Syrenna était pres de la jeune femme. mais la réponse du major l'énerva. et elle se rendit compte de ce qu'elle avait dit précédemment, seulement a ce moment précis elle s'en fichait, une vie humaine était en jeu, et l'homme s'en fichait éperdumment ajoutant que c'était une mission et rien d'autre. OUi mais avec possibilité de sauver quelqu'un il ne comrpenait donc pas??? elle s'en fichait de l'entrainement si elle pouvait sauver une femme. enfin bon Alison voulu ramener le calme donc elle esseya de se calmer, ce qui ne l'empécha pas de dire cequ'elle pensait même si sa voix était plus calme.

-je vous assure qu'on ne vient pas du meme milieu major... votre terre préfere la gloire a la vie et pourrait sacrifier des vies pour l'argent, pas mon monde.

encore une fois elle ne mesurait pas la portée de ses aproles mais elle se désinteressa de l'homme, préférant, s'occuper de la mission comme le faisait remarquer tres justement alison, la plus calme dans l'affaire et qui de surcroit avec perdu des affaires.

- je peux aussi la porter, et tout le monde le peut, on fera des roulements, mais es ce que quelqu'un a un équipement qui pourait la protéger du soleil un peu plus?

elle avait fait mentalement son inventaire et ne possédait rien de tel, quand a alison, elle prit de son sac ses rations de survie, enfin deux part et lui donna.

- tiens j'en ai pour 6 jours moi.

elle sourit a la jeune femme la remerciant par la meme occasion d'avoir calmer les choses, puis elle se leva se demandant comment transporter la jeune femme, il n'y avait rien qui puisse faire office de civiere dans le coin? donc ça serait sur le dos, et les femmes n'allaient pas tenir longtemps. elle cherchait un moyen de transport...mais elle ne trouvait pas.

Le major écouta l'intervention de la petite syrenna qui une fois de plus dèmontrait qu'elle avait comprit de travers le but de l'exercice et les intentions du major.Il était important que chacun comprenne ce qui était attendu d'eux et il ne s'agissait pas de devenir des surhommes ce qu'on volait c'est qu'il y ait un dèclic qui se fasse là haut.Et on aurait beau leur expiquer pas des lustres cela ne prendrait forme que quand ils en auraient bavé ensemble.La preuve on avait passé presque un an à leur expliquer et cela n'avait rien donné.

"Ici les origines de chacun n'ont aucune importance.Ce qui importe c'est ce que vous êtes.Vous êtes un membre du SGC et ceci est votre mission à vous de juger ce qui est important mais cessez de compter sur les autres pour faire ce choix à votre place.Vous voulez faire honneur au SGC écrire ces lettres de noblesse par un comportement irrèprochable alors faites mais ne comptez pas sur moi pour vous passer la brosse à reluire car vous avez intègré ce programme c'est ce qu'on attendait de vous.Etre les meilleurs , être parfait c'est votre travail.Et ça n'est pas individuellement qu'on arrive à ça.Alors si mademoiselle est pas capable de se fourrer ça dans le crâne , ainsi que le fait que notre monde est désormais le sien et que notre est la sienne et que ça famille est ici elle peut prendre son baluchon et foutre le camps sur le champs elle n'a rien à foutre ici."

Le major en plaisantait pas une fois de plus dailleurs cela ne semblait pas son fort preuve en était le kit d'instruments de mesures qu'il venait de prendre à Christopher et qu'il venait de mettre dans le sac qu'il avait confié à Billy.Mais pendant ce temps Syrenna partageait ses rations avec Alison et christopher fabriquait une civière aidait par Chad et Luc.Quand celle ci fut prête ces deux derniers portèrent la civière à la tête tandis que ceux qui la portait à l'arrière se relayèrent sauf Billy qui semblait trop éprouvé par le port du sac et le major qui ne tenait pas à s'impliquer.Au bout de deux heures de marches dans le désert les deux groupes arrivèrent en vue d'un village la joie n'éclata pas dans le groupe mais d'un coup tout semblait plus léger et plus facile et le groupe reprit son avance vers le village tout le monde suant à grosse gouttes et trainant le pas plus ou moins sauf le major qui marchait toujours de son pas de mètronome et Billy qui s'écroula à une vingtaine de mètres du village extènué.



Le peu d'habitant qui devait vivre ici chantait , certainement en travaillant se dirent Alyson et Syrenna c'était quelque chose de normal cela donnait du coeur à l'ouvrage égayé la maisonnée berçait les enfants.Unz chèvre famèlique regardait les soldats prgessaient tout en ruminant deux trois morceaux de ronces.

[hrp : à moins que je ne reposte d'ici ce soir (m'enfin bon... ) ce sera mon dernier message avant lundi. Jusque là, vous pouvez considérer qu'Alison se remet difficilement de la promenade et vous suit comme un zombi.]


Alison qui commençait à en avoir par dessus la tête de Billy fut soulagée de voir que le reste de l'équipe fonctionnait normalement en s'entraidant. Elle remercia Syrenna pour ses rations et les rangea, tout en se retenant pour ne pas demander à la jeune femme ce qu'elle entendait par "son monde". D'accord, elle était sympathique, mais un peu bizarre...

Puis la marche redémarra, sous un soleil accablant. Comme les autres, Alison porta un moment la civière, but quelques gorgées d'eau par ci par là qui lui semblèrent bien dérisoires... elle avait plutôt envie de vider sa gourde d'une traite.

Deux heures plus tard, elle haïssait la chaleur, le sable, le soleil, le désert et tout ce qui pouvait se rapporter à ce qu'elle vivait. Elle avait une furieuse envie de demander une pause et elle ouvrait la bouche pour le faire quand ils arrivèrent en vue d'un village. S'arrêtant de suite, la jeune femme reprit son souffle tout en observant. Elle avait déjà vu ce genre d'habitation : sommaires mais pratiques.

" Ça... me fait penser... à un village indien... d'Inde évidemment... "

Non, elle ne pensait pas à des tipis... mais elle avait vu ça étant gamine il y avait quelques années. Les mains sur les hanches, elle essayait toujours de reprendre une respiration normale. Visiblement elle était épuisée. Elle cligna des yeux pour arrêter de voir danser des petites étoiles et ajouta :

" J'entends pas... j'entends pas ce qu'ils chantent. "

Sous entendu, je ne peux pas dire si je comprends leur langue ou non. Elle se tourna vers les militaires d'un air las :

" Que fait-on ? On y va tous ? "

Valait-il mieux rester groupés, se séparer au cas où, à moins qu'ils n'aient rien à craindre de villageois, ou alors on considérait qu'ils étaient sur une autre planète et qu'ils pouvaient vénérer le goa'uld du coin ou alors... Toutes ces idées tournaient vaguement dans la tête d'Alison mais avec le mal de tête qu'elle avait attrapé à marcher en plein soleil elle n'était plus vraiment en état de les ordonner. Bon, les militaires étaient là pour dire comment gérer la situation, alors elle, elle essaierait de refaire surface lorsqu'il y aurait le premier vrai contact avec les villageois. Elle attendit, debout et le regard dans le vide, que les autres veuillent bien prendre une décision.

Ah non, pas moyen de comater en paix, il fallait bien faire équipe, et avec tout le monde... elle jeta donc un coup d'œil vers Billy, lui intimant d'un air neutre :

" Allez debout... on est arrivés. "

Neutre, totalement dans le vague, parce qu'elle n'avait plus assez d'énergie pour lui en vouloir ni pour avoir pitié de lui et encore moins pour l'aider. C'était juste une constatation, histoire qu'on n'oublie pas un membre de l'équipe le nez dans le sable - ça aurait fait mauvais effet.

Syrenna comme tout le monde porta un moment la civiere et d'ailleurs elle fit un énorme sourire au jeune homme qu'elle aimait Chris puisque les parties venaient de lui. elle surveilla a ce que la jeune femme ne soit pas trop exposée au soleil pendant la marche.
D'ailleurs elle repensa au paroles du major...mouais non elle ne comprenait pas tout, mais elle n'avait rien dit déja que Chris avait perdu ses instruments de msesure par sa faute et elle s'en voulait. Donc marche et tais toi: telle est l'attitude qu'elle adopta. Bientôt fatiguée d'ailleurs car le soleil tapait et la marche ce n'était aps facile, encore moins que pour les militaires, plus habitués.
Et bientot ils arriverent en vu d'un village! Syrenna ne erdit pas son sourire qui s'accentua et elle frappa eême des mains doucement, heureuse de voir s'approcher un éventuel endroit de repos ou même de soin pour la jeune femme avec eux. Alors ils avancerent a nouveau. et ils chantaient la bas.

"je n'entends pas non mais c'est assez entrainant...."

et elle semblait qu'un poids lui tombait des épaules quand soudain derriere elle elle entendit un son sourd. Billy venait de tomber. Le pauvre...alors Alison lui ordonna presque de se relever, et Syr' la trouva dure. Elle s'approcha de Billy et lui tendit un peu sa gourde. La jeune extraterrestre suffrait moins de la soif que les humains....étrange mais par contre elle craignait bien plus le froid. une génétique similraire avec des points différents.

"Tiens je n'ai presque rien bu"

elle sourit puis puisque il avait enlever le sac et qu'il ne restait pas énorme a marcher elle le prit sur son dos et tant pis si c'était lourd, il ne restait que quelques metres. Elle donna sa main a Billy pour l'aider. elle n'était pas rancuniere pour deux sous et avait déja oublié les disputes de tout a l'heure

"aller viens tu vas pouvoir te reposer et on va peut etre trouver comment la soigner"

elle désigna la jeune femme sur la civiere. puis elle se mit a marcher la main dans celle de Billy pour l'encourager, comme une petite fille. le sac était drolement lourd, a son gout, mais ils arriveraient bientôt...Syr' était impatiente d'esaayer de parler avec ces gens, mais vu que personne n'avait décidé de qui y alalit ou si ils se déplaçait tous, elle attendit pres des autres, en observant la chevre avec un sourire

Après que Chris ait terminé la civière pour qu'ils puissent porter la jeune femme, Alison l'aida à la porter puis fut ensuite remplacée par Syrenna. Jill qui ne savait pas trop quoi faire c'était placé en tête du peloton et ouvrait la marche de façon à surveiller les alentours et à pouvoir protéger ses coéquipiers s'il le fallait. Au bout de plusieurs mètre, Jill entendit un bruit derrière eux et lorsqu'elle se tourna, elle remarque que Billy venait de tomber sous le poids du sac à dos. Elle vit Syrenna allait lui porter secours. Jill sourit et prit la place de Syrenna à la civière.

Au bout de quelques minutes, ils arrivèrent aux abords d'un village. On pouvait entendre des chants. Apparement, ils débarquaient en plein milieu d'une fête ou autre. Jill se tourna alors vers Chris et lui fit signe de poser la civière.

"Je propose d'y aller avec Syrenna ou Alison pour commencer. Suivant comment les choses se passent, je viendrais vous chercher.... ou pas..."

Elle retira ses lunettes de soleil et prit son arme à pleines mains juste au cas où. Elle attendit l'avis de Christopher car après tout, c'était lui le leader donc ce n'était pas à elle de prendre de décisions. Mais elle savait que si ils débarquaient tous, ils allaient sûrement leur faire peur et ça allait compliquer les choses.

Le major regardait son petit groupe évoluer et il fallait dire qu'il préférait ça à l'attitude de dèpart.Chaque membres de l'unité commençait à intégrer des notions de confiance d'entraide sans même le réaliser.Le major avait vu ce phènomène particulier se produire une fois de plus sous ses yeux et il fut toujours aussi ému et fier de voire des hommes servants sous le drapeau tricolore lui faire honneur de la plus belle des manières.Il se dirigea vers Billy et fouilla dans le sac que Syrenna portait et sortit le chargeur de FAMAS de Jill et les rations d'Alison.En lançant le chargeur à Jill il commenta.

"Ca c'est pour votre comportement exemplaire avec la femme que vous avez trouvé dans le désert."

Puis du même geste il rendit ses rations à Alison commenta toujours ses actes.

"Et ça pour l'esprit d'équipe dont a fait preuve Syrenna."

La règle qu'il avait instauré avec donc quelques subtuilitées et chaque bonne action vous permettez de récupérer le matèriel confisqués.Le major savait ce qu'il faisait et savait dans quelles jeux certains allaient s'essayer de s'aventurer et il savait comment y mettre les haut là rapidement.

Mais à l'heure actuelle les archèologues pénétre dans le village escorté par Jill le chant reste toujours aussi rythmé et plein de joie.Jill remarque assez rapidement que le chant vient du toit d'une maison en en faisant le tour l'archèologe et Jill tombe sur une femme entrain de réparer le toit de ce qui doit être sa demeure tout en chantant.

Spoiler:

En voyant elle demande aux deux jeunes femmes :
(Seul l'archèologue comprend)

"Vous êtes venues pour épouser mes fils?Mais ou sont vos péres?Et vos familles?Vous êtes bien pâles , vous êtes malade?"

Rien dans sa voix ou dans son attitude ne semblait montrer une quelquoncque vèllèitée envers les deux femmes.

Syrenna se rendit compte du malaise de Billybien que un peu tard, et réalisa seulement maintenant que son comportement pouvait paraître bizarre. Cependant elle était enfant dans l'âme donc elle ne voyait pas forcément le mal. Ceci dit, elle alla pres de Jill dés qu'ils eurent rejoint le groupe et Syrenna fut bien heureuse que le Major rende les rations a Alison et le chargeur a Jill. Il était donc gentil au fond. Il eut droit a un sourire de la jeune femme qui se proposa du même coup pour aller voir les indigènes.

"c'est une bonne idée, attends je viens avec toi Jill. Euh..enfin si ça ne dérange pas Alison"

Mais elles finirent par se mettre en route. Et le village se rapprochaient. Syrenna était heureuse d'être avec sa grande soeur, mais était miraculeusement calme. enf ait cela venait du fait, que elle voulait se comporter bien devant des étranger. Elles aperçurent une femme. sur son toitelle réparait en chantant. Syrenna sourit comme toujours, et son attitude n'avait rien d'agressive. faisant un pas en avant de Jill elle vit que la femme allait parler et la laissa faire. Elle mit quelques temps a trouver la langue et donc la traduction correcte. mais elle répondit dabord a la femme, dans la même langue bien que cherchant ses mots.

"pardon Madame...non...rien de tout ça...nous avons une femme blessée...inconnue...vous pourriez nous...aider?"

elle avait eu du mal a trouver ses mots, ne s'étant pas préparée a cette langue mais elle espérait avoir été compréhensible. Puis venait le temps de la traduction, donc elle se tourna vers Jill avec un grand sourire.

"elle croyait que nous voulions nous marier avec ses fils...mais je lui ai expliquer la situation..."

Et syrenna se tut, elle il ne restait plus que la réponse avait parler doucement a Jill.

La femme descendit du toit de sa demeure avec souplesse et s'avança vers les deux jeunes femmes.Elle faisait une tête de plus que Jill qui culminait déjà à 1mètre80 et c'est d'une voix pleine d'assurance qui devait avoir l'habitude de mener sa maison à la baguette qu'elle prit la parole.

"Faites venir la femme dans ma maison."

Le reste du groupe pénétra dans le miniscule village pendant que la femme allait puiser de l'eau au puits toujours en chantant.Elle revint avec une cruche et rentra dans celle ou la femme bléssé avait été déposé et qu'elle avait désigné comme étant la sienne.En voyant la msytèrieuse inconnue la femme fit de grands yeux et lui découvrit le visage avant de s'adresser au reste du groupe.

"Ondo anabe?namani adda.namani adda."

Le ton était clairement interrogatif mais la femme ne parlait plus dans la même langue un peu comme un informaticien qui vous expliquerait le fonctionnement des "hard-wares".

Voyant que personne ne semblait comprendre ce qu'elle disait , elle reporta son attention sur la femme blèssé et commença à lui humidifier le visage et les lèvres.Puis elle lui fit boire un peu d'eau.Elle se retourna vers le groupe ignorant leur suplique , leur demande et leur remarque comme une mère ignore un enfant capricieux.

"Que les hommes attendent dehors."

Puis elle commença à déshabiller la jeune femme pour rèhydrater l'ensemble de son corps et la laver.Son avait été sans réplique et gare au mâle qui resterait fut ce t'il Billy , Major , ou extènué.

cherchez dans vos dico les archèologues vous dècouvrirez après 20 petites minutes de recherches que la femme vous a parlez en Berbère et vous disez que la femme que vous avez sauvé est une "[color=darkred]princesse du désert" : namani adda = littèrallement fille du Roi.]

Syrenna écouta les propos de la femme et rameuta avec Jill la troupe des deux équipe ainsi donc que leur invité. Apperemment cela ne génait pas le moins du monde l'étrangere, et vite la jeunefemme fut installée das sa maison. Mais quand la femme revint, tout le monde présent, elle parla dans une langue imcompréhensible...Syr' fronça les sourcils se remémora la phrase et se tourna vers Alison. Puis les hommes eurent ordre de sortir et Chris une idée. Syr le regarda.

"allez y mais n'emmene pas alison, on doit trouver ce que cette femme a voulu dire, elle avait l'air si étonnéeet je n'ai pas mes dicos. si on est deux on ira plus vite."

elle sourit et aida alison dans ses recherches dans les dictionnaires, elle devaient y etre plongées depuis un moment déja maintenant, mais syrenna ne troouvait pas, pourtant ça lui disait quelque chose tout comme surement a Alison mais elle cherchait et ne trouvait pas. Elle s'inquiétait pour la santé de la jeune femme inconnue.

Alison observa les environs tandis qu'ils avançaient dans le village. Elle avait cru reconnaitre un style indien, mais il y avait également un mélange de cultures africaines et d'autres influences qu'elle n'avait jamais vu nulle part ailleurs. Un régal pour une archéologue, elle aurait aussi bien pu tout lâcher pour vivre ici quelques mois. Enfin, il y avait leur hôtesse qui leur parlait dans un français impeccable avant de prononcer des mots qui lui firent froncer les sourcils. La langue lui disait vaguement quelque chose mais elle n'aurait su dire quoi et encore moins la traduire.

Elle hocha la tête à la demande de Syrenna et sortit sa compilation de dictionnaires. Commencèrent les recherches sur cette mystérieuse langue, jusqu'à ce qu'Alison fasse un grand sourire à Syrenna, une vingtaine de minutes plus tard :

" Yes ! Je l'ai, c'est une langue berbère ! Ça me disait quelque chose, parce qu'avec l'hébreu et... enfin bref, voyons voir ça. "

Encore heureux qu'elle ait une bonne mémoire pour se souvenir de mots inconnus et encore fallait il isoler chacun des mots prononcés par cette femme. Elle réfléchit quelques secondes, chercha quelques mots, avant de lâcher un peu surprise :

" Fille, roi, fille de roi. Cette femme, est une princesse apparemment. "

Elle haussa les épaules ne sachant qu'en conclure, surtout que son mal de tête ne voulait pas passer.

" Qu'en penses tu ? "

A vrai dire elle était tellement fatiguée qu'elle se moquait un peu de ce qu'il en était. Maintenant, tout ce qu'elle voulait c'était boire à volonté et quitter cette maudite planète. Vu que de toutes façons elle n'aurait pas le temps d'étudier ce peuple, autant repartir au plus vite en priant pour que l'environnement suivant soit moins hostile.

La femme déshabilla la princesse du désert , qui portait un bijou en or blanc qui en de fil comme un collier lui enlaçait délicatement le corps , puis à l'aide du chiffon imbibé d'eau commença à lui faire une toilette et à lui réhydrater la peau.Elle lui humecta les lèvres à plusieurs reprise et força la jeune princesse au corps de dèesse à boire quelque gorgée.Celle-ci semblait aller mieux et même si elle n'était toujours pas réveillé , elle réagissait aux stimuli extérieur elle était donc en bonne voie pour s'en sortir.

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Pendant ce temps les hommes qui étaient à l'extérieur commençaient à inspecter le village et ses alentours.Dans le village on trouvait un puits un enclos pour les animaux un poulailler un grenier et plusieurs habitations.Il devait y avoir à peu près une dizaine d'habitant dans ce minuscule village , les militaires ayant opéré en afrique estimait plutôt la population à un trentaine.Le niveau technologique était aussi élevé que ce qu'on pouvait trouver dans une tribu massai.Apparemment les gens de ce village commerçait peu et vivait simplement.

Quand ils firent le tour du village ils purent voire un nuage de poussière se diriger vers eux , en observant à la jumelle Luc put que voire que le dit nuage était soulevé par des cavaliers qui se dirigeait à bride abbattu dans leur direction.Sur le champs le soldat suisse prévint ses collègues et leur ordonna de se tenir prêt et d'aller prévenir les femmes de ce qui se passait.Deux minutes plus tard tout le monde sauf la présence venait voire qui serait au village dans quelques instant.La vieille femme ne parut pas s'inquiéter plus que ça de la situation et elle accueillit les cavaliers comme elle avait accueillit les équipes SG.L'hospitalitée semblait être une chose importante dans ce monde.Les cavaliers mirent pied à terre et celui qui semblait le chef jaugeait le groupe des tauris à la manière d'un épervier pendant que l'un de ces guerriers allaient s'assurer de l'état de santé de la princesse.

[Hrp : les archèologues : De ce que vous comprenait de la conversation entre le chef des guerriers et de la femme.C'est que les cavaliers étaient la recherche de la princesse et que le chef des guerriers a demandé à un d'entre eux de vérifier si celle ci allait bien.Ils sont plus intrigués par les tenues que vous portez qu'hostile à votre égard.]

Alison finit par ressortir, rassurée sur le sort de la "princesse". Elle-même commençait à se sentir bien mieux, rien que le fait d'avoir été à l'ombre arrangeait son mal de tête. Syrenna et elle furent averties que du monde arrivait et elles allèrent voir de quoi il retournait. Les cavaliers qui arrivèrent ne semblaient pas hostile à son grand soulagement : ils n'avaient pas besoin de soucis supplémentaires.

" Bonjour. " dit-elle simplement en berbère sans s'imposer.

Écoutant les conversations, elel finit par traduire aux autres à mi voix :

" Ils cherchaient la femme que nous avons trouvé, c'est une princesse du désert ou quelque chose comme ça. Ils veulent vérifier qu'elle va bien, elle a l'air d'être importante pour eux. Bon... Que fait-on ? "

Ce n'était pas à elle de prendre ce genre de décision, mais, maintenant qu'ils avaient aidé la femme, ils avaient tout de même un entrainement à poursuivre. Donc l'idée première était de se ravitailler en eau et de se reposer un peu avant de repartir. Bien sur, Alison aurait aimé passer ici quelques mois pour en apprendre plus sur cette culture, mais vu que c'était de toutes façons exclu, autant retourner à ce pour quoi ils étaient venus.


[hrp : billy ne postera plus, syrenna et jill sont parties en vacances, Chris si tu pouvais reprendre ce serait bien sinon, on ferait mieux de faire avancer]

Alison était ennuyée, la question de Christopher était on ne peut plus judicieuse. Elle délaissa l'observation de la dague - qu'elle avait bien pris garde de laisser à Chris vu que c'était lui qui l'avait reçue, elle ne voulait pas risquer l'incident diplomatique - et haussa les épaules, expliquant :

" Honnêtement, je n'en sais rien : ces gens ont l'air d'avoir un grand sens de l'hospitalité et refuser de rester pourrait effectivement les offenser, d'autant que Syrenna et moi maitrisons très mal cette langue, nous risquons de mal formuler ce que nous voulons dire, c'est difficile de faire passer les nuances, on en est au stade de "nous contents mais nous partir". "

Elle jeta un oeil à Billy qui avait eu le plus de mal à suivre et reprit :

" Cela dit, je crois que maintenant qu'on s'est un peu reposés et qu'on a pu récupérer de l'eau, il vaudrait mieux repartir plutôt que risquer une indigestion de je ne sais quoi, je sais de quoi je parle. "

C'était bien beau de partager la nourriture locale, mais elle savait par expérience qu'il valait mieux prévoir quelques jours de remise en forme au cas où, après avoir tenté de nouvelles expériences. Là, ils n'en avaient pas vraiment le temps...

Restait le risque pris en partant maintenant... néanmoins, elle décida après avoir bien préparé ses phrases de tenter de d'expliquer leur situation. Elle commença par remercier leurs hôtes et comme l'avait demandé Chris ajouta que c'était un honneur d'avoir sauvé la princesse. Puis elle expliqua les raisons de leur présence et insista sur le fait qu'ils étaient relativement pressés. Elle fit en sorte de terminer en laissant la possibilité à leur hôtesse de les garder pour la fête en ignorant le fait qu'ils soient pressés, ou d'accepter de les laisser partir. Il n'y avait plus qu'à voir si elle s'était bien faite comprendre.

Les bèdouins semblèrent surpris de la requête des deux équipes SG , ils essayèrent de comprendre ce qui pouvait être si important pour qu'ils quittent aussi rapidement leur hôtesse.Y avait il des vies en jeux?Avaient il besoin d'aide?Faire cela pour une course leur semblait quelque disproportionnée et c'est donc plein de question qu'ils laissèrent partir ces étranges voyageurs bien préssé d'affronter de nouveau les affres du désert pour arriver les premiers au chappai.

Les deux équipes repartirent donc à travers le dèsert quittant le maigre confort mais l'excellente ambiance du petit village pour se battre contre le désert.Le point positif c'est qu'ils avaient pu reconstituer leur rèserve d'eau et était parti avec des gallettes de millet.Elles n'avaient aucun goût mais disposer d'une grande valeur énergètique exactement ce dont ils avaient besoin.Le guerrier leur avait également donné une espace de cacahuète qu'il leur avait dit de jetter dans le feu quand il prendrait le temps de se reposer.Le major quand à lui avait donné ces provisions d'eau de nourriture qu'il venait de rècupèrer au reste de l'équipe prètextant qu'il n'était là qu'en observateur et qu'il avait tout ce qu'il lui fallait.

Le groupe avait recouvert des forces et du moral il progressait à un bon rythme à travers le dèsert et bientôt la seconde fut en vue.Et un malp encadré par deux soldats attendaient les équipes SG.Le major ordonna au groupe de se changer mais Billy voulait lui parler en privèe ce qu'ils firent et quand ce dernier revint Billy était resté à une cinquantaine de mètres le major regarda christopher qui lui tendait le poignard.

"Gardez le c'est un cadeau que vous a fait."

Il activa la portes des étoiles et le groupe était le traversa sachant pertinement qu'il tomberait dans un environnement typique jungle amazonienne.La peinture de camouflage et les vêtements kakis pouvaient laissaient un doute mais les rangers spèciales jungle qui laissait l'eau s'évacuer ne laissait aucun doute sur ce point.Et qu'elle ne fut pas la surprise des nèophytes que d'arriver devant un mur de verdure , ou s'entremèlait arbres , lianes , serpents de la taille d'un anaconda et araignée de la taille d'une tête humaine.Le désert ressemblait à une partie de plaisir à côté.Quelque minutes plus tard la porte des étoiles s'activa de nouveau et le major apparut entouré d'autre membres d'équipes SG.Y avait il eu un accident?Ce dernier fit signe aux nouveaux arrivant de prendre place avec les anciens avande de s'adresser à eux.Il n'avait vraiment pas l'air content ses yeux bleus vous faisez frissoner et l'expression de son visage donanit l'impression de parlementer avec un pitbull affamée et la soufflante qu'il avait mit à billy quelques heures plutôt n'était rien de plus qu'une enfantillade.Pour la première fois depuis le dèbut il avait haussé la voix , une voix autoritaire qui vous faisez des frissons dans le dos et on avait l'impression que sil montait encore le son il pouvait vous briser les os rien qu'en vous gueulant dessus.

"Le Docteur Loca a décidé d'abandoner l'entrainement et son équipe.C'est une faute grave et impardonnable.Tout le monde peut faire des erreurs et chacun peut faillir physiquement mais renoncer une fois et vous renoncerez toujours.Le SGC n'as pas besoin de perdant ou de pleurnicheuse alors soit vous abandonnez tout de suite soit vous restez jusqu'au bout.Mais ne faites pas perdre mon temps inutilement , il y a des membres d'équipes SG qui nt besoin de faire cet entrainement pour rester en vie.Alors ma question est êtes vous Membres d'une équipe SG."

Le major attendait une réponse de ces Stagiaires et chacun devinait que celle-ci avait intérêt d'être à son goût sinon ils allaient avoir la désagrèable sensation de découvrir pourquoi on prétendait que le diable ne riait pas en la présence du major.