, mis à part son pied qui s'était tordu lorsqu'il avait buté dans la dalle. Il était peu-être parti un peu trop vite sur ce coup.

-"Pavé de mer-deux de coup-ouilles de crapaud de bord d'elle de zut ! " maugréa-t'il tout bas.

Ses louanges à la qualité de l'architecture du village furent interrompues par la voix du lieutenant qui évidemment l'avait vu tomber. Ca donnait bien un air professionnel, bravo ! Gwarius courut doucement cette fois en essayant de ne pas trop s'appuyer sur son pied droit. Dernier arrivé, il rejoint la petite troupe qui semblait s'être arrêté prêt d'une maison. Gwarius ne savait pas si le gosse était entré dedans ou s'ils avaient perdu leur trace, mais il s'en foutait, il était trop occupé à compter les battements de son coeur qu'il ressentait à travers ses orteils.