Je regarda MickaËlla faire le tour pour entrer dans la tente. Le chef étant seul elle avait toutes ses chances, elle n'avais pas besoin de moi et heureusement j'avais à faire de mon côté. Sachant que notre évasion allait bientôt être remarquée il nous fallait nos armes. Je regarda Matt, je n'hésitais pas à agir, mais ce regard me redonna du courage, puis je regarda Thalia avant de faire un geste de la tête. On allait s'en sortir.

Je m'avança légèrement sur le côté et m'allongea par terre, avec mon couteau je fis une entaille dans la toile de la tente et regarda. J'avais pris soin que l'ouverture soit trop petite pour la voir de l'intérieur de la tente et bien trop proche du sol aussi. Je localisa la table où se trouvaient nos armes, je me releva et me décala un petit peu pour pouvoir me placer correctement. J'étais à l'emplacement parfait pour réussir mon plan. Il ne restait plus qu'à ce que MickaËlla se lance pour faire diversion ensuite tout s'enchainerait et nous serons à nouveau armées, il ne nous restera plus qu'à rentrer chez nous.

J'étais silencieuse, prête à passer à l'attaque à la seconde où du bruit se ferait entendre dans la tente.

Le chef n'était absolument pas un guerrier. Il l'avait peut-être été, plus jeune, mais c'était terminé. En revanche, il avait appris à éviter les tentatives d'assassinat, monnaie courante dans son système. D'une certaine façon, il sentit Mickaëlla arriver et se précipita in extremis derrière un coffre, trébuchant, s'étalant à la renverse, mais avec assez de souffle pour crier :

" Me tuez pas, sans otage, s'êtes morts ! "

Si la jeune femme ne l'écoutait pas, ce seraient ses derniers mots et il le savait très bien, la terreur déformant ses traits. Il n'avait plus qu'à espérer qu'elle les avait entendus.

Au même moment, comme pour donner raison au chef, des cris retentirent dans le campement : le passage éclair de Mickaëlla n'avait pas été sans être remarqué. Exceptés deux soldats qui restèrent près de l'enclos, les autres se précipitaient vers la tente. Armés de lances ou de couteau, mais aussi d'arcs et de flèches. Une quarantaine, en tout. Des guerriers équipés de façon primitive, mais en bon nombre, déterminés et suffisamment entrainés pour en pas se faire tirer comme des lapins. Et, surtout, la vie de leur chef était en jeu, ils étaient prêts à donner la leur pour le sauver. Pas de pitié pour ces étrangers qui avaient osé poser la main sur lui.

Pour l'instant leur attention était portée sur la tente et ceux qui se trouvaient à l'intérieur, mais déjà certains pensaient à encercler cette dernière. S'ils n'avaient pas encore vu les autres membres de l'équipe ça n'aurait su tarder.

Tout cela c'était passé en quelques secondes à peine, quelques secondes qui allaient se révéler déterminantes.

Dès que j'entendis le chez je sus que MickaËlla était dans la tente. D'un coup de couteau j'éventrais la tente et sans même que le chez puisse réagir j'empoignais mon Beretta, vérifia qu'il était chargé, et mis en joue le chef, qui ne ressemblait plus qu'à une loque humaine. Je pris d'une main tranquille un autre Beretta que je tendis à Thalia.

"Vous feriez mieux d'entrer tout les deux, il y a du grabuge dehors."

Puis je lui tendit son fusil d'assaut, avant de prendre, presque religieusement, mon FN P-90, notre vie dépendait beaucoup de lui. Je regarda MickaËlla, demandant d'un regard si elle souhaitait ses armes. Puis j'installais mon holster. Je sentais dans mon dos un léger picotement qui provenait de la coupure que je m'étais faite en rangeant mon arme, rien de bien grave. Je jeta un air de dégout à cet homme sur le sol. J'ignorais se qu'il avait dit, même si un otage était le plus sur, le laisser en vie me dégoutait. Surtout que même sans tirer, nos armes auraient un effet dissuasif important. Je regardais MickaËlla pour voir se qu'elle allait faire. Dans les deux cas nous pouvions nous en sortir. Puis finalement sur un air de menace je regardais cet être pitoyable.

"Nous n'avions aucune pitié pour les hommes sans parole, leur vie ne veux pas plus que celle d'un insecte insignifiant. Vous avez vu de quoi nous sommes capable, au moindre geste de vos hommes, votre tête tombe"

Mon regard était sans appel, à la limite du dégout. De toute façon il ne pouvait pas s'enfuir, les deux seules issues étaient surveillées. Moi, Thalia et Matt devant la déchirure et MickaËlla devant la porte. Il était à notre merci. Restait à voir si on essayait de récupéré le secret de Nomin ou si on sauvait juste notre peau. Pour ma part j'aurais plutôt voté pour sauvé la mission, mais je laissais les autres s'exprimer avant, même si je savais que Matt serait d'accord avec moi.

MickaËlla eut un temps d'arrêt elle ne comprenait pas l'attitude du chef cela cachait quelque chose.Pour elle ce genre d'homme était impitoyable retords ne comprenant que la violence l'argent et la négoce.Il devait préparer quelque chôse de pas net c'est sûr.

Une fois le reste de l'équipe rentré sous la tente MickaËlla passa sa veste militaire et remis en place sa radio vérifiant quelle fonctionait correctement.Au moment ou Rakel lui proposa de récupérer ses armes elle se pencha pour récupérer son holster de cuisse et le remit à sa place puis se fut le tour du FAMAS qu'elle passa en bandoulière.Elle s'était écarté de l'entrée pour s'équiper et il se passait un sacré baroufe dehors pas de doute ça allait chauffer et ça n'était leur soi disant otage qui allait les aider.Tenant d'une main son fusil elle s'accroupit pour laisser reposer le canon sur sa cuisse et sortit une barre de céréale de sa poche qu'elle ouvrit avec les dents et qu'elle enfourna d'un seul coup.Alors qu'elle n'avait pas fini la première barre elle venait d'en sortir une deuxième qu'elle sévertuait à ouvrir et c'est la bouche pleine qu'elle s'adressa à Matt avec un signe de la tête vers ce qu'il restait de leur affaires.

"Gourde."

Son pouce avait fait basculler le sélecteur de tir sur full auto et le cran de sécurité était relevé pour MickaËlla cela ne faisait plus de doute ils étaient engagés maintenant et il fallait laisser parler la poudre.Elle enfourna la deuxiéme barre alors qu'elle n'avait pas tout à fait fini la première.

"On le bute.Si on le fait pas c'est lui qui le fera à la première occasion.Et on descend tout ce qui se met sur notre chemin ou qui nous suit."

MickaËlla se tourna vers le chef et avalla sous le pris d'un gros efforts à avaller le reste de sa barre ,et planta ses yeux dans celui du chef.

"Ils sont peut être prêt à mourrir pour toi.Mais une fois que tu seras mort ils auront aucune raison de le faire."

MickaËlla lacha son FAMAS pour prendre son pistolet qu'elle fit passer dans sa main gauche de maniére à pouvoir un meilleur angle de tir sur le chef.Elle n'était pas très adroite de la main gauche mais il fallait être manchot pour le louper à cette distance.Elle enleva le cran de sécurité et pointa son arme vers lui dans une seconde il serait mort.

" Ils sont peut être prêt à mourir pour toi. Mais une fois que tu seras mort ils auront aucune raison de le faire. "

" Ah ouais ? On parie combien ? "

Même sur le point de mourir, il restait suffisamment sur de lui pour les narguer. Mais le regard qu'il leur lançait indiquait clairement qu'il était persuadé de la réaction de ses hommes. Il parla rapidement, mais avec assurance, pendant qu'il en avait l'occasion :

" Mon successeur, s'il veut ma place, doit venger ma mort, selon la tradition. Tu t'en sortiras pt'être, mais pas sans perte. T'es prête à faire passer la vie de tes camarades après ta p'tite fierté personnelle !"

Comme pour lui donner raison, encore une fois, une voix retentit à l'extérieur.

" Vous êtes cernés, nous sommes plus nombreux, relâchez Tolui. "

A en juger par les bruits extérieurs, la tente était effectivement cernée. Celui qui avait parlé s'était exprimé d'une voix ferme sans aucune crainte. Un silence de mort tomba sur la tente.

Le silence de mort c'était installé depuis trop longtemps. Personne ne parlait et MickaËlla reprenait des force elle avait bien raison. Je pris une voix forte, grave, et surtout des plus menaçantes. Mon Beretta à la main, je visa le chef.

"Dites leur de reculer, sinon votre tête sera de la bouillie après le passage d'une seule balle. Vous n'avez pas vu nos armes les plus puissantes, elles peuvent faire un massacre."

Je n'avais pas tord,avec 3 armes comme nos fusils d'assauts nous avions plus de 150 balles qui seraient tirées à une cadence de 900 coups par minutes, les 40 hommes pouvaient y passer sans problème.

Cet homme nous narguait, franchement, je ne voyais pas pourquoi, entre moi et MickaËlla qui n'attendions que de pouvoir lui mettre une balle dans la tête, et au pire on pourrait toujours négocier, la vie vaux mieux que la tradition. Je me tourna vers l'équipe.

"Vu la parole de ces gens je doute que leur honneur valent plus que la vie. Il suffit de les impressionner un peu en tuant ceux qui nous pose trop de problème, et son remplaçant ne nous cherchera pas de crasse... De toute façon, on ne lui laissera pas l'occasion de nous tuer, si il veux être otage il avancera avec une arme contre la tempe. Reste à savoir où est la porte, et ça pas question de leur demander."

Je ne m'inquiétais pas trop, une fois sortie Matt pourrait sans doute se repérer au soleil. Mais là c'était notre instinct de soldat qui parlait, et là ça allait sans aucun doute saigner. D'ailleurs je pense que personne n'avait encore envie de négocier après leur splendide démonstration de se que valait leur parole, si on devait revenir pour aider les autres en vue du secret contre les goa'ulds, il nous faudrait une bonne équipe, nombreuse et armée jusqu'aux dents, mais je doutais fort que le général accepterait ça

Matt n'avait pas du tout aimé l'épisode"les gens arrivent il faut rentrer dans la tente" car pour lui, c'était se faire cerner encore pire que dehors... tous au milieu d'une piece restreinte, surtout que els autres aveient arcs et fleches, s'il tiraient...enfin bref, ils avaient beau avoir des armes performantes, d'aileurs Matt récupéra son petit 9mm et le rechargea avant de le prendre de la main ou il avait la lance.

Puis il voulut réfléhcir, regardant cet homme, il ne le trouvait pas de même qu'avant, arrogant, manipulateur, ilé tait devenu peureux de sa propre mort, ses menaces n'étaient la que pour énerver ses coéquipières, selon lui, pour son propre plaisir avant de mourir. il toruvait cela ridicule et d'une certaine audace a la fois.

Mais il n'eut apas le temps de s'y plancher plus longtemps, que Mickaella qui mangeait comme 4, dit un mot tout a fait comphréhensible même pour un scientifique. il ne faisait pas cas des ordres...ça ne le dérangeait pas en cette circonstance, il attrappa une gourde et l'envoya a la jeune militaire.

Il ne s'occupa absolument pas de ce que parlait les quatre jeunes femmes, ne pensant en fait qu'a deux choses, le chef, et les femmes de Nomin. ah non trois, puisque la parole de l'homme dehors avait atteint ses oreilles.Néanmoins il ne fit aucun commentaire. il n'était pas militaire .

*laissons les choses des militaires aux militaires...comme celles de césar a césar...*

Oui oui, jamais le coté timbré des archéologue ne le quittait. m^me en apreille situaition. il se décida a écouter els autres enfin. hum, les filles ne se sentaient apperemment plus a négocier, c'était embétant, car il était vrai que les histoires de venger l'ae chef étaient bien souvent vrai, et que même les armes a feu aparfois ne les arretait pas; Néanmoins, une petite puce, lui dit de ne rien dire. il en avait assez fait comme ça. il attendait juste de pouvoir sortir pour voir les femmes de Nomin,. le reste, c'était l'affaire de ces coéquipière, même la vie de ce chef...et des autres...il détestait la mort et ça ne l'enchantait pas mais s'il ne pouvaent éviter cela...il faudrait s'y habituer ma foi..

MickaËlla remit le cran de sécurité de son arme et l'a rangea en lançant un sourrire carnassier au chef.Selon son avis le seul moyen de sortir de cette impasse était de semer la terreur dans les rangs des esclavagistes tuer leur chef actuel ne suffirait pas comme il venait de leur démontrer mais il y avait une autre solution tout aussi radicale comme l'avait envisagé Rakel.Elle prit la gourde que lui avait lançé Matt et l'a but en quasi totalité avant de reprendre sa respiration et de lâcher un rot monumental.Avec des gestes qui trahissaient une habitude de la chose elle détendit les muscles de son et de ses épaules puis un genoux aux sol elle épaula son fusil et ferma les yeux elle essayait de visualiser à quelle distance pouvait se trouver l'homme qui avait parler.C'était un tir impossible à réaliser mais cela lui donnerait une estimation précieuse si elle devait se mettre à découvert pour l'abbattre.Dans la situation elle se rendait compte qu'une ou deux grenades aurait bine aidé leur affaire et elle se promit d'en emporter la prochaine fois.Elle passa le sélecteur de tir en semi-auto et expliqua à tout ceux présent ce qu'elle allait faire.

"Je dégomme les potentiels succésseur et tout ceux qui approchent de la tente et après on pourra s'occuper du vrai chef.Après on verra bien si ils veulent toujours se battre pour être le chef."

C'était cela qu'on lui avait enseigné briser la volonté de se battre de l'ennemi.Une fois qu'elle aurait descendu un ou deux potentiel chef il y aurait certainement moins de prétendant aux postes.La seule chose qui l'a génait c'est de trouver un bon angle de tir.Mais pour ça il fallait qu'il parle encore pour qu'elle puisse affiné ses impressions et elle avait son idée sur comment l'inciter à le faire.

"LE PROCHAIN QUI VEUT JOUER AU CHEF ET QUI L'OUVRE POUR AUTRE CHOSE QUE POUR NOUS DIRE QUE VOUS AVEZ JETE VOS ARMES JE LE TUE."

MickaËlla n'était pas du genre à proférer des menaces ,en effet les menaces c'était ceux qui n'avait pas le courage d'assumer leurs actes ou ceux qui n'en avaient pas les moyens qui en faisaient.Non elle ne faisait qu'exposer un rapport entre des actes ,des causes et des conséquences.Elle était toute ouie ,attendant la réponse sachant que si celle ci s'avérait autre que ce qu'elle souhaitait elle n'attendrait pas la fin de la tirade pour trouver un angle de tir à travers l'ouverture de la toile et mettre une balle dans la tête de celui qui l'avait ouvert après quoi elle se replierait sous la toile.

MickaËlla n'avait pas plan c'était juste ses instincts qui parlait ,elle était un prédateur accullait et la seule chôse qu'elle savait faire dans ce genre de circonstance c'était se battre.Elle n'agissait pas par fierté c'était son instinct de survie qui l'a poussait à réagir par les armes.

Or si les esclavagistes voulaient riposter elle basculerait en full auto et utiliserait une méthode amèricaine le "minute maid".Après 29 balles tirées à tout va dans un vacarne d'enfer il y aurait certainement plus de rétissant de bléssés et de mort que de vaillants guerriers.Et si ça n'était pas le cas il lui restait encore deux chargeurs pour son famas et trois chageurs plein de 15 balles pour son pistolet.MickaËlla avait peur mais c'est dans ces moments là qu'elle excellait tout ses sens aux aguets le goût de l'adrénaline dans la bouche lui faisait passer sans cesse la langue sur ses lévres.Elle y pensait telment fort qu'un léger murmure sortit d'entre ses lévres.

"Allez parle enfoiré que je t'explose."

[hrp : attention, thalia, à bien lire ce qu'on a posté avant toi, ils se sont déjà aperçu de votre évasion, votre tente est cernée !

Désolée, peu de temps, je poste rapidement pour faire avancer.]


Autour de la tente, les hommes hésitèrent, silencieux. La nouvelle des armes miraculeuses des étrangers avait vite fait le tour du campement. Ces hommes étaient prêts à tout pour leur chef, mais ils n'étaient pas suicidaires pour autant. Ils n'étaient peut-être armés que de lances, mais ils n'étaient pas stupides pour autant.

Finalement, une voix retentit à bonne distance, entrecoupée de sanglots. Une voix de femme, Khaliuna, si l'équipe était capable de la reconnaitre :

" Ne tirez pas, je vous en prie, je parle en leur nom. Ils veulent savoir qu'elles sont vos conditions. "

Les autres guerriers restaient silencieux, la plupart avait déjà commencé à reculer légèrement. Pourtant, les archers visaient toujours la tente.

Effectivement ces hommes n'étaient pas totalement stupide et apparemment pas stupide non plus il avait pris une des femmes en otages. Khaliuna si je ne me trompais pas. Si ils croyaient que ça nous empêcherais de tirer ils se trompaient et pas qu'un peu, surtout connaissant MickaËlla. D'ailleurs comme la négociation n'était pas son fort je pris l'initiative de parler.

"C'est simple, ils baissent leurs armes sinon ils gouterons un peu à nos balles, leurs chefs le premier. Et bien sur leur chef n'aura la vie sauve qu'une fois que nous aurons passé la porte et que nous serons tranquillement chez nous."

Je me tourna vers Matt, j'allais sans doute le regretter, et d'ailleurs je regardais MickaËlla, avec un léger doute, mais non il nous fallait cette information.

"Encore une chose, il nous faut une information que détient le chef du village que vous avez enlevé, il va donc falloir le retrouver lui et le sorcier si vous voulez nous voir partir sans le moindre blessé. Ensuite nous rentrerons chez nous et vous ne nous reverrez plus jamais."

Je ne demandais pas leur libération, sinon ça montrait une faiblesse, non là je ne montrais juste ma détermination, je ne partirais pas sans notre objectif. J'attendais maintenant leur réponse, de toute façon si ils refusaient, il n'y aurait pas quarante mille solutions.. Et en même temps je donnais une chance à Nomin et à ses femmes de se rebeller, sans trop nous mêler.

J'attendais la réponse des soldats espèrent éviter le bain de sang, sinon je n'imagine même pas la réprimande que nous aurions en rentrant à la base si c'était le cas... A vrai dire c'était la seule chose qui m'inquiétait, tuer des hommes n'étaient pas bien difficile surtout quand notre vie en dépendait. Enfin même si j'enfouissais cette pensée au plus profond de moi je ressentais une tristesse pour cette pauvre femme qui n'avait pas méritée ça. La vie est injuste.

Matt écouta Thalia, qui pour une fois n'avait pas tort, mieux valait ne aps tuer grand chef maintenant. elel avait 'air en colere leur chef a eux, dites donc..mais matt n'eut pas mle temps de s'y attarder parce que une voix qu'il reconnu de suite parla entrecoupée de sanglot., il jeta un coup d'oeil par une fente...il ne s'était pas trompé! Khaliuna femme de Nomin. il se tourna de suite vers les filles.

"s'il vous plait ils ont reculés, leurs arcs sont pointés vers nous, mais comme nous ferions, s'il vous plait, plutôt que de tuer essayer de négocier avec eux. je en parle pas du chef, mais des autres. on peut peut etre s'en sortir sans tuerie!"

il serait bien sortit et aprler directement au peuple guertrier mais il avait peur d'une réaction trop prompte des femmes qui 'laccompagnaient. elle n'étaient peut etre plus du tout enjointe a faire cela. et lui ne voulait que la vie de tout le monde. Il pesa un moment le pour et le contre et parla d'une voix assez forte pour etre entendu de tous.mais rakel le prit de coour. il se tut. cependant il ajouta.

"Nous voulons, la vie, et celle du peuple qui nous a acceuillit ici. a coéquipière a demandé a les voir, mais moi je veux que vous les laissiez!. nous voulions la paix vous avez voulu la guerre. on veut une garantie pour nos vies sauves jusque chez nous et que vous laissiez ce peuple en paix. nos armes feront beaucoup plus de dégats que les votres, et sur notre planete, on n'abandonne personne, si nous ne rentrons pas, ils enverront d'autres personnes...avec les mêmes armes...

Sa voix tremblait de rage et de colere, il voulait joeur carte sur table. il comprenait rakel, lorsqu'elle n'avait pas demander libération de Nomin mais lui ne pouvait l'éaccepter...c'était leur faute a eux bon sang! ils se devaient d'intervenir, et moins il y aurait de cachoterie entre les eux camps, mieux ça irait, du moins c'était ce que pensait l'archéologue. Il avait demandé une garantie, car jaamis ou presque ils ne pourrraient être sur que les guerriers laisseraient le peuple de nomin en paix. sauf si ils voulaient bien les accompagner sur terre...mais s'accomoder a une nouvelle vie serait trop dur pour eux...la terre serait invivable. il attednait une réaction de Rakel, Mickaella ou Thalia. avait il encore dit ce qu'il ne fallait pas? ou cette fois ci avait iol utiliser les bons mots? il n'en savait rien, et les femmes le suprenait depuis le début, il ne serait donc pas étonné de se prendre desregards énervés de ces coéquipières.

MickaËlla n'en croyait pas ces oreilles tout le monde condredisait tout le monde et le seul endroit ou cela pouvait les mener c'est dans une fosse commune.Elle n'avait pas l'habitude de parler en mission et elle avait parlé plus durant celle-ci qu'elle ne l'avait fait durant une année dans les forces spéciales.Mais si elle ne parlait pas qu'est ce qui allait se passer certainement que Matt pousserait Rakel à fléchir ses positions qui étaient déjà trop souple selon MickaËlla.Elle se décida à prendre la parole faisant monter la tension qu'elle contenait d'un cran.

"Je peux avoir la femme est leur nouveau leader en un rien de temps."

MickaËlla grinça des dents pour se forcer à continuer à parler c'était là le seul signe qui trahissait un sentiment quelquoncque.De sa voix monotone elle continua son explication.

"Si jamais on leur montre pas qu'on ira toujours plus loin qu'eux on est foutu.Ils vont pas nous lâcher dans le meilleur des cas seul l'un de nous se fera refroidir pour permettre à notre gandhi de rentrer sain et sauf à la base."

J'ai pour but l'amitié avec le monde entier. Je peux unir le plus grand amour à la plus ferme opposition au mal.

C'est ce que Gandhi disait et c'est ce que Matt voulait qu'ils appliquent.Mais quel bande d'abruti!Ces gars là n'avait jamais eu affaire à ce genre de pourriture.La moindre des concessions était une victoire pour eux.Si vous leur permettiez de vous prendre la main ils essayaient de vous bouffer tout entier.Elle savait de quoi elle parlait son travail avant son affectation au SGC consistait à abbattre ce genre de pourris.Mais même si elle ne connaissait pas les autres membres de l'équipe plus que ça elle savait pouvoir compter un peu sur Rakel.Cette dernière avait l'air d'avoir les épaules plus solides que Thalia pour ce genre de missions.Et malgré les ordres du général MickaËlla savait que le choix d'un chef se fesait sur le terrain par le plébicite des hommes finalement et qu'aucune hièrarchie ne pouvait aller contre ça.Rakel avait été choisi par cet instinct de conservation par le reste de l'équipe alors naturellement elle s'en remit à elle.

"Mais si c'est ce que tu décides Rakel je continuerais à couvrir les arriéres.Gandhi n'est pas une perte acceptable."

MickaËlla savait pertinement ce que cela impliquait ,se serait elle le soldat qui y laisserait sa peau.Parce que les beaux discours de Matt ne changerait pas les choses pas plus que ceux que Gandhi en avait changeait.Et si jamais elle n'était pas tué nette elle savait qu'elle devait garder une balle pour finir le travail.Elle enleva de son avant bras le petit module qui servait à identifier les équipes pour permettre l'ouverture de l'Iris.Le chef des esclavagistes étaient capables de revendre tout le matériel qu'il pourrait trouver sur elle aux "gwahoulds".Elle lança le module à Rakel ,sans réelment la regarder de toute manière parler n'aurait servis à rien apparemment tout le monde était pour la table des négociations.

Elle se remit en position de tir avec un léger sourrire sur les lèvres en pensant à ce que Matt avait dit.

Citation :

et sur notre planete, on n'abandonne personne

Le pauvre allait être déçu pour des opérations moins sensibles on ne se préocupait de ce genre de détails.Son regard par contre était aussi froid que de l'acier les guerriers se serviraient certainement des femmes ou des enfants comme bouclier mais pour elle cela ne faisait aucune différence.C'est aussi pour cela qu'elle sourriait elle allait faire son plus bon tableau de chasse seul ombre à ça c'est qu'il n'y aurait personne pour l'homologuer.

La peur MickaËlla ne la ressentait plus cela faisait longtemps qu'elle savait être l'élément d'un tout qui pouvait être dispensable.Au moins elle savait quand elle aller mourrir cela la rassurrait ça ne servait à rien de lutter contre ça ,rester à le faire correctement.

Je voyais Matt et MickaËlla me regarder, chacun défendait son point de vue. Apparemment c'était à moi de trancher, et je ne pouvais pas dire que ça m'arrangeait. J'écoutais attentivement ce que MickaËlla me disait mais lorsqu'elle m'envoya le module, je compris largement ce que ça signifiait. Non il n'y aurait pas de mort dans nos troupes pas à notre première mission, hors de question. Je me tourna vers Matt l'air ferme pas la peine de répondre, mais d'une voix basse pour pas que l'on nous entend.

"Matt désolé de te dire ça mais là on est dans une situation grave, je préfère voir mourir des inconnu qu'un membre de l'équipe, et puis même si on n'avait pas été là, ces hommes se seraient emparé du peuple de Nomin, on n'y ai pour rien..."

J'étais sincèrement désolé pour lui, pendant un moment de la tristesse passa dans mes yeux mais je me ressaisis vite et la tristesse laissa place à un sérieux assez douloureux. Il fallait que Matt comprenne que c'était eux ou nous et ça ne semblait pas être le cas pour le moment.

"Tu n'es pas qualifié pour négocier notre survie... Je leur laisse une chance de se libérer mais seul, les femmes sont seules, au pire il n'y a qu'un homme elles pourraient s'enfuir,et elles ne sont pas plus bête que nous."

Je réfléchissais à cent à l'heure, je ne savais pas quoi faire la décision était dure. Je soupira et regarda MickaËlla, qui ne semblait pas avoir peur, elle était presque résignée à mourir.

"Ne te prépare pas à mourir, je te préviens je ne pars pas sans mes coéquipiers, Matt n'est pas la seule personne à ne pas être une perte acceptable. Mais on ne descend pas la fille, ce n'est qu'une otage, la tuer ne nous arrangera pas, par contre je ne suis pas contre une démonstration de force."

Je regarda par un trou dans la tente. Deux gardes l'encadraient, deux cibles faciles, une pour MickaËlla et une autre pour moi ou Thalia, même si cette dernière ne semblait pas motiver pour voir le sang couler. Je pris une longue inspiration et parla à nouveau d'une voix forte.

"Ne nous prenez pas pour des idiots, cette femme n'est pas votre leader, relâcher là et que celui qui se prétend le chef de vos troupes parle. Sinon nous serons obliger de nous montrer persuasif. Et je maintiens que seule la première proposition est valable. Nous voulons notre liberté et parler aux hommes que nous avons demander, ensuite, une fois que nous serons à la porte votre chef sera libre. Mais bien sur nous ne laisserons qu'un seul homme de votre choix accompagner notre cortège afin de récupérer votre chef. Au moindre geste suspect nous tirerons, et un otage ne changera rien."

Je regarda Matt fermement, pour qu'il ne me contredit pas encore une fois, c'était la pire chose à faire dans un moment pareil, ça montrait que l'équipe était divisée. Je repris une voix basse et désigna le chef des soldats.

"On a quelque chose pour l'attacher?"

Puis en continuant à la fixer je déchira une bande de tissus dans sa tenue, puis une autre que je roula en boule. J'enfonçais la boule de tissus dans sa bouche et avec la bande de tissus je finis mon bâillon de fortune.

"Juste pour pas qu'il ruine nos plans."

MickaËlla écoutait ce que Rakel avait décidé en tenant son arme braqué vers l'extérieur la tête de Khalunia dans son réticule de visée.Ce qu'elle disait avait du sens dans des combats normaux avec des armées régulières ou contre des rebelles.Mais là ça n'était ni l'un ni l'autre la seule chose qui intérreessait cette espéce de truand c'était le profit.Si le nouveau chef devait venger l'ancien ça n'était qu'un baptême dans le sang pas réelment un code d'honneur.Un truc pour remonter le moral des troupes un bon pillage avec massacre et viol collectif.Elle avait vu des pillards de la même espéce opérait aux quatres coins du monde au travers de sa lunette de sniper.Mais à cette époque elle ne devait pas les tuer cela aurait trahis la présence des commandos planqués non loin qui eux n'avait pas de visuel sur ce qui se passait mais ils entendaient tout.Et c'était bien pire car l'esprit ne pouvait pas s'empêcher d'imaginer les pires chôses.

Mais comme à l'époque MickaËlla regardait à travers la lunette de son arme sans sourciller.Elle savait avoir la chance d'être du bon côté de l'arme contrairement à Khalunia qui préférait certainement mourrir si on lui expliquait à quoi elle allait être confronté.Elle chuchota plus qu'elle parla pour n'être attendu que par les memebres de SG3

"C'est pas qu'un otage.Si je la tue pas elle ...."

MickaËlla se tut car si elle allait plus loin ces collégues s'offusquerait certainement de sa pensée il vallait mieux les laisser comprendre par eux même.

"Pas besoin d'expliquer ce qui risque d'arriver aux femmes je crois que vous avez tous compris.Si ils n'ont pas encore attaqué ça n'est pour protéger leur chef."

MickaËlla commença son exposé basé sur les situations qu'elle avait put observer lors de ces missions et sur les histoires sordides qu'elle avait entendu.

"Son remplaçant n'attends qu'une chôse c'est d'être sûr de pouvoir le descendre.Si on se sert de lui comme bouclier on est tous mort."

C'est à ce moment que MickaËlla se rendit compte à quel point Rakel était vraiment jeune.Elle avait déjà vu du vilain mais elle n'avait pas vu l'impenssable pour le commun des mortels et elle n'avait pas commis l'impardonnable.Alors comment pourrait elle comprendre ce genre d'individu et qu'il y avait des sacrifices à faire si on ne voulait pas tout perdre.

"Ce n'est qu'un rapport de force on s'est montré faibles et ils en ont profités.Il faut supprimer l'otage et les potentiels leaders de l'équation.C'est la seule solution pour gagner du temps et d'augmenter nos chances de survie."

MickaËlla n'avait même pas essayé de faire comprendre à Rakel que chacun d'entre était une perte acceptable à côté de Matt qui possédait un savoir faire plus dur à trouver que le leur.Elle était de ce genre de soldat prêt à mourrir pour aller chercher le cadavre de leur copain exactement le genre de soldat que MickaËlla descendait quand elle avait un appât.Heureusement pour Rakel elle n'avait jamais eu à être dans le camps opposé et dans la ligne de mire de MickaËlla.

Les guerriers restaient silencieux, dans l'attente d'une réponse, qui arriva de la part de Rakel.

" C'est simple, ils baissent leurs armes sinon ils gouterons un peu à nos balles, leurs chefs le premier. Et bien sur leur chef n'aura la vie sauve qu'une fois que nous aurons passé la porte et que nous serons tranquillement chez nous. Encore une chose, il nous faut une information que détient le chef du village que vous avez enlevé, il va donc falloir le retrouver lui et le sorcier si vous voulez nous voir partir sans le moindre blessé. Ensuite nous rentrerons chez nous et vous ne nous reverrez plus jamais. "

De là où ils étaient, les membres de SG3 pouvaient entendre un murmure à l'extérieur de la tente, quelques déplacements furtifs à distance.

" Nous voulons, la vie, et celle du peuple qui nous a accueillit ici. Ma coéquipière a demandé à les voir, mais moi je veux que vous les laissiez ! Nous voulions la paix, vous avez voulu la guerre. On veut une garantie pour nos vies sauves jusque chez nous et que vous laissiez ce peuple en paix. Nos armes feront beaucoup plus de dégâts que les vôtres, et sur notre planète, on n'abandonne personne, si nous ne rentrons pas, ils enverront d'autres personnes... avec les mêmes armes... "

Le temps que les guerriers se décident, Rakel avait repris la parole :

" Ne nous prenez pas pour des idiots, cette femme n'est pas votre leader, relâcher là et que celui qui se prétend le chef de vos troupes parle. Sinon nous serons obligés de nous montrer persuasif. Et je maintiens que seule la première proposition est valable. Nous voulons notre liberté et parler aux hommes que nous avons demandés, ensuite, une fois que nous serons à la porte votre chef sera libre. Mais bien sur nous ne laisserons qu'un seul homme de votre choix accompagner notre cortège afin de récupérer votre chef. Au moindre geste suspect nous tirerons, et un otage ne changera rien. "

Finalement, une voix d'homme monta :

" Nous acceptons. Vous pouvez sortir et retourner vers la Porte. Il ne vous sera fait aucun mal. "

Une pause et il ajouta :

" Partez, et ne revenez pas. "

Le chef se faisait oublier autant que possible, lorsque l'homme reprit :

" Et libérez Tolui arrivés à la Porte. Nos esclaves, on les garde, laissez les si vous ne voulez pas qu'on les abatte. Quand à l'homme que vous voulez voir, c'est impossible, à l'heure qu'il est, même nous ne connaissons pas sa destination finale, il aura changé de mains. "

Puis les guerriers, se reculèrent vers l'enclos des femmes, libérant la voie à SG3. Ils étaient toujours armés, mais de là où ils étaient, leurs armes seraient plutôt retournées contre les esclaves. Quoiqu'une flèche pouvait vite partir.

" Fichez le camp, maintenant ! "


[hrp : je suppose que mickaëlla aurait bien voulu le faire taire plus tôt, mais disons qu'il a parlé très vite ! ^^]

Je me tourna vers l'équipe. Mieux valait y aller, nous n'aurons surement pas d'autre chance... Cependant ça restait risqué. MickaËlla avait raison, je n'avais pas vu l'impensable et je ne pouvais encore moins m'y résoudre moi même. Nous ne tuerons pas l'otage. Par contre au moindre geste suspect, les balles iront faire se pour quoi on les a créés. Bon par contre ils nous refusaient se que nous voulions, enfin maintenant pu importait. Je regarda par le trou, je n'avais pas pu voir celui qui parlait. Fallait il vraiment les impressionner? Surement, mais la douleur est bien plus effrayante que la mort.

"Vous voulez qu'on part ça on est d'accord, mais vous n'êtes pas en mesure de négocier, poser vos armes à terre, si l'un de vous pense que la douleur est supportable, c'est qu'il ne sait pas encore ce qu'on peut lui faire subir, lorsque nous sortirons, si l'un d'entre vous en encore armé, il apprendra enfin ce qu'est la souffrance."

Mon ton était menaçant, je savais pertinemment que la peur de souffrir était particulièrement persuasive. Je me tourna vers MickaËlla, et pris une voix basse à nouveau.

"Si ils ne posent pas leur arme tu tire dans le genou de l'un d'entre eux, la rotule lâchera et là ça devrait les persuader, mourir c'est relativement doux comparé à ça et surtout à l'handicape que ça entraine."

C'était un compromis entre les deux, Matt allait me détester pour ça, mais je ne prendrais pas de risque inutile pour sauver le peuple de Nomin. Par contre restait le problème de trouver la porte. Je me tourna vers notre archéologue.

"Tu trouveras le chemin vers la porte une fois dehors?"

J'attendais ça réponse, mais je me doutais bien que ça ne serait pas tendre comme réponse... Puis finalement je m'adressa à nouveau aux hommes qui entouraient la tente.

"Une dernière chose, votre porte parole nous accompagne, comme ça elle récupéra votre chef, et nous conduira à la porte. Vous n'aurez plus qu'à attendre son retour."

C'était la personne la plus neutre possible, et puis comme ça si elle était si attachée à son peuple elle pourrait toujours voir à agir, nous avions bien réussit à nous sortir d'une situation assez dur pourquoi pas elle. Et de toute façon elle avait plutôt intérêt à nous aider si elle voulait pouvoir espérer de l'aide, même si celle ci ne viendrait surement pas...

Mickaella et rakel parlerent tour a tour, chacune leur tour sans néanmoins laisser le temps a quiquonque d'autre de parler.Mattt rgeait. la réponse de Rakel n'invitait aucune réponse, et lui était en colere la seule réponse qu'il aurait donner aurait été une gifle. le fait de se faire appeler handhi l'énervait aussi. et de perte pas acceptable machin truc...n'importe quoi! ils étaient tous humains donc tous des pertes innaceptables! peu importe qu'il parle telle ou telle kangue, elle pouvait tres bien les apprendre...il ne supportait pas la façon de raisonner de Mickaella. tuer, tuer ,tuer, impressionner, bon sang mais il n'y avait pas que ça dans la vie!

Il avait les poings sérrés, et surtout, jamais ne voudrait que Khaliuna meurt, aussi voulut 'il aprler mais L'homme porte parole de dehors le fit avant lui. Il acceptait les conditions de Rakel...sauf pour voir les hommes. ils ne savaient plus ou ils étaient a présent. Les filles voulaient que els autres baissent leurs armes..ais pourquoi faire? bon sang! ils acceptaient? s'ils étaient un minimum loyaux ça passerait! il n'vait pas envie que lors d'une démonstation de force, les hommes de l'autre coté en échange de la balle qu'aurait reçu l'un d'entre eux, tue une femme! Rakel lui adressa la parole, a lui. il ne desserra pas les dents de suite. s'il pouvait retrouver la porte? oui, grace au soleil. Jetant des regards noirs il répondit.

"Je vous jure que si une femme se fait tuer par notre faute, la porte vous la trouverez seules. mais je n'ai pas peur pour cela, avec quelques balles dans la tête des autres ils vous diront ou elle est..puisque c'est comme ça que vous marchez apperemment."

il avait parler assez bas pour se faire entendre seulement des femmes de l'équipe. il recevrait des regards et peut etre plus en rentrant a la base mais il disait toujours ce qu'il pensait. ce n'était pas aujourd'hui que cela allait changer. Si Khaliuna les accompagnait il lui remettrait une arme ou quelque chose pour les aider. elles devaient fuir...Mickaella pensait qu'ils y étaient pour rien rakel aussi, lui non. les prix sur eux étaient gros...et s'ils n'étaient pas venus il n'y aurait pas eu de fête, donc pas de cette boissson qui endort. c'était leur faute point. maintenant Matt se moquait completement du reste, il écarta un pan de la tente, son arme dans une main dirigée vers les autres, une lance d'ans l'autre. il laissait le soin au filles de prendre leur otage. Il sortit entierement et jeta des regards haineux a la ronde. s'écartant pour que le reste de l'équipe puisse sortir, il regarda Khaliuna.

"elle nous raccompagne. elle reviendra elle reviendra avec votre chef, elle tient trop aux autres femmes de son peuple."

MickaËlla n'avait pas put aligner le second du chef ce dernier c'était bien caché derriére ses compagnons.Ils avaient donc peur de leurs armes et de leurs capacités à raison remarque se dit elle.Mais cela ne la rassura pas cela voulait aussi dire qu'ils n'hésiteraient pas à faire tuer son chef actuel pour prendre sa place.

MickaËlla acquiéssa à l'ordre de Rakel ,sachant pertinemment que si c'est le second qui passait dans sa ligne de mire c'est dans la tête qu'elle lui logerait une balle.De toute manière vu la distance de tir et la puissance de feu qu'elle disposait le résultat final ne serait pas bien différent.Avec une balle de 5.56 mm tiré dans une articulation celle ci volerait en éclat et l'homme se vidrait de son sang.Et il y avait peu de chance qu'il posséde une médecine suffisament évolué pour pouvoir survivre à une telle blessure.

Matt qaund à lui était excédé apparemment il voulait éviter à tout prix que le sang soit versé.Il ne voulait pas comprendre que parfois il fallait tuer une personnes pour en sauver dix.Lui expliquer cet état de fait était inutile il n'était pas près à écouter et trop profondément pacifiste pour saisir cela.Alors qu'il sortait le premier de la tente MickaËlla se demandait à quoi il pouvait jouait il ne se rendait pas compte du mal qu'elles auraient à le porter jusqu'à la porte déjà que même en forme il ralentirait leur allure.

MickaËlla sourit en se mettant devant leur otage et sortit son arme à la main pointé vers le potentiel de cibles qui se présentait devant elle.Mais Matt qui n'avait l'habitude des armes étaient trop vulnérables.

"Reste pas dans les lignes de tir Gandhi."

A cette distance nul besoin d'être un excellent tireur pour toucher sa cible.Elle cherchait avec avidité les guerriers qui n'avaient déposé prêt à enchainer les tirs si elle en trouvait un son doigt n'avait jusqu'à presser la détente.Et si les autres s'énervaient ben elles tiraient dans le tas en se déplaçant pour servir de bouclier à Matt.

[hrp: si y en a un qui a une arme je lui mets vraiment une balle et si ça bronche je défouraille dans le tas.]

Les soldats s'étaient résolus à obéir. Ils avaient posé leurs armes et reculaient en silence. Leur regard était empreint de fureur mais ils se contenaient, sachant reconnaitre leur défaite. Khaliuna se tenait parmi eux, tremblante, s'attendant à être battue d'un instant à l'autre par l'un des deux camps.

" Elle nous raccompagne. Elle reviendra avec votre chef, elle tient trop aux autres femmes de son peuple. "

La pauvre femme n'osait plus bouger, mais l'un des guerriers lui fit signe de la tête d'y aller. Elle se précipita littéralement vers Matt, l'air à la fois soulagé terrorisé. De là où ils étaient, impossible de voir les autres femmes, dans l'enclos, la masse des guerriers les cachaient au regard.

Les hommes ne bougeaient plus, la situation restait figée. Khaliuna jetait des regards nerveux à Mickaëlla en se demandant ce qui allait se passer. Le chemin vers la plaine était dégagé. A perte de vue, des herbes folles et des collines. Quelque part derrière se trouvait la Porte. L'équipe mettrait une heure et demi pour s'y rendre en marchant tranquillement. Sauf que ce n'était peut-être pas le meilleurs moment pour faire une promenade au milieu des champs.

Puis il y eut une certaine agitation chez les guerriers. Du côté opposé à la Porte, entre deux tentes, on apercevait l'horizon. Et, tout là-bas, on distinguait un point sombre qui allait grossissant. Quoique ce fut, ce ne serait pas là avant un moment, mais c'était quelque chose de conséquent.

Vraiment ce genre de réflexion avait le chic pour m'énerver, mais je ne le montra pas. Comment sauver un peuple alors que nous sommes que 4, et seulement 3 à vraiment savoir se battre contre une quarantaine de soldats bien entrainer. Oui, j'aimerais les sauver mais on ne peut pas, même si ça m'attire les foudres de Matt, on ne peut risquer notre vie pour des gens qui auraient finis un jours où l'autre entre les mains de ces brigands.

"Nous n'avons pas les moyens de les sauver, si vous voulez je veux bien revenir avec la permission du général et surtout une équipe bien armée, mais là c'est trop risqué, leur stratégie si on agit sera de tuer toutes les personnes capables de guider la mutinerie et ensuite ils tortureront Matt pour savoir comment marche nos armes...Nous n'avons pas le choix on rentre à la base..."

Je sortie à mon tour rejoindre Matt et MickaËlla, poussant le chef devant moi, une fois dehors je me pencha vers lui.

"Je ne te tiens pas mais tu sais un seul geste qui me plait pas et une balle viendra se loger dans ta tête, ok? Dès qu'on est en sécurité tu es libre et tu te débrouilleras comme tu veux avec tes hommes."

Il ne semblait pas vouloir s'enfuir de toute façon, il avait vu comment marchaient nos armes, et c'était assez effrayant pour le dissuader. Et d'ailleurs j'étais assez effrayante avec dans une main mon Beretta et dans l'autre mon FN p-90. Mon regard parcourait les troupes, tous avaient lâchés leurs armes,heureusement pour eux. Je m'approcha de la femme.

"On te suis conduit nous à la porte."

Puis je me pencha vers Matt.

"Vérifie que c'est la bonne direction, quand même..."

Je savais qu'il m'en voulait mais ce n'était pas une raison pour ne pas agi en équipe. Je regarda vers le fond et remarqua une chose énorme qui approchait. Je ne savais pas du tout ce que c'était mais il y allait avoir du grabuge, je le sentais.

"On trace, plus vite on arrivera à la porte mieux ça sera, il va falloir courir."

Je poussa le chef pour qu'il avance et ouvrir la marche d'abord tranquillement vérifiant que chaque homme que je croisais était désarmé, dès que nous serons hors de vue nous accélèrerons.

MickaËlla aurait voulu préciser que la femme du chef ne leur était d'aucune utilité et que c'était de la sorcière dont ils avaient besoin pour connaitre leur fameuse protection.Mais il y avait au loin une présence inconnue qui progressait vers eux trop vite à l'idée de MickaËlla.Et puis Thalia qui ne semblait ne rien avoir remarqué demandait à tous si oui ou non il fallait sauver le peuple de Nomin.Et Matt n'avait pasa réagit et avait toujours Khalunia dans les bras.

Heureusement Rakel venait d'intervenir et avait clarifié la situation pour tout ceux qui parmis eux aurait pu avoir eu des doutes sur la marche à suivre.

Comme toute réponse MickaËlla fit signe à Thalia d'ouvrir la marche ,pendant ce temps là l'amre épaulait elle tenait en respect le reste des guerriers et cherchait dans le lot les leaders.Par expérience elle savait qu'il en restait au moins deux.Le premier devait se dissimuller a moitié derriére l'un des guerriers du premier rang tandis que l'autre devait se trouver à l'arriére un peu à l'écart.Si elle abbattait ces deux hommes le moral et la volonté de combattre de ce groupe serait quasiment hannillé.Le second était facile à trouver il n'avait pas réelment posé sa lance à terre mais il ne l'avait pas en main.Elle était posé le long de la toile de tente à côté de laquelle il était.

MickaËlla continuait à chercher son autre cible mais toujours en gardant sa première cible dans son champs de vision.Elle savait qu'en cas de mouvement suspect de sa part elle aurait à peine une seconde pour tourner son arme vers lui identifier la menace et tirer si nécessaire.C'était peu mais elle avait reçu un entrainement pour cela chaque jour des mouvements répétées jusqu'à tendre vers la perfection.
Elle tourna de nouveau son arme vers la cible elle enregistra la position qu'elle veanit de prendre et continua de se replier en cherchant le second du chef qu'ils emmenaient.

A plusieurs reprises MickaËlla était revenu sur sa premiére cible afin d'être sur d'avoir toujours un angle de tir décent qui ferait qu'elle n'aurait pas à appuyer deux fois sur la queue de détente pour le mettre hors de combat.Elle n'essayait pas coller le plus au groupe elle savait pertinemment comment cela marchait.