Mission CEEP2 - SG1/SG3 - Louis

Il devenait de plus en plus difficile de résister à l'envie de vider sa gourde afin de faire taire la brûlure de la soif au fond de ma gorge nouée. Je savais au moins que pour le moment, il m'en restait, et j'avais le grand espoir de trouver de l'eau au village, contre quelques petits tubes lumineux, comme ça tout le monde serait content, moi la première. De grosses gouttes de sueurs trempaient mon chech. Une fois le campement installé, je mourrais d'envie d'enlever mes rangers, j'avais l'impression d'avoir les pieds en feu, mais c'était une très mauvaise idée, surtout avec ce sable qui s'insinuait partout.

Mes gants de cuirs commençaient à être horriblement désagréable, mais hors de question de les enlever, je n'allais pas commencer à me déshabiller, des brûlures seraient bien pire que ça. Je m'installa sous la protection installée par MickaËlla. Les deux heures qui suivraient seraient sans doute dure à supporter, mais nous n'avions pas vraiment le choix. La seule chose que j'appréciais, c'était le silence, personne ne parlait pour ne rien dire, un vrai bonheur. Je restais assis, mais profitant de cette pause pour fermer les yeux et faire le vide, il fallait se reposer si nous voulions terminer cette épreuve dans les temps.

Après une demi-heures, ils étaient enfin parvenus à la dune repérée par Lewellyn.
Celui-ci savait que l'ombre ne serait disponible que pendant encore deux bonnes heures avant de disparaître pour se reformer une demi-douzaine plus tard, ce qui ne leur laissait guère le temps de faire autre chose que de se reposer, mais comment expliquer cela aux autres sans les démotiver plus que de raison ?
Mickaëlla l'interrogea à nouveau. Il l'écouta attentivement, laissant là sa réflexion pour le moment, puis lui répondit lentement.

« Nous sommes en milieu de matinée, le soleil ne faisant que croitre ! Les journées sur cette planète semblent durer entre trente et trente-et-une heures, sans doute autant pour les nuits, mais je ne pourrai en juger qu'apèrs celle-ci tombée et uniquement si le ciel reste aussi dégagé... ce qui devrait nous promettre des nuits pour le moins glaciales ! »

Elle avait commencé à mettre en œuvre des travaux d'un genre original, et lui se doutait que cela ne payerait vraisemblablement guère la sueur dépensée...
Personne n'osait plus prononcer le moindre mot, et c'était sans doute bien mieux ainsi.
Réfléchissant encore un peu, il reprit finalement la parole, assit quelques instants dans le sable paraissant presque frais dans cette ombre comparé à celui qui se trouvait juste à coté.

« Bon, écoutez moi ! Je ne vais pas être très encourageant, mais il vous faut connaître la réalité...
Dans deux heures, cette zone sera en plein soleil, aussi exposée que nous l'étions jusque là ! »

Il marqua une courte pose pour reprendre sa respiration avant de continuer :

« Et elle le restera pendant au moins six ou sept heures. Pas la peine, donc, de nous y attarder jusqu'à la nuit. Qui plus est, nous manquons cruellement d'eau, c'est un fait.
Je connais bien une technique pour se rafraichir par la respiration, mais sans eau, elle est inutile. Par contre, il serait bon de sucer, en marchant, quelque chose de dur et de froid. L'idéal serait des cailloux, mais je n'en ai encore vu aucun à l'horizon. Si vous avez un couteau suisse ou un truc du genre, je ne saurais trop vous conseiller de le garder en bouche pour garder votre salive.
Ah, et – je pense que le docteur Leroy sera d'accord avec moi – contrairement à ce que je fais, éviter autant que possible de parler, économisez l'eau de votre corps ! D'ailleurs, restez bien couvert, même maintenant, et au maximum en plein soleil, quitte a avoir un peu plus chaud... Oui, c'est bizarre, mais c'est comme ça que font les touaregs et autres peuples du désert... J'aime bien les reportages... » ajouta-t'il en souriant, alors que personne ne pouvait remarquer la plaisanterie sur son visage plus que couvert.

Il reprit à nouveau sa respiration et tenta de rester silencieux et d'abaisser son rythme respiratoire afin de s'économiser physiquement pendant cette courte pose bien méritée...

Le leader de SG1 lui apprit que par rapport à la course du soleil ils se trouvaient en pleine matinée le mercure ne cesserait donc de grimper à des tempèratures loin d'être supportable mais heureusement ils étaient à l'abri pour un petit moment.MickaËlla s'était installé sous l'abri de fortune , elle était trempé de sueur et n'aspirait qu'à prendre un peu de repos.Elle s'allongea but une petite gorgée pour attènuer le feu qui lui brûlait la gorge et ferma les yeux si elle arrivait à sommeneller ne serait ce qu'une heures ou deux durant les heures les plus chaudes se serait toujours ça de pris.Le leader de SG1 après un long moment de silence reprit la parole pour leur annoncer une bien mauvaise nouvelle.D'ici deux heures selon ses dires ils allaient de nouveau se retrouver de nouveau au plomb du soleil.MickaËlla se demanda depuis combien de temps ils dètennaient cette information et se retenu de lui demander elle ne tenait pas mettre une mauvaise ambiance dans le groupe et elle lui aurait certainement secoué les puces si elle avait sut à quel point il lui vait fait eprdre son temps et gaspillé de précieuse ressources.Elle fixa quand même le pauvre Lewellyn avec l'envie de lui botter l'arrière train jusqu'à ce qu'ils arrivent aux pieds des montagnes.Elle se tourna vers Rakel pour lui dire ce qu'elle pensait de la situation et prendre ses ordres.

"Il faut pas qu'on tarde à repartir car quand le soleil se pointera son nez par ici on sera dans les heures les plus chaudes de la journée.Le but étant de trouver un endroit ou passer ces dernières on est pour ainsi dire baisé."

MickaËlla avait envie de rester allonger encore un petit moment mais reprendre la marche quand la tempèrature aura encore monté serait un vèritable enfer par rapport à la relative fraicheur dont ils disposaient à l'heure actuelle.Le delta de tempèrature risquait de les user aussi surement qu'une heure de marche.Dans ce cas mieux vallait reprendre la marche tout de suite et voire plus tard pour se reposer dans une zone d'ombre et prendre le temps de manger un bout.En tout cas elle avait confirmation de ce qu'elle pensait sur les scientifiques.Militaires ou non ces derniers semblaient ne pas pouvoir s'empêcher de faires des conneries et cela même au milieu du désert.Matt lui au moins n'avait encore rien fait de dèplorable ou mettant en danger le reste du groupe et c'était déjà un grand pas en avant surtout par rapport à la sotise du leader de SG1 qui avait ommis de préciser certain détails de ces observations ou bien qui n'avait fait son travail qu'à moitié.Cela avait un impact psychologique sur le groupe et même MickaËlla se sentait découragé , fatigué et avait perdu sa bonne humeur sachant que le repos tant attendu serait de bien courte durée par rapport à ce qu'elle avait prévu.

Zoé avait le regard tourné sur le côté, les sourcils froncés. Il y avait quelque chose dans le sable, là-bas ... Elle jeta un regard à ses coéquipiers, personne ne semblait l'avoir vu. Pourtant Matt regardait dans la même direction qu'elle. Elle hésita puis l'interrogea du regard. Quitte à passer pour une folle ...

"Excusez-moi ... Vous avez remarqué que le sable a l'air bizarre là-bas ?"

Bizarre était un euphémisme, c'était carrément flippant. Sans vraiment attendre de réponse, elle fit un pas dans la direction du sable. Entendant la remarque de Lewellyn, elle se retourna vers lui et hocha la tête pour acquiescer.

"L'idéal serait d'avoir un vêtement bleu à porter sur la tête. C'est une des couleurs les plus protectrices contre le soleil."

Elle se retourna vers le sable et reprit, son regard fixé sur l'étrange phénomène.

"Les bédouins s'en sortent comme ça en tout cas ..."

Elle s'avança doucement vers l'endroit où le sable lui paraissait étrange. Il fallait qu'elle aille voir ... Elle jeta un nouveau regard à l'archéologue.

Matt écouta tout le monde, ou plutôt surtout Lewellyn qui se mit a parler comme un moulin puisque il veanit d'oublier certains détails. Sur le coup matt ne dit rien mais il soupira...eh bien oui, ils aspiraient tous a un peu de repos meme les militare et cela semblait compromis, surtout que Matt n'avait aucune envie de repartir, mais encore moins de marcher sous les horaires les plus chaudes de la journée. Il remarqua que Mickaella semblait de son avis. Matt fronça les yeux, pendant que Micka apperemment attendait les ordres de Rakel. Ses yeux le trompaient peut etre mais il trouvait le sable drolement bizarre la bas. Il entendit alors la voix de Zoé qui vit quelque chose et se leva même pour aller voir Il fit de même.

*non je reve la...je deviens encore fou?*

il se retourna pour faire un signe aux autres.

-Puisque on est sur le départ vous pouvez me dire si je débloque ou si je ne suis pas le seul du moins avec le docteur a voir comme des trous dans le sable?

Il s'adressait évidemment a tout le monde, mais il regarda zoé elle aussi le regardait, une hallucination a deux ou bien un réel phénomene bizarre? si il ne révait pas a cause de la chaleur. De toute façon ils n'allaient pas tarder a se mettre en route, mais quand l'archéologue était intrigué il ne passait pas dessus comme celaet son équipe le savait, quand a SG1 ils allaient bientôt le savoir. en tout cas, il ne bougeait plus, certes en plein soleil mais apres tout, ce n'était pas les horaires les plus chaudes, donc autant marcher. il espérait juste avoir donné un minimum de courage aux autres pour se lever, ce qui n'était guere facile dans ces conditions il fallait bien l'admettre. Zoé avait soulevé le bleu...mais ls étaient tous habillé de façon a passé inaperçus dans le désert donc..le bleu n'était pas de mise. il regarda la doctroresse

"si on reve pas c'est quoi d'apres vous?"

Les yeux fermés, j'essayais de profiter un maximum du repos que nous offrait notre abris de fortune, tout en écoutant les paroles du leader de SG1. Soudain un truc me choqua, nous devions nous arrêter durant les heures les plus chaude, ça tout le monde semblait d'accord, mais visiblement cet abris de nous servirait à rien ,et pire encore le Zénith n'était pas encore arrivé. Ne jamais se fier aux autres, j'aurais du vérifier, quelle idiote ! Je jeta un regard noir à Lewellyn, mais à travers les lunettes ça ne se voyait pas, puis je me relevais. Tout le monde ajoutait son petit truc. A la remarque du docteur de SG1 je ne pu m'empêcher de sourire, à notre différence les bédouins avaient l'habitude de ce soleil de plomb et surtout une peau adapté.

"En faite la couleur la plus protectrice est le noir, mais mieux vaux porter un vêtement clair par dessus si vous ne tenez pas à mourir de chaud. Mais nous sommes avant tout en mission, on ne va pas se balader avec des choses voyantes à moins de vouloir se faire descendre par nos ennemis."

Les conseils de Lewellyn, n'était pas plus utile étant donné qu'il n'y avait rien autour, pas un caillou, pas une plante, juste du sable. Et puis sur moi je n'avais absolument rien qui pourrait se prêter à ce genre d'exercice. Il faut dire que j'y mettais beaucoup de mauvaise volonté étant donné que le leader de SG1 venait de nous faire perdre un temps précieux pour chercher un véritable abris. MickaËlla semblait enrager autant que moi, mais ni elle ni moi ne disait quoi que se soit, pas la peine d'engager une guerre entre SG1 et SG3.

"Effectivement on pli bagage cet endroit est totalement inutile et là on perd du temps."

Pendant ce temps les civils semblait avait trouvé de quoi s'occuper, mais pour l'instant j'étais un peu trop occuper à aider MickaËlla à plier le camp et à enrager, même si en même temps je ne pouvais m'en prendre qu'à moi même.

"N'approcher pas trop prêt sans sécurité, le désert est trompeur."

J'évitais de parler trop fort, voir même de parler tout court histoire de ne pas gaspiller ma salive. Il nous fallait un abri durable, et je commençais fortement à douter que nous en aurions un.

Rakel était d'accord sur le fait qu'il fallait reprendre la route le plus vite possible et MickaËlla se mit donc en devoir de replier le filet de camouflage de récupèrer son sac son arme et sa bâche qui n'avait du récolté que quelques goutelletes dont elle préférait se passer pour éviter de mettre son poing dans la figure du leader de SG1.Mais pendant ce temps là les civils plutôt que d'aider s'amusaient à matter les trous dans le sable en se disant tiens ça c'est étrange , comme si ils étaient en voyage organisé avec tour opérator.Il y avait une bonne centaine de coups de pieds au cul qui venait de se perdre en moins de dix minutes.Rakel les mit en garde contre les dangers du désert en affirmant que ce dernier était trompeur et elle avait foutument raison.Dans la nature tout ce qui était beau était dans la majorité des cas venimeux , mortelle et toujours dangereux.MickaËlla ne savait ce qu'était ces trous mais ils devaient être forcèment produit par quelque chose.

MickaËlla venait juste de remettre son sac sur les épaules qu'elle percuta aux réflexions que tout le monde avait pu avoir sur ces trous.A n'en pas douter si quelque chose d'animal vivait dans le coin c'était sous le sable et ce que les civils voyaient été peut être une manifestation d'activitée.Elle se souvenait étant petite de trous du même mais en bien plus petit qui emprisonné les petites fourmis dans le sable de l'ancienne réserve à bois de l'orphelinat.Sans perdre une seconde elle se jetta sur son arme enleva la sécurité et passa le sélecteur de son arme en full-auto le tout en épaulant.

"Ne faites pas de mouvements brusques et ne vous approchez pas trop près du bord."

Sa voix était plus enrouée qu'elle ne l'aurait cru , mais il en était de même pour tout le monde , et c'est d'un pas prudent qu'elle s'approche des fameux trous pour couvrir ces collègues.Dieu seul savait , et certainement le Sergent Hartman , qui avait bien pu faire ses trous et MickaËlla n'était pas préssé de le découvrir et encore moins pressé d'avoir raison.Se faire course par une bête genre requin du désert n'avait rien de bien joyeux ni enviable.

Sentant comme un froid après son annonce, il comprit que son explication n'avait pas été du goût de tous, mais c'était bien prévisible. Ainsi, il se justifia en prenant soin de peser chacun de ses mots et d'économiser au maximum ses paroles :

« Navré, je ne pouvais pas le deviner avant d'être sur place... Il m'aurait fallu être à la verticale de ce lieu pour en juger d'avance !
Toujours est-il que c'était le seul endroit à l'horizon qui nous offrait de l'ombre... »

Là, Zoé et Matt commencèrent à approcher d'une zone qu'ils trouvaient étrange, tandis que Mickaëlla armait son fusil comme s'il s'agissait d'un piège.

N'osant rien dire de plus, il fit simplement signe à Zoé de s'arrêter dans sa progression et s'avança précautionneusement à son niveau pour avoir un meilleur point d'observation, et ainsi tenter d'en savoir plus.
Une fois à ses côtés, il sortit sa caméra et zooma sur la singularité pour essayer d'en apprendre d'avantage...

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Alors que les autres prenaient enfin conscience de la présence de cette étrange formation près d'eux, Zoé et Matt étaient aux première loges. Le médecin avança d'un pas juste quand Micka plongeait vers son arme en leur disant de ne pas s'avancer plus. On put alors entendre un "crac" comme quand on marche sur un gâteau sec. Le sable venait de casser sous le pied de la jeune femme comme s'il était aggloméré par quelque substance. Lewellyn et la para-commando de SG3 purent alors voir sans trop de risque ce qui était à l'origine de ces petits trous. Pour Zoé et Matt, la découverte allait être piquante.
Une nuée de petit coléoptères en sortit et se rua sur les deux civils alors qu'au sol une autre variété d'insecte les aspergea d'un suc à l'odeur assez infecte. Par bonheur pour les deux imprudents, la température sembla vite avoir raison de l'agressivité des bestioles qui se replièrent en moins de cinq secondes, abandonnant derrière elles une bonne centaine de cadavres desséchés. Si les humains craignaient la chaleur, ces créatures la fuyaient comme la peste et seul leur instinct de défense avait dû les pousser à attaquer. Tirer aurait été inutile voire même contreproductif, si le nid était directement ciblé, les insectes verraient rouge et boulotteraient leurs deux victimes avant de se jeter sur les suivants dans une frénésie suicidaire et tirer sur les insectes eux même... Que dire sinon que cela aurait été aussi efficace que pisser dans un stradivarius pour en tirer une sonate.

Bilan, des piqûres sur tout le corps, même au travers du treillis, seules les rangers, le gilet et les gants avaient protégé de façon efficace. C'était vraiment, vraiment douloureux et il faudrait plus qu'un baume apaisant pour faire oublier la dérouillée. La mauvaise nouvelle venait surtout des petites taches sur leurs vêtements et leur équipement, le liquide nauséabond, était en fait une sorte d'acide et déjà le treillis des deux victimes commençait à montrer des signes de "fatigue", des trous ça et là, des éléments plastiques de leur équipement fondirent peu à peu. Le gilet de Matt et de Zoé serait avant peu inutilisable à la vitesse où il se désagrégeait, et la sacoche de Matt contenant son matériel de fouille se décrocha soudain, la hanse rongée par le produit corrosif.
Comme le disait un humoriste, "hostile la nature, hostile!" Ne restait plus maintenant qu'à s'occuper de ce couple trop curieux.

La voix du sergent instructeur se fit entendre une fois les bobos traités.

//Adjudant Peleonor, faites moi un compte rendu de la situation et surtout n'omettez rien de ce que vous pourriez juger utile de me dire.//

Son message arrivait avec une ponctualité suspecte, mais pouvait on en espérer autrement avec celui qu'ils avaient odieusement qualifié d'entraîneur le plus sournois?

Je venais de terminer de finir de ranger, et m'assurait que rien n'était resté derrière nous. Je n'aimais pas que les deux curieux s'approche trop près du sable à l'aspect différent, mais comme une idiote, je pensais qu'ils allaient prendre en compte ma remarque et ne pas s'approcher de ça. C'était sans compter que nous avions à faire à des civils sans le moindre entraînement à la survie et d'une curiosité débordante, pire que des gamins. Je fus tirée de mon activité par un craquement, j'attrapais mon 9mm, me baissant prête à tirée, mais j'étais trop loin des autres pour voir se qui attirait l'attention des autres. Sans doute une bestiole dans le sol.

Un peu étonné, je le releva doucement, mais à quoi ils jouaient? Ma question obtient rapidement une réponse, une nuée sortie du sable, s'abattant sur Matt et Zoé. Mon coeur se pinça, mais il n'y avait rien à faire, l'insecticide ne faisait pas partie de l'équipement de base d'un militaire. Pourquoi ne pouvaient ils pas écouter ? Nous étions dans le désert, même les incultes connaissaient les crotales, les scorpions, et autres bébêtes sympathiques alors pourquoi prendre autant de risque.

Une odeur nauséabonde me prit à la gorge, ça promettait pour la rencontre avec les indigènes. Je rangea mon Beretta dans son holster et m'approcha doucement des blessés une fois que les bestioles furent retourner sous terre, pour une fois la chaleur était de notre côté. J'étais excédée et folle de rage.

"Vous avez vu les bestioles? Ca ressemblait à des créatures de la Terre? On est mal si elles sont vénéneuses. Bordel vous ne pouvez pas vous empêcher de fourrer votre gros nez partout."

J'observais les dégâts, et ce n'était pas beau à voir. Les deux civils avaient le corps recouverts de boutons, cette fois c'était une urgence.

"L'un de vous a t'il des allergies aux piqûres d'insectes?"

Sans les toucher, je continuais les observer mais je n'avais pas franchement les notions de médecine nécessaire, pour les soigner, en dehors du bon vieux aspire-venin, mais vu le nombre de plaies, ce n'était pas envisageable. Je laissa les plus qualifier s'occuper les blessures avant d'attraper mes jumelles pour observer les lieux, nous n'étions pas gâté. Puis le grésillement de ma radio attira mon attention. Hartman, j'aurais du m'en douter, il devait jubiler face à une telle erreur.

//Peleonor. Bien reçu. Ici nous avons deux blessés, les civils Zoé Leroy et Matt Hendel, qui se sont fait attaquer par des insectes. Leurs uniformes se désagrègent petit à petit ainsi que tous les éléments en matière plastique. Je crains qu'une bonne partie de leur équipement soit inutilisable avant la fin de la mission. Les blessés souffrent, et le matériel médical est insuffisant pour prodigué les soins nécessaires, j'ajouterais qu'ils risquent des brûlures étant donné le mauvais état de leur uniforme. A vous. Terminé.//

Matt regardait avec Zoé ces trous bizarres...il se demandait ce que ça pouvait bien être mais ne s'inquiétait pas puisque une femme médecin était a coté de lui. donc il ne s'attendait pas du tout, pour une fois a avoir fait une bourde monumentale...mais la suite ne tarda pas a lui prouver le contraire. il entendit un craquement qui ne devait pas être dans le désert puis sans qu'il comprenne, une nuée d'insecte sortit des trous dans le sable et fonça sur eux. instinctivement, Matt porta ses bras devant son visage et se plia en deux, se retrouvant accroupit au sol. Il sentit une grande douleur, puis du liquide et plus rien....les insectes étaient repartis. Matt, chancelant, se releva, il lui semblait que des épines de rose ou de bois étaient plantées partout dans sa chair sans pouvoir en sortir... il fit une sale grimace mais apprécia de pouvoir remuer oretils et doigts tout de même. Cependant, la douleur n'était pas des plus douce, et il comença même a se gratter avant de voir que des lambeaux de tissus se désagrégaient

*de l'acide!*

son sac tomba lui aussi avec ses affaires qu'il se baissa instinctivement pour ramasser. Il prenait conscience de la bourde monumentale qu'ils avaient faite...ils auraient du se douter que dans le désert, il n'y avait guere de phénomenes appréciables. ce fut a ce moement, alors qu'il regardait Zoé voir si elle alalit bien, qu'il entendit Rakel. celle ci s'était approchée et leur criait dessus, c'était prévisible et normal a vrai dire. Il avait l'habitude et la, savait que il avait été encore un boulet sur le coup, du coup il endossa l'entiere responsabilité de ce...probleme et apr le même coup revenant a la réalité, il sentit l'horrible odeur.

"Cest ma faute, j'aurais du y penser et faire reculer le docteur Leroy...je n'ai aps vu grand chose ça allait trop vite...."

il se gratta en ajoutant, remarquant les bout de tissus qui partaient toujours...

"pas allergique pour ma part, mais ça fait plus mal qu'une simple piqure de guepe...il me semble avoir déja lu des choses semblables dans un livre sur le désert égyptien...mais pas sur ..."

bref, Matt arreta de se gratter, sachant que ça n'arrangeait rien, il rassembla ses papiers de fouille, puis regarda plus attentivement les plaies...hum...ça perçait partout ces choses la et bientot le soleil les bruleraient s'ils ne faisaient rien. ce fut le moment que choisit le sergent pour appeler et demander des nouvelles. Matt se tut et pensa que il était vraiment bête. il sourit a Zoé et la rgarda en signe d'apaisement pour lui dire que c'était rien et que lui seul était responsable

MickaËlla commençait à s'approcher à pas de loup quand le pied de Zoé fit craquer quelque chose sous le sable et ce quelque chose se transforma dans la seconde suivante en une nuée d'insecte peu avenante.MickaËlla épaula son arme par rèflexe face à la menace amis la baissa aussitôt , il n'ya vait rien à faire conter une nuée d'insectes à part blésser Matt et Zoé ce qui aurait évité bien des soucis au reste du groupe en dèfinitif.MickaËlla ne savait pas trop quoi faire face à ça et heureusement pour les deux civils la nuée d'insecte cessa bien vite toute vèllèitée le soleil semblait avoir des effets ravageurs sur leur organisme.MickaËlla s'approcha de zoé laissant Matt à Rakel et dailleurs il valait peut êter mieux elle aurait certainement été moins douce avec l'archèologue.Elle traina le jeune femme sur quelques mètres histoire d'être sur de ne pas avoir à faire avec une nouvelle vollée de bestioles pendant qu'elle s'occuperait de la toubib.Elle enleva le sac que Zoé portait sur les épaules laissant Rakel faire son sermon aux deux imprudents qui s'en tirait pas trop mal vu la frousse qui leur avait collé.

Mais quelques secondes plus tard la voix du Sergent Hartamn se fit entendre dans les oreillettes de tous , il demandait un compte rendu de la situation à Rakel.Cela voulait dire que le Sergent Hartman suivait leur progression seconde par seconde en les ovservants dieu seul savait ou.MickaËlla trouva sa rassurant de savoir qu'il y avit un filet de sécurité au cas ou des abrutis de civils ne suivraient pas les consignes de sécurité.

"Le patron a raison faites gaffe à ce qu'on vous dit et à tout ce qui sort de l'ordinaire ou qui vous parrez fascinant car dans la nature ça rime avec dangereux.Et surtout vous toubib parce qu'après les rations d'eau , nos fournitures mèdicales et vos compétences sont nos meilleurs atouts pour rester opèrationel.Mais j'en ai autant pour vous Professeur car sans vous on pourra pas remplir nos objectifs de mission."

MickaËlla observait les blessures de Zoé et à ce qu'elle pouvait en voire le poison des insectes étaient un acide extrèment puissant et elle se demandait qu'elle effet cela aurait sur l'organisme des deux civils.Manqueraient plus qu'ils aient à porter deux civils à travers le désert pour parfaire leur petite promenade de santé.En tout cas dès maintenant ils devaient ménager physiquement les deux civils sans quoi ils risquaienty de leur claquer dans les pattes.

"Toubib vous devriez examiner le professeur Hendel je vais m'occuper de trouver un moyen rafistoler vos tenues le tant qu'on sorte de ce merdier."

MickaËlla remit le cran de sécurité sur sa M4 et alla récupérer sa bache de camouflage.Elle fit sortir sa dague de combat de son fourreau et se rapprocha de Matt.Elle commença à tailler des bandes dans celle-ci de la taille des plus gros trous dans les treillis de Matt et Zoé.Avec son rouleau D'adésifs elle pourrait les fixer sur eux cela ferait un peu l'effet de rustine sur un pneu mais en même temps ils n'avaient pas trop les moyens d'être regardant sur le coté esthètique de la chose.Mais semblait plus inquiet pour sa sacoche d'instrument de fouille que pour sa propre santé ce qui fit souffler MickaËlla d'exaspération.MickaËlla lui arracha cette dernière des mains comme on arracherait un jouet à un enfant trop capricieux et avec sa corde et deux coups de couteaux et deux noeuds plus tard Matt avait une nouvelle sangle à sa sacoche.Restait le problème des gilets qui commençaient à tomber en miette et MickaËlla se demandait si elle pourrait les faire tenir sur leur propriétaires à grands coups d'adésifs et de corde.

Catastrophe ! La situation venait de tourner au cauchemar pour les deux civils du groupe !
N'ayant eu d'autre possibilité que de laisser tourner sa caméra pour filmer la scène, Lewellyn s'était jeté sur Matt pour l'aider à rapidement ôter ses vêtements rongés à l'acide avant de les secouer dans le sable pour en arrêter la progression et en espérant ensuit pouvoir réparer les dégâts, tandis que Mickaëlla s'occupait de Zoé.

Il avait déjà tellement parlé qu'il n'osait plus prononcer le moindre mot, laissant les deux femmes de SG3 s'égosiller dans diverses explications et réprimandes.
Il regarda Sheyffi qui comprit qu'elle devait aller aider ses collègues féminines pendant qu'il s'attelait à aider l'archéologue à mesure de ses capacités.

Hartman, fidèle à sa réputation, semblait avoir tout prévu pour les faire souffrir au maximum, redoutant qu'il ait pris trop au sérieux son prix. Après tout, il avait quitté la salle dans un état de fureur assez inquiétant, et sa revanche était à prévoir. Dommage que cela soit tombé sur eux !

Sortant son rouleau d'adhésif de son sac, il tira d'une de ses poches son outils multi-fonction et commença à rafistoler l'habit de l'archéologue avant de lancer le ruban à ses collègues féminines pour qu'elles en fassent autant en faveur de la toubib...

PNJ Nombre de messages : 88 Date d'inscription : 13/02/2009

Une fois que Rakel eut fini son rapport de situation, Hartman lui répondit d'un ton qu'elle lui connaissait mieux, le mordant du sergent instructeur était de nouveau perceptible et elle pouvait le sentir lui grignoter les mollets.

Alors, adjudant Peleonor, on a du mal à se faire obéir? Est ce là toute l'autorité dont vous pouvez faire preuve? Il me semblait pourtant que vous étiez du genre grande gueule. Vous savez ce que je vois? Je vois un sous officier qui n'a pas l'étoffe de diriger une équipe SG, et encore moins deux. Je vois un adjudant qui se repose tellement sur son second que c'est à se demander qui commande vraiment l'équipe SG3. Peut être devrai je suggérer au général de nommer le sergent chef Strucker à votre poste, elle semble connaître son affaire, en avoir une bonne paire dans le pantalon et suffisamment dans le crâne pour accomplir son boulot sans tomber dans les excès des deux bras cassés que VOUS ne savez pas gérer. C'est bien beau de la ramener après coup, mais ça changera rien au fait que vous avez autant de talent pour commander que la stratégie. Rien, nada, que dalle, peau de zob! je suis sûr que le pseudo sergent que subit SG1 pourrait trouver le zéro absolu entre vos deux feuilles chou en cherchant à localiser votre don de commandant. Court silence pour que la malheureuse encaisse... Enfin, pas trop, il fallait juste qu'elle puisse avoir conscience de la seconde salve de bois vert. Alors écoutez moi bien, Barbie! Vous allez vous remuer le cul! Vous êtes un putain de foutu chef d'équipe et de mission! Vous allez me faire le plaisir de vous comporter comme tel où je vais tellement vous pourrir que vous ne pourrez même plus diriger une équipe de dames pipi dans une station de métro! Bordel de merde, Barbie! C'est l'uniforme de l'Armée française que vous portez, si vous avez aucune dignité propre faite au moins honneur au drapeau que vous portez avec vos galons! Est ce trop vous demander? Faut il demander à votre second de vous relayer pour vous laisser aller pleurer dans un coin de désert? Remuez moi ces sacs à merde et trouvez moi cette foutue porte, depuis quand un peu soleil à fait peur à nos soldats?

C'en était fini pour Rakel, c'était maintenant à Lewellyn de se faire tailler un costard en bonne et due forme.

Drogon! Non seulement vous avez un nom et un prénom de chiottes, mais vous êtes une honte pour l'uniforme. Essayez encore de vous faire passer pour un sergent de notre armée et je botte le cul si fort que vous en cracherez des bouts de coccyx entre ici et le bout de la Voie Lactée! un conseil, gardez votre blouse! je sais pas ce que vous valez dans un labo et je bats les roufles, mais en tant que chef d'équipe, vous incarnez la lie des sous officiers! Vous ne valez même pas mieux que les deux crétins congénitaux qui se sont précipités sur leurs amies les bêtes, eux au moins ont l'honnêteté d'afficher leur connerie avec leur statut de civils incompétents. Au lieu de faire le styliste au rabais vous feriez mieux de vous remettre en question quand à vos compétences de leader! D'ailleurs en parlant de leader, on en tient une belle aussi dans votre équipe, toujours disposée à se débarrasser de ses responsabilités avec la plus grande rapidité, chapeau bas! Quelle clairvoyance! Vous aussi vous avez un nom à la mord moi le noeud, un nom qui pue le jaune. Qui sait, j'ai peut être dessoudé votre grand père du côté du Tonkin à moins que ce soit votre grand mère qui ait tenu compagnie à mes gars quand ils revenait de mission? Si vous valez autant qu'eux en tant que militaire, vous pouvez rentrer et vous reconvertir dans un métier qui vous irait mieux, secrétaire ou plante verte, vous seriez parfaite en plante verte!

Sheyffi en avait pris plein les dents pour pas un rond, et l'orage ne semblait pas prêt de s'arrêter.

Quand à vous Strucker! Bordel! Qu'est ce que c'est que cette chienlit?! Vous voulez que vos frères d'armes en mange leur béret de voir un tel cirque? Vous croyez que c'est faire honneur à vos instructeurs et chefs passés que de laisser la mission tourner à la vaste blague? Vous voulez qu'on puisse dire que les paras sont de pauvres petites bites même pas capable de tenir la main à des étrons de civils? Vous voulez qu'on dise que vous faites honte à l'amarante? Foutredieu, soldat! Si Barbie n'est pas capable de gérer son affaire, je pensais que vous au moins vous pourriez corriger le tir! Vous me décevez, soldat!

Micka avait été traitée comme un soldat et elle avait eu droit à la correction d'un soldat. Quand on avait un tant soit peu d'esprit de corps, s'entendre dire qu'on pouvez être la honte de son unité, faire honte à ses chefs, ça faisait autant de bien qu'un coup de pied dans les roubignoles, et il en rajoutait en se disant déçu par elle, et quand un gars de sa trempe se disait déçu, c'était un peu comme si la lame de la guillotine vous coupait la tête. Il vous avait considéré comme un vrai soldat et vous l'aviez trahi... La para pouvait elle aussi compter ses prémolaires car le compte ne devait plus y être.
Enfin, le déluge s'abattit avec la violence biblique qu'on pouvait en attendre sur les malheureuses victimes des insectes.

Et vous! Oui, vous les misérables cloportes qui retardez, gênez, étouffez tout le monde, vous pouvez être fier de votre performance. Sur une échelle de connerie de un à dix, je vous colle un magnifique douze! A croire qu'on vous paye pour être aussi débiles! Maman vous a bercé trop près du mur? Papa vous a fini à la pisse? attaquez les en justice, mais ne venez pas fourrer votre nez de tête d'ampoule dans des affaires qui vous échappent! A cause de vous, la survie des deux équipes est menacée. Vous êtes des poids morts, inutiles, encombrants, incompétents dans tout ce qui pourrait être utile à une équipe SG.
Si on vous envoyait aux serpents, ils refuseraient d'attaquer la Terre ou de vous prendre comme hôtes en voyant les spécimens dégénérés que vous êtes et en s'imaginant que vous des représentant fiables de ce qui vit sur notre planète! Le niveau moins un de l'Humanité! Vous êtes tellement minables que vous ne valez même pas la balle pour abréger votre pathétique existence, bande de loques! Regardez vous! Assistés comme des chiards, regardez bien vos coéquipiers, obligés de supporter vos conneries, votre incompétence, le poids du raz le bol dans leur regard! ils en ont marre de vous, et c'est normal! Personne ne peut supporter indéfiniment des boulets de votre espèce qu'on devrait normalement garder dans une chambre stérile coupée du monde au cas où vous seriez contagieux!
Ce que je dis ne vous fait pas plaisir? Alors évoluez ou barrez vous! Le programme Porte des Etoiles ne peut pas se permettre de s'encombrer de lopettes! Vous êtes bon en tout où vous allez retourner dans votre laboratoire pour singe savant et laisser votre place pour quelqu'un qui sera compétent. Ca vaut aussi pour vous les militaires! Vous vous êtes ramollis! un seul VRAI para vous collerait une telle dérouillée que vous garderiez l'empreinte de sa semelle sur votre cul graisseux jusqu'à la fin de vos jours! Votre performance est LA-MEN-TABLE!

Tout le monde y avait eu droit, les mâchoires étaient douloureuses, les amours propre en charpie, mais c'est à ce genre de sanction qu'il fallait s'attendre quand on mettait le sergent instructeur le plus retors de ces dernières décennies en rogne, on se faisait voler dans les plumes!

Dix minutes avant le lever du second soleil, bougez vous le cul, tas de limaces!

Et La communication fut coupée, empêchant quiconque de lui répondre. Au moins il leur faisait économiser leur salive sèche. Voilà qui n'allait pas améliorer le moral de la troupe. Entre l'exécution générale et publique du bouledogue et l'annonce de l'arrivée d'un surplus de chaleur...

Et effectivement, dans les dix minutes qui suivirent, la température commença à grimper follement, la barre des soixante trois degrés, écrasant le record terrien de cinquante huit malheureux degrés celsius quand le second astre du jour pointant sa belle et ardente face bleue. Sa course était rapide dans le ciel. Il ne resterait peut être pas longtemps, mais à ce rythme, les huit membres du SGC allaient finir en saucisses bonnes pour le barbecue! Les armes commençaient à devenir brûlante au toucher et quand on en arrivait là, il n'y avait plus beaucoup de temps à attendre avant de voir les munitions détonner de façon spontanée. Etait ce une odeur de plastique brûlé que l'on sentait dans l'air?

matt regardait tout le monde sans comprendre tout, il avait un mal de chien mais savait que c'était sa faute donc il se taisait. De plus il se souvenait avoir déja vu des insectes dans le sol dans le désert même sur terre. sa curiosité le perdra. Et finalement ce fut la radio ou plutôt Louis Hartman qui se mit a crier, fidele a sa réputation, de bien vilaines paroles, et ce a toutes les personnes présentes. Y compris eux les civils, bon derniers. Mais Matt déja énervé parce que cet entraineur avait osé dire a Rakel, n'en eu cure de ce que l'autre disait.

*c'est exactement les paroles de rakel et Micka en plus long et plus méchant*

En gros il savait ce que tout ce baratin voulait dire. Oui il n'était pas a la hauteur t se devait de se conformer plus aux regles, d'arreter de vouloir jouer les sauveurs du monde et de fourrer son nez partout. Mais seait il encore lui même dans ce cas? Non alors il devait au moins se modérer. c'était le minimum demandé. Oui il en avait pris pourson grade et oui il avait été blessé comme els autres mais plus pour Rakel. Elle était compétente il le savait. ceci dit pas le temps de s'arreter la dessus puisque le soleil courait dans le ciel et qu'il commençait a faire sacrément chaud. Il finit par prendre la parole apres un silence pesant.

-Je ne suggere pas d'oublier tout cela, simplement de partir. Je pense etre daccord avec le docteur en disant qu'on vous suivra au doigt et a l'oeil. Il fait bien trop chaud, il faut que l'on trouve un abri au plus vite.

raler, parler de ce qu'il venait de se passer, faire des réprimande se plaindre ou autre, ne ferait que faire perdre du temp, et la ils n'en avaient guere. Il finit par fouiller dans son sac et y dénicha sa couverture. Oui il en avait une sur lui et ça serait mieux que rien. Il regarda les autres.

-Es ce que quelqu'un en aurait une pour le docteur Leroy? sinon je oupe la mienne en deux, ce sera mieux que pas de vétement face au soleil et ses brulures si je ne me trompe pas.

Il s'arnacha de façon a recuvrir les parties de son corps a nu, bien que rafistoler apr Lewellyn et la couverture faisait plus office de Robe ou cape qu'autre chose mais au moins, a part les piqueres il ne souffrirrait pas du soleil. Son visage montrait combien il était désolé des derniers évenements, et il prit son arme se brula légermeent grimaça et attendit les ordres...il fallait bouger

Hartman recommença à vociférer dans les talkies ! Après avoir écouté les premières réprimandes au leader de SG3, il trouva cela trop exagéré et, afin de ne pas répondre à ce genre de grandes gueules auxquelles il adorait répondre depuis toujours, il préféra carrément tourner la molette et couper court à tout ce qui pourrait être dit après, en entendant déjà trop par les appareils situés à proximité.

* Pauvre crétin ! Complexe d'infériorité caractérisé ! Tu mériterais qu'on te montre un peu qui c'est le couillon qui ne mérite pas l'uniforme, ici ! Pauvre tâche ! Tu vas payer cher pour ce que tu viens de dire sur ma moitié, pauv'gland ! *

Plaçant ensuite la main sur l'épaule de l'archéologue, il le fixa en secouant la tête pour qu'il ne prenne pas la peine de prendre de telles vomissures de rabrouages pour lui et les retourne comme il se doit à son émetteur : c'est à dire par l'ignorance de celui-ci et de ses propos ; se tournant ensuite vers Zoé avec la même expression déterminée.

Et voilà qu'un second soleil, duquel il était impossible d'imaginer la survenue, pointait le bout de son nez avec sa surcroissance de degrés, commençant rapidement à faire exploser les munitions !
Ne cherchant pas d'avantage, Lewellyn exhorta tout le monde à jeter ses chargeurs le plus loin possible et à abandonner les armes devenues poids morts et inutiles en la circonstance, avant de se remettre à réfléchir sur la marche à suivre maintenant.

« On est pas dans la merde, mais avec le c... il ravala la fin du mot avant de poursuivre... qui nous observe et qui nous laissera crever si nécessaire, il serait bon de reprendre la marche avant que la température ne grimpe encore, ce qui se produira immanquablement avec la croissance de l'astre dans le ciel de cette putain de planète de merde ! »

MickaËlla écoutait les réprimandes du Sergent instructeur Hartman à l'encontre de Rakel un peu disproportionné mais elle avait déjà vu des instructeurs procéder de la sorte pour pousser les stagiaires à tirer le meilleur d'eux mêmes et de la part du Sergent Hartman il fallait pas s'attendre à moins.Mais aux yeux de MickaËlla , Rakel était un bon leader , certes de part sa formation MickaËlla était àl'aise dans beaucoup de domaine mais si elle avait dirigée l'équipe au lieu de Rakel il n'y aurait plus eu d'équipe depuis un moment.Rakel avait un sens du commandement de la tactique et de la stratègie aiguisée et elle avait le respect de MickaËlla en plus d'être doué dans tout les domaines.

Puis ce fout le tour au leader de SG1 d'en prendre plein la gueule et même si MickaËlla était presque d'accord avec le Sergent Instructeur Hartman elle ne souhaitait se traitement à personne même pas au pire de ces ennemis.Mais le Sergent Instructeur Hartman ne s'arrêta pas sur cette lancée et ce fut au tour de MickaËlla d'en prendre pour son grade.Et si il y avait bien quelque chose qu'on pouvait reconnaitre au Sergent Instructeur Hartman c'était de savoir taper là ou cela faisait mal.Et même si MickaËlla se disait au fond d'elle que c'était pour éprouver leur résistance moral , elle n'arrivait pas à ne pas être touché ou bléssé par ce que venait de dire le Sergent Instructeur Hartman.Il n'y avait pas un para qui n'était pas fier de son bèret amrante , de sa condition de Para , et de ses Pairs et frères.Faire honte à l'amarante.Elle faisait de son mieux pour que se ne soit pas le cas et apparemment cela n'était pas assez aujourd'hui.

Puis ce fut au tour des civils d'en prendre pleins les narines mais au moins l'avait mérité amplement.Le Sergent Instructeur Hartman y passa tout son répertoire d'insulte et de mètaphore à civils.Mais le Sergent Instructeur Hartman avait raison la survie des deux équipes étaient menacées et le SGC ne pouvait se permettre d'envoyer des soldats moyens et des civils incompétents à l'autre bout de l'univers.Les risques pour ces mêmes équipes pour le SGC et la terre étaient trop grand.Mais la pire des nouvelles que vint leur annoncer le Sergent Instructeur était que d'ici peu un deuxième soleil allait se lever et faire grimper la tempèrature d'encore quelques dizaines de degrés.

MickaËlla se renferma sur elle même tout en essayant de se remettre de la douche froide que venait de lui administrer le Sergent Instructeur Hartman.Elle cherchait également une solution de sortir d'un tel merdier mais là à part encaisser et avancer il n'y avait pas d'autres solutions pour le moment.Les armes commençaient à devenir brûlante et dans quelques temps la chaleur serait tel que la poudre atteindrait sa tempèrature d'auto inflammation et ferait détonner les munitions de leurs armes.Le docteur Drogon avait fait la même rèflexion et ordonna à tout le monde de jetter ses munitions et armes loins d'eux car celles ci étaient devenues inutiles.La remarque de ce dernier accompagnée fit monter MickaËlla en pression.Une rage froide et noire monta en elle avec une telle violence qu'elle ne put la contenir.

"Drogon fermez votre grande gueule avant que je vous assomes pour vous laisser pourrir dans le désert.Surtout que vous n'avez pas d'ordre à nous donner.En soit vous disez des conneries , soit des chôses évidentes.Alors peut être que pour vous une arme est inutile mais pas pour moi."

MickaËlla avait l'humeur assassine , et cela n'était pas qu'une expression , et la décision inconsidérée de Drogon en avait le déclencheur.Mêmes si les munitions étaient inutiles les armes gardaient de leur valeurs car les équipes avaient le droit de se recharger une fois en équipement et mieux valler garder ses armes plutôt que de les abandonner à la première planète parce que c'était un peu lourd.MickaËlla fouilla dans le sac de premiers secours de Zoé et en sortit une couverture de survie dans laquelle elle déposa ses munitions.

"Récupérez vos munitions.On va les mettres dans une couverture de survie ça les empêchera de détonner en les maintenant à une tempèrature plus basse."

Son ton excluez toute réplique et mieux vallait faire ce qu'elle avait décider prce qu'à part Rakel personne n'était en mesure de l'arrêter si elle décider de casser une gueule récalcitrante.Dailleurs elle regarda cette dernière , elles échangérent un regard et MickaËlla opina du chef et lui fit deux signes discrets de sa main droite quelle dissimullait entre son entre jambe et son arme.

*Observé Ecouté*

"Ici c'est le patron qui commande c'est comme ça et pis c'est tout.Mais oui on va reprendre notre marche jusqu'à ne plus en pouvoir parce qu'on as pas d'autre choix de toute manière.Alors le premier qui râle ou sort du rang je lui bottes le cul telment fort qu'il devra prendre des bains de siège pendant un mois."

Sans attendre son reste MickaËlla prit son baluchon de munitions sur les épaules et repris sa marche vers les prairies verdoyantes prommetteuses de fraicheurs et de réserve d'eau.Rakel prendrait le sac de Zoé étant la seule militaire à ne pas en porter et cette dernière en plus d'être une civile serait certainement affaiblie par l'attaque des insectes.MickaËlla avança donc à travers le désert la rage au ventre pour la porter.En cet instant elle haissait tout ces scientifiques présomptueux qui se plantait et affirmait sans savoir.Elle haissait tout ces boulets de civils qui ne vous écoute pas parce que finalement vous n'êtes qu'une maniaque de la sécurité et que ça n'est pas bien grave.Elle haissait ce putain de désert qui lui donnait soif et la faisait suer.Elle haissait le Sergent Instructeur Hartman de leur avoir pondu ce programme et de les traiter comme de la sous-merde.Et par dessous tout elle se haissait de s'être si facilement laissé démorallisé et manipullé par le Sergent Instructeur Hartman.Elle allait lui montrer ce que vallait un Para à ce vieux con , elle avait fait le stage cecap et même si à côté de ce qu'ils étaient entrain de faire cela n'était rien elle ferait tout pour arriver au bout de cette mission avec SG3 et SG1 quitte à les trainer derrière elle.

Visiblement la para avait quelque problème avec les idées du docteur Drogon et celui-ci crevait d'envi de la reprendre quitte à se mettre sur la gueule avec cette andouille de militaire, mais ce n'était pas vraiment le moment ! Si cet empafé d'instructeur n'avait pas été dans les parages, sans doute se serait-il laissé aller à une poussée de rage, mais il n'avait pas la possibilité de se le permettre. Ainsi, il inspira et soupira profondément et bruyamment, bien que les sons furent étouffés dans son emmitouflage de fortune !

* 'S'pèce de conne ! Ton arme te servira à rien si tes munitions t'arrachent la moitié du corps ! *

Ne disant rien de plus aux soldats, il se débarassa néanmoins de sa propre arme comme il en avait décidé, et si une imbécile de militaire venait à essayer de l'en empêcher, aucun Hartman au monde ne retiendrait la colère de cette tête-de-mule de scientifique !
En effectuant sa manoeuvre, il regarda vers ses collègues de coeur pour les exhorter silencieusement à en faire autant, ainsi qu'envers sa compagne, mais ne prononça pas le moindre son. Puis, après quelques minutes de marches, et voyant Zoé trainer la jambe, il lui murmura :

« Courage ! Un petit truc, si ça te tente : ne pense pas au but, ne te concentre que sur le pas suivant. Et, quand il sera fait, fais en autant pour celui d'après, et ainsi de suite... Tu verras que ce sera plus simple... »

[Me revoila. Désolé de vous avoir abandonné, mais je compte bien me réinvestir dès aujourd'hui.]

Sheyffi passait inaperçu dans ce mission d’entrainement et pour cause : elle boudait la petite rouquine ! L’idée de devoir subir un entrainement aussi intensif ne lui plaisait pas du tout et elle comptait bien le faire savoir. Je ne parlerais pas de sabotage, ça serait beaucoup trop fort comme mot, mais Sheyffi était bien décidé à trainer la patte pour laisser râler l’instructeur qu’elle détestait le plus en ce bas monde. Cependant, cela ne lui procurait aucune satisfaction d’agir ainsi, d’autant plus qu’elle mettait certainement ses collègues dans l’embarra, notamment MickaËlla et Lewel. A présent dans le désert où la distance à parcourir était encore longue, Noky commençait à souffrir de cette chaleur. Mais le pire était encore à venir quand les deux civils se firent soudainement attaqués par une nuée d’insecte jetant de l’acide. La catastrophe était finalement arrivée et l’intervention de l’instructeur fou de rage n’était pas faite pour arranger les choses. Les nerfs de Sheyffi étaient mis à rude épreuve, surtout qu’elle détestait se faire insulter ainsi. Ok elle restait inactive, mais au moins elle était là, c’était déjà même trop pour cet homme là.

Reprenant leur marche, elle fit cependant quelques signes du regard pour encourager les autres à avancer eux aussi vers le but final. Le second soleil venait de se lever et la température allait bientôt finir par avoir raison de la santé physique de la demoiselle. La militaire avait beau avoir un mental d’acier, ce n’était pas le cas de son organisme qui criait déjà en alerte rouge et code binaire. Finalement, le groupe s’arrêta de nouveau pour laisser éclater une dispute qui était à prévoir : entre MickaElla et le docteur Drogon. Sheyffi restait en arrière pour l’instant essayant d’examiner les arguments de chacun avant de prendre une décision. Cet entrainement virait au grand n’importe quoi et tous allaient crever là comme des chiens si elle ne faisait pas d’efforts. Noky décida donc d’en arrêter là avec sa protestation silencieuse contre l’instructeur. S’avançant vers les deux protagonistes, elle se plaça entre eux et prit enfin la parole.

-Ça suffit vous deux. On a déjà assez d’ennuis comme ça. Je ne comptais pas spécialement faire acte de présence pour cet entrainement, mais je vois que je n’ai plus le choix.
Lewel, garde tes vilains mots dans ta bouche et pense au respect que tu dois aux autres, ça ne te fera pas de mal de temps à autre. On ne peut pas abandonner nos armes ici, elles nous sont trop précieuses. On va tenter de les refroidir comme on pourra c’est tout.
Tant qu’à vous MickaElla, je suis d’accords avec l’idée de la couverture, ça fera l’affaire pour le moment. Mais je vous demanderais de baisser le ton quand vous vous adressez à un membre de SG1.
Maintenant, si vous avez finit de vous houspiller, on ferait bien de continuer notre marche avant de rôtir ici comme un vulgaire poulet. On ne pourra plus avancer très longtemps par cette chaleur si ça continue.

Lewellyn faisait sa mauvaise tête et n'alla pas ramasser son arme ni ses munitions et MickaËlla était sur le point de lui en mettre une de tête mais Sheyffi qui était le vrai leader de SG1 intervint rapellant à l'ordre lewellyn tout en demandant à MickaËlla de parler aux membres de SG1 sur un auter ton.Même si elle apprèciait la jeune femme son patron à elle c'était Rakel et elle pouvait bien demander ce qu'elle veut si elle jugeait qu'elle devait renter dans le lard de Lewellyn et bien elle le ferait sauf si Rakel lui demandait le contraire.Mais à l'heure actuelle MickaËlla préférait se concentrer sur les kilomètres qu'ils devaient parcourir.

Quand le deuxième soleil se leva il eut un aperçu de ce qu'on pouvait appeller l'enfer sur terre.Elle ne savait pas combien il faisait et ne tenait absolument pas à le savoir.Elle faisait contourner les dunes à ses camarades plutôt que de les traverser de part en part.Tout le monde put rapidement se rendre compte que c'était moins fatiguant et pas vraiment plus long mais la distance qui les séparaient de la prairie verdoyante ne semblait pas se rapprocher.MickaËlla avait régler sa montre pour sonner toutes les heures pour faire des pauses boire une gorgée et repartir.Il devait rester plus d'eau à MickaËlla qu'à n'importe qui d'autre mais le feu qui lui brûlait la gorge et la bouche lui disait aussi qu'elle souffrait des premiers effets de dèshydratation contrairement à ces camarades qui ne devaient pas en être encore là.Pourrait elle tenir jusqu'au boût à diriger l'équipe dans le désert ouvrant la marche imposant le rythme?Le désert allait certainement laisser des stigmates sur les peaux et dans les corps pendant plusieurs semaines et le réel problème allait être pour la suite de l'exercice.Quelque soi la planète sur laquelle ils allaient se pointer la recherche d'eau allait être leur prioritée si il ne trouvait pas de quoi reconstituter leur réserves sur celle-ci.MickaËlla espérait juste en pas tomber sur un environnement tropical.Certes elle avait suivie plusieurs stage commandos dans cet environnement mais il était difficile d'y survivre et la quête d'eau potable était tout aussi importante que dans le désert.

En mettant un pieds devant l'autre , utilisant sa rage pour se pousser à aller de l'avant MickaËlla avançait irrèmèdiablement à travers le désert préférant la majoritée du temps ignorer sa soif et nourrir sa rage.Le soleil bleue qui grimpait dans le ciel faisait souffrir MickaËlla qui pourtant aimait la chaleur et avait opèré en milieu désertique.Mais là c'était plus le désert mais les derniers cercles de l'enfer au fond d'un chaudron elle avait l'impression de se liquifier sur place.Dailleurs après plusieurs de marches le pas même si il demeurait règulier était moins vif après chaque pause et MickaËlla attendait avec impatience la nuit pour profiter de la nuit glaciale.Encore heureux qu'il n'ait pas eu droit à une tempête de sable ou un truc du genre.Avec aucun abri et rien pour s'en fabriquer un ils se seraient retrouvés le bec dans l'eau ou plutôt dans le sable.La montre de MickaËlla ressonna pour indiquer une einième pause.Elle coupa le bip regarda le timer pour voire combine d'heure de jour il leur restait , but une gorgée de ces dernières gorgées d'eau et regarda la distance qui les séparaient de la prairie dans ces jumelles tèlèmètrique en espérant voire un nombre à moins de 4 chiffres.

PNJ Nombre de messages : 88 Date d'inscription : 13/02/2009

Il faisait chaud - doux euphémisme - LES soleils tapaient sur le système et la vindicte de l'instructeur n'avait pas arrangé les choses, la cohésion, tout comme les vêtements de Matt et Zoé, partait en lambeau, es esprits s'échauffant au même rythme que l'air.
Enrouler les munitions dans les couvertures de survie était une bonne idée, mais bientôt il fallut y ranger les armes, ou du moins celles que l'on pouvait décemment coller dans une couverture sans surcharger celui ou celle qui allait porter le tout car, tout ce qui était plastique commençait à tirer une sale tête. La montre de Rakel tomba en panne, puis le verre cassa, puis ce fut autour de celle de Sheyffi... tour à tour divers éléments plus ou moins fragiles tombèrent en rade... Le plus spectaculaire étant l'explosion des batteries des systèmes de communication individuels, Matt fut assourdi par l'explosion plus spectaculaire que dangereuse de son talkie. Rakel, fourra le sien au plus vite dans une couverture de survie car rester en contact avec l'instructeur était primordial même si personnellement elle s'en serait passée, les autres réagissaient diversement.
Les sondes affichèrent 72°C... Tout le monde commençait à frire au sens propre du terme, mais au moins, ils n'avaient plus la force de se disputer.
Lewellyn remarqua dans un moment de lucidité que le soleil bleu avait une course dans le ciel bien plus rapide que le géant orangé, et s'il savait encore compter, ils seraient enfin débarrassés de cet importun d'ici une petite demie heure... Mais il fallait tenir une demie heure... Et pas besoin d'être médecin pour savoir que s'ils ne faisaient rien, dans une demie heure ils seraient agonisants ou morts.

Micka regardant par ses jumelles put voir en direct un des dioptres se fendre avant que la pile ne se mette à grésiller et n'éclate. Le télémètre laser n'avait pu indiquer de distance ce qui signifiait que la distance était supérieure à cinquante kilomètres, chose logique vu la coloration bleutée du relief. Par contre elle vit clairement une petit ligne brune se mouvoir dans le lointain, bien avant la plaine verdoyante. Une grosse créature? une procession? une anfractuosité dans le sol dont l'image dansait à cause de la chaleur? Elle ne pouvait le dire étant donné l'état de ses jumelles. Mise au point électronique fichue, télémètre HS... La mise au point bloquée sur le réglage maximal, elle n'avait qu'une vision floue de ce qui se déplaçait, mais ça avait l'air de se déplacer!

Noky ayant laissé sa place à Lewel pour guider l’équipe le temps de l’entrainement, ne se concentra sur rien d’autre que sur ses propres pas qui se faisaient de plus en plus lourds, lui arrachant chaque muscle au passage. Le soleil tapait si fort que la demoiselle cru bien perdre connaissance tout en continuant à marcher. Jamais au grand jamais elle n’avait eut à subir une telle épreuve physique. Si on lui avait dis ça avant d’entrer dans l’armée, croyez moi bien qu’elle serait restée tranquillement assise dans son fauteuil. Mais non, ainsi elle se retrouvait dans un désert à crapahuter avec une autre équipe. Malgré tout, elle devait s’estimer chanceuse car au moins elle n’avait pas été attaquée par des insectes elle. Faisant elle nouveau pas, elle failli tomber à genoux dans le sable pour ne plus jamais se relever, mais par chance se rattrapa à temps.

La seule chose positive qui lui restait pour l’instant, c’était le fait que lewel et MickaElla aient enfin finit de se disputer. D’ailleurs, Noky se demandait encore où ils avaient trouvés l’énergie nécessaire pour le faire. S’imaginant baignait au clair de lune dans un lac glacé, Sheyffi reprit un peu de son dynamisme et accentua son effort pour rester avec les autres. Malheureusement, la chance n’était toujours pas de leur côté et bientôt, des objets diverses tombèrent en panne et la montre de Noky n’y fit pas exception. Le verre étant brisée, Noky jeta sa montre qui ne lui servait désormais plus à rien. Elle espérait juste que la chaleur finirait par redescendre. MickaElla avait profité du moment pour observer ce qui se passait un peu plus loin. Curieuse, d’autant plus que l’objet lui aussi avait rendu l’âme, Sheyffi prit la parole :

-Tu a vu quelque chose ?

Un pied devant l'autre, cadencé comme un métronome déréglé par la rouille, Lewellyn avançait, incapable de penser à quoi que ce soit, incapable de se concentrer sur autre chose que son pas suivant, appliquant son propre conseil avec une rigueur qui ne parvenait même plus à l'étonner !
Après un temps interminable, il trouva néanmoins la force de regarder le ciel et de reprendre ses calculs. Un fait semblait avéré, mais comment en être sûr ? Et puis, comment tenir jusque là ?

« Je... ne suis... pas sûr... mais... le soleil... bleu... devrait... se coucher... dans une... trentaine... de... minutes... La tem... pérature... sera... plus su... portable... J'espère... »

Il n'avait pas eu la force de prononcer d'avantage de paroles, chacun de ses mots lui déchirant déjà la gorge autant que chacune des syllabes prononcées lui faisait éclater les gerçures sèches de ses lèvres et commissures. Il regardait à nouveau ses pieds en se concentrant dessus, oubliant parfois de respirer comme si les derniers soubresauts de vie commençaient à le quitter, comme si son instinct de survie avait disparu et que son cerveau en oubliait les bases de la prolongation de sa misérable existence...

Quelque chose apparaissait à l'horizon, mais lui ne le voyait pas ! En fait, il ne voyait désormais plus que ses pieds frappant inlassablement le sol comme un martellement de tambours étouffé, hypnotisé par ces insupportables chocs et bien incapable de réfléchir encore, pas plus que de penser à Sheyffi.
Il marchait, progressant comme un zombie décérébré, comme un mort vivant desséché, une momie maladroite et souffreteuse : un pas, puis un autre, et encore un autre. Un pas... un pas... juste un pas... encore un dernier pas...

Matt n'en pouvait plus, marcher, marcher encore marcher avec de moins en moins de vetements, et en plus, les piqueres faisaient un mal de chien. Seulement pas le temps ni l'envie de s'en plaindre il faisait trop chaud. Il enleva bientpot la couverture qu'il avait placée sur ses épaules et la proposa pour les armes. Bientot son talkie explosa littéralement et matt de s'effondrer en arriere de peur. Surpris il vit les autres réagir et se releva, sonné. Mais il fallait continuer. Il devait faire une chaleur inhumaine car tout les petits matériaux commençaient a exploser. Ils ne tiendraient pas longtemps comme ça. Mais Lewellyn finit par dire quelque chose, cela lui prit du temps mais il y arriva. et matt de penser que trente minutes...c'était long et pneser qu'il ne tiendrait pas jusque la. Ses jambes tremblaient déja et au vue des soleils, sa peau allait cuire sous ses lambeaux.

Mais Micka sembla apercevoir quelque chose dans ses jumelles! qu'es ce que c'était? de l'eau? de l'herbe? un abri? un animal? Matt trouverait bien n'importe quuoi qui ne soit pas mort, il serait fou de joie. Il regarda Sheyffi qui demanda a Micka ce qu'elle voyait, l'appareil quand a lui explosa et Micka allait certainement leur répondre. En attendant, Matt était lessivé et ne parlait pas. Il fallait avancer, placer un pied devant l'autre et se concentrer uniquement sur cela. Sa colere de tout a l'heure, a cause du sergent, le tenait debout, lui interdisait de tomber ou de faire quelque chose contre laquelle, Louis aurait pu trouver une faille.

MickaËlla essayait tant bien que mal de garder un rythme règulier mais le four dans lequel ils étaient entrain de progresser rendait toute chose plus compliquée et mettre un pieds devant l'autre devenait un vrai calvère.Mais comme si cela n'avait pas suffit la tempèrature qui ne cessait de grimper les obligea une nouvelle fois à faire une pause pour sauver une partie de leurs armes.Elle fourra l'arme de Rakel dans son baluchon un P90 était un assemblage de polymère de plastique ce dernier risquait de fondre sur place si la tempèrature continuait de monter.Elle démonta les pièces palstiques de sa M4 et du FAMAS de Sheyffi pour les mettres en sécurité dans la couverture de survie.Matt verrait certainement son P90 en rade mais de toute façon pour ce qu'il s'en servait ça n'était pas une grande perte et puis il restait les armes de poings qui ne devraient pas avoir trop souffert de la chaleur qui avoisianit à l'heure actuelle les 72°C ça en était déprimant.Bientôt il se mettrait à bouillir sur place avec un telle chaleur.Les montres et les radios tombèrent en panne ou plus exactement explosèrent Rakel mit la sienne dans la couverture de survie pour garder contact avec l'instructeur ,MickaËlla enleva la batterie du sien et la fourra également dans la couverture , même si sa radio ne marchait plus Rakel aurait au moins la possibilitée d'utiliser la batterie.

MickaËlla avançait donc voyant son équipement et celui de ses collègues se briser sous l'effet des astres solaires ou finir dans la couverture de survie qu'elle portait.Bientôt se serait eux qui finirait par dèfaillir et même si les plus fort d'entre eux portaient les plus faibles cela marquerait le dèbut de la fin.Mais il ne fallait pas désespérer toujours croire en sa bonne étoile , croire qu'à moment ou un autre un évènement allait survenir pour vous permettre de rentrer à la maison , il fallait endurer et rester patient.Et lewellyn qui disait que d'ici une demi-heure le deuxième astre se coucherait et que la tempèrature devrait baisser.MickaËlla avait du mal à y croire cette abruti s'était déjà pas mal trompé et si cela se trouve il était enocre entrain de se planter et rien ne disait qu'il n'y avait un troisième soleil sur cette putain de fournaise.La montre de Sheyffi et MickaËlla profita du moment pour faire une pause et portait le tube de son camelback pour se rappeller le souvenir de l'humidité de ce dernier qui avait disparu depuis bien longtemps.Puis elle porta les jumelles à ses yeux et elle ce qu'elle vit fut loin de la ravir ces jumelles venaient de tomber en rade un verre était fendu la pile était morte et donc en l'occurence tout ce qui était électronique aussi.MickaËlla les auraient certainement balancés si elle n'avait pas vu une sorte de procession dans le désert.De loin et avec le flou des jumelles on aurait dit un serpent géant se déplaçant entre les dunes.Sheyffi lui demanda si elle avait vu quelque chose , elle abaissa ses jumelles et prit quelques secondes à rèflèchir avant de se tourner ver Sheyffi et de lui expliquer ce qu'elle avait vu par signe et lui montra dans quelle direction elle avait vu le convoi.

*vu , convoi*

Elle passa ses jumelles à Sheyffi pour qu'elle regarde même si ces dernières ne lui permettraient pas de voire mieux qu'elle mais elle pourrait se faire son idée.MickaËlla utilisa le verre cassé de sa propre montre pour faire des signaux lumineux au convoi le verre de ces jumelles étant traités spècialement pour empêcher ce genre de chose.Au bout de deux minutes à faires ces signaux elle se dit que si ces derniers les avaient remarqués soit il s'arrêterait soit il continuerait leur route soit il s'agissait d'une bête.Qu'importe finalement maintenant il fallait se mettre en marche pour rattraper le convoi MickaËlla observa à l'oeil nu les environs pour choisir l'itinèraire le plus court et le moins éprouvant puis il reprit la marche avec une vigueur nouvelle dans les jambes.Le fait de voire qu'il y avit de la vie pas loin d'eux lui redonnait le moral car celle-ci leur permettrait d'arriver vivant dans la zone viable de cette planète et c'était la seule chose qui comptait pour le moment survivre.